Te Promènes Pas La Braguette Ouverte...
Te promènes pas la Braguette ouverte...
Chapitre premier:
C'est pas facile tous les jours d'être un homme, mais moi jadore ça, et en plus j'adore mes congénères, je les trouve attendrissants et de ce fait encore plus attirants.
L'histoire que je me propose de vous raconter s'est réellement passée, elle est simple et touchante au sens propre comme au figuré (dailleurs si vous avez envie de vous toucher en la lisant n'hésitez pas, le plaisir, ça ne se refuse pas)
Cétait dans les années 70 et à cette époque jétais encore apprenti chez mon patron, un vieux pharmacien bon et paternel.
Une fois par semaine il m'envoyait en courses dans Marseille et cela me permettait de m'échapper quelques heures, mon patron n'était pas regardant.
Javais alors 17 ans, j'étais très mince et parfaitement dépourvu de malice et de pilosité, sauf bien sûr, là où vous pouvez imaginer.
Lors de ces sorties j'avais habitude de faire une station pipi à l'urinoir public de la canebière, sur les allée de Meillan, un lieu très fréquenté.
Et là je trouvais toujours une pissotière bien placée entre les autres et mon regard pouvait se balader sur cette rangée de quequettes que je trouvais toutes intéressantes. Et je restais là, me calottant et me décallotant, éveillant souvent l'envie et l'érection d'un voisin de passage
J'aimais tous ces mecs et je me sentais leur égal, c'était pour moi la confirmation de ma propre virilité et le bonheur d'éveiller l'intérêt et l'envie des autres hommes.
Je me sentais un homme mais aussi j'avais envie d'être des leurs, de leur appartenir.
Un jour, de tous ces sentiments confus émergea la réponse à la question : qui suis-je et quelle est ma préférence ?
En effet à mes côtés vint s'installer un homme d'une quarantaine d'années qui me reluquait et qui me fit un clin d'il. Cela me fit sourire. Il posa discrètement sa main sur ma queue qu'il se mit à caresser et je me mis à bander très dure tant j'étais surpris, puis il prit ma main et en fit un anneau autour de sa bite épaisse et douce.
Il remballa ses attributs et me fit signe de le suivre.
En remontant les escalier de la pissotière je réalisais que j'étais allé un peu loin, puis arrivé sur le trottoir je le retrouvais toujours aussi souriant. Je fis mine dattendre au feu rouge, une cigarette au bec et mon prétendant me proposa du feu
"Si tu veux on va boire un verre chez moi je nhabite pas très loin et il fait si chaud"
Je n'osais pas répondre mais je lui fis OUI en hochant la tête.
Le feu Piéton passa au vert et nous traversâmes ensemble le boulevard, je marchais à ses côté et lui me parlait mais je ne me souviens que de sa voix douce et grave, rassurante, et je savais que cet homme m'attirait, je me doutais que ce que la vie me proposait, ne serait pas gratuit, mais j'avais envie d'aller jusquau bout. Vaincre ma peur, sans même soupçonner un instant qu'un merveilleux univers allait s'ouvrir à moi.
Après dix minutes de marche et quelques plaisanteries et compliments gentils accompagnés de petites tapes dans le dos, nous arrivâmes devant une porte d'immeuble ancien dans une petite rue près de la place jean Jaurès.
Il montait les escaliers et se retournait pour voir si je le suivais puis il ouvrit la porte de son logement et minvita d'un sourire à entrer. Il mavait installé sur un grand canapé de velours rouge et tira le rideau pour tamiser un peu la lumière de la rue
Il nous servit à boire et prétextant qu'il allait se changer il me laissa seul un moment. Jen profitais pour visiter du regard ce salon propre et bien décoré, rien de féminin ne laissait supposer qu'une maitresse de maison occupait les lieux.
Quand il réapparu il était vêtu d'un short avec une chemise ouverte sur son torse velu et marchait pieds nus sur le parquet.
Je lui demandais si son épouse risquait de rentrer tôt, il se mit à rire et me rétorqua qu'il n'y avait aucun risque, car il vivait seul
"Mets-toi à l'aise Garçon, découvre toi, il fait si chaud, je vais t'aider ce sera moins gênant" et il vint s'assoir près de moi.
Je sentais ses mains chaudes effleurer ma peau tout en déboutonnant ma chemise, il passait ses doigts sur mes seins puis habilement il ota la boucle de ma ceinture et défit un à un les boutons de mon pantalon qu'il fit descendre sur mes mollets. J'étais presque nu quand il vint poser ses lèvres sur mes tétons durcis. Il me caressait les cuisses avec douceur. Il posa sa bouche sur la mienne et la pénétra avec sa langue chaude et moi je bandais comme un fou dans mon slip. Mon hôte ne tarda guerre à investir les lieux et me débarrassa du sous vêtement trop serré.
Je me surpris alors à lui rendre la pareille, et quand mon regard se porta sur son sexe en semi érection, j'étais émerveillé par la beauté d'un homme mur et plein de tendresse qui me désirait et à qui je voulais donner du plaisir.
Sa bouche me couvrait de baisers et ses lèvres vinrent se poser sur ma jolie bite bien raide. Il me goba avec gourmandise faisant coulisser mon prépuce en même temps que ses vas et viens buccaux. C'était absolument délicieux.
Je sentais sa queue qui avait pris une taille impressionnante dans ma main alors machinalement je me mettais à hauteur de son sexe et nous retrouvâmes tête à queue, se délectant de nos quequettes devenues phalus puissants et fébriles.
Son membre était très beau, épais mais pas trop, d'une longueur plus que respectable, il mouillait pas mal et je découvrais le gout du précum (c'était un délice).
Je me risquais à lécher ses testicules volumineux et je vis bien qu'il appréciait cela beaucoup.
Cet homme était beau et bon, sa pilosité et sa virilité me comblaient il était musclé, puissant et si tendre à la fois, son visage aux traits délicats et charmants laissait transparaitre beaucoup de gentillesse et de douceur. Tout l'art qu'il mettait à me faire découvrir l'amour entre garçons mentrainait dans un monde dont je ne soupçonnais pas l'existence.
Et tous ces mots simples qu'il me murmurait à l'oreille, montrait bien que j'étais un peu plus qu'une aventure pour lui.
Javais envie daller plus loin avec lui et je lui demandais d'être le premier à me faire découvrir cette chose que je n'osais pas nommer mais qui me brulait le ventre d'envie et contracter mes fesses de désir...
A suivre le second chapitre :
Quand il me fit don de ma virilité
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