Neuf Jours Tranquille À Antibes. 7e Chapitre.
(Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
DIMANCHE. 6e jour à Antibes.
Vers 10h, un bruit de porte qui claque me réveille. Cest vrai, javais oublié que Alain travaille aujourdhui ! Le pauvre a pas dormis beaucoup. Moi non plus.
Je vais pisser. Puis je tourne en rond à ne pas savoir quoi faire.
Magali dort à point fermé. Elle est très jolie ainsi presque nue, impudique et paisible. Ça me donne des envies. Peut-être quà son réveil elle sera plus « ouverte ». Au cas où, il faut que jai le matériel sous la main, je vais chercher le lubrifiant.
Je rentre sans bruit dans la chambre. Je cherche le tube convoité. Françoise dort comme un ange, nue sur le lit. Ses gros seins sont magnifiques ! La chambre est en désordre. Ça sent le sperme et le shit.
Jouvre la table de nuit. Je tombe sur des revues pornos. Jen feuillette une, cest un magazine dannonces échangistes. Je suis un peu surpris. Je continue mon exploration.
Je trouve enfin le tube, mais il est vide !
Je cogne involontairement le lit. Le bruit et le choc réveillent Françoise.
Elle me dit encore embrumée :
-« Quest-ce tu fais là ? »
Je lui explique ce que jétais venu chercher, puis je la questionne sur le magazine de cul.
-« Alain et toi vous êtes échangistes ? »
-Non ! Non ! Cest juste Alain qui fantasme là dessus. Il voudrait quont aille dans un club. Beurk ! »
-« Moi non plus, ça ne plairait pas de faire lamour devant plein de gens, et encore moins de partager. »
Françoise réalise alors quelle est nue. Elle ramène le drap sur son corps.
-« Non ! Reste comme ça. Tu es si belle ! »
Je me penche sur elle et je lembrasse sur la bouche.
Il suffit souvent dun mot gentil ou dun compliment pour que les filles écartent les cuisses.
Elle mattire à elle.
Je lui susurre :
-« Ton fiancé ne tas pas comblé cette nuit ? »
-« Il ne pense quà lui ! »
Je la caresse tendrement. Je lui roule une pelle denfer. Je constate avec mes doigts que son sexe est trempé, son anus aussi. Tout ça baigne dans la cyprine, le sperme et le lubrifiant !
Même si elle mavait supplié, jaurais refusé de la lécher !!!
Elle-même sen rend compte et elle veut aller se laver. SURTOUT PAS !
Je len dissuade, et cest moi qui me lève.
-« Attends, ne bouge pas, je vais juste chercher les préservatifs.»
Jen profite pour vérifier que Magali dort toujours. Cest parfait.
Je reviens, je ferme bien la porte et je confirme à Françoise quil ny a aucun risque coté Magali.
Après quelques caresses de mise en route, Je pénètre Françoise en missionnaire.
Puis je lui relève les jambes sur mes épaules. Elle se met à geindre.
Je sors ma bite de son vagin et je la présente à son anus. Ça rentre tout seul ! Il faut dire quavec le sperme et le lubrifiant qui sy trouvent cest une vraie patinoire.
Jy vais dabord tout doucement, comme au ralenti en faisant des mouvements amples. Françoise ferme les yeux et ouvre la bouche. Sa respiration saccélère.
Je lui prends une main et la pose sur sa vulve. Elle a compris le message et elle sastique en suivant mon rythme.
Je ressors alors du cul et me plante à nouveau dans le vagin.
Je sais quil y a des risques dinfection avec ce genre de pratique. Menfin, quand elle sen rendra compte je ne serais plus là
6 ou 7 aller-retour, et je change encore une fois de trou. Et ainsi de suite
Lorsque je la sens au bord de la jouissance, je change une dernière fois dorifice et je lachève dans le cul.
Elle se branle maintenant avec frénésie. Elle émet une série de petits cris et cest parti pour lexplosion !
Elle se cambre, elle vibre, ses seins sont comme de la gelly quon secoue.
Son corps est couvert de sueur, de la bave séchappe de ses lèvres. On peut dire quelle mouille de partout !
Je sors mon chibre, jôte le préservatif et je machève en me branlant. Jéjacule abondement sur le ventre de la caissière. Jessaye de ne pas trop crier, mais quel pied !
Françoise a du mal à reprendre ses esprits.
-« Cétait formidable » Dit-elle en bredouillant.
Maintenant elle se sent coupable vis-à-vis dAlain. Je lui promets de ne rien dire à personne. Et puis je lui fais remarquer que cest lui qui voulait de léchangisme. Ça la rassure un peu.
Je lui propose même dorganiser une partie à 4 avec Magali et Alain, ainsi ça ferait disparaître ses derniers scrupules. Ça la fait rire et elle nest pas contre
Je lembrasse et lui fait des compliments (sincères pour une fois), sur sa beauté et le plaisir quelle ma donné.
Il est midi. Nous préparons le petit déj. Magali se réveille enfin !
Elle se précipite dans la salle de bain.
Lorsquelle en sort, elle dit :
« Ne me regardez pas. Je suis affreuse. »
Elle nest plus maquillée. Ses cheveux sont mouillés. Elle est tellement plus jolie au naturel !
Je le lui dis, mais sans la convaincre.
-« Non ! Je suis affreuse. »
Je persiste dans mon appréciation. Mais rien à faire.
-«Je le sais mieux que toi. La beauté, cest mon métier ! »
Quelle conne !
