La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1432)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1428) -
Je me sentais heureuse davoir été tant utilisée lors de cette soirée orgiaque. Je m'installais alors dans la baignoire. C'était tellement agréable de pouvoir profiter d'un bon bain chaud, de ce moment unique offert de détente, après cette soirée très chargée... Après une trentaine de minutes, j'entendis les pas de Walter entrer dans la pièce. Le Majordome sapprocha :
- chienne Maera MDE, j'espère que tu as pu profiter de ce bain, de ce moment exceptionnel qui t'a été offert en ce Château. Tu t'es très bien comportée, c'est pourquoi Monsieur le Marquis a décidé de t'offrir une nuit de repos. Demain de nouvelles sollicitations tattendent, c'est pourquoi il faut que tu sois bien reposée. Bref, suis-moi à quatre pattes vers une chambre où tu dormiras pour cette nuit, me dit le Majordome.
Je sortis du bain, m'essuyais rapidement, remis mon collier et ma laisse puis je me mis en quadrupédie et attendis. Walter saisit ma laisse et tira d'un coup sec pour m'obliger à le suivre. Nous traversâmes un dédale de couloirs et d'escaliers. Après quelques instants, nous arrivâmes à hauteur d'une des nombreuses chambres du Château. Je rentrais dans lune delle, à la suite de Walter. Cette luxueuse chambre était identique aux autres : Il y avait un lit installé au milieu, une salle de bain attenante mais aussi un grand panier en osier avec une couverture à l'intérieur ainsi qu'un mini-matelas. Une fois la porte refermée, le Majordome me dit avec autorité :
- Chienne Maera MDE, tu as le droit à une nuit de repos mais tu vas dormir dans le panier en osier comme une bonne chienne soumise parfaitement animalisée. Sache que toutes les pièces du Château sont filmées et que toute désobéissance sera punie par le Maître qui peut à tout moment visualiser ces images. Je compte sur toi pour ne pas Le décevoir et mériter la confiance qu'Il a bien daigné placer en toi.
Je progressais à quatre pattes et me mis en position ftale dans le panier en osier, puis m'endormis assez rapidement contente de pouvoir me reposer selon les exigences du Maître. Ce panier me faisait pleinement ressortir ma bestialité, mon côté de chienne animalisée... Je me réveillais après une bonne nuit de sommeil à la lueur du jour traversant les hautes fenêtres de la chambre. Jattendis sagement un long moment quand le Majordome rentra dans la chambre puis claqua des doigts. Je sortis alors du panier et me mis rapidement à quatre pattes à ses pieds en attendant silencieusement. Walter se saisir de ma laisse :
- J'espère que tu as passé une bonne nuit. Tu vas aller prendre ton petit déjeuner dans la grande salle du réfectoire des cuisines, avec tes autres frères et surs de soumission. Alors suis-moi la chienne
Je le suivis ainsi la tête baissée comme un bon toutou bien obéissant avec humilité à une allure soutenue, pressant ma cadence à quatre pattes pour ne pas prendre de retard. Nous arrivâmes dans la grande salle du réfectoire et contre un mur, au sol, une bouillie calorifique, nourrissante était disposée dans un bol qui mattendait. Je la mangeais en lapant avec ma langue de salope tout en faisant attention de ne pas en laisser la moindre trace. J'eus fini rapidement de manger puis j'attendis un petit temps ainsi au milieu de la pièce, restant silencieuse et immobile, toujours dans la même position. Quand Walter, dune poigne ferme, se saisit de ma laisse puis m'emmena à sa suite jusquau bureau du Maître, puis il me laissa seule avec Lui... Monsieur le Marquis assit dans son fauteuil en cuir me fit un signe de la main comme pour l'ordonnée de venir à Ses nobles Pieds dans un total silence. Je venais avec plaisir et félicité à Ses Pieds dans une évolution que je souhaitais purement féline à quatre pattes
Le Maître prit la parole avec un ton satisfait :
- Ma bonne petite chienne salope, je suis fier de toi et de ton comportement de bonne pute à Mes pieds.
