Chapitre 29 : Caroline Se Fait Défoncer Par Deux Antillais.

C’est une première et une nouveauté, pour ce chapitre, je m’appelle Caroline, je suis la seconde épouse hypersexuelle d’Éric, vous devez me connaitre, si vous êtes des fidèles de nos parutions, exclusivement écrites par Éric jusqu’à ce jour.
Voilà, je me décide enfin à écrire, et remplace Éric pour ce chapitre, nous verrons bien, en fonction de vos retours si je dois continuer.
Notre vie à cette période est aussi débridée que bien remplie.
J’ai un peu de temps aujourd’hui et je suis toute excitée de vous raconter cette histoire.
Nous avons donc tous les deux vécu deux relations avec deux hommes différents :
• Pour commencer, Jean-Paul, cet homme a été un amant formidable qui m’a donné beaucoup de plaisirs mais malheureusement cela a été un plaisir non partagé par mon petit mari qui a eu l’impression de se retrouver sur le banc de touche.
• Puis ensuite, notre jeune Alexandre qui fut un formidable amant pour nous deux, prévenant, endurant, vraiment bisexuel, c’est une perle, mais malheureusement, il a quitté notre région.
Après avoir fait la connaissance de ses deux hommes, nous avons beaucoup échangé avec l’homme de ma vie et nous avons fait le choix de continuer nos recherches sur notre site libertin en incluant des envies et recherches bien précises.
Je dois vous avouer qu’après notre relation torride avec Alex, j’avais très envie de recommencer au plus vite.
Notre recherche se tourne vers des hommes bisexuels pour un plaisir partagé.
Trop précis pour ce site hétéro-centré, notre recherche fut longue mais mon Éric m’a aidé à ne pas abandonner et surtout me comble sexuellement avec beaucoup d’énergie.
Cela m’a aidé à garder mon calme face à beaucoup d’énergumènes.
Puis, un beau jour, nous recevons un message d’un groupe d’hommes originaires de Guadeloupe qui partagent cette même envie d’une rencontre mêlant candaulisme à notre bisexualité.
Dès le départ, Éric, me demande de ne pas donner suite, mais je ne sais pas pourquoi, je ne l’écoute pas et je continue de correspondre.


Nos échanges sont chauds, nous échangeons beaucoup de mails et j’envoie quelques photos de moi dénudées.
Je demande à Éric de bien vouloir regarder nos échanges, je lui demande de me faire confiance, cela m’excite énormément. Il doit comprendre.
Avec l’accord d’Éric, nous échangeons très vite nos numéros de téléphone.
Ils sont deux et nous nous envoyons des photos et des vidéos; c’est hyper excitant.
Très vite nous fixons une date de rencontre dans un bel hôtel sur la côte normande.
On n’y croit pas, jusqu’au partage des frais de l’hôtel par réservation en ligne.
Le grand jour est arrivé, le quatuor réuni, nous sommes tous les quatre à l’accueil de l’hôtel et franchement, ils me plaisent, ils sont beaux, gentils et drôles.
L’un me demande de l’appeler « Flo » apparemment son surnom, il s’appelle Florent, il a trente ans et l’autre m’a demandé de l’appeler « Jos », lui a vingt-huit ans.
Après quelques plaisanteries de « Flo » et « Jos » sur « notre » famille, la femme à l’accueil de l’hôtel curieuse nous lance :
- Ah oui vous avez vraiment un air de famille il n’y a pas de doutes.
Et nos deux compagnons d’un soir lui répondent en éclatant de rire :
- Oui, oui et ne vous inquiétez pas on va bien s’occuper de notre jolie cousine si son homme le permet.
Éric se met à rougir, couleur sauce tomate car il ne s’attend pas à une réponse si direct, quant à moi je suis morte de rire vous l’imaginez bien.
Je pense aussi que je suis la « vieille » cousine car nous avons une bonne vingtaine d’années d’écart, mais après le jeune Alexandre avec lequel j’ai apprécié la vigueur et la fougue de la jeunesse, avoir deux beaux jeunes Antillais bien membrés à satisfaire, n’est pas pour me déplaire.
Bon passons aux choses sérieuses…
La chambre est une magnifique suite, belle et spacieuse, dans laquelle trône une baignoire qui sépare un petit salon très chic d’un lit gigantesque plus King que size.

