9 Jours Tranquilles À Antibes. 5e Chapitre.
(pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
Je traine un peu en attendant le rendez-vous avec les belges. Je réfléchi à la stratégie pour amener la sage Carine dans mon lit.
Lastuce cest de lui faire comprendre quelle rate beaucoup en restant fidèle. Tous ces plaisirs, ces expériences, ces rencontres, ces joies, que son petit ami ne pourra pas lui apporter
Sylvie a déjà dû lui raconter mes exploits. De quoi l'émoustiller. Peut-être sest-elle masturbée en pensant à moi ?
Ça me fait penser que jai amené avec moi deux magazines féminins qui pourraient me servir. Je vais les chercher. Dans lun il y a un horoscope érotique, dans lautre un test assez « hard » sur la sexualité.
Cest dans les magazines féminins quil y a le plus de cul !
Je retrouve les filles au café. Après avoir discuté de leur circuit en car et dautres bêtises, je parle de mes magazines et leur propose de faire les tests. Elles sont daccord.
Je commence par lhoroscope érotique.
Sylvie (celle avec qui jai déjà couché) est gémeau : « Vous êtes une cérébrale. Les choses du sexe vous intéressent peu. Vous préférez les préliminaires à la pénétration. Meilleur partenaire : balance. »
Sylvie se révolte : « cest complétement faux ! ».
Clara (celle qui est avec Kamel) est vierge. « Signe de la terre. Vous bouillonnez à lintérieur. Vos fantasmes longuement contenus ne demandent quà exploser. Pratique préférée : le Sado-maso soft. Recevoir la fessée, être attachée, avoir les yeux bandés, cest ce qui vous excite. Meilleur partenaire : vierge. »
Nous rigolons. Heureusement que notre table est un peu à lécart.
Carine (celle que je veux me faire) est taureau : « Tempérament de feu. Vous dégagez un fort magnétisme sexuel. Vous aimez les pénétrations profondes et musclées.
Carine proteste : « Cest nimporte quoi ! »
Jinterviens : « Peut-être que tu ne te connais pas bien. En tout cas, je suis poisson
On est fait lun pour lautre. »
Les filles sont toujours sensibles aux horoscopes, même celles qui prétendent ne pas y croire. Pour info, je ne suis pas poisson.
Cette première lecture commentée nous a bien amusé, nous passons au test sur la sexualité.
Il sintitule « Êtes-vous un bon coup ? »
A chaque question il est proposé 3 réponses « A », « B » ou « C ». Celle qui a une majorité de « A » est un très mauvais coup : « vous êtes du genre coincée, votre copain si vous avez réussi à en garder un- na pas de chance ». Pour une majorité de « B » : « vous aimez le sexe mais vous pouvez encore vous améliorer ». Pour une majorité de « C » : « Les hommes doivent se disputer votre compagnie. Vous aimez le sexe et vous aimez faire plaisir à votre partenaire. Cest tout ce que recherchent les hommes ».
Voici quelques-unes des questions les plus « hard » :
Combien de partenaires avez-vous eu ? :
A : moins de 3
B : entre 3 et 10
C : plus de 10
Avalez-vous le sperme ? :
A : jamais
B : parfois
C : souvent
Pratiquez-vous la sodomie ? :
A : jamais
B : parfois
C : souvent
Faire lamour avec 2 hommes ?
A : jamais
B : pas encore, mais jen rêve.
C : je lai déjà fait.
Chacune répond tour à tour. Ça suscite pas mal de commentaires du genre « Quoi ! Tas jamais fait ça, tu ne sais pas ce que tu rates ! ».
Je reste en dehors de la conversation et je me régale. Les meufs, lorsquelles sont en groupe, il suffit de les mettre à laise et dorienter la conversation sur le cul, ensuite elles sencouragent mutuellement à faire des confidences très osées. On peut plus les arrêter.
Ce test est loccasion pour lune ou lautre de raconter ses expériences.
Cest Clara qui nous fait le récit le plus bandant. Elle nous raconte son initiation à la sodomie.
Pour fêter sa réussite au Bac, elle est partie en vacances en Grèce avec une amie.
« Lambiance était chaude. On na pas arrêté de se faire draguer. Beaucoup de grecs sont très beaux et il est difficile de résister à la tentation. Dès le lendemain de notre arrivée, nous sommes sorties en boite avec deux beaux garçons qui nous avaient abordées sur la plage. 2 heures plus tard, jétais au lit avec lun deux. Après une fellation et une pénétration vaginale, il a voulu me sodomiser. Jétais plutôt réticente. Il ma alors dit que cétait la spécialité du pays. Il a prétendu que de nombreuses femmes ne venaient en Grèce que pour ça. Je me suis laissée faire. La première fois ne fut pas géniale du tout. Mais il a recommencé plus tard, et cette fois, jvous jure, jai pris un pied pas possible !
