J'Ai Pas Envie De Dormir Seul.

Je m'appelle Vincent, j'ai aujourd'hui 20 ans. Je vais vous raconter une histoire que j'ai eu le plaisir de vivre il y a près de deux ans. A l'époque, seuls quelques amis savaient que j'étais gay, ils le comprenaient, l'acceptaient, mais rarement le sujet a eu l'occasion d'être abordé lors de nos conversations.
Un weekend, mes parents m'ont laissé la maison pour que je puisse fêter mon anniversaire et mon départ futur à Berlin pour mes études, j'ai donc profité de leur absence pour organiser une soirée avec un groupe d'amis proches. Nous étions 5, je voulais une soirée intime entre nous, car certainement la dernière avant mon départ. Il y avait 2 filles et 2 garçons, dont David, mon meilleur ami de l'époque.

Nous nous connaissions depuis le primaire, il savait pour moi et malgré le fait qu'il joue au foot, qu'il ait une bande d'amis pas particulièrement gay-friendly, il m'acceptait très bien et n'hésitait pas à me charrier, me traiter de "petit pédé". Il aimait plaire et était assez séduisant, son corps était musclé et il n'hésitait pas à exhiber son torse pour faire le malin. Les filles en étaient dingues. Il collectionnait les conquêtes et avait un regard très distant par rapport à ses relations, il disait souvent que l'on n'avait qu'une vie et qu'il fallait en profiter. La mort de son père quelques années plus tôt l'avait rendu très mature dans sa vision de la vie et c'est pourquoi je me suis beaucoup amusé avec lui, à faire le mur, aller en boîte sans que nos parents ne le sachent ... Je ne le trouvais pas particulièrement beau, mais charmant. Il était grand, brun aux yeux verts et avait une carrure d'homme qui contrastait beaucoup avec son âge, 19 ans.
Ce soir là, nous nous sommes installés sur la terrasse, tous les 5. Nous avons parlé de tout, de rien, de mon futur en Allemagne, de ma future vie d'étudiant, et pour la première fois, de mon homosexualité. Autant les filles prenaient ça avec beaucoup de rigolade, trouvait ça cool, rock'n roll et fun, autant je voyais que David et mon autre ami étaient plus sceptiques et mal-à-l'aise.


Vers 4h, après avoir bu plusieurs bouteilles de vin et refait le monde 100 fois, mes amis partirent à vélo ou à pied. Le temps de ranger la table et le désordre, je reçois un SMS de David : "Hé p'tit pédé, tu vas me manquer l'année prochaine, ça me fait chier de pas te revoir avant ton départ. Je t'aime p'tit frère, prends soin de toi chez les Schleus.". En relisant ce texto, une bonne dizaine de fois, je me suis mis à pleurer, je commençais à réellement flipper de perdre tout ce que je connaissais pour cette ville inconnue. Je lui ai donc répondu : "Toi aussi tu vas me manquer. J'ai l'air d'un con à chialer dans ma cuisine, on dirait Bree Van Dekamp.". Quelques secondes plus tard, je reçois un autre message : "Ouvre ton portail".

Je me précipite sur l'interphone, ouvre et je sors de la maison... Il était au bout de l'allée. Il s'est approché de moi, m'a pris dans ses bras et m'a supplié de ne pas partir à Berlin. Je l'ai fait rentrer dans le salon, on a discuté de mon départ, du fait que je reviendrai, qu'il pourrait venir me voir avec mes potes ...

Le jour commençait à se lever et la dernière bouteille de vin venait de se finir, je lui dis donc qu'il était temps d'aller se coucher. Et d'air air apitoyé, il m'a demandé s'il pouvait dormir ici. J'ai accepté et lui ai dit d'aller s'installer dans mon lit, que je squatterai le canapé. Il me remercie et monte se coucher. La maison s'endort, sauf moi. Je regarde le jour se lever, des tas de questions se posent dans ma tête. Au bout d'une petite dizaine de minutes, j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir à l'étage, les escaliers craquer. Devant moi, se dresse David, en caleçon, son corps est beau, ses abdos légèrement dessinés, ses pectoraux magnifiquement imposants et le boxer délicieusement bombé. Jamais je n'avais fais particulièrement attention à son physique pourtant si agréable. Il me tend la main et après quelques secondes me dit : "J'ai pas envie de dormir seul..." Je lui prends la main, et le suit dans l'escalier.
Je vois ses fesses musclées se mouvoir dans les escaliers juste devant mon visage, son odeur embaume délicatement son chemin. Une odeur fruitée, venant de son parfum si particulier. Un tas de détails me sautent aux yeux tout à coup : ses mollets bien sculptés, ses cuisses massives, son dos si dessiné ...