Très vite nous nous retrouvons autour d’une petite table, à déballer notre piquenique.
Éric s’est occupé du champagne, « Flo » et « Jos » de l’apéro en apportant le Rhum sans oublier son citron vert et son sucre, quant à moi j’avais préparé plein de petits empanadas surprises, en fait des petits chaussons en pate feuilletée farcis.
L’ambiance est géniale, nous rigolons comme jamais. Nous deux jeunes amis Guadeloupéens ne sont pas des tristes. Curieusement, je suis très à l’aise et surtout très excitée.
Avant même de commencer nous avons la visite de nos voisins, un couple qui se plaint du bruit alors que les choses sérieuses n’ont même pas encore commencé.
Très vite, sur une idée de nos deux jeunes « amis » d’un soir, on se retrouve à jouer un action-vérité-coquin qu’ils avaient pris soin d’emporter.
Nous ne connaissons pas ce jeu, ni les règles, mais nous nous doutons bien avec Éric que cela doit être similaire au Strip-poker, qu’il affectionne particulièrement jouer avec nos groupes d’amis. Le principe est que, à chaque fois que le joueur n’a plus de jetons, il enlève un vêtement…
Voici des exemples de questions pour action ou vérité coquin :
As-tu déjà fantasmé sur ton partenaire avant d'être avec lui ? , quel est ton plus grand fantasme ?, as-tu déjà été attaché pendant que tu faisais l'amour ?, quelle est ta zone érogène la plus sensible ?, quelle est ta position sexuelle préférée ?, quel est ton lieu préféré pour faire l'amour ?
Puis ensuite, voici des exemples d’action à faire : mordille l’oreille de «Jos», puis fait un massage sensuel à « Flo », Obéis à « Jos » pendant cinq minutes, simule un orgasme…
Essayez de vous mettre dans le contexte, avec deux jeunes Guadeloupéens un peu bruyants, le rhum, la soirée risque d’être bien chaude.
Je me retrouve très vite avec mon petit string, je ne dois pas être très douée, ou alors, ils ont peut-être triché avec la complicité d’Éric qui passe une bonne soirée.

Ils font glisser des glaçons sur mes tétons, ou encore nous jouons avec la nourriture à travers des positions variées. Pour l’instant nos amis d’un soir apprécient plutôt de bien me caresser, je dois vous dire que je suis bien entourée, bien collée par ces deux beaux mâles.
Éric et moi, nous avons acheté chez « Aubade », le même string, ce qui est l’objet d’un fou rire collectif lorsque celui-ci enlève son pantalon, et oui on est très lingerie « unisexe ».
Ce n’est que le début mais je sens mon excitation couler le long de mes cuisses.
Le jeu est intense surtout quand on arrive à la phase extrême du jeu, qui a donné aux garçons l’occasion de me remplir de leurs beaux membres à travers plusieurs positions.
J’ai l’impression d’être un pantin dans leurs bras, ils échangent régulièrement leurs positions, et sont du genre énergique, en me précisant régulièrement que je voulais du sexe, qu’ils aimaient le travail bien fait, et que j’allais être servie.
C’est vrai, que le travail est irréprochable, je ne pense pas avoir été aussi défoncée, je n’ai pas d’autre mot, et celui-ci me paraît faible.
Mon excitation arrive à une hauteur proche de l’Everest soit le plus haut sommet du globe, avec un pic à 8848 mètres d’altitude…et en un temps record.
Chacun m’a offert des délices à sa façon, « Flo » est à la fois doux et brutal, « Jos » lui a vraiment un gros calibre et me remplit entièrement.
Éric est heureux de ne pas se retrouver sur le banc de touche et nous l’a dit à plusieurs reprises. C’est effectivement Éric qui a jouit en premier dans des grandes râles.
Il n’en peut plus le pauvre mais on a changé de position de manière à ce que moi je continue mon plaisir.
Je n’avais jamais vu mon homme crié autant.
Tout le monde a son compte, tantôt candauliste, tantôt dans l’action.
Au bout d’un moment on abandonne le jeu et « Jos » sort deux paires de menottes de son petit sac.
Il attache le bras gauche d’Éric à mon bras droit et répète la même action avec nos deux bras restant avec la deuxième paire de menottes.