Il est temps de nous quitter. Magali voudrait passer la journée avec moi. Ou même me revoir plus tard. Je prétexte des rendez-vous (toujours lhistoire dhéritage).
Nous décidons de nous revoir tous mercredi soir, directement chez Alain.
-« Et puis, mercredi, jaurais plus mes règles » (avec laccent)
Magali membrasse avec fougue. Je fais la bise à Françoise (je crois déceler une petite larme dans ses yeux).
Je rentre. Je prends une douche. Je me change.
-Françoise. Baise : oui excellente. Sodomie : excellente. Jlai prise par les 2 trous en alternance. Toison fournie. Très bonne. À revoir.
-Magali. Pipe : pas mal. Cul très étroit. Clitoridienne. À revoir.
Je pense à rallumer mon indispensable portable. Il y a 2 messages.
Ce nest malheureusement pas Sarah (celle qui ne couche pas le premier soir).
Lun est de Gaëlle. Tout va bien, elle membrasse.
Lautre, cest Sylvie. Elle me demande de la rappeler.
Cest ce que je fais.
-« Ha ! Enfin ! Tu me rappelles ! Jai longuement parlé avec Carine. Elle est daccord pour venir avec moi. Mais cest juste pour maccompagner. En tout cas cest ce quelle dit pour le moment
Jaurais jamais cru quelle se laisserait convaincre. Tu la troubles cette petite ! »
Pour une surprise, cest une surprise ! Moi aussi, jaurais jamais cru quelle accepterait. Surtout pour un trio !
Elles arrivent vers 17h. Je ne mets pas mon caméscope en route, le risque de me faire gauler serait trop grand.
Je leur offre un verre. Je commence à bécoter Sylvie.
Elle sallonge sur le lit et mattend. Je la rejoins.
Carine na pas bougé. Elle reste debout, adossée au mur.
-« Tu ne va pas rester là comme ça à nous regarder. Allez, viens nous rejoindre. »
Elle refuse. Pourtant, elle devait bien se douter quelle était pas venue pour jouer à la Playstation. Jinsiste :
-« Si tu préfère, je ne te pénètrerais pas. Allez, viens ! »
Je me lève pour la chercher. Pour faire senvoler ses scrupules vis à vis de son petit copain, je lui sors les arguments du genre :
-« Le sexe ce nest pas sale ! » « La vie est courte, il faut en profiter !» « Si tu ne tamuse pas maintenant, quand tu seras mariée et que tauras des gosses, il sera trop tard» « Il faut que tu dépasses ta morale chrétienne. » « Baiser avec moi cest pas pour faire des s, cest pour samuser ! » « Si tu refuses le plaisir et si tu veux rester fidèle, tas quà te faire bonne sur ! » (Ce dernier argument marche dhabitude très bien).
Elle refuse toujours et va sasseoir sur une chaise.
Sylvie mappelle. Je retourne à ses cotés.
Elle défait mon pantalon, sort ma queue et commence une fellation. Miam !
Sylvie pousse des soupirs à la manière des actrices de films x.
Tout ça sonne faux. Je regarde à nouveau Carine, elle a la tête baissée, lair renfrogné. La situation est ridicule.
Se donner ainsi en spectacle est plutôt délicat. Si en plus le public fait la gueule, ça narrange rien
Le fiasco est total ! Pas de plaisir, que de la gêne. Bref, il faut savoir dire « stop ».
Je me lève, je me rajuste. Et je propose que nous allions tous au café puis au restau. Je les invite, on va faire la fête !
Cétait une très bonne idée. Le repas se déroule merveilleusement. Nous blaguons, nous refaisons le monde, nous faisons des commentaires sur les gens qui passent, sans jamais évoquer la comédie qui vient de se dérouler dans mon studio.
La conversation est interrompue par mon portable. Cest Sarah ! CEST SARAH !!!
Je me lève et je méloigne un peu pour répondre en toute confidentialité.
Jai gagné. Jai gagné ! Elle sexcuse pour lautre soir. Elle a longuement réfléchi. Elle reconnaît quelle a eu tort. Elle aimerait beaucoup me revoir
Je profite de ma victoire. Il lui a fallu trois jours de réflexion (3 jours !!), elle va me le payer :
« Attention, ça veut dire que tu accepte tout. »
Elle me répond un peu inquiète :
-« Tout, ça veut dire quoi ? »
-« Et bien, fais la liste de tout ce que tu as fait avec tous tes ex. Il faudra rien omettre. Moi je choisirais ce que je vais te faire parmi tout ça
»
Elle simagine que je blague.
« Pas du tout ! Je suis très sérieux ! »
Elle me propose de venir chez elle demain soir (lundi). Et pourquoi pas tout de suite ? Elle a très envie de me revoir, mais ce soir il est trop tard pour confier Paul à une voisine.
-« Bon daccord pour demain, mais noublie pas décrire la liste ! »
Cest fou, je ne sais pas ce quil y a en ce moment, mais toutes les femmes me tombent dans les bras. A croire que plus jen ai, plus ça attire les autres !
Je rejoins les filles. La soirée se termine.
Sylvie aurait bien voulu rester avec moi, mais je renonce à cette proposition. Je suis très fatigué, il faut dire que je nai pas beaucoup dormi la nuit dernière. Je lui propose un rendez-vous pour demain après-midi.
Je les raccompagne toutes les deux en taxi jusquà lentrée du camping. Je garde le taxi pour rentrer chez moi.
Fin du chapitre 7
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