9 Jours Tranquilles À Antibes. (2e Chapitre)
9 JOURS TRANQUILLES À ANTIBES.
2e chapitre (pour comprendre cette histoire, il faut lire le chapitre précédent) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
Nous sautons sur le scooter. Jai hâte darriver ! Gaëlle aussi semble-t-il, elle me caresse pendant tout le trajet.
Pas si timide que ça la gamine.
A peine arrivés, nous nous précipitons sur le lit. Les habits sont vites retirés. On peut passer aux choses sérieuses.
Elle remarque, admirative, que mon sexe est très grand. Oui, je sais, je suis au dessus de la moyenne.
Elle entame une fellation délicieuse.
Je ne veux pas jouir dans sa bouche. Je la couche sur le dos et après avoir mis un préservatif, je baise sa petite chatte de blonde.
Après quelques minutes de ce traitement, je la mets à 4 pattes. La levrette permet de faire de profonds va et vient.
Elle mouille beaucoup, mais je ne la sens pas très réceptive ni enthousiaste. Pour ajouter un peu de piment, je tente des caresses sur son anus.
Non seulement elle ne proteste pas (comme le font trop souvent les filles), mais elle me dit :
-« Tu peux y mettre ta bite si tu veux
»
Je suis surpris par cette proposition, mais cest le genre dinvitation qui ne se refuse pas dautant plus que lanal est ma pratique préférée-.
Je sors mon tube de lubrifiant, je tartine mon sexe, et cest parti !
Ma bite rentre sans trop de difficulté dans ce trou étroit. Jy vais très doucement pour commencer. Gaëlle se tortille. Elle gémit. Elle en réclame plus. Jy vais plus profond, jaccélère le rythme.
Elle aime vraiment ça la cochonne ! A chaque fois que mon mouvement fait ressortir un peu ma queue, elle recule ses fesses avec frénésie pour venir à ma rencontre. A croire quelle ne veut pas laisser échapper ces 23 cm de bonheur.
Et puis elle se met à jouir en haletant !
Cest grandiose !
Incroyable ! Elle a joui par le cul, sans même se tripoter le clito !
Je sors ma queue, je me branle.
Je meffondre à mon tour à coté de Gaëlle.
Elle se remet petit à petit de ses émotions.
Elle prend une cigarette. Je fais un commentaire :
-« Tu as lair daimer la sodomie, toi. Cest très rare ... ».
Sans que je lui demande quoi que se soit, elle se met alors à me raconter ce qui la amené à découvrir cette pratique.
LE RECIT DE GAELLE
« Cétait lannée dernière, ma copine Fatima venait de se faire draguer par un type petit, gros et laid. Elle ne le connaissait pas, aussi elle a voulu que je laccompagne chez lui, pour la rassurer.
Je ne sais pas pourquoi elle avait accepté de sortir avec ce Tomy. Fatima est pas terrible, mais quand même
Ils se sont embrassés longuement à coté de moi sur le canapé du salon. Puis ils sont partis dans la chambre.
Au bout de quelques minutes, jai entendu des cris. Des cris de jouissance de Fatima. Cétait impressionnant. Ça ma semblé durer plusieurs minutes. Jen avais le souffle coupé. Jétais hyper gênée et en même temps hyper excitée.
Après une courte accalmie, ça a remis ça ! Re-cris, re-gémissements. Cette fois suivis par les râles de Tomy.
Puis ma copine est sortie précipitamment de la chambre pour aller dans la salle de bain. Jétais rouge de confusion.
Cest alors que Tomy est apparu en slip. Il sest approché de moi et il ma dit : « si tu veux que je te fasse la même chose, passes demain après-midi ».
Fatima est revenue et nous sommes parties.
Je suis rentré chez moi très vite. Sans évoquer avec Fatima ce qui venait de se passer.
La nuit, dans mon lit, je nai fait que penser et repenser à ces cris et à ce mec immonde. Je me suis masturbée plusieurs fois, sans être apaisée pour autant.
Le lendemain après-midi, malgré ma honte et mes réticences, je me suis rendue chez Tomy. Il mattendait.
Il ma amené directement dans la chambre. On sest déshabillé.
A len croire, Fatima aurait joui comme une folle en se faisant enculer. Par ce porc !
Je nen revenais pas. Mais au point ou jen étais, il métait difficile de menfuir, et puis jétais tentée dessayer moi aussi.
Sans même me demander mon avis, il a enduit mon trou de vaseline et il ma pénétré lentement. Jai eu mal au début, il faut dire que jétais vierge de ce coté.
Je pensais aux cris de Fatima, et puis ce Tomy connaissait son affaire. Mon orgasme est arrivé très vite. Mais moi je nai pas crié.
Tomy a éjaculé quelques secondes après.
Je me suis rhabillée et je suis partie, sans un mot.
