Neuf Jours Tranquilles À Antibes. (6e Chapitre)
6e chapitre. (Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
Je rentre à mon studio et je vérifie que le film est réussi. Le résultat nest pas terrible, un plan fixe cest toujours ennuyeux, et une même position qui dure plus de 5 minutes, cest long. Ce qui est agréable à vivre ne lest pas forcement à regarder
Je réalise que jai oublié de rallumer mon portable. 3 messages !
2 sont de Coralie qui pense à moi dans son nouveau camping. Il faut quelle moublie celle-là. Je ne lui réponds pas.
Il y a aussi 1 message de Gaëlle qui me dit du mal de ses parents. Inutile que je réponde à celui-ci non plus.
Puisque jai le téléphone en main, jappelle Françoise (la caissière) pour confirmer notre soirée. Nous convenons du rendez-vous, cest son fiancé qui nous amènera en voiture, ils passeront vers 22h30. Je demande quelques précisions sur la fameuse amie qui mest destinée, mais Françoise ne fait que me dire quelle est très jolie cest déjà un bon point-.
Mon téléphone sonne alors que je suis en train de me raser. Cest encore Coralie. Jen ai marre, il vaut mieux que je réponde, sinon ça ne sarrêtera jamais !
Elle envisage de revenir à Antibes car elle sennuie à Nice. Pour la calmer, je lui dis que jai une nouvelle copine.
-« Quoi ! Déjà ?! » (Si elle savait
)
Je mets les choses au point :
-« Ecoutes, tu ne me rappelles que si tu as trouvé, toi aussi, un nouvel amant. Ainsi nous serons quitte. Et puis il faudra tout me raconter, tous les détails, tout ce quil ta fait, les positions, tes jouissances, tout, tout, tout, je suis très curieux pour ces choses-là. Tu mas bien compris
Bon je tembrasse ».
Me voilà tranquille pour un moment.
Jai mon après-midi de libre, ainsi que mon début de soirée. Ça maurait largement laissé le temps de draguer une ou deux nouvelles filles, mais en ce moment jen ai un peu trop en réserve.
Je choisis de me soumettre à une corvée trop longtemps repoussée : aller chez mon oncle et ma tante qui habitent ici. Ils sont au courant par ma mère que je suis dans la région, ils seraient très vexés si je ne venais pas leur rendre visite.
Je leur téléphone, et comme prévu ils minvitent à diner. Puis jappelle maman pour lui dire que jai été un bon fiston.
Je passe donc la fin daprès-midi chez eux. Inutile de raconter cet épisode barbant. Jai eu droit aux habituelles réflexions « à ton âge, il serait temps que tu te trouves une petite amie ». Etc. Ils me donnent en exemple un cousin qui va bientôt se marier. Etc. Etc.
Il est déjà 22h lorsque je rentre à mon appart. Juste le temps de prendre une douche et de me changer avant larrivée de la caissière & Co.
A 10h30, je suis sur le trottoir à attendre. Ils arrivent avec 10 minutes de retard.
Nous allons dabord dans un café branché pour faire connaissance.
Alain, le fiancé de Françoise, est genre « brut de décoffrage » : un petit musclé, sympa et nigaud. Il travaille lui aussi au supermarché.
La fameuse copine sappelle Magali, 18 ans, apprentie coiffeuse ça je laurais deviné car elle est trop maquillée et sa coiffure est trop travaillée-. Malgré ça, elle est jolie comme tout et son accent provençal très prononcé est charmant.
Cest un petit format, peut-être 1 mettre 55 tout au plus. Une taille fine. Étroite de partout ?
Elle minvite à venir à son salon de coiffure pour me faire une coupe. Surtout pas !
Quant à moi, je leur dis que je suis journaliste, que jécris dans un magazine parisien. Tout ça pour leur en mettre plein la vue.
Je reste simple et sympa, car il me faut susciter ladmiration mais pas le respect. Il ne faudrait pas que Magali simagine que je suis inaccessible, bien au contraire !
Je leur parle de mon pseudo-héritage et des problèmes que cela amène.
Nous bavardons, je plaisante, je pratique lautodérision.
Dès que je fais des allusions sexuelles, Alain sort de sa torpeur. Voilà un sujet qui lintéresse ! Il se lance même à nous raconter deux blagues de cul très salées. Ça me fait bien marrer et on devient copain. Les filles apprécient moins cet humour grossier.
A 11h30, nous partons pour la discothèque. Je naime pas ce genre dendroit, il y a trop de bruit, trop de dragueurs, trop de gens saoul, et je naime pas danser.
Je me fais violence et je danse avec Magali. Je joue sur ma maladresse pour la peloter.
Je la pousse à boire. Avec une fille pompette cest toujours plus facile et jaimerais bien approfondir ma relation avec elle. Lapprofondir très profond.
