Mon Premier Trio

Cette histoire fait suite à celle de (Première sodomie sur l’ile)
Après avoir subi ma première sodomie par Armel sur les iles de l’Allier. Durant deux jours, j’avais bien du mal à m’essuyer le derrière. Et, de plus, je ne suis pas allé à son rendez-vous qu’il m’avait donné pour le jeudi suivant. Je me sentais bien trop humilié et j’avais peur qu’il me refasse aussi mal. Mais les jours passants, je suis surpris de retrouver à nouveaux les mêmes plaisirs en me caressant l’anus quand je me masturbais et le désir de sentir, de nouveau, le sexe d’Armel dans mon fondement me fit retourner auprès de lui. Depuis maintenant trois semaines, s’il ne m’a pas défoncé l’anus au moins quinze fois alors il ne l’a jamais fait. A présent, pour moi, c’est un vrai bonheur de me la faire mettre. De petit naïf que j’étais je suis devenu l’accro du sexe.
Armel m’a demandé de le rejoindre à son hôtel, parce qu’une surprise m’y attendait.
Arrivé devant sa porte, j’entends la voix d’une autre personne qui discute avec lui. Aussi j’hésite à entrer et je ne toc que très légèrement sa porte.
- C’est toi Michel ?... Entre… N’ai pas peur !
Bien au contraire, c’est avec la peur au ventre que j’ouvre la porte. J’aperçois le propriétaire de la voix. C’est, comme dirait mon père, un breton de la Martinique. Un bel homme noir certes mais sa peau n’est pas aussi épaisse que ses congénères. Le visage est fin et plaisant. Le regard est franc et ouvert. Immédiatement cet homme me plait. Armel me le présente :
- Michel, je te présente Miguel... Miguel, je te présente Michel… La petite pute que je t’ai parlée.
Franchement, sa remarque je la trouve plutôt déplacée et je me sens humilié d’être traité ainsi devant un étranger. Alors je baisse la tête.
- Tu sais Michel, Armel m’a beaucoup parlé de toi et j’étais très impatient de te connaitre. Il m’a dit que tu étais très gentil, très obéissant et surtout très doué. C’est vrai ?
Là Armel me prend par les épaules.


-Eh !... Douterais-tu de moi ?
Puis il m’entraine vers le canapé. Miguel s’asseyait à ma droite et Armel de l’autre côté. Puis ils discutent de choses et d’autres. Depuis un moment Armel me caresse le haut de la cuisse.
- Miguel, t’as vus ? Ma petite pute a de bonnes cuisses, tu ne trouves pas ?
Me posant la sienne sur la cuisse il répond à Armel qu’effectivement le toucher est agréable mais qu’il lui avait promis quelque chose.
- Ah oui !... Michel viens avec moi.
Je me lève et je le suis. Il se dirige vers les toilettes. Sur le couvercle du WC se trouve un carton qu’il me demande d’ouvrir. Une fois le couvercle enlevé, je vois des vêtements de fille. C’est-à-dire une petite culotte très transparente, une jupe genre Ecossé, un chemisier, une paire de socquettes et des chaussures avec de petits talons d’au moins cinq centimètres d’hauteur. Je regarde Armel avec étonnement.
- Michel, tu veux bien me faire plaisir.
- Ben… Oui.
- Alors tu vas te déshabiller et te vêtir avec ça.
- Mais, c’est des vêtements de fille !
- Bien sûr. Tu es ma petite femme chérie non ?
- Euh… Oui mais...
- T’aimes bien que l’on fasse l’amour ensemble.
- Oui, mais je n’ai pas besoin de tout çà ! Puisque qu’à chaque fois je me retrouve tout nu.
- S’il te plait, Miguel aime les gars habillés en fille. Tu veux bien ?
