Les Mille Et Une Nuits : La Millième

Je ne remercierai jamais assez ma femme. Depuis que je suis sur ce chantier, seul, sans femmes, sinon des indigènes, dont certaines sont tentantes, après mon travail, mes vérifications et les bouquins que la boite nous a libéralement procurés, les distractions sont inexistantes. Il me tarde d’être au soir , après 22 heures comme elle me l’a écrit...
Je me déshabille pour la suite de son récit. J’ouvre la page de la millième nuit.
Mon chérie, je ne sais comment tu es, moi je suis nue devant le cahier. Tu as pu voir qu’il est épais, j’ai écrit les mille histoires. A chaque fois je me suis branlée, tu sais comme tu aimes que je le fasse à deux mains, la première sur le clitoris et la seconde avec deux doigts bien mouillés de cyprine dans mon cul. Il faut reconnaitre que le jour où tu m’as presque e à me masturber le cul de cette façon je ne le voulais pas trop. Je regrette de ne pas l’avoir fait, même avant de te connaitre : c’est si bon.
Je sais que tu bandes en m’imaginant une main devant et l'autre sur mon cul. J’imagine la grosseur de ta bite, je vois d’ici ton prépuce descendre seul avant même que tu te touches. Reste ainsi, pour me faire plaisir. En plus tu jouirais trop vite.
Tu te souviens de mon amie Jacqueline, celle que tu trouves amusante ? Elle m’en a raconté une bien bonne : elle est fidèle à son mari, enfin presque, dans son cœur oui, mais dans son vagin quelque fois elle a des envies bizarres. Elle en parle à son homme qui l’envoie à la pêche. Ce qu’elle veut pour elle n’est pas compliqué, à condition que son mec lui dise oui. Tu meurs de connaitre la suite ?
Elle voulait se faire mettre par deux hommes à la fois. Une double pénétration... c’est normal, je te demande ça tous les jours !!!!!!( je suis en train d’y penser, toi, moi et un autre pas trop membré pour le cul). Elle ne voulait pas une bite dans son con et une autre dans son cul, elle les voulait toutes les deux dans son con.
Je ne sais même pas quel effet ça peut faire.

Je n’ai pas envie d’essayer une pareille gymnastique avec deux hommes !
Elle a cherché pas mal de temps pour trouver un mec pour la baiser, sexy comme elle est, pas de problème. Elle s’est ainsi donné plusieurs fois avant de tomber sur le bon numéro : un type bien membré d’après elle, qui avait un copain qui comme lui aimait les situations délicates et baiser à deux un sexe de femmes est parait-il délicat. Réflexions faites il doit avoir raison.
J’ai essayé avec les deux godes; j’ai mit plus d’un ¼ d’heure avant de les mettre ensemble l’un après l’autre. C’est dégoutant et plaisant à la fois. J’ai bien joui, je te l’avais caché volontairement.
Agite ta main pour jouir, je sais que ton jus va aller très haut ce soir. Que j’aimerai être là pour le déguster dès sa sortie………

Donc Jacqueline trouve ses deux amants. Ils vont dans un hôtel à l’entrée de la ville où on trouve plus que facilement des chambres pour baiser. Le premier, celui qui l’avait baisé confirme à son pote qu’elle baise bien et pour le prouver demande à Jacqueline de se mettre nue. Déjà excitée, elle ne refuse jamais ce genre de demande, elle se montre sous toutes les coutures, son amant la pelote partout. Elle demande au second de venir lui aussi, elle a deux paires de mains sur ses seins, ses fesses, son ventre, entre ses cuisses... Elle leur sort les attributs, les lèche avant de les sucer ensemble. Je sais depuis presque toujours qu’elle aime le sperme dans la bouche, comme moi, ta salope.
Elles les trouvent particulièrement durs. Elle se garde bien de les faire jouir.
Elle fait coucher son amant sur le dos, elle va s’empaler sur la bite bien bandée, se la met bien au fond et se couche sur lui. Elle demande à l’autre de venir sur elle. Quand il arrive elle lui prend la bite et………

Je pense que tu te vois à la place du deuxième et que tu bandes encore et recommences à te branler. Tu me donnes envie de recommencer à deux godes..... Voilà, c’est fait !
Elle lui prend donc la bite dans la main, le branle un peu et la dirige vers son vagin déjà occupé. Bien sur ça ne rentre pas comme elle voudrait. Elle force tant et tant qu’enfin la deuxième bite entre. Elle m’explique que son orgasme est indescriptible tellement elle a jouit. C’est meilleur qu’une seule bite et encore meilleur qu’une bite devant et l’autre derrière. Le plus fort est qu’à part se faire mettre en forçant, elle n’a rien fait de particulier : personne dans le trio n’a jamais bougé et ils ont tous joui ensemble.
Elle a réussi à réveiller les bites à moitié mortes pour recommencer et jouir encore plus la seconde fois, elle me dit avoir joui trois fois de plus.
Tu les envies ces deux cocos ? Tu as raison. Ne compte pas sur moi pour me donner à deux bites réelles, je le refuserai, même pour te faire plaisir : je préfère que tu me baises normalement ou que tu m’encules.

Tu te souviens de notre première sodomie ? J’avais une peur terrible de l’entrée de ta grosse bite dans mes fesses. Tu me demandais de me tartiner l’anus de cyprine. Je l’ai fait uniquement pour te faire plaisir. J’ai failli même refuser la suite, sotte que j’étais ! Quand tu es venu sur moi, je me suis sentie comme une jument prise par l’étalon, abêtie. Quand j’ai senti les tissus de mon anus s’écarter devant ta bite j’ai accepté malgré la douleur. Ce n’était pas à crier, mais enfin imagine ce que c’est qu’une premier fois. A peine un peu plus tard, quand ton gland est passé, que j’ai senti le reste de ta bite dans mon ventre, j’ai eu comme un vertige. C’était plus doux, plus normal, plus jouissif aussi puisque je me souviens avoir eu mon orgasme à peine quand je sentais tes poils sur mes fesses et que tu me caressais les seins. Et la suite quand j’ai décidé de me branler en même temps.
Et dire que maintenant nous ne savons plus baiser sans sodomie : si tu oublie, je la réclame.
Branles toi encore, mon chéri je viens de le faire en nous imaginant pendant que tu me la mets dans le cul...

Je suis heureux de son cahier des mille et une nuits. Hier je me suis branlé deux fois et aujourd’hui je n’ai pas compté, j’ai bien du jouir 5 fois !