Depuis ce jour, tous les mecs avec qui je sors peuvent menculer sils le veulent. Jadore ça. »
FIN DU RÉCIT DE GAELLE
Elle a raconté ça sans aucune pudeur, j en suis éberlué.
Moi qui adore obtenir les confidences sur le passé sexuel de mes conquêtes, je suis servi sur un plateau.
Ce récit ma excité au plus haut point. Je bande à nouveau, et jaurais bien voulu refaire un tour dans son petit trou. Mais après avoir regardé sa montre, Gaëlle saute hors du lit. Il est déjà 18 h, il faut quelle rentre voir ses parents.
Je la raccompagne en scooter près de chez elle (elle veut pas que ses parents me voient).
Je lui propose de se revoir demain. Après lorgasme que je lui ai donné, jespérais une réponse positive et enthousiaste. Ce nest ni lune ni lautre. Elle mexplique que ses parents la surveillent de près et ils lui imposent souvent des sorties.
Ses tergiversations modèrent mon empressement à son égard.
Pour enfoncer le clou ou pour me rendre jaloux elle rajoute :
-« Tu sais, je ne serais peut-être pas libre. Je me fais draguer très souvent
»
Après tout, jai déjà visité ses trois trous, je nai pas grand chose de nouveau à découvrir.
-« Si tu couches avec un autre garçon, il faudra tout me raconter. Jaime beaucoup entendre les histoires de cul. »
Je lui fais quelques compliments sur sa beauté et sa façon de baiser et on se quitte.
Avant de reprendre mon scooter, je complète mon calepin à Gaëlle : bonne suceuse. Baise : passable. Sodomie : experte, elle adore ça. Clitoridienne et anale : une perle rare !
Comment avais-je pu me tromper à ce point sur son compte. Moi qui la prenais pour la pureté même, pour un ange tombé du ciel !
Le récit de Gaëlle ma donné des idées. Puisque les filles sont excitées dentendre lune des leurs jouir bruyamment, il fallait que je leur fournisse matière à fantasmer !
Dans un camping on entends tout ce qui se passe dans les tentes dà coté. Si jarrive à faire hurler de plaisir une fille du camping, tout le voisinage en profitera. Or il se trouve que la fille aux boutons (Coralie je crois) est dans un camping. Et il y a très souvent des jolies filles dans les campings. Mon plan se met en place.
Mais pour que ça fonctionne, il faut quelle accepte de baiser et quelle ait le plaisir sonore, ce qui nest pas garanti
Une fois chez moi et après avoir pris une douche, je lui téléphone. Elle est toute contente de mentendre. Je lui propose de se retrouver dans un café vers 21 h. Elle est daccord.
En attendant lheure du rendez-vous, je flâne dans la ville, je mange un morceau, je regarde passer les filles en tenues légères. La vie est douce. Je me renseigne aussi pour trouver un restau tranquille et de qualité pour ma sortie de demain avec Sarah. Je tente aussi de draguer 2 filles, mais cette fois sans succès.
A 21 h précise, Coralie est là.
Elle porte une mini-jupe avec un haut très décolleté. Elle est vraiment très sexy. Je le lui dis.
Nous plaisantons, je la taquine un peu. Jengage enfin la conversation vers sa vie affective et sexuelle.
Elle me fait quelques confidences, tout ce quil y a de banal.
Comme beaucoup, elle cherche le prince charmant. La pauvre ! Avec ses boutons, elle ressemble plus à un crapaud qua une princesse
Elle rêve de grand amour et de passion. Elle finira mariée à un collègue de travail amateur de foot.
Rien de « hard » dans tout ça et lorsque je demande des détails plus intimes, elle détourne la conversation.
Il est à peu près 23h30 quand je la raccompagne en scooter jusquau camping. Je laisse mon engin à lentrée et nous allons jusque sa tente à pied.
Je lui demande :
-« Puis-je visiter ta somptueuse demeure ? »
-« Hi, Hi, Hi. Oui, bien sûr ! ».
Nous entrons tous les deux dans ce lieu exigu. Nous sommes bien obligés de nous allonger, je lenlace, je lembrasse, je la caresse.
A son tour, elle membrasse et elle commence à me déshabiller. Cest gagné !
Je laide à retirer ses vêtements et nous voilà nus. Je jette ma chemise sur la lampe électrique pour avoir une lumière tamisée.
Elle membrasse le buste, puis descend vers ma queue.
Elle se met à me sucer. Elle sy prend rudement bien, la garce ! Son piercing ne rajoute rien. Il ne me gène pas, cest déjà pas mal.
Je la préviens que si elle continue comme ça je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. Elle continue de plus belle.
Ce qui devait arriver arriva : jéjacule. Elle avale tout !
Jaime beaucoup quand la fille avale. Cest bien meilleur, et surtout ça évite de devoir tout essuyer avec des mouchoirs.