Je me retrouve donc à quatre pattes avec mon homme, nos sexes leurs sont offerts sans complexes.
Nos deux coquins nous offrent alors leurs saucisses à sucer à tour de rôle. Et quelles saucisses mes amis…
Puis après une bonne dilatation de mon petit chéri, ils nous prennent comme jamais nous avons été pris.
A mon avis, on nous entend dans tout l’hôtel, je vois les expressions d’Éric et lui m’a décrit mes mouvements de visage qui semble au summum de ma jouissance.
Après deux orgasmes, mes genoux trempent dans une petite flaque de cyprine quand Florent a l’idée de nous attacher les menottes aux chevilles en nous bandant les yeux.
Cette nouvelle configuration provoque un état inconnu qui nous aide à lâcher toutes retenues.
Après tant d’intensité, on enlève les liens et on a fait une belle pause d’un bon quart d’heure accompagnée de bulles de champagne.
On se raconte nos ressentis et nos impressions avec Éric, mais l’excitation de Florent rebondit très vite, ce type a un sexe énorme et il est très endurant.
« Flo » me soulève du canapé dans lequel je suis blotti en disant de son bel accent des îles :
- Tu t’endors ma belle, mais, je n’ai pas fini avec toi, moi !!!

C’est reparti, son pénis me semble plus dur qu’il y a une heure. Il me prend avec douceur, avec savoir et vitesse.
Puis « Jos » m’allonge sur le dos, m’écarte les cuisses et expose mon minou tout trempé.
Il me lèche et me gobe la chatte comme j’aime et j’en lâche même un petit cri.
Monsieur Florent, à côté de moi, devient spectateur, comme Éric qui récupère de son « traitement ».
Mais je fais signe à Florent de s’approcher et de mettre son sexe dans ma bouche, cela va m’éviter de faire trop de bruit.
Pendant que « Jos » me lèche et me doigte, je suce et masse les testicules de notre ami « Flo », j’adore quand on s’occupe de moi !!!
J’oublie Éric, les garçons échangent les rôles, Florent, s’occupe maintenant de mon minou pendant je suce et masturbe « Jos ».
Les doigts de « Flo » sont plus épais que ceux de « Jos », c’est une sensation différente et j’aime les sensations variées, j’en jouis, j’ai même presque mordu le sexe de « Jos », un petit sourire coquin et je le suce à nouveau, il aime ça le cochon !!!
Je suis toute mouillée et j’ai très envie de chevaucher mes deux jeunes Antillais.
Je commence par Monsieur « Flo » !!!
Il s’allonge sur le dos puis enfile de nouveau un préservatif, la sécurité avant tout !!!
Une fois en place je monte à califourchon sur lui, j’att son sexe et l’insère dans mon vagin.
Pendant qu’il me baise, « Jos » et Éric qui est à côté de moi me caressent, il sait que j’aime ça : leurs doigts parcourant mon corps, mes cheveux, mon cou, ma poitrine, le long de mon dos, puis ils s’attardent sur mes fesses avec plus d’insistance.
Puis « Jos » mouille ensuite son doigt et me caresse délicatement l’anus, j’adore ça, au point que j’en demande plus !!!
Son doigt finit par rentrer, j’en veux plus, et j’en bouillonne d’envie !!!
Comme s’il avait lu dans mes pensées, l’ami Guadeloupéen fait une proposition :
- Tu veux que je te pénètre l’anus ?
En même temps que Monsieur « Flo », une double pénétration, c’est vrai que j’en ai très envie, et même une triple pénétration, car j’ai très envie de prendre Éric en bouche et que c’est une occasion à ne pas rater.