Alors, comme je ne sais pas lui dire non. Je me dévêtis. Puis je commence par les socquettes rose, ensuite je passe la petite culotte rose aussi mais transparente. Le tissu est lisse et doux cela me fait tout drôle et m’excite au point que je commence à bander. Le chemisier et la jupe n’ajoute rien mais les chaussures ont beaucoup de mal à rester debout. Tantôt elles partent à droite, tantôt à gauche alors je me tords les chevilles et j’ai bien du mal à ne pas m’étaler.
Quand je me présente j’ai une drôle d’impression qui m’envahie. Déjà, j’ai beaucoup de difficultés à marcher avec des talons aussi hauts.
Mais le passage de l’air sur mes fesses et au travers de la culotte devient de plus en plus excitant.
Arrivé au milieu de la pièce, Armel me demande de tourner sur place. Alors je tourne sur moi-même en me trémoussant, comme j’ai vu faire dans un des films porno d’Armel.
- Alors qu’en penses-tu ?
- Pas mal… Il a un beau cul, il me fait bander mais la jupe est trop longue.
- Tu crois ?
- Oui, oui. Elle a au moins douze centimètres de trop.
Armel se lève, prend un coupe-papier. Perce la jupe et demande – Comme çà ?
- Oui, impeccable, t’es juste à la bonne hauteur !
Alors Armel tire sur le tissu qui se déchire tout autour de moi. Maintenant la jupe m’arrive juste à la hauteur de mon sexe et donc on voie très bien le fond de la culotte. Miguel vient de déboutonner la braguette de son pantalon et quand Armel vat s’assoir, il en fait de-même.
- Allé, Michel, ma chérie vient là ; sur les genoux de papy Miguel !
Alors je m’asseyais, et Miguel me remet une main sur le haut de mes cuisses. Puis il se penche vers moi, me relève un peu la tête et m’embrasse à pleine bouche. Je sens sa langue qui me fouille et je suis très troublé. Sa main monte jusqu’à toucher mon sexe au travers de la culotte. Alors qu’il me caresse la poitrine avec sa main libre, il porte sa bouche à la hauteur de mon oreille et me dit
– Michel t’as vu ? J’ai ma bite qui me démange. Tu ne veux pas me la caresser ?
Je baisse la tête et je vois son engin. Il est plus gros que celui d’Armel et complètement noir. C’est la curiosité qui me fait prendre ce gros truc en main, alors que la sienne vient de quitter mon sexe et je sens son doigt appuyer sur mon petit trou. Pendant ce temps, Armel a sorti la sienne et doucement il commence à se caresser en me regardant faire.
- Alors Miguel, elle te plait ?
- Elle s’y prend bien… On voie que tu l’as bien formée.
- Attends, ce n’est qu’un début… Elle adore le sexe. Tien … Michel, montre lui comme tu aimes pomper.

Alors je descends de mon perchoir et je me place entre ses jambes. J’att le sexe qui a grossi mais reste mou et très flexible. Je la caresse sur toute sa longueur puis je passe ma langue sur le gland. Je la goutte. Humm… Elle est bonne ! Elle a un goût épicé. Son odeur est agréable et je sens que je commence à être excité par ce que je suis en train de sucer. Pendant ce temps, Armel a sorti la sienne et me dis.
- A présent tu vas nous sucer tous les deux ensembles. Et se tournant vers Miguel. - Tu vas voire comme elle est déjà douée cette pute... Et toi, tu t’appliques… Compris ?
- Oui… Mais elle est très grosse… Faudra-t-il que je les prenne ensemble en bouche ?
- Eh ! Mais elle devine tout !...Ne t’inquiète pas petite. Ma queue te parait grosse pour l’instant. Mais je suis sur qu’elle te plaira par la suite.
