La Cérémonie

Les gens sont groupés comme des adorateurs devant la table. Un pontife, ou similaire, exécute un drôle de rituel sur le corps de la jeune femme nue allongée sur la table devant lui. On dirait une messe noire ou alors la mise en scène d’un spectacle porno. Le public est mixte, les femmes sont toutes nues, sinon largement exposées. Les hommes portent une cape ouvertes devant, on peut voir les attributs de leur sexe, certains au repos d’autre carrément en érection, la plus part des derniers sont l’objet de caresses ou de masturbation donnée par de jeunes femmes, qui font le tour de l’assistance pour apporter le secours de leur mains charitables. Si une femme en a besoin, elle aussi est satisfaite par un jeune éphèbe. Elle a le choix entre une masturbation ou un cunnilingus léger.
Réunis dans un endroit réservés, les hommes qui préfèrent les hommes ont aussi à leur disposition des jeunes qui selon le cas leur donnent leur cul ou au contraire les enculent.
Les participants peuvent se masturber sans problème.
La pièce, malgré sa grandeur est rempli d’odeurs de sexes, de spermes et de cyprine.
Il ne s’agit pas d’une nouvelle religion, il s’agit d’un jeu mensuel pour lequel s les participants payent de véritables fortunes. Le vrai spectacle commence quand tout le monde attendu est là.
La jeune femme nue sur la table lève le bras dans un geste de demande, arrivent alors les vrais maîtres du jeu : des couples formés de femmes particulièrement sexy, choisies par l’organisateur parmi des volontaires qui se pressent toujours pour participer à ce genre de partouze, et d’hommes presque tous muni d’organes particulièrement développés : pas des phénomènes, simplement plus gâtés par la nature que d'autres.
Ces couples plus un hommes sont là pour montrer leur virtuosité en baise. L’homme en plus est destiné à la jeune femme de la table.
La grand messe commence au moment où cette femmes embrasse son futur amant qu’elle ne connait pas encore.

Les spectateurs peuvent voir le sexe enfler avant qu’elle le prenne dans sa main. Quand il est bien bandé, la fille se retourne pour qu’il trouve sa place entre ses fesses. Les mains de cet homme savent bien ce qu’elles font quand il lui pétrit les seins. La fille commence à fermer les yeux alors que jusqu’à présent elle regardait le public avec fierté. On peut la voir bouger ses fesses et on devine au visage de son amant qu’il n’est pas insensible à cette caresse. Finalement il la fait se mettre pliée pour pouvoir la baiser. C’est elle qui prend la bite pour la mettre elle-même dans son sexe. Le couple a des mouvements rythmés qui font balancer les seins. Ils atteignent vite le point de non retour: ils jouissent : lui sort de sa chatte pour jouir en direction des « fidèles ». Tout le monde suit le long jet de sperme, il dure un bon moment quand la fille le prend dans la bouche. Les autres couples à ce moment là seulement peuvent baiser. Les bites sont tendues depuis longtemps, même si personne ne peut toucher un autre. Chacun baise l’autre selon le gout commun. La plupart restent debout, pour bien être vu. Certains se couchent pour leur aises, d’autres préfèrent exécuter des 69. En gros chacun est libre à condition d’en jouir.
Petit à petit les « fidèles » commencent à céder à la tentation. Des couples ou des groupes se forment dans une partouze géante qui va durer jusqu’à l’aube.
Je suis au milieu de cette assemblée, invité incognito pour faire un reportage sur ce genre de lieu.
Je me dis que j’aurai tord de ne pas profiter de ma présence pour me payer une ou deux filles ou femme, même mure, j’en ai repéré une vers 40 ans, qui semble avoir de bons arguments de baises : pas une grosse poitrine, elle serait même un peu à la traine d’autres, par contre un cul qui m’attire beaucoup. Elle a fait appel deux fois à un jeune pour se faire masturber et sucer un autre fois.
Elle me semble plus que chaude. Je vais carrément lui demande de baiser avec moi.
Elle sourit, regarde surtout ma bite encore à moitié au repos ( le début de mon érection a commencé dès que la jeune prêtresse s’est faite mettre). Je lui plais alors, allons y : des dizaines de sofas sont dans cet espèce de hangar. C’est elle habituée des lieux certainement qui me guide.
- Ici nous seront bien, en vue, je que j’aime.
- Nous seront dérangés sans doute.
- Bien sur je n’en doute pas, c’est le sel de ce genre de réunions.
- Vous, pardon, tu viens souvent ?
- A chaque fois que je peux, j’ai loupé la dernière quand j’ai perdu mon mari.
- Il est mort ?
- Non, bien sur il est parti avec une jeune qui baise certainement moins bien que moi.
- Tu n’as pas voulue le retenir ?
