9 Jours Tranquilles À Antibes. 4e Chapitre.
(pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
A midi 30, je viens juste de sortir de la douche quand mon portable sonne. Cest peut-être Gaëlle
Non, cest Sylvie.
Carine ne vient pas, mais elle, elle est daccord. Je lui donne mon adresse et lui explique comment venir.
Youpi ! Elle arrive dans une heure. Moi qui commençais à croire que mon après-midi était foutue.
Elle a bien compris ce qui lattendait. Elle nest pas surprise, quà peine arrivée je me jette sur elle.
Une fois nus tous les deux, elle me fait une fellation plutôt maladroite. Je larrête et je propose :
-« On peut peut-être passer à autre chose ? »
Sylvie, blottie contre moi, aimerait savoir ce que jai fait à leur voisine du camping pour provoquer de tels orgasmes. La curieuse !
Je fais semblant dêtre gêné :
-« Ben on a fait plusieurs trucs, mais ça membête de te dire ce qui la faite prendre son pied, je voudrais pas que tu pense que cest une salope. »
-« Allez, dis-le moi. »
Jarrange un peu la vérité :
-« Ben, elle a voulu que je lencule
» « Tu es choquée ? » (Elle a lair troublé).
-« Non, non, cest juste que je suis surprise
»
-« Tu ne vas pas me faire croire que tu naimes pas la sodomie
»
Je sais bien que la plupart des filles naiment pas ça. Je sais aussi quelles nosent pas lavouer de peur de passer pour des pucelles coincées.
-« Ben, parfois jaime bien. » Elle se reprend vite, car elle a compris ce quelle risque. « Mais je ne le fais quavec des garçons que je connais bien. »
-« On se connais déjà pas mal tous les deux. Nest-ce pas ? » Dis-je en riant.
-Non, non. Tu es bête ! »
Jessaye de la faire changer davis. Jai fait la démonstration que jétais un expert, elle peut donc me faire confiance
Rien à faire, cest « niet » !
Puisque je nai pas droit à son cul, je moccupe de sa chatte entièrement épilée.
En bon gentleman, jattends quelle jouisse pour y aller aussi. Rien de fabuleux dans tout ça
Après cette séance, je lui demande de me raconter sa vie intime et celles de ses copines.
Japprends ainsi que Clara est très attirée par les blacks. Elle est allée 2 fois en Martinique et cétait pas pour bronzer.
Carine est très sage. Elle na connu quun seul homme. Il sappelle Pierre, il est gentil et sympa. Ils se voient tous les week-end. En ce moment il travaille et il doit venir les rejoindre mardi prochain.
Sur elle-même, japprends quelle a eu pas mal daventures. Elle simagine être une femme libérée. Elle profite de la vie comme elle vient. Elle prend son plaisir sans rien attendre en retours, sans remord et sans jalousie. Elle ne fait aucune difficulté pour me raconter ses diverses aventures sexuelles. Une seule est un peu hors norme : elle a couché avec deux garçons. Cette expérience lui a laissé de très bons souvenirs, sauf lépisode de la double pénétration qui fut raté (douleur, mec qui narrivait pas à rester en place probablement une bite trop petite-).
Ce quelle ma dit sur Carine me donne encore plus envie de men occuper. Réussir à me taper une fille sage et fidèle, cest un exploit qui est dans mes cordes.
Puisque Sylvie nest pas jalouse, ya pas de raison que ça la gène que jessaye de me faire sa copine.
Je parle à Sylvie de mes intentions.
-« tas aucune chance avec elle. » Me dit-elle.
-« On peut toujours essayer. Si tu maides à la chauffer, je te donnerais une récompense. »
-« Laquelle ? »
-« Je te ferais bien jouir. »
-« Tes vraiment un salaud. » Ça, ça veut dire quelle est daccord.
Jaurais probablement pu remettre le couvert, mais je veux garder des munitions pour ce soir.
Il fait très chaud, je me lève, jaugmente la clim, je vais prendre une petite douche.
En revenant je demande à Sylvie si je peux la prendre en photo. Elle est si jolie ainsi nue sur les draps blancs (ces flatteries ne servent quà la faire céder).
Elle me fait promettre de ne jamais les montrer et elle accepte. Elle va même jusquà prendre des poses très osées.
La prochaine fois il faudra que je prépare mon caméscope pour filmer nos ébats. Ce sera encore mieux.
Je la laisse partir avec la promesse quelle fera ma publicité auprès de Carine.
