999° Nuit

Encore une nouvelle nuit qui arrive. Il me tarde de lire la neuf cent quatre vingt dix neuvième histoire de ma femme. J’attends sagement 22 heures comme convenu. J’attends et je bande déjà, comme un gamin qui voit une première femme nue.
Aujourd’hui c’est vrai j’ai vu ma première femme nue indigène, un noir foncé, les pieds dans l’eau faisant sa toilette. Au début je la voyais que de dos, magnifique tombé de rein, une raie qui me donne envie d’y passer la main pour chercher son cul. J’ai failli tomber par terre quand elle s’est retournée : ses seins semblaient partir à la recherche du soleil. J’ai commencé à me branler quand elle m’a vu elle souriait d’un air moqueur. J’ai rangé ma bite en vitesse. Si elle avait sourit au moins j’aurais continué.
Je suis maintenant nu dans l’attente. J’ai le cahier de ma femme juste à coté. Rien que la vue de ces papier me fait de l’effet. Je lui écrirai l’histoire de ma tentation avec la fille et mes réactions dès que je vois son écriture. Je lui dirais tout mon amour et l’envie permanente que j’ai de son corps.
Enfin l’heure, je peu lire :
«  Merci de m’avoir attendu. Ta bite me manque et dans ma bouche et dans ma chatte, aussi, j’oubliais dans mon cul. C’est à propos de lui que je vais écrire. Tu sais que quand tu m’as enculé la première fois je ne voulais pas. Il a fallut que tu insistes pour me la mettre à cet endroit. J’ai fait celle qui avait mal et j’ai même demandé que tu sortes. Heureusement pour nous deux tu as insisté. Tu te souviens que j’ai jouis la deuxième fois.
C’était une tromperie, j’avais omis, plus ou moins volontairement de te dire que je n’étais pas neuve de ce coté là, comme de l’autre, mais pour l’autre tu le savais puisque j’ai jouis la première fois que nous avons baisé.
Je vais te raconter comment j’ai aimé la sodomie bien avant toi, excuses moi encore.
Je devais ne plus être vierge depuis deux mois quand mon initiateur m’a proposé de me la mettre au cul.

Je savais que certaines de mes copines l’avaient subit. Une disait qu’elle n’aimait pas cette façon de se faire mettre, l’autre au contraire aimait bien. Dans ce cas là il faut essayer par soi même pour se faire une opinion.
C’est surtout pour ça que j’ai accepté. Il avait une queue moyenne, un peu longue. Je savais que quand il me la mettait devant il en restait pas mal dehors.
Ce soir là, nous nous sommes mis nus rapidement. Il me tardait de me faire enculer. Il a voulu me baiser avant et j’ai accepter pour lui faire plaisir. J’ai jouis et me suis mise en levrette aussitôt après. Il venait de jouir et il ne pouvait plus bander. A l’époque je n’aimais pas du tout les fellations, c’est toi seul qui m’a donné envie de sucer une bite et d’aimer son jus.
Je n’ai fait que lui caresser la queue, les couilles et un peu son entrée de cul. J’ai réussi à le faire rebander (je me demande si sans rien faire il n’aurait pas bandé tout seul). Je me remets en levrette, mouille bien comme il faut mon anus comme tu m’as vu faire, je le réussi toujours. Cette fois je le supplie de me la mettre là où j’en ai envie. Je mouille tant que je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Je m’en souviens encore, j’avais le ventre serré de désir qu’il me la mette.
Tu sais comment je suis quand j’ai envie, souviens toi combien de fois nous nous sommes arrêtés en voiture pour que tu me baises, même qu’une fois nous nous sommes fait surprendre par des passants qui voulaient venir me baiser devant toi, toi qui aurait dit oui, si j’avais été d’accord…………… salaud !!!
Ne te branles pas encore, je te dirais comment faire. Retiens toi!!
Enfin il a posé sa bite sur mon cul. Il me semble qu’il me libérait. Il a frotté sa pine contre la raie des fesses en commençant bien haut. Je sentais mes fesses s’écarter devant sa descente, et plus il allait, plus je mouillais.
Je n’en pouvais plus quand enfin il a décidé de m’enculer. Il a entré son gland en premier. Il était trop gros pour la largeur de mon cul, j’avais très mal et je ne pouvais rien dire.
Je sentais mon anus céder pas à pas à son assaut. Il n’était pas totalement en moi quand il a pris mes seins pour les caresser, comme tu le fais toi en mieux. Brusquement il est passé dans mon ventre, je sentais que mon anus se détendait légèrement. Il a continué à m’enculer à sa façon, il n’en connaissait pas d’autre. Je le sentais aller jusqu’au bout de sa longue bite. Ses poils venaient caresser mes fesses : c'est à ce moment qu’enfin j’ai senti le bienfait de sa présence. Il me faisait jouir presque sans cesse jusqu’à ce qu’il jouisse dans mon cul. Je sentais son sperme envahir mes boyaux, c’était bon. Nous avons recommencé souvent à ma demande, comme nous deux. Sauf que tu m’encules bien mieux, tu es le seul à savoir bien me mettre.
Tu sais j’ai été obligé de me branler plusieurs fois en écrivant ces quelques lignes.
A ton tour de jouir :
Prends ta bite, ne lui fait rien, caresses toi les couilles en pensant à ma langue qui te lèche souvent. Maintenant descends le prépuce jusqu’en bas, laisse ta bite sans la toucher, Prends maintenant ton gant de toilette, mouille le, savonne le, oublie de le rincer, mets toi du savon sur le gland, passe ta queue dans le gant, referme le. Maintenant couche toi sur le ventre, bloque bien ta bite dans le gant, tu devrais sentir les premiers effets de la jouissance qui arrive. Ne bouge surtout pas, attends de débander un peu et ensuite à fond tu fais comme si tu me baisais.
Maintenant, je sais que tu vas jouir. Je vois ton sperme sortir en gros jets de ta bite. J’aimerai bien l’avoir dans le bouche pour manger et boire ta semence qui me manque.
Bonsoir mon chéri. Si demain matin tu bandes en te réveillant branles toi en pensant que j’en fais autant.

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