- Non, il ne baise pas très bien, c’est à cause de ça que je suis là pour me faire mettre par tous les trous et par des gens d’expérience, même s’il le faut me faire mettre par un homo, au moins il sait enculer. Tu aimes enculer les femmes?
- Avec les femmes, j’aime les sucer, les baiser, les enculer, les prendre à deux avec un autre homme ou même me farcir deux nanas à la fois, je suis capable de le faire d’ici ce matin.
Je me vante un peu, c’est vrai que j’arrive à des baises rares. J’impressionne ma fiancée. Elle se couche, m’entraine avec elle, je tombe sur elle nous nous embrassons, je comprends ce qu’est une femme chaude dans sa bouche, sa langue donnerai envie de bander à un mort. Je m’attarde à peine dans sa bouche, j’ai à faire sur ses seins qui m’attirent depuis le début. Ils sont déjà durcis, les pointes saillent comme des pics. J’en mordille un avant de le sucer. Un délice avec un gout inconnu : c’est son parfum que je retrouverai sur ses aines. C’est agréable. Elle ne reste pas immobile, elle me caresse la poitrine avant que je la sente sur mon bas ventre car elle cherche déjà ma bite. Elle se couche sur moi, prend ma bite dans sa bouche et entame une fellation rare. Elle fait descendre le prépuce avec ses lèvres, lèche le gland avant de l’avaler.
Ma bite semble disparaitre au fond de sa bouche. Ses mains ne sont même pas venues sur ma pine. Je sens Le bien être m’envahir, elle poursuit jusqu’à ce que j’éclate, mon sperme s’égare dans sa bouche. Je la regarde, elle semble avoir découvert un mets extra, je le vois déguster à petites bouchées tout mon sperme. Le reste elle le garde pour venir le partager avec moi. Elle n’est pas la première à faire ce genre de folie, j’aime aussi ma semence, même quand je me branle j’en garde toujours un peu pour moi. Elle vient s’assoir sur moi pour me donner sa chatte à bouffer. Je lui tond le gazon à son avantage,son clitoris ne fait pas un pli devant ma langue. J’ignore son con pour sauter directement sur son anus, j’adore lécher le cul des femmes. J’adore surtout entrer la langue. J’aime bien sentir leurs spasmes autour de la langue.
Les préambules sont terminés, je me met sur elle. Elle écarte les jambes plus que largement. Son sexe suinte de cyprine. Au moins je n’aurais aucune peine à la lui mettre. C’est elle qui assoiffée de bite se donne carrément à moi. J’entre dans son sexe chaud et humide. J’y suis au fond, nous restons un instant pour bien profiter du sexe de l’autre quand j’entame mes vas et viens. Elle fit des han à chaque pénétration. J’arrive à passer une main sous ses fesses. J’y plonge deux doigts dans le cul. Je les met le plus profond possible, ça doit l’exciter car elle s’agite de plus en plus, surtout avant ses orgasmes qui sont nombreux. C’est avec plaisir que je jouis au bout d’un long moment en même temps qu’elle.
Je sors de son con trempé. Je ne fais que changer d’orifice pour me trouver déjà devant un cul ouvert capable d’avaler bien plus gros que moi. J’allais la sodomiser quand elle refuse de se faire mettre pour regarder les spectacles divers des couples ou groupes autour de nous et sur scène où carrément le groupe de « prêtres » termine une partouze hors du commun. Ils sont sur un seule ligne : la première couchée sur le dos, est sucée par un homme qui lui-même est léché par une femme sur le ventre qui a dans la bouche un énorme sexe……… jusqu’au dernier qui se masturbe.
Le spectacle est hallucinant. Avec ma compagne nous ne pouvons faire autrement que nous branler et jouir devant ces derniers sursauts d’acolytes en peine d’aller plus loin.
Je reviens à son cul. Cette fois je ne veux pas me laisser distraire, je suis à l’entrée un peu séchée depuis tout à l’heure. Tant pis pour elle. Je la force un peu pour ouvrir son anus. Quand je suis dans son cul j’entre au fond. Je sens mes couilles sur ses fesses, elle recommence ces han.
C’est elle qui accélère pour jouir encore et encore. A la fin ma bite crache ce qu’elle possède de reste de sperme. Je regrette d’en avoir fini, j’aurai volontiers continué, elle aussi je le sens.
Pourtant le jour se lève nous devons partir. Nous partons ensemble, elle m’emmène chez elle. Nous dormons un peu et recommençons notre baise, cette fois accompagné par ses godes. Elle me convainc même d’accepter un de ses compagnons dans mon cul pendant que je la baise.
Nous nous voyons régulièrement, je ne le regrette jamais, pas plus qu’elle, nous sommes fait l’un et l’autre pour baiser ensemble.
J’ai eu un ennui avec la rédaction de mon journal : l’article a été jugé trop hot, il n’a jamais été publié. Par contre tous les frais ont été remboursés.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!