Arrivés dans ma chambre, il se remet sous la couette. Je reste stoïque dans sur le pas de la porte. Il se retourne, me regarde et me dit "Ben viens, je vais pas te bouffer !". Je ne dis rien et m'installe. Je suis mal à l'aise, je lui tourne le dos, je ne sais pas quoi faire. Et il dit mon prénom avec une vois toute calme :
" - Vincent ...
- Oui, David ?!
- Je peux te prendre dans mes bras ?
- Euh ... S'tu veux ouais ..." J'étais gêné, ce garçon si beau, si plaisant et si hétéro qui me prenait dans ses bras dans mon lit, la scène était au dessus de mon imaginaire.
Je me retournai face à lui et me blottît dans ses bras. J'y étais bien. Je gardais les yeux ouverts, les yeux dans le vague. Puis nos regards se sont croisés pendant quelques secondes, il me caressa le bras le bras, eût un soupir et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Il se recula, me regarda et recommença, dans un calme absolu, un silence total. J'étais sur une autre planète, sans vraiment comprendre ce qu'il se passait. Je lui dis d'arrêter, je ne voulais pas briser notre relation si forte. Mais il me regarda et me dit : " J'en ai envie. J'ai envie de t'embrasser, te caresser, te toucher. Tu vas tellement me manquer... "

Il reposa ses lèvres sur les miennes, posa sa main sur ma joue. Je commençais à sentir l'excitation monter en moi tendis qu'il caressa mon bras, puis ma hanche. Il m'envoutait par son baiser et ses caresses. Je passai donc ma main dans ses cheveux et notre baiser s'intensifia. Nos langues s'entrelaçaient, nos lèvres se frottaient, nos dents mordillaient nos langues et nos lèvres. Soudain, il attrapa ma tête et mes fesses et me fit rouler.
Il était à présent au dessus de moi, son corps contre le mien. Nos boxers se frôlaient et je sentais son excitation quand son pénis effleuraient le mien. Plus tard, il mut son bassin pour que nos corps se caressent mutuellement pendant de longues minutes. Sa main parcourait tout mon corps, comme s'il souhaitait en toucher le moindre centimètre carré. Je caressais son dos, ses fesses, ses cheveux. Il releva sa tête, plongea ses yeux dans les miens et me dit : "J'ai envie de toi ...". Je ne pus lui répondre qu'un "moi aussi" insipide.

Il commença à m'embrasser le menton, le cou, tout en délicatesse, pour savourer chaque instant. Il descendit lentement en laissant trainer sa langue sur mon torse. Il me baisa les tétons, les mordilla tout en me caressant de ses mains douces. Il me lécha le torse et descendit à mon nombril, qu'il embrassa également. Délicatement, il prit mon boxer dans ses mains, le fit descendre doucement, tout en m'embrassant le gland, le pénis et les testicules, puis il continua son chemin vers mes cuisses mes jambes, mes genoux. Il retira mon boxer totalement en m'embrassant le pied, qu'il prit amoureusement dans sa main. Il entama sa remontée et s'arrêta lorsque son visage fut au niveau de mon pénis. Il me regarda en souriant et me dit : "Désolé si je m'y prends mal ... ". Il était si beau, le visage innocent alors qu'il est d'habitude si sûr de lui. Il commença par un coup de langue langoureux sur mon gland, fit le tour plusieurs fois avec sa langue, en insistant sur le frein. C'était maladroit, mais terriblement bon. Il prenait ma bite dans sa main droite et commençait à réellement me sucer le gland avant d'ôter sa main et de la prendre en plaine bouche. Sa bouche si chaude, si agréable. Il fit de longs mouvements de va-et-viens pendant plusieurs minutes, en alternant avec des coups de langue de plus en plus précis. Je lui agrippais les cheveux, je me cambrais de plaisir, je sentais des spasmes dans mon corps à chaque coup de langue. Il remonta doucement après dix minutes de fellation.
J'étais en extase.

Je le mis sur le dos et bien décider à lui montrer ce qu'était une vraie pipe. Je descendis donc vers son pénis gonflé et le sortis de sa cage. Quelle beau morceau, une bite de 20 centimètres au moins, pas très large mais droite, le gland rose et légèrement décalottée. Je la léchai un moment, l'auscultais, la sentais, lui léchais les couilles. Puis je la pris en bouche, complètement. Son gland tapait le fond de ma gorge alors qu'il prenait petit à petit en main le rythme et me l'imposait, à coup de bassin ou en portant ma tête avec ses mains. Je léchais son gland, jouait avec son prépuce, lui léchait le frein et l'aspirait pour en retirer les gouttes de liquide. Je le sentais excité à bloc à tel point qu'il me demanda de me calmer. Ni une ni deux, je plongeai sur sa bite massive et rattaquai de plus belle. Quelques dizaines de secondes plus tard, il s'écria un petit "Attention ... !" mais moi je restais collé à cette bite si belle et délicieuse, bien prêt à en gouter le nectar. Soudain, c'est dans une cambrure et un râle viril qu'il éjacula dans ma bouche de puissants jets de sperme qui vinrent me remplir la bouche. Je l'avalai avec délectation, c'était si bon. Et je continuais à lécher cette bite, en train de débander lentement et perdre de sa grandeur. Je nettoyais ce gland si beau. Une fois terminé, je remontai lentement vers lui, il m'embrassa fougueusement, allant chercher son propre nectar avec sa langue dans ma bouche. J'étais à cheval sur lui, les fesses au dessus de ce pénis sur le déclin.