Je réfléchis un court instant, mais mes envies mon vite devancées : j’accepte !!!
Éric est également d’accord !!! Et « Flo » est aussi d’accord, mais c’est une première pour lui, comme pour « Jos »
C’est donc une première pour eux, nous en discutons et je leur avoue que c’est une expérience à tester qu’ils ne vont pas regretter. Qu’Eric apprécie cette pratique !!!
Joshua, « Jos », s’enduit le sexe de lubrifiant en silicone, ainsi que mon anus qu’il n’hésite pas à stimuler, « Flo » est toujours en moi, sa queue bien au chaud.
Première tentative je me colle à « Flo », les fesses bien écartées pendant que « Jos » met sa queue à l’entrée de mon cul, ça rentre tout doucement, puis il s’arrête !!!
Il s’excuse, car sa position n’est pas du tout pratique pour lui et recommence pour une deuxième tentative.
Je sens sa bite entrer progressivement dans mon anus, la queue de « Flo », se serre dans mon vagin, j’aime cette sensation !!!
Je suis remplie, un dans mon vagin et l’autre dans mon anus, j’adore, maintenant, il faut que ces messieurs synchronisent leurs mouvements pour me pénétrer en même temps, c’est difficile pour eux au début, puis ils commencent à prendre la même cadence et moi je prends mon pied !!!
Les sensations sont indescriptibles, c’est jouissif ! Je suis prise en sandwich, remplie de toute part.
Pendant ce temps, Éric est venu discrètement, j’en ai plein la bouche, remplie par son gourdin qui m’arrive dans la gorge, presqu’à me faire vomir, hystérique, je tente de lui dévorer ses couilles.
Je jouie une première fois, malheureusement la deuxième n’arrivera pas.
La position est difficile à tenir pour « Jos » et il se retire donc doucement et se place à nouveau à côté de moi pour me caresser.
Je sens que « Flo » va bientôt jouir, j’accélère le mouvement !!!
Aller encore un peu plus fort, c’est alors que je sens une sensation chaude remplir la capote (et de un).
Puis Éric m’explose dans ma bouche m’inondant de son foutre (et de deux).
J’att alors le sexe de « Jos » et le branle jusqu’à ce qu’il déverse son sperme sur moi !!! (Et de trois).
Couverte de sperme et mon plaisir satisfait, je suis contente d’avoir vécue cette expérience.
La fin de ce coït débridé arrive, oui ne vous inquiétiez pas, des tests, ont été fait au préalable. Nous nous sommes un maximum protégés. Mais Éric, ne voulant pas gâcher, ce fut un festin de sperme pour lui qui a eu comme tâche de me nettoyer.
Nous nous sommes retrouvés tous les quatre allongés, avec une motivation à zéro pour prendre un dernier verre, tant la relation fut physique.
Crasseux et crasseuse, Florent et Joshua nous ont laissé car il fallait qu’ils prennent tous deux la route vers Paris.
Quant à Éric et moi, victime d’épuisement, on a profité de la suite ainsi que du spa offert par l’hôtel en amoureux.
J’ai encore beaucoup d’histoires à vous raconter si vous le souhaitez, mais celle-ci restera à jamais gravée dans nos mémoires.
J'attends vos commentaires avec impatience, venez m'encourager nombreux, car ce n'était pas évident pour moi au départ.
“Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse”. Il s’agit d’une affirmation simple écrite par Nelson Mandela.

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