9 Jours Tranquilles À Antibes (3e Chapitre)
3e chapitre (pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents). Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
MERCREDI, 2eme jour à Antibes.
Vers 8h30, ça se réveille dans le voisinage. Cest le moment pour moi de sortir.
Je laisse Coralie dans les bras de Morphée. Je lui écris un petit mot gentil : « Quelle nuit ! Je te téléphone très bientôt. Bisous Henri. »
Je reste quelques minutes à métirer devant la tente pour permettre aux autres campeurs de bien voir que cest moi, oui, CEST MOI ( !) qui ai provoqué ces hurlements de plaisir dans la nuit !
Je suis un peu déçu du peu de réactions.
Dans mes rêves les plus fous, javais imaginé que les hommes allaient mapplaudir, mi-admiratifs, mi-jaloux. Que les femmes, les yeux mouillés de désir et les jambes tremblantes (à moins que ce ne soit linverse), feraient la queue pour essayer la mienne
Rien de tout ça
Un couple devant sa caravane me dévisage avec un air de reproche.
A coté, 3 jeunes filles qui prennent ensemble leur petit déjeuner devant leurs 3 petites tentes. Elles me regardent en riant. Voilà ce que je cherchais ! Je me dirige vers elles.
-« Bonjours mesdemoiselles. Pouvez-vous mindiquer ou se trouvent les sanitaires ? »
Lune delles me répond aimablement.
Jengage la conversation :
-« Cest la première fois que je dors sous une tente. Jai eu du mal à trouver le sommeil. Vous navez pas ce genre de problème ? »
-« On a lhabitude. Mais cette nuit, cest vrai quil y a eu du bruit, hi, hi, hi » (elles pouffent toutes les trois.
-« Jespère que ce nest pas moi qui vous ai dérangé. »
Cest toujours la même fille qui répond :
-« Ben, votre amie est un peu, euh
, expressive
»
-« Ce nest pas vraiment mon amie, cest plutôt une copine ».
-« Pourtant vous avez lair de bien vous entendre .
-« Cest une fille très sympa. Mais ce nest pas mon genre ».
-« Ah, bon ?! Et cest quoi votre genre ? »
-« Je ne sais pas
Peut-être les blondes avec laccent belge. » (Les filles sont blondes ou châtain et jai cru déceler un léger accent belge).
Elles protestent :
-« Hé ! On na pas daccent ! »
-« Mais qui a dit que je parlais de vous ? »
Les filles rient.
-Lune de vous pourrait-elle maccompagner jusquaux douches ? Jai peur de me perdre en route. Et puis on pourrait bavarder
»
La moins jolie des trois et la plus bavarde se porte volontaire.
-« Au revoir les filles. Et à bientôt jespère. »
En chemin je papote avec Clara (cest son nom). Japprends ainsi que ses 2 copines ont été très troublées par les cris de la nuit. Je lui fais comprendre que je suis disponible. Elle me dit ne pas être intéressée, car elle vient de rencontrer un garçon « très bien » (sic).
Nous échangeons nos téléphones et nous nous séparons.
Je mempresse de sortir mon calepin pour noter les informations sur les 3 belges (elles sont bien belges comme je le pensais).
-Clara : châtain clair. A déjà un copain. Grosse. Baisable sans plus.
-Carine : longs cheveux blonds, yeux gris-bleus, très très jolie. Étudiante.
-Sylvie : Blonde, cheveux courts. Pas mal du tout.
Je complète la fiche de Coralie : Sodomie, naime pas ça. Très bonne suceuse, elle avale. Clitoridienne. Mérite un deuxième service.
Il est bien sûr hors de question que je pénètre dans les sanitaires puants du camping. Je récupère mon scooter. Avant de rentrer à mon studio, je passe au supermarché acheter quelques babioles.
Je trouve la même caissière quhier. Elle me reconnaît.
-« Alors, toujours fiancée ? »
-« Hé oui. »
-« Dommage
Vous savez, je compte toujours sur vous pour me présenter une amie. Je suis seul, vous êtes daccord que ça ne peux pas durer.
Je lui redonne mes coordonnées quelle avait soi-disant perdues.
Je rentre enfin chez moi pour me laver, me raser, me reposer et grignoter.
Vers 11 h, jappelle Sarah. Elle va confier son fils à une voisine. Nous serons tranquille pour ce soir. Ça promet. Le rendez-vous est pris.
Jai mon après-midi de libre. Je songe à réitérer une activité récréative avec Gaëlle. Je mapprête à lappeler quand mon téléphone sonne.
Cest Clara, la belge boulotte, qui me propose daller à la plage avec ses 2 amies en début daprem. Elles tiennent à me connaître mieux. Ben voyons ! Mon plan « cris de jouissance » a parfaitement fonctionné.
Jaccepte avec joie.