Il faut maintenant que je moccupe delle et que je la fasse jouir pour que mon plan fonctionne.
Coup de chance, elle ne demande pas que je la lèche. Jaime pas beaucoup faire ça. Je commence par diverses caresses, puis une branlette du minou. Tout ça semble bien lui plaire.
Je bande à nouveau. Je sors un préservatif, je place Coralie sur le dos et cest parti pour un missionnaire. Cest une bonne position pour les clitoridiennes.
En même temps je lembrasse et caresse ses petits seins pointus.
Je lui laisse un peu de temps pour shabi à mon calibre, puis jentame des lents et puissants va et vient. Je mapplique du mieux que je peux pour lamener à lorgasme.
Il est plus de minuit, la plupart des campeurs sont rentrés, beaucoup doivent déjà dormir. Jespère que leur sommeil est léger.
Mon travail porte ses fruits. Elle se cambre. Son corps est secoué de spasmes. Elle pousse quelques petits cris à peine audibles.
Ce nest pas du tout ce que jattendais ! Zut, zut ! Je stoppe ma pénétration et je lui demande si cétait bien pour elle. Elle me répond :
« Cétait génial, oui vraiment génial ».
Jen suis flatté, mais je lui demande pourquoi elle na pas crié. Elle mexplique quelle jouit toujours en silence.
La vache ! Tout ça pour rien !
En réalité, javais envisagé cette situation car les femmes qui jouissent bruyamment sont rares. Javais prévu une solution de rechange. Elle nest certes pas élégante, mais à la guerre comme à la guerre
Je prends mon tube de lubrifiant et jen mets un peu très peu- sur le bout de mon sexe.
Je relève les jambes de Coralie sur mes épaules. Et je présente ma bite à son anus.
-« Non, pas par là. Jaime pas ça » me dit-elle tout bas.
Je ne lécoute pas et je force le passage.
Coralie pousse un cri de douleur.
-« Arrêtes, Arrêtes ! » supplie-t-elle.
Je menfonce un peu plus. Un autre cri.
Elle essaye de me repousser, mais dans la position ou elle est, cest peine perdue.
Je continue.
-« Non, non
non ! »
A chacune de mes poussées, un autre cri retentit.
Quest-ce qui ressemble plus à un cri de jouissance quun cri de douleur ? Impossible de faire la différence.
Jaccélère mon rythme. Les cris saccélèrent.
Et je fini par un coup de boutoir que jaccompagne en lui pinçant un sein. Elle hurle comme une bête. Celui-là il a du sentendre à 1 km à la ronde !
A mon tour, je pousse un grand « Haaaaaa
» pour faire croire à mon plaisir.
Quand je sors brutalement mon sexe de son fourreau, Coralie pousse un dernier hurlement.
Cest maintenant la période critique. Soit je me fais engueuler, soit Coralie me fout dehors. Dans ces 2 cas cest foutu. Soit elle se met à bouder, et ça cest bien.
Elle choisi une réaction que je navais pas prévu. Elle se met à pleurer. Je reste désorienté un moment. Je réalise alors que ces sanglots spasmodiques ressemblent à des halètements de plaisir. Cest comme si elle jouissait une seconde fois !
Jattends un peu avant de la consoler et de la câliner.
Je lui demande de mexcuser. Jétais trop excité. Elle me plait trop. Enfin, le baratin habituel.
Je lui caresse la chatte. Je glisse un doigt le long de son clitoris. Je lui mordille les seins (elle avait bien aimé tout à lheure). Les pointes sont maintenant dressées comme des tours Eiffel, cest bon signe.
Je la masturbe quelques minutes. Elle se cambre. Son corps est secoué de spasmes violents. Une plainte séchappe de ses lèvres entrouvertes. Tout ça ne métonne pas, après une sodomie la jouissance est souvent beaucoup plus forte.
Coralie rouvre les yeux. Elle sort de sa transe. Elle me sourit. Je vois dans ses yeux plus que du bonheur : de la reconnaissance ! Pour un garçon, la jouissance est une évidence, une obligation. Pour la femme ce nest pas une nécessité, pas même une demande. Lorgasme, quand il arrive, est reçu comme un cadeau merveilleux.
Je lembrasse tendrement. Elle ma pardonné. Elle maime ! Cest trop facile !
Je suis soulagé que ça se termine si bien. Ma conscience, avec ses petites ailes et son auréole, était en train de me houspiller pour ma mauvaise conduite.
Coralie se lève, il faut quelle aille aux toilettes. Elle prends la lampe de poche et sen va. Je préfère aller me soulager contre larbre derrière la tente, tel un mâle qui marque son territoire.
Dès que nous sommes à nouveau réunis, nous nous endormons sur le matelas trop petit et très peu confortable.
Fin du 2e chapitre.
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