A un moment, les 2 filles vont se refaire une beauté (elles vont pisser). Je reste seul avec Alain. Jen profite pour lui poser quelques questions du genre :
-« Ai-je mes chances avec Magali ? » « Y a-t-il un espoir de conclure dès ce soir ? »
Jobtiens les réponses que je désirais :
-« Ouai, je crois que tu plais vachement à Magali. Et puis elle savait à quoi sattendre avec toi. Elle a pas de copain depuis plusieurs mois, alors tu sais, elle est venu pour ça elle aussi. Tu vas pouvoir te la faire ce soir. Magali habite chez sa mère, mais vous pourrez venir tous les deux chez moi, ya un canapé lit. »
Quelques minutes plus tard, jemmène Magali dans un coin tranquille (près des toilettes). Après ce que vient de me dire Alain, ya plus besoin de faire des manières. Je lembrasse, je la tripote. Je lui dis quelle me plait beaucoup, que je la désire, que jen peux plus, que je veux la baiser
Cest alors quelle me sort :
-« Ça cest pas possible ! Jai mes règles » (Pensez à lire avec laccent provençal)
Elle me prend pour un novice cette nana :
-Cest lexcuse classique de la fille qui veut pas baiser.
Elle se défend :
-Je tassure. Cest vrai ! Sinon je serais daccord » (Toujours avec laccent)
Un peu exaspéré je lui réponds :
-« Mais une fille ça a trois trous. Ten as un dinutilisable mais il ten reste deux de disponibles. Hé, hé, hé »
A peine ces mots prononcés, je réalise quils pourraient la choquer. Je panique, mon cerveau se met à fonctionner en accéléré. Il me faut trouver une parade. Lalcool et lambiance assourdissante vont peut-être me sauver. Peut-être va-t-elle laisser passer cette remarque vulgaire sans menvoyer une baffe.
Javais tord de minquiéter, car elle me répond avec naturel et sans gène :
-« Dans la bouche, cest possible. Mais dans les fesses cest non ! Je ne suis pas une pute ! » (Toujours avec laccent)
Je linterroge pour avoir plus de détails, elle me confirme quelle na jamais fait de sodomie -et ne le fera jamais-.
Puisquelle na pas tiqué à ma grossièreté, jen profite.
-« Quoi ! Tu es encore pucelle du cul. Jy crois pas ! Pourquoi tu refuses la sodomie ? Presque toutes les filles le font et ce ne sont pas des putes pour autant ! Beaucoup de femmes jouissent mieux comme ça que par la pénétration vaginale. Je suis sûr que Françoise le fait
»
Elle me répond offusquée :
-« Ça surement pas ! Elle me laurait dit ! »
-« Écoutes, puisque cest comme ça, on va le demander à Françoise. Si elle le fait pas, je ninsisterai pas. Mais si elle le fait, il faut que tu en fasses autant. Daccord ? »
-« Daccord. De toute façon, je connais sa réponse ! » (Avec laccent)
On retourne à table. Je demande à Alain daller nous chercher des boissons (cest moi qui paye), puis je madresse à Françoise :
-« Magali ne veux pas croire que tu adores la sodomie
»
Elle ne comprend pas cette attaque.
-« Cest quoi cette histoire ? »
Je lui explique :
-« Cest Alain qui ma dit que tu voulais être sodomisée à chaque rapport sexuel.
Françoise est outrée :
-« Le salaud ! Il a osé te raconter ça ! »
Jinsiste :
-« Alors, cest vrai ou pas ? »
-« Cest lui qui veut tout le temps. Cest pas moi ! »
-« Mais tu le fais oui ou non ?
-« Ben oui, de temps en temps, mais cest lui qui réclame ... »
Je fais un clin dil à Magali. Jai GAGNÉ !
-« Il ne te viole pas quand même ! Ça te plait quand même un peu ... »
-« Oui, oui, parfois
» Elle se reprend « Le fils de pute, il va me le payer davoir raconté ça ! »
Il faut que jarrive à la calmer avant quAlain ne revienne. Le pauvre il ne comprendrait rien (ça ne changera pas beaucoup à dhabitude).
Jexplique à Françoise que tout cela était inventé pour me permettre de gagner un pari stupide avec Magali. Je ne rentre pas dans les détails, mais Alain est sauvé.
Françoise men veut de mêtre ainsi moqué delle. Je lui dis que je ladore et que je ne voulais pas lembêter.
Lincident est oublié.
Je commence sérieusement à en avoir marre de cette discothèque, dautant plus que deux mecs tournent autours de Magali.
Alain propose, comme nous lavions prévu, de finir la soirée chez lui. Il parle du clic-clac du salon qui nous sera réservé à moi et Magali « ça vous convient les amoureux ? ».
Sur le chemin du retour, on rigole bien dans la voiture dAlain. Jembrasse avec délectation et je caresse avec application ma compagne désignée.
A larrivée, cest un peu la bousculade pour les toilettes et la douche. Ensuite, Alain fait tourner un pétard. Je fais semblant de fumer, jai pas envie dêtre embrumé pour la suite des évènements.
Alain et Françoise se décident enfin- à aller dans leur chambre, nous laissant seuls sur le canapé.
Je vais pouvoir déflorer son anus !