Alors je commence à les masturber une bite dans chaque main. Puis je me mets à les pomper alternativement. Celle d’Armel étant plus fine je passe plus de temps sur elle. Bien sûr au bout d’un moment il m’envoie toute sa sauce dans la bouche alors je me tourne vers celle de Miguel sur laquelle j’étale tout le sperme qui me reste en bouche. A ce moment-là je sens une main me caresser le petit trou et du coup je mets plus d’ardeur à sucer la tige de Miguel. Puis, Armel m’embrasse et me passe sa langue derrière l’oreille. Là, je ne comprends pas pourquoi mais chaque fois qu’une langue passe par là j’ai de telles frissons que j’en deviens complètement hystérique. Ce vicieux d’Armel en a profité pour tirer sur la culotte, il me la même déchiré. Maintenant j’ai son doigt dans le cul et il le tournicote pour me dilater le trou. Putain que c’est bon ! J’aime vraiment ses touchés. Miguel a mis sa main sur ma tête et la pousse vers lui. Je connais très bien sa signification. Ma langue frôle la tête de sa queue et je constate qu’elle a un bon goût poivré de mâle en rut qui m’attire. Je passe mes lèvres sur tout le gland. Puis je descends le long de sa tige.
Toute la surface est douce et chaude et, donc, je n’arrête plus pour qu’elle devienne la plus grosse possible. Ce qui m’excite le plus c’est de la sentir vibrer quand mais lèvres, ou ma langue, passent sur certaines zones.
Armel m’a tellement dilaté qu’il en est à essayer de faire entrer un quatrième doigt. Je l’entends dire à Miguel que je suis prête pour me mettre le piston.
- Bon Michel, je vais m’assoir sur le fauteuil et Armel va te déposer sur moi. A ce moment-là, tu vas te retenir à moi en passant tes mains derrière ma tête. Et ensuite, je me charge de te faire monter au septième ciel. Ta compris ?
- Oui, Quand Armel m’aura déposé je m’accroche après ton cou. Et après ?
Sans répondre, il me relève de ma position et Armel retire sa main de mon cul. Miguel s’asseyait dans le fauteuil, puis Armel me soulève comme un fétu de paille.
- Écartes tes jambes pour les placer de chaque côté de Miguel et déposes-les sur les accoudoirs. Voilà, elle est prête. Miguel passe sa main sous mes fesses et je sens la chaleur de sa tige en face de mon trou qu’Armel m’a hyper dilaté.
-Vas y, lâches la doucement.
Je sens le gland forcer mon passage. Alors je me décontracte un max. Sa bite dé. On recommence puis à la cinquième ou sixième fois le gland entre. Ce n’est pas possible ! Il va me déchirer ! Et bien non, une fois que le gland est passé Armel me demande si je me tiens bien. Je m’assure que les doigts des deux mains sont bien croisées et lui réponds que oui. A ce moment-là, il me lâche. Je sens la grosse queue de Miguel me filer dans les entrailles comme une fusée. Hé, mon ventre ! Je crois qu’il vient d’exploser, j’en ai le souffle coupé et des larmes me montent aux yeux.
- C’a ta surprise hein ? Mais la surprise ne fait que de commencer. Maintenant, tu vas tirer sur tes mains et, à l’aide de tes jambes, tu vas remonter le long de ma tige. Puis, tu redescends et ainsi de suite. Ainsi c’est toi qui vas t’enculer et tu vas voir comme c’est sacrément bon.
Alors je tire à l’aide de mes mains pendant que j’arc-boute mes jambes, je sens sa tige sortir un peu puis je me relâche. Je recommence peut-être une bonne vingtaine de fois et le plaisir commence à venir. Aussi je monte plus haut. Puis de plus en plus haut jusqu’à ce que mon plaisir prenne une telle ampleur qu’effectivement je suis en train de me sodomiser tout seul.
- T’as vu Armel ! T’as dégoté une sacrée salope. Vois comme elle se baise sur ma tige !
- Je te l’ai dit. Elle se conduit comme une vraie pute. Alors Michel… Maintenant tu vas serrer tes jambes pour que je puisse monter sur le fauteuil… Là, c’est bien.
Puis il monte et se tourne vers moi.
- Allés salope ouvre la bouche et absorbe-la à fond.²
Et moi comme une vraie pute que je suis j’obéis au doigt et à l’œil. A présent, quand je monte sur la tige de Miguel, j’ai celle d’Armel qui m’explore le fond de gorge. Et inversement.
