L'Instit
De longs cheveux de jais passant par-dessus les épaules, un silhouette frêle, une robe noire fermée par devant, à mi cuisses, des chaussures plates, un visage dun ovale parfait, voilà la vision que jai en la voyant sapprocher de la station de bus où je suis assis. Jespère quelle va faire comme moi, monter dans le car. Bingo !!!! Le bus est là, elle veux y monter, je la suis, nous nous asseyons à coté, elle doit faire la gueule. De toute façon je navais pas dautre place libre.
Enfin elle parle :
- Vous connaissez la ville ?
- Je crois, oui.
Vous pourriez mindiquer où est la gare ?
- Bien
- Oui, jattends mon jeune frère qui vient passer des vacances chez moi.
- Chez vous, je ne vous connais pas encore, pourtant dans notre bled nous ne sommes que 150 habitants.
- Je ne suis ici que depuis 15 jours. Mes parents ont acheté la maison des m***. Vous devez connaitre.
- Bien sur. Et si vous avez besoins de quoi que ce soit, nhésitez pas, nous sommes presque voisins. Jhabite la maison blanche en dessous de chez vous. Tenez voilà la gare.
Je la laisse descendre, je descends derrière elle pour prendre le bus qui me remmène.
Ouf je sais où elle réside, quelle a des parents et un jeunes frère. Zut, jai oublié de lui demande comment elle sappelait. Nous sommes voisins, je le saurais. De toute façon je me fous de son nom, cest plutôt son corps qui mintéresse.
Il se fait tard quand elle frappe à ma porte. Toujours nickel, elle est aussi belle.
- Excusez moi, jai oublié dacheter du café, vous ne pourriez pas me dépanner pour demain matin.
- Entrez, je ne peux que vous proposer du lyophilisé.
- Ca ira, jirai en acheter demain à lépicerie du village.
Entrez pour voir la télé, je suppose que vous ne lavez pas encore installée.
- Cest vrai, avec plaisir.
Ouf, elle entre chez moi.
- Votre frère ?.
- A son âge on dort vite, il dort depuis un bon moment.
Elle me suis vers le séjour. Cest lheure des infos régionales. Pas palpitant, palpitant, avec les éternelles querelles de fermetures de classes.
- Cest scandaleux, me dit la voisine.
- Pourquoi ?
- Je suis instit, pardon professeur des écoles, ici.
Ne me dites pas que vous avez lâge dêtre instit.
- Si, je lai. Vous me donniez combien ?
- Je dois être francs ou convenable ?
- Franc.
- Pour moi, lun ou lautre, vous devez avoir 22, 23 ans.
- Cest gentil de me rajeunir mais jai 28 ans.
Je reste sans voix, une telle nana ne peut pas avoir plus de mettons 25 ans.
- Et en plus jai menti, ce nest pas mon, frère, cest mon fils. Je lai eu à 16 ans seulement à la suite dun erreur.
- Si l'erreur était agréable, pourquoi pas.
- Elle était agréable.
- Et depuis ?
- Plus rien aucun rapport, nada
..
- Cest dommage vous me plaisez énormément.
- Ne dites pas de bêtise.
- Parce que je ne vous plais pas ?
- Je nai pas dit ça, au contraire vous me plaisez bien et vous êtes gentil.
- Il y a longtemps quune jeune et jolie femme ne ma fait un tel compliment.
- Je vais être obligée de rentrer, je commence demain matin. Vous ne voulez pas assister à mes cours ?
- Je sais lire, écrire, compter, embrasser les demoiselles instits perdues.
Je me lance, je vais vers elle, la prend dans les bras et lembrasse. Elle ne devait attendre que ma bouche. En tout cas, si ce quelle dit est vrai
quelle n a eu aucun contact avec un hommes depuis longtemps, elle na pas perdu la faculté dembrasser et bien en plus. Nous cessons 3 secondes pour reprendre notre souffle, nous renversons nos visages pour changer de position. A nouveau nos langues entrent en action. Elle se serra contre moi :
- Jai envie de toi. Dit-elle.
- Moi aussi.
- Baise moi.
- Et pour demain ?
- Pour demain je serai en pleine forme, au contraire !
Jagit comme avec une jeune mariée, je la prends dans mes bras pour la porter sur mon lit.
Je la déshabille lentement, cest vite fait, des boutons à défaire, un robe à ouvrir et une simple soutien gorge et slip à ôter. Elle apparait comme une vision céleste. Elle membrasse encore et commence à me dévêtir, il ne me reste que le slip bien déformé par la trique : je bande comme un âne.
Elle ne perd pas de temps, elle sort ma bite, saccroupi pour me prendre dans la bouche. Elle ne fait rien dextraordinaire. Ma bite doit être la seule à avoir franchi le seuil de ses lèvres.
Je me passerai pour le moment de fellation. Elle ne se passera pas de ma langue. Je la couche sur le bord du lit, elle sait ce que je vais faire, elle écarte bien ses jambes, je mincline à linvitation et à son désir. Je ne la connais pas du tout, jignore tout de ses réactions, alors je commence à passer un grand coup de langue depuis lanus jusquau clitoris. Puis, détaille en commençant par le haut : son bouton. Cest drôle de sucer ce petit organe, qui donne tant de plaisir aux femmes. Cestsympa de lécher une femme en sachant quon lui fait du bien, surtout un bien sexuel. Bien sur elle gémit sans arrêt. Je mobstine à garder ma langue sur elle. Quand prise sans doute par une folie de jouissance, elle me prend la tête :
- Oui, oui, continu, cest trop bon, que cest bon. Cest meilleur que ma main. Elle se crispe pour jouir, elle est tendue jusquau moment où elle na plus dorgasme.
Delle même elle se couche, me demande encore une fois de la baiser. Je vais entre ses jambes ouvertes. Ma bite plus que bandée est sur lentrée de son sexe. Jhésite comme si elle était pucelle.
- Baise moi.
Jentre dans son antre de bonheur. Cest mouillé et chaud. Elle me semble plus douce que toutes celles que jai connues. Non seulement elle est douce, mais en plus elle participe largement. Nos pubis sentrechoquent régulièrement au gré des vas et vient.
Si elle aime la sodomie, pourquoi pas ? Je vais lenculer. Je sens qu elle se mouille largement lanus, prend ma bite et la pose sur elle. Je sens une main sur son clitoris, elle va se branler certainement.
Jentre lentement dans lanus. Trop lentement sans doute, mais juste pour que je profite de son entrée resserrée. Lentement je la lui met au fond du cul. Elle jouit je ne sais combien de fois. Elle ne gémit plus elle hurle ses orgasmes.
Nous nous écroulons, elle sur le lit et moi sur elle, jai ma queue encore à la limite de ses fesses.
Avec ses airs de fille sage, sans doute dinstit sévère, elle est une amante qui dans quelques jours sera complètement débridée et elle nattend que ça :
- Tu mapprendras tout en baise. Jai bien aimé quand nous nous sommes baisés. Et joubliais : tu mas bien faite jouir du cul.
Je reviendrai ce soir, quand mon fil sera couché. Je tai menti la maison est à moi. Mes parents ne viennent pas, tu pourras venir quand tu veux. A propos je mappelle Laure.
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