Au cours du séjour, jai couché avec deux autres types. Tous ont voulu me prendre par derrière.
Ma copine ne sest pas ennuyée non plus.
La dernière nuit là-bas a été un peu glauque. Il vaut mieux pas que je vous raconte. »
Nous insistons, elle en a trop dit, on veut connaître les détails.
« Non, cest trop crad »
Ça nous donne encore plus envie de savoir.
Elle finit par céder.
« Le dernier jour de notre séjour, mon amie Hélène est rentrée à lhôtel vers 4 heures du mat. Elle était saoule et accompagnée par 1 grec et un noir. Le grec avait lair dun voyou. Le noir était, je crois, le videur de la discothèque. Leur arrivée bruyante ma réveillé (jétais seule). Hélène rigolait bêtement et se laissait peloter. Les garçons ont proposé une partouze. Jai refusé.
Jétais inquiète de laisser ma copine avec ces 2 types louches. Jai essayé de la raisonner, mais rien à faire.
Le noir sest foutu à poil et en exhibant son sexe dressé il ma dit en anglais « regarde ce que tu rates ! ». Il avait une bite énorme.
Mais bon, quest-ce que je pouvais faire ? Je leur ai juste dit de mettre des préservatifs et je suis sortie.
20 minutes plus tard, je suis revenue devant la porte de la chambre. Les bruits qui sen échappaient indiquaient clairement que tout se passait bien. Très bien pour Hélène et les garçons (on rigole tous). Ses soupirs et ses cris de jouissance mont presque fait regretter de ne pas être restée.
Je me suis promenée encore une demi-heure. Quand je suis revenue, il ny avait plus de bruit, jai ouvert la porte. Les gars étaient partis. Ils avaient laissé la lumière allumée. Hélène ronflait à poil sur le lit, dans une position indécente.
Le spectacle était plutôt dégeu. Des capotes usagées, des mouchoirs sales, du sperme, des taches marron (jvous avais prévenu que cétait sordide). Encore pire, à y regarder de plus près, jai vu que du sperme sécoulait du cul dHélène ! Vous vous rendez compte, un de ces salauds lavait enculée sans préservatif !
Jai rangé un peu. A midi Hélène a émergé avec la gueule de bois. Elle ne se souvenait pas des détails de sa nuit. Elle a paniqué en apprenant quil ny avait pas eu de préso.
Heureusement tout ça sest bien terminé. Elle a fait des tests en rentrant. Elle avait rien choppé ! »
A lécoute de ce récit, Carine est devenue rouge. Est-ce parce quelle est choquée, ou parce quelle est excitée ?
Sans surprise, aux résultats du test, cest Clara qui lemporte avec une majorité de « C ». Sylvie arrive ensuite à cheval sur « B » et « C ». Quant à la pauvre Carine, elle a surtout des « A ». Lune des seules réponses « B » quelle ait donnée est pour la fellation, elle accepte de temps en temps davaler.
Nous charrions gentiment Carine. Et avec laide de Sylvie, jenfonce le clou, je lui sors les arguments classiques des séducteurs :
-« Il faut tout essayer, sinon comment tu peux savoir si tu aimes ou pas
»
-« Si tas eu quun seul mec, comment tu peux savoir que cest le bon ? Il faut pouvoir comparer pour choisir.
-« Tu aimes la cuisine de ta mère, ça ne doit pas tempêche daller au restau de temps en temps. » (Pour ceux qui nauraient pas compris, ceci est une métaphore, il faut comprendre : ton mec baise correctement, mais ça ne doit pas tempêcher de gouter à dautres hommes.)
Je propose à Carine de venir chez moi avec Sylvie pour un plan à trois, pour quelle commence à faire de nouvelles expériences. Elle refuse lair outré.
Sylvie vient à mon secours.
-« Allez, viens, ça va être drôle ! ».
Elle rit, mais refuse.
Clara nest pas concernée, elle a précisé que Kamel lui suffisait amplement.
Tant pis. Jentraine Sylvie chez moi.
Tous ces récits mont excités. Ça va être sa fête !
Une fois dans mon studio, je trouve un moment pour mettre en route la caméra, et cest parti !
Sylvie est déchainée, elle veut que je la baise sans préliminaire.
Je change plusieurs fois de positions. Je tente même, à tout hasard, une sodomie, mais elle men empêche. Idem pour y mettre un doigt. Je vais lui conseiller de planter sur son trou de balle un écriteau « propriété privée, défense dentrer », ce sera plus clair.
Plutôt mijaurée pour une fille qui se prétend libérée !
Jarrive enfin à la faire jouir. Une fois calmée, elle se jette sur moi, elle arrache le préservatif et embouche goulument ma queue. Cest génial !
Jadore quand une fille prend linitiative de me sucer après la baise. Cest encore meilleur après une sodo et encore mieux quand il ny a pas eu de capote. Cest un signe dabandon total !