La baignade et la bronzette, cest pas mon truc. Mais il faut savoir faire quelques sacrifices
Je prends mon déjeuner dans un café du centre ville. Je téléphone à Coralie (que ferais-je sans mon portable ?). Je prétexte une réunion de famille, je ne pourrais pas la voir aujourdhui. Elle est déçue. Jen profite pour me renseigner sur ses projets de laprès-midi. Coup de chance, elle ne va pas à la plage.
Japprends aussi quune voisine lui a fait une remarque agressive « vous devriez avoir honte mademoiselle ! Il y a des s dans ce camping ». Coralie simagine que cest le fait davoir amené un garçon dans sa tente qui lui est reproché.
Jappelle ensuite Gaëlle. Malheureusement son seul moment de libre cest justement quand je dois voir les belges. Zut, crotte, merde. Le choix est cornélien. Dun coté il y a une fille, de lautre trois. Tant pis pour Gaëlle.
A 15 heures, comme prévu, je retrouve Carine, Sylvie et Clara.
Sylvie et Clara sont en monokinis. Elles sont craquantes. Les seins de Carine sont parfaits, ronds et fermes. Ceux de Sylvie paraissent un peu misérables à coté.
Je naime pas le soleil, alors je préfère me jeter à leau tout de suite. Les filles me rejoignent.
Je chahute avec elles, je les pousse.
Et quand il sagit de sortir de leau, je suis coincé. Les filles me demande de venir avec elles.
-« Je ne peux pas. Vous mavez mis dans un tel état que ce serait indécent que je sorte ainsi. Attendez que je me calme. » Dis-je en restant accroupi dans leau.
Jessaye dêtre assez discret pour que les autres baigneurs et bronzeurs ne saperçoivent de rien.
Sylvie est beaucoup moins discrète ! Elle est déchainée :
-« On veut voir ! On veut voir ! »
Je leur dit que cest à elles de se déplacer, je refuse de bouger.
Mon sexe, comme je lai déjà dit, est plutôt imposant, il dépasse largement de mon maillot.
Clara ne participe pas à cette agitation, Son copain Kamel (un petit black musclé), vient darriver. Ils sont tous les deux occupés à s embrasser.
Sylvie se déplace et demande à voir. Je lui montre la bête.
-« Whaoo ! Cest monstrueux ! Je comprends mieux les cris de cette nuit. Viens voir Carine ! ».
Moi qui ne voulais pas me faire remarquer, me voilà le centre dintérêt de toute cette partie de la plage.
Carine refuse dabord de venir, puis elle cède à linsistance de Sylvie. Elle rougie en voyant lengin qui dépasse.
Je joue les faux modestes.
Je sais bien quune grosse bite ne procure pas plus de plaisir quune petite -puisque les femmes sont essentiellement clitoridiennes-. Mais je suis plutôt fier de mon instrument.
Jarrive enfin à me calmer. Et je peux rejoindre ma serviette sous le regard goguenard de quelques individus.
Je me rends compte que jai attrapé un coup de soleil sur les épaules. Carine se précipite pour me passer de la crème. Quel plaisir de se faire masser par une jolie fille.
Kamel et Clara nous quittent. Nous imaginons quils ont mieux à faire. Les plaisanteries fusent.
20 minutes plus tard, après une halte au café où je leur offre des rafraichissements, je raccompagne à pied ces demoiselles.
Je suis sérieux, il faut que je garde mes forces pour Sarah !
Mon histoire dhéritage me sert une nouvelle fois dexcuse. Je promets à Carine et à Sylvie de leur téléphoner demain, et de moccuper delles. Lallusion les fait rire. Deux petites connes qui frétillent, ya rien de plus excitant.
Il faut ensuite que je me retape tout le trajet pour récupérer mon scooter.
Je rentre chez moi pour me préparer. Je me lave. Je méquipe des indispensables préservatifs et lubrifiant.
Les vacances commencent bien. Je me suis déjà tapé 2 nanas. Plus une autre ce soir. Et jai en réserve les 2 petites belges !
Ça fait beaucoup. Beaucoup trop. Je ne vais pas pouvoir assurer, il va peut-être falloir que jélimine le superflu
Le diner se déroule merveilleusement bien. Le cadre est cossu, chaque table est dans un box séparé. La nourriture est raffinée. La conversation est détendue.
Nous évoquons nos vies respectives. Moi, bien sûr, je ne vais pas lui dire que je saute sur toutes les filles qui passent. Alors je minvente un passé plus calme.
Elle me parle de son mariage, de son mari qui la quittée quelques mois après la naissance de Paul. De ses débuts difficiles dans lenseignement. Je plaisante en imaginant que ses élèves doivent apprécier davoir une prof aussi bien roulée et sexy. Elle me précise quau collège elle shabille très strict et quelle est très sévère.