Après quelques instants, nous arrivâmes devant une impressionnante porte en bois massif du Donjon. Monsieur le Marquis me fit entrer et referma la porte. Japerçus de suite une très large table équipée dun haut poteau à chaque angle. Puis Il me regarda avec intensité et d'une voix doucereuse, me dit :
- Ma bonne salope, tu es à Moi. Allonge-toi sur cette très large table mais sur le ventre pour commencer, et écarte tes jambes et elles ne risquent pas dêtre dans le vide tellement la largeur du plateau de cette table est spacieuse
Je mexécutais prestement, sentant une excitation dans mon bas-ventre. Le désir montait et je me sentais bien. Il commença à me masser les épaules, les reins, mes fesses, remontait et recommençait lentement. Ses gestes étaient à la fois fermes et plein de douceur. Tout en me caressant, le Maître se pencha pour embrasser ma nuque, mon dos
. Il remonta son visage pour me mordiller le lobe de mon oreille et en profitait pour membrasser avec passion et sensualité. Le Noble commença à toucher mes fesses dune main baladeuse. Ses doigts coururent sur mes jambes. Il se remit à membrasser, et ce traitement me fit ressentir énormément dexcitation grandissante... Ensuite Ses doigts vinrent caresser mon entrejambe, il descendit Son visage pour me lécher la raie de mon cul tout en mécartant mes fesses de Ses mains. Jen étais fortement excitée. Il me fouilla lentrecuisse, doigta mon sexe et y trouve de lhumidité
Puis le Châtelain exigea que je me retourne afin de me retrouver couchée sur le dos. Il sortit de sa poche deux paires de menottes. Avec assurance, il membrassa à pleine bouche, nos langues sentremêlant avec sensualité tout en menottant mes poignets dune seule paire à chacun deux, laissant ainsi la liberté de mouvement de mes poignets, naccrochant rien à lautre extrémité de chaque paire de menottes.
- Tu es ma chose. Tu devras rester silencieuse et surtout ne rien exprimer, pas même ton plaisir. Aucun cri, aucun gémissement ne seront permis. Et si tu me désobéis, tu seras punie. Je vais te faire tout ce que jai envie de te faire, Ma salope de chienne
Ensuite, le Maître grimpa sur le plateau de la table pour me chevaucher, une jambe de chaque côté de mon corps nu, pour me relever mes bras. Le Noble accrocha alors lautre extrémité de chaque menotte à chacun des poteaux dans les deux angles de la table au niveau de ma tête, de manière à me retrouver les bras écartés et poignets menottés à chaque poteau. Ensuite, il me positionna un foulard noir en soie sur mes yeux. Allongée sur le dos, je me sentais très excitée quand Il sallongea sur moi pour membrasser de nouveau prenant possession de ma bouche. Il me mordilla les lèvres quand je commençais à sentir Ses doigts entrer dans ma chatte trempée. Disciplinée, je me laisse aller au plaisir offert par Ses nobles doigts
Le Maître descendit ensuite légèrement Sa tête pour venir membrasser mes seins et me mordiller longuement mes tétons dressés. Je commençais à gémir, alors Il sarrêta net pour me rappeler à lordre :
- Reste silencieuse. Je ne le redirais pas deux fois
Après la séance, tu devras Me supplier de te punir pour ces petits gémissements
Sans un mot de plus, Monsieur le Marquis descendit de plus en plus Son visage pour finir par me lécher goulument mon sexe coulant de cyprine. Sa langue se tortilla délicieusement entre mon clitoris et mes lèvres intimes, et je ne pus plus contenir mon plaisir. Je gémissais discrètement malgré moi, et il ne sarrêta pas. Je gémissais un peu plus car je ne pouvais pas retenir ce flux dexcitation qui me remontait sur toute mon échine. Et Ses baisers rajoutés à Ses aspirations de mon clito entre Ses lèvres buccales, ses léchages de mes lèvres intimes et fouillage avec Ses doigts dans mon vagin, entre mes jambes allaient de plus en plus vite.