Jéjacule dans sa bouche. Sylvie va tout recracher dans le lavabo. Jen profite pour éteindre la caméra.
Puis nous nous endormons lun contre lautre.
Oui, je lui fais la grande faveur de partager ma nuit. Cest surtout que jai la flemme de la raccompagner.
SAMEDI. 5e jour à Antibes
Une sorte de pieuvre monstrueuse enserre mon sexe. Cette bestiole ouvre une bouche couverte de ventouses baveuses. Elle aspire ma queue !
Je me réveille en sursaut. Sylvie est en train de me sucer. Elle me fait mal, car jai une furieuse envie de pisser.
Je larrête, je lembrasse, je la remercie pour cette délicieuse manière de me dire bonjour.
Je fais ce que jai à faire, puis je descends acheter des croissants et du lait frais.
Nous prenons ensemble notre petit déjeuner. Sylvie est restée nue.
Elle me demande alors pourquoi je suis ainsi à vouloir coucher avec toutes les femmes.
Lambiance paisible de cette matinée mincite à lui faire une confidence que je navais jamais faite.
Je lui raconte lépisode de ma jeunesse qui fut déterminant.
« A 18 ans, jétais encore puceau. Jétais alors assez timide et ça ne facilitait pas les choses.
Dans ma classe de terminale, jétais secrètement amoureux dune jolie fille, très douce, qui sappelait Armelle. Après plusieurs mois, javais enfin osé laborder et nous sommes sortis ensembles quelques fois. Sortir dans le sens aller au cinéma, réviser nos cours, rien de plus.
Je suis allé jusquà lui demander si je pouvais lembrasser, mais elle na pas voulu. Je nai pas insisté. Javais alors lidée quune fille doit être respectée.
Dans ma classe, il y avait un type, genre footballeur américain, baraqué, sûr de lui et une bite à la place du cerveau. Il avait redoublé deux fois. Cétait un dragueur irrépressible. Après avoir couché avec une nouvelle conquête, il venait sen venter auprès des garçons de la classe. Bref, le mec à vomir !
Je ne comprenais pas comment un mec ignoble comme lui pouvait tomber autant de nanas et moi aucune !
Vers la fin de lannée, au retour dun week-end, le footballeur vient discuter avec mon groupe de potes et il annonce fièrement :
-« Samedi soir je me suis fait Armelle » -Armelle, MA copine !-
Il poursuit :
-« Quelle salope celle-là ! Je lui ai tout fait. Quelle salope ! » (Son vocabulaire était assez limité).
François un de mes copains a rétorqué :
-« Cest pas vrai, Armelle aurait jamais accepté de coucher avec toi ! »
-« Cest une salope jvous dis. Elle est folle de ma queue ! Pour vous le prouver, si vous voulez, je lui demande de me suivre et je la tire dans les chiotte
Jvous jure cest une vraie salope !»
Sous le regard goguenard des garçons, le footballeur sapproche dArmelle, il lui susurre quelques mots à loreille. Puis il se dirige vers les toilettes.
Aussi incroyable que ça puisse être, Armelle le suit à quelques mètres, lair de rien !!
Jy croyais pas ! Le ciel me tombait sur la tête !
Jai refusé de suivre les garçons qui se sont précipités aux toilettes pour assister au spectacle.
François est ressorti quelques minutes plus tard.
« Tas rien raté » Ma-t-il dit. « Ils se sont enfermés. On na rien vu. On a juste entendu quelques vagues soupirs »
Le footballeur a, bien sûr, largué Armelle quelques jours plus tard. Et moi je nai plus jamais adressé la parole à cette fille.
Cette histoire ma fait prendre conscience que les femmes sont attirées par les salauds comme les papillons de nuit par la lumière.
Les femmes elles aiment les hommes à femmes, comme dit la chanson.
Jai décidé den profiter aussi. Yavait pas de raison quil y ait que les pourris qui samusent et se les tapent toutes ! En plus, moi je le fais avec élégance. »
A la fin de ce récit, il est déjà 12 h. Je propose à Sylvie de la ramener près du camping.
Si elle reste, je vais être tenté. Ces quelques jours de vacances mont épuisé. Je ne suis pas Superman. Ma bite nest pas une mitraillette. Jai bien amené quelques pilules bleues, mais jaime autant ne pas les utiliser.
Il faut pourtant que je sois en forme pour ce soir. Et oui, je sors en discothèque avec la caissière et sa copine !
Sylvie voudrait bien rester ou quon se revoit ce soir. Je lui explique que je suis pris par une réunion de famille (toujours cet héritage).
Nous prenons rendez-vous pour demain (dimanche) après-midi. Surtout, jinsiste pour quelle arrive à convaincre Carine.
Je labandonne à quelques rues de chez moi car elle avait des courses à faire.
Fin du 5e chapitre.
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