A dire vrai, tout cela mennuie. Je ne pense quà son cul, à sa chatte qui mouille, à tout ce que je vais lui faire tout à lheure.
A minuit 30, je la raccompagne à pied jusque chez elle. Devant la porte de son appart, je lembrasse langoureusement. Je commence à lui peloter les seins et à soulever sa robe.
Cest alors quelle me repousse. Elle maime beaucoup, mais elle ne couche pas le premier soir.
Je limplore du classique « tu ne peux pas me laisser comme ça ?! ». Mais rien à faire. Cette allumeuse me répond :
-« Tu peux bien attendre jusquà demain.»
LA SALOPE, LA SALOPE, LA SALOPE !
A son âge, elle en est encore à « je ne couche pas le premier soir, et gnagnagna .. » Jai payé 100 euros de restau, jai subit 2 heures de conversation assommantes. Pour elle jai abandonné 2 jolies filles en chaleur.
Tout ça pour rien ! La salope !
Je ne laisse rien paraître de ma rage, je la quitte en restant aimable.
JEUDI, 3e jour à Antibes
A cette heure (1 heure du mat), il est trop tard pour appeler Gaëlle ou pour recontacter Sylvie ou Carine.
Je vais essayer de me faire sucer par Coralie. Cest le genre de remède qui devrait me calmer.
Je lui téléphone. Bien sûr elle dormait. Bien sûr, elle est contente que je vienne lui faire une petite visite.
Je prends des précautions pour ne pas me faire voir par les belges (de toute évidence elles dorment).
Après quelques caresses et bisous, je fais comprendre à Coralie que je veux quelle me taille une pipe.
Elle sexécute. Et comme hier, elle avale tout. Malgré le plaisir, je prends bien garde de ne pas grogner.
Je bavarde un peu avec Coralie. Elle me raconte que 3 types du camping lont draguée, lun deux a insisté pour quelle vienne visiter la couchette de sa caravane. Elle ne comprend pas ce soudain succès auprès des garçons. Moi si
Je lui conseille de profiter de tous ces beaux mâles, je ne suis pas jaloux.
Après ce petit intermède, mon excitation est revenue et ma trique aussi. Je lui propose une sodomie douce et pleine de plaisir pas comme celle dhier-.
Rien à faire, elle refuse. Elle a encore trop mal au cul.
Tout compte fait, ça marrange. Je suis fatigué. Mais je ne suis pas un gougeât, je ne la laisse pas sans rien. Je me contente de la branler, comme hier. Son orgasme arrive très vite.
Jai hâte de retrouver mon lit douillet. Jinforme Coralie que je ne pourrais probablement pas la revoir avant son départ (vendredi). Pour amoindrir son chagrin je lui sors quelques bobards du genre :
Tu es belle, tu es sensuelle, tu trouveras dautres amants. La vie est trop courte, il faut en profiter un maximum.
Je lembrasse tendrement et je méclipse.
Je rentre chez moi, il est 5 heures !
Je suis réveillé à 11 heures par la sonnerie de mon portable. Cest Nathalie, la caissière du supermarché. Je lavais oubliée celle-là !
Elle me propose de sortir samedi soir avec son fiancé et une amie.
Ce projet lointain (dans 2 jours) me convient tout à fait.
Je note son téléphone et je raccroche.
Ça alors ! Je ne my attendais pas ! Je vais pouvoir me taper une provençale. Est-ce quelles jouissent avec laccent ??
Quel est le programme daujourdhui ?
Carine et Sylvie ? Bonne idée, mais il faut que je fasse gaffe de ne pas me faire griller par Coralie.
Gaëlle, la fan de sodo ?
En tout cas, ce soir je le réserve à Sarah, celle qui ne couche pas le premier soir.
Je vais tenter le coup avec Carine. Elle est bien plus réservée que Sylvie mais elle me plait beaucoup plus. Et puis elle a des yeux gris-bleus, si clairs quils me donnent le vertige je suis attiré irrésistiblement vers ce vide-. (Oui, je suis poète à mes heures).
Je lui téléphone. Je lui propose de venir chez moi pour samuser. Elle peut éventuellement venir avec Sylvie. Elle refuse mollement et me révèle quelle a un copain, un garçon très gentil. Et plus grave- elle est fidèle. Pas de chance pour moi. Pourquoi na-t-elle rien dit avant ? Pourquoi sest-elle laissée lutiner ? Ça devait probablement lamuser de me faire marcher.
Jessaye de la convaincre, mais je me heurte à un mur.
Je téléphone ensuite à Sarah. Je fixe un nouveau rendez-vous pour ce soir. Cette fois ce sera juste pour un verre (ça me coutera moins cher).
Jappelle maintenant Gaëlle. Je tombe sur son répondeur. Décidément, cette fille nest jamais disponible. Je raccroche sans laisser de message.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!