-« Tu sais ce qui tattend ma jolie ! »
-« Non. Sil te plait, je préfère te sucer. » (Toujours avec laccent du midi)
-« Commence toujours pas ça. On verra pour la suite
»
On sest mis tout nus, elle a juste gardé son slip. Elle a un très joli corps bien proportionné.
Magali est surprise par la taille de mon sexe. Elle en a jamais vu des comme ça « en vrai ». Cest sûr que dans les films pornos, cest une taille standard.
Elle me rappelle à lordre :
-« Surtout, tu fais attention, jai mes règles ! Tu ne touches surtout pas à mon sexe.»
Et elle avale ma bite. Elle a un peu de mal car sa bouche est trop petite. Elle est un peu gauche, mais pleine de bonne volonté. Lheure tardive, lalcool et cette douce succion monotone vont finir par massoupir.
Son cul qui dandine devant mes yeux me fait sortir de ma somnolence. Cest une vraie provocation !
Cest pas dans sa bouche que je veux juter ! Un accord est un accord ! Jai gagné mon pari, il faut maintenant quelle se fasse enculer !
-« Allonge-toi sur le ventre et lève tes fesses. On va passer aux choses sérieuses ! »
Elle proteste. Elle ne veut pas. Elle pense quelle va avoir mal. Que cest sale. Que ma bite est trop grosse.
-« Allez, fais-moi plaisir
»
-« Bon daccord, mais tu y vas doucement, hein
» (toujours cet accent)
Cest fou ce quil est facile de la faire changer davis celle-là.
Trop facile même. Moi je préfère quand il y a discussion, argumentation, manipulation, et que grâce à mon charme et mon bagou, la fille cède ! Pour maider, jai en stock la collection complète des arguments pour inciter les filles à accepter cette pratique sulfureuse, et oh combien jouissive.
Elle est daccord, cest le principal !
Je fouille dans mon pantalon à la recherche des capotes et du lubrifiant. Malheur ! Je les ai oubliés !
Lenculer sans préservatif était envisageable, mais sans lubrifiant ça risque dêtre compliqué. Je pourrais éventuellement essayer de mettre beaucoup de salive, ou aller voir sil y a du beurre dans le frigo
Bon, je prends mon courage à deux mains et je frappe à la porte de la chambre.
Jentre sans attendre de réponse. Apparemment, je les dérange en pleine action, mais je ne vois pas grand chose avec une simple veilleuse dallumée et toute cette fumée de shit.
-« Excuse-moi Alain, taurais pas des préservatifs à me passer ? Jai oublié les miens. »
-« Si, si. Voilà » Il men passe une boite.
-« Et du lubrifiant, tu en as ? Magali a ses règles, alors je vais essayer lentrée des artistes. »
Ça fait marrer Alain.
Françoise me regarde ébahie. Son regard est fixé sur mon chibre (je suis tout nu et en érection).
Alain me passe un tube de lubrifiant à moitié entamé.
Je sors en laissant la porte entrebâillée.
Je retrouve Magali qui a sagement gardé sa position.
Je mets le préso (un peu petit pour moi) et beaucoup de lubrifiant, je baisse sa petite culotte et jattaque la porte de secours.
Elle résiste ! Impossible de rentrer ! A croire quelle est blindée. Et puis il faut que je fasse gaffe à ne pas glisser et me retrouver dans le vagin. Beurk !!
Je tente délargir le trou avec mes doigts. Le premier rentre avec difficulté, le second en forçant. Le tout avec les protestations de Magali. Je ne pourrais jamais en mettre plus.
Jabandonne. Si par miracle jarrive à y mettre ma queue, je risque de me faire broyer !
Magali est désolée. Elle se sent coupable. Elle a peur que je lui en tienne rigueur. Elle a raison, mais jy gagnerai rien de le lui dire.
-« Mais, non, ma jolie. Ce sera pour une autre fois, faut pas désespérer. Allez, suce-moi sil te plait. »
Elle le fait de bon cur, comme pour se faire pardonner. Jéjacule très vite. Jessuie tout (ça me fait regretter la boutonneuse du camping). Puis je moccupe delle.
Je la caresse, je lui lèche la pointe des seins, je descends ma main vers sa chatte. Je rassure tout de suite Magali :
-« Tinquiètes pas, je ne rentrerais pas de doigt, je vais juste te caresser le clito. »
Je commence à la branler.
Elle aime ça ! Alain avait raison, elle est en manque. Elle gémit, elle halète, elle tremble. Son ventre est secoué de vaguelettes. Je mordille ses seins. Ça déclenche son orgasme !
Elle pousse des petits cris aigus !
Magali est heureuse, elle se blotti dans mes bras.
Cest alors que Alain samène (Magali se couvre prestement avec le drap). Il veut récupérer le tube de lubrifiant.
Nos cris lui ont probablement donné des idées. Françoise va passer à la casserole, coté pile
Il doit être pas loin de 4 h du mat, nous sommes crevés, nous nous endormons.
Fin du chapitre 6
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