- Javais exigé que tu restes silencieuse. Tu ne mas pas obéi. Je vais devoir te punir pour récidive puisque cest la deuxième fois que je constate ton manque dobéissance
Mais nous verrons cela plus tard. Et u sais ce que tu devras Me supplier de faire
A nouveau, le Châtelain sallongea sur moi et me bâillonna fermement la bouche et recommença le même traitement excitant sur ma chatte. Ensuite, après un long moment, Il me retourna. Je me retrouvais donc allongée sur le ventre, toujours attachée des poignets menottés. Il me mit alors une première fessée sur mon cul arrondi. Cest davantage le geste, que la douleur en elle-même qui me fit frémir et mexcita encore plus. La deuxième fessée était plus soutenue, et je ressentis une douleur frissonnante qui me chauffait la peau qui devait commencer à rougir. Mon excitation grandit au rythme des fessées qui senchaînaient sans modération et me firent mouiller plus que raison
Malgré cela, je parvins à me retenir de gémir, docile et soumise
Le Noble me retourna de nouveau sur le dos, comme une crêpe, et inséra encore une fois Ses doigts en moi, tout en membrassant avec une langue pénétrant dans ma bouche afin de linvestir sans modération, afin de prendre possession de celle-ci. Javais toujours les yeux bandés et Ses baisers dominants avaient un goût très agréable. Je pus aussi réellement me concentrer sur Ses caresses de plus en plus cadencées sur un de mes seins quil prit dans le creux de Sa main, et sur ma fesse endolorie quil saisit fermement
Monsieur le Marquis se retira de la table au bout dun long temps, jétais nue, bâillonnée, yeux bandés et menottée, les bras écartés sur cette table et au bord de lexplosion jouissive, en cette position couchée sur le dos et les cuisses largement écartées aussi
Jentendis quIl se déshabillait, pour venir ensuite sallonger de nouveau sur moi pour venir me prendre ma chatte trempée sans autre préliminaire. Je compris donc que tout ce quIl me fit subir devait lavoir fait bander fortement car je sentis Sa grosse Verge si dur en moi me pilonner sans modération
. Là, jeus véritablement du mal à me retenir de crier de plaisirs à me senti labourée, besognée, baisée ainsi
. Jétais au paroxysme de lexcitation, mais je ne pus lexprimer. Jamais je neus ressenti autant de volupté... Mais il ne se vida pas en moi quand Il décida darrêter de me prendre la chatte en retirant Son Vit dressé
Tout mon corps était tendu, mes bras engourdis par mes poignets menottés, mes poings serrés et mes orteils crispés. Tous mes sens furent en éveil. Ses grandes mains se levèrent de mon corps, je ne sentis plus Ses exquises caresses et jentendis que les choses saffairèrent au-dessus de ma tête
. Yeux bandés, je ne voyais toujours pas ce quil se passait, mais je sentis aisément les menottes qui liaient mes poignets se déverrouiller quand Il détacha les deux paires de menottes des poteaux. Enfin libérée, javais désormais les bras le long de mon corps
Le Maître écarta ensuite encore plus mes jambes et replia mes genoux, je me retrouvais donc avec les chevilles au niveau de mes poignets. Ma main droite, celle qui est toujours ornée des menottes, se retrouva attachée à ma cheville droite. La deuxième paire de menottes vint terminer le travail avec la même chose sur la partie gauche. Et je le sentis à nouveau en moi, Son sexe rentrant dans le mien comme dans du beurre et profondément à me besogner par Ses coups de reins
Ses va-et-vient étaient de plus en plus rapprochés et saccadés alors que jétais complètement à Sa merci. Et au fond de moi-même, je me sentais nêtre quun simple trou à remplir, quune chose, quun vide-couilles, ce qui mexcitait encore davantage
Jétais en train de bouillonner de désir jouissif encore plus fortement que précédemment. Je le sentais en moi, très excité lui aussi, et je me mordais les lèvres, sous mon bâillon, pour ne laisser séchapper aucun cri
Javais envie de le toucher, mais je ne pouvais pas. Javais envie de lembrasser, mais je ne pouvais le faire que si Lui le décidait... Après de très longues et délicieuses minutes dun supplice exquis, à me faire labourer ainsi, il se mit à éjaculer au fond de ma chatte lâchant un flot abondant de sperme dans des râles de mâle en rut
De mon côté je fus contrainte à me retenir de jouir et ce qui fut le plus difficile
Il resta un long moment en moi en coït vaginal dans une étreinte torride quand Il se retira
Il décida ensuite de me détacher les menottes, dôter le bâillon de ma bouche et le bandeau de mes yeux
Il exigea que je massoie sur la table. Puis Monsieur le Marquis sortit dune grande armoire, tout un lot de cordes pour commencer le shibari
(A suivre
)
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