Au bout d'une embrassade de quelques secondes, il rampa sur le dos afin de positionner sa tête sous ma bite encore bien tendue. Il l'a mit en bouche en me regardant et reposa sa tête sur le matelas. Il m'offrait sa bouche pour que j'en fasse ce que je souhaite. Je commençai donc doucement à baisser mon corps pour lui introduire mon pénis dans la bouche. A chaque va-et-viens j'allais plus profond, doucement. Puis j'accélérais doucement. Pendant un moment, la vitesse était telle que je pilonnais littéralement la gueule de mon meilleur ami. Mes couilles frappaient contre son menton mais il semblait aimer puisqu'il gémissait. Quelques secondes plus tard, je le sentais qui appuyer avec sa langue sur le dessous de ma bite à chaque passage, ce qui rendait cette pipe formidable, je sentait que ca commençais à monter. Je lui dis donc que j'allais jouïr, il me regarda d'un air qui me donnait l'autorisation de jouïr dans sa bouche. J'accélérais encore le rythme et déchargea tout mon sperme dans sa bouche en plusieurs jets. Je sentais mon corps entier se vider par ma bite dans sa bouche. Il avala tout, me nettoya la bite par quelques coups de langue habiles et je m'écroulai sur le côté.

Il se remît à ma hauteur, m'embrassa. Sa bite avait regonflé pendant qu'il me suçait. Il me mit donc sur le ventre et commença à m'embrasser le dos, en descendant doucement vers ma raie, en suivant ma colonne. Il attrapa mes fesses, les embrassa et les écarta. Il avait mon anus face à lui. Il cracha dessus et me titilla la rondelle avec son doigt, doucement, tendrement. Puis, il approcha sa tête, sorti sa langue et lécha mon cul. J'agrippais les draps de plaisir et lui enfonçait sa langue dans ma rondelle. Il approcha son doigt et le rentra dans mon cul. Je rebandais déjç tellement il savait s'y prendre. Je m'abandonnais à lui, le laissant faire, sans crainte. Il fit des rotations avec son doigt, tout en léchant le pourtour. Il le sorti, caressa ma rondelle à nouveau et présenta deux de ses doigts. L'excitation montait et mon cul s'ouvrait à lui. Il entama un mouvement de va-et-viens dans mon anus avec ses deux doigts et moi je gémissais de plaisir. Sa bouche parcouru une dernière fois ma raie puis remonta le long de mon dos, pour m'embrasser le coup. Je sentais son pénis effleurer mes cuisses durant sa remontée, puis mes couilles pour enfin se positionner sur ma raie. Il fit plusieurs mouvements sur ma raie avec son pénis bien dur.

"J'ai envie de toi, Vincent !" me dit-il à l'oreille. En guise de réponse, je tournai la tête et l'embrassai. Il prit sa bite et colla son gland sur ma rondelle. Je le sentais et sentais venir le plaisir qui allait m'inonder. Il entra, lentement, je sentais mon anus s'élargir dans un plaisir immense et sa bite rentrer en moi. J'étais au septième ciel tellement c'était bon. Il m'a pénétré jusqu'au bout, a posé son torse sur mon dos et soupira. Il entama les mouvements de pénétration, en douceur, et moi je sentais sa bite au plus profond de mon cul. C'était bon, indéfinissable plaisir qui m'envahissait. Il accéléra la cadence et ses couilles commençaient à claquer sur mon cul. J'en redemandais tellement c'était bon. Je l'entendais gémir dans mon oreille.
Une fois la bonne cadence trouvée, il se releva, m'agrippa et me mit à 4 pattes. Je sentais sa bite grappiller encore quelques millimètres dans mon cul, c'était tellement bon. Il me pénétra en profondeur pendant de longues minutes jusqu'à ce que ses gémissements s'intensifient. Il accéléra pendant quelques secondes, me défonçant littéralement le cul et m'agrippa la bite. Il me branla et dans un râle encore plus puissant que le premier, il se vida en moi. Il propulsa son sperme au plus profond de mon cul et sentant ce liquide chaud, je ne pus m'empêcher de jouir dans sa main.

Nous nous écroulâmes l'un sur l'autre et il laissa sa bite quelques instants dans mon cul. Il m'embrassa le dos, me fis des centaines de bisous sur les épaules. Puis nous prîmes une douche avec pour seule lumière celle de l'aube. L'eau chaude parcourait nos corps entrelacés qui n'avaient plus de secrets l'un pour l'autre à présent. De retour au lit il me dit : "Je savais que l'amour n'avait pas de sexe, mais tu es le seul avec qui j'avais envie de me le prouver."

Le lendemain, je fus réveillé par ses caresses sur mon ventre, ses baisers sur mes épaules et ses larmes qui coulaient sur moi. Il m'avoua qu'il tenait à moi, sans trop savoir s'il parlait d'amitié ou d'amour. Le surlendemain, je partis pour Berlin, malgré ses nombreux messages me suppliant de rester.

A mon retour, il y a 9 mois, il était en couple avec une jolie fille, Angèle. On se revoit, de temps en temps, mais il ne s'est plus rien passé entre nous depuis.

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