- C’est bien petite, continue. Eh Armel ! Bravos, tu l’as vraiment bien éduqué. Mais regardes-moi ça ! Elle est en train de prendre son pied ta pute !
Il est vrai qu’actuellement ce n’est pas une bouche et un cul qui me font satisfaire deux bites mais tout mon corps est devenu mon seul sexe et je prends un plaisir immense à me faire défoncer. A un moment la queue d’Armel m’échappe et avant de la reprendre en bouche je m’aperçois que Miguel est en train de lui bouffer la rondelle et le visage d’Armel montre tout son plaisir. Au train où vont les choses, Armel ne met pas longtemps à jouir et, une fois de plus, j’en prends plein le gosier. A tel point que cela me dégouline jusque sur le menton.
Armel redescend du fauteuil et part aux toilettes. Pendant ce temps, avec Miguel, je continus à monter et à descendre sur sa tige. Puis je voie son visage changer d’expression. Ses yeux regardent fixement, comme si quelque chose était situé derrière moi. Maintenant sa queue part toute seule à ma rencontre et quand elle touche le fond de mes entrailles c’est comme une explosion de plaisir qui se déclenche. De plus on entend des bruits de sucions quand sa queue sort et des claquements quand son ventre tape sur mes fesses.
Sa respiration s’est accélérée et devient bruyante. Oh là là !... Ses veines du cou !... Elles gonflent et il transpire. Oh zut ! Il me prend à bras le corps, ses mains son sur mes épaule et voilà qu’il appui de toute ses force comme s’il voulait entrer entier dans mon cul. Sa queue est d’une raideur incroyable et se trouve en buté au plus profond de mon cul. Le voilà qu’il grogne à chaque pression qu’il applique sur mes épaule. Moi aussi, sans me toucher, je sens ma queue tellement gonflée que cela en devient presque douloureux. D’un seul coup, je me sens jouir comme cela ne m’étais encore jamais arrivé et Miguel a choisi cet instant pour en faire de-même.
Après cette formidable jouissance, j’ai les jambes complètement coupées et Armel doit m’aider pour me sortir de ma position.
- Eh, Armel, t’as vu comment elle a pris son pied ?... Je n’en reviens pas, si jeune et déjà vicieuse comme une vraie salope… Putain !... Elle m’a foutue sur les rotules la garce.
- Mais je t’avais prévenu… Tu vois que je ne t’avais pas raconté de bobards.
Deux heures après je me retrouve de nouveau la queue de Miguel bien à fond dans mon trou. Il est sur le dos au bord du lit. Je suis allongé sur lui, les jambes sur les épaules d’Armel qui essaie de me la mettre lui aussi. La manœuvre est délicate et là cela me fait vraiment mal. Je n’arrête pas de lui dire
– Non !... Les deux ensembles c’est de trop… Tu ne peux pas y parvenir… Aïe ! Arrête, s’il te plaît.
Mais Armel ne l’entend pas de cette oreille et après, je ne sais combien d’essais, sa bite est parvenu à passer la barrière et tous les deux ils me défoncent l’anus. Au bout d’un moment ce n’est plus que plaisir et voilà que pour la deuxième fois consécutive je subis un orgasme qui m’en fait hurler de plaisir. Quand ils ont pris leurs pieds et qu’enfin je me relève, je sens tous leurs spermes qui me dégoulinent le long des jambes. J’ai la tête qui tourne et je ne parviens pas à marcher droit tellement je suis fatigué. Mais je dois reconnaitre que je n’avais jamais eu autant de plaisir. C’est avec un grand sourire que je vais enfin prendre ma douche. J’en ai vraiment besoin à tel point que les premières coulées d’eau en sont plutôt de couleur jaune sombre.
Cet après-midi-là je suis entré à la maison très fatigué mais, en même temps, tout heureux de ma journée.

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