Dans mon calepin je note :
Pipe : moyen. Baise : moyen. Sodo : refuse pour le moment. Décidément, tout ça nest pas brillant. Si je navais pas besoin delle pour appâter Carine, je crois bien que je laurais laissée tomber.
Je complète les fiches de Clara et Carine avec ce que jai appris sur elles.
Sur mon portable (que javais éteint) il y a un message de Gaëlle tiens elle se souvient de moi- :
-« Salut Henri. Cest Gaëlle. Jespère que tu tamuses bien. Pour moi ça se passe très bien, si tu vois ce que je veux dire. Jespère te revoir bientôt. Bisou. »
Bon sang ! Elle me dit ça pour mexciter ou pour me rendre jaloux ? Il faut absolument que je trouve un moment pour la voir ! Pour aujourdhui cest .
Je la rappelle. Comme dhab, je tombe sur sa messagerie. Je laisse un mot gentil « tu me manque, jai très envie de toi» (cest vrai que jai très envie de la revoir !).
Je me prépare pour mon rendez-vous du soir.
Je retrouve Sarah à lheure convenue. Elle est sublime. Habillée dune robe moulante encore plus sexy que celle dhier. Jen oublie la rancoeur que javais.
La soirée est délicieuse dans ce piano-bar. Nous parlons de tout et de rien comme de vrais amis. Seul bémol, elle ne veut pas aborder les questions sexuelles.
Vers 11h30, je la raccompagne chez elle. Elle minvite cette fois à rentrer et mamène dans sa chambre.
Je lui retire sa robe et fait apparaitre ses sous-vêtements en dentelle noire.
Je malaxe sa poitrine opulente. Je dirige ma main vers son slip, je lécarte et je mattaque à son sexe épilé.
Avec application je lui tripote la chatte. Je tente denfoncer un doigt dans son vagin. Jai juste le temps de constater quil est trempé, car elle marrête.
Elle me fait basculer, ouvre ma braguette et en extirpe ma queue.
Elle reste un instant ébahie, en admiration devant le morceau !
Contrairement à mes espérances, elle ne fait que me branler. Je lui demande dy mettre la bouche. Elle refuse poliment. Je propose de la pénétrer. Elle refuse !
CEN EST TROP !
Je lui demande des explications.
-« Il faut dabord que je te connaisse mieux
»
Jéclate !
« Ecoutes, moi je ne peux pas attendre. »
« Le premier soir cest juste un baiser. Le second cest une branlette. Si jai de la chance le troisième soir jaurais droit à une fellation. Et ainsi de suite. A ce rythme-là, à la fin de mes vacances je ne taurais toujours pas baisée ! » « Toi, comme moi nous devons assumer nos désirs. Si tu ne moffres pas ce que je veux il est inutile de se revoir. Cest toi qui décides. Si tu veux me revoir, tu me téléphones. »
Je rajuste mon pantalon et je pars, sans lui laisser le temps de réagir.
La balle est maintenant dans son camp.
Je suis trop énervé pour aller voir une autre fille. Je risquerais dêtre violent.
Je rentre chez moi.
En chemin, jespère que Sarah va me téléphoner pour me supplier de revenir la prendre. Mais rien. Va-t-elle réaliser que son comportement de midinette est ridicule ?
Pour me détendre je fais un peu de bricolage. Jinstalle mon mini-caméscope de manière à ce quil filme bien le lit, sans être visible. Les filles refusent dêtre filmées et lorsquelles acceptent, elles ne sont plus naturelles.
Je trouve une bonne cachette dans ma valise que je place sur la table en face du lit. Je la maintiens entrouverte. Ainsi cest parfait, il me suffira de mettre lappareil en route avant que ma victime arrive.
Je mendors enfin.
VENDREDI, 4e jour à Antibes
Je me réveille en pleine forme. Je bande comme un cerf. Pour un peu, je me serais branlé
Quel est le programme daujourdhui ?
Je rallume mon portable. Il y a un SMS de Coralie. Elle souhaite que je la rappelle.
A peine jai fini de le lire, la sonnerie retentit. Cest Coralie elle insiste celle-là-.
Elle part aujourdhui, elle veut me dire au revoir. Après tout, pourquoi pas. Ça me permettra de tester mon installation cinématographique. Je lui dis de passer.
Elle arrive essoufflée et transpirante. Elle sest tapée 2 kilomètres à pied pour venir et avec son sac à dos !
Elle na plus que 15 minutes de libre si elle ne veut pas rater son car.
Cest suffisant pour sa « spécialité ».
Je sors ma queue et elle se met au travail. Cest génial, comme à chaque fois. Et, bien sur, elle avale tout et me nettoie avec sa langue.
En galant homme, je lemmène jusquà son car avec mon scooter. Je ne fais que la déposer, les effusions et les adieux me débectent.
De retours chez moi, je vais voir si la caméra a bien fonctionnée. Cest juste un essai, ce film-là je ne le montrerais pas aux copains. Me faire sucer par une boutonneuse, cest pas très glorieux.
Mais ça restera un bon souvenir.
Je téléphone à Sylvie. Elle est avec Clara et Carine en excursion dans larrière pays, Javais zappé ce projet.
Je leur fixe un rendez-vous à leur retour, vers 17h30 dans un café.
Il me reste Gaëlle. Si jai de la chance elle sera libre cet aprem
Je lappelle et elle décroche cest rare-. Elle est super contente de mentendre. Elle est à la plage et me propose de ly rejoindre.
Pour une fois quelle est libre et moi aussi, ya pas à tergiverser.
Je la retrouve enfin il y a beaucoup de monde aujourdhui-.
Nous nous embrassons.
Elle me caresse de manière indécente.
Pour la calmer un peu, je lui demande de me faire le récit de ses aventures des derniers jours si elle en a vraiment eu-.
Et bien, elle en a eu ! Elle me raconte quelle est sortie avec un grand type baraqué, genre maitre nageur qui est serveur dans un restau. Ils ont couché ensemble et il était assez doué. Malheureusement pour elle, il ne la pas sodomisée.
Ce court récit ne la pas calmée, bien au contraire.
Voilà maintenant quelle veut me sucer devant tout le monde ! Je la repousse.
Elle se jette sur moi. Je suis hyper gêné.
« Laisse-moi au moins la prendre en main » (pour ceux qui nauraient pas compris, elle parle de ma bite).
Je mets une serviette sur moi, et je la laisse toucher.
« MMMM ! Elle est toujours aussi grosse !... »
Elle retire brutalement la serviette et senfuit en riant aux éclats. Je me cache comme je peux. Je me rajuste maladroitement et ramasse les affaires quelle a laissées.
Quelle gamine !
Je rejoins Gaëlle qui rigole toujours.
Jhésite entre rire à mon tours et lui filer une paire de claques.
« Viens chez moi, je vais te faire payer tes bêtises ! »
Elle me suit en riant.
Je profite quelle soit dans la salle de bain pour brancher le caméscope. Et je lattends tout nu sur le lit.
Elle revient enfin, jolie, pure et rayonnante. On lui donnerait le bon dieu sans confession. Pour le moment ce nest pas une Ostie que je veux lui mettre dans la bouche.
Elle me suce un peu, puis elle se met à 4 pattes.
Je sais ce quelle attend. Javais préparé le lubrifiant. Je lencule.
Jen profite un maximum. Elle aussi.
Je change de position, je la place sur le dos, les jambes sur mes épaules.
La pénétration est très profonde. A chaque fois que tout est entré, Gaëlle en a le souffle coupé. Ses yeux sécarquillent.
Lorsque je la sens proche de la jouissance, je sors entièrement. Son trou du cul est béant, cest spectaculaire. Japplique le précepte : « retarder la jouissance décuple la jouissance ». Elle mimplore de revenir. Je me plante à nouveau puis je recommence le même manège.
A la troisième sortie, elle nen peu plus.
« Reviens ! Reviiiiens ! »
Jy retourne et donne des grands coups bien profonds.
Elle jouit. Moi aussi. Nous nous affalons, repus.
Son corps est encore secoué de spasmes lorsquelle me dit en hoquetant :
-Salaud, tes un salaud ! Cétait super bon ! »
Nous nous rhabillons. Jarrête discrètement la caméra (le film devrait être mémorable), et je lamène boire un verre à la terrasse dun café.
Elle minforme quelle part demain matin faire un circuit touristique avec ses parents. Elle ne rentrera que mardi. Ça va être difficile de se revoir.
-« Mes parents me font chier. Avec eux il faut toujours aller visiter des musées, des châteaux ou des églises. Ils naiment que le passé et la poussière. Moi je veux vivre ! »
Je la raccompagne près de chez elle, je lembrasse et je men vais.
Fin du 4e chapitre.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!