Neuf Jours Tranquilles À Antibes. 8e Chapitre.
(Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
LUNDI (7e jour à Antibes)
Je suis réveillé à 8h par des petits coups à ma porte.
Je vais ouvrir un peu inquiet et mécontent. Qui peut venir me déranger si tôt le matin ?
Cest Carine !
Sans même me dire bonjour, elle me questionne :
-« Je ne te dérange pas ? » « Tu es seul ? » « Tu nattends personne ? » « Je peux rester avec toi ? »
Mes réponses sont dans lordre : non, oui, non, oui bien sûr.
Elle se lance alors dans un monologue pour justifier sa présence ici. Pour résumer : Elle a pensé à moi toute la nuit. Oui, jai raison, elle a envie de moi. Oui, elle a compris quil faut quelle assume ses désirs. Son copain arrive demain, cest loccasion ou jamais dessayer autre chose. Etc, etc
Elle me fait promettre de ne jamais rien dire à Sylvie ou à qui que ce soit.
Je promet, ça ne coute rien.
-« Fais de moi ce que tu veux
» me dit-elle tout bas.
Voilà des mots que jaime entendre.
Pour une surprise, cest une surprise ! Je vais baiser la sage et fidèle Carine !
Je lui dis de se déshabiller et de sallonger sur le lit. Je vais pisser et me laver succinctement et jarrive le sexe dressé.
Sous prétexte de chercher des préservatifs, jarrive à mettre en marche la caméra. Ce film devrait être mémorable.
Je lavais déjà vu presque nue à la plage, seule sa chatte, sa touffe blonde taillée en « ticket de métro » et sa raie des fesses métaient inconnues. Tout est parfait ! Elle est sublime !
Je lui fais le grand jeu. Je veux la faire jouir comme jamais.
Je lui demande si elle est plutôt vaginale ou clitoridienne. Elle ne sait pas. Ça veut dire quelle est clitoridienne (comme presque toutes les femmes).
Je décide donc de commencer par des caresses et des baisers, suivi dun léger cunnilingus.
Jarrête ma succion et jentame un traditionnel missionnaire. Ma grosse queue frotte ainsi voluptueusement son clito. En plus, on peut ainsi sembrasser ce qui est romantique à souhait.
Elle mouille bien, je coulisse sans problème dans sa chatte étroite.
Je fais durer les choses longtemps. Jy vais doucement et avec application.
Carine apprécie, mais apparemment, il lui manque le déclic qui la fera basculer.
Je cherche une solution, je minterroge. Peut-être que ce qui la attirée chez moi ce nest pas mon charme, cest mon coté baiseur et culotté ? Elle est avec moi pour essayer autre chose que ce que lui offre son très gentil petit ami. Trop gentil, trop sage, trop respectueux ? Peut-être quelle fantasme sur lopposé : un homme dominateur et vulgaire ?
Peut-être que quelques paroles salaces pourraient la décoincer ? Je ne risque pas grand chose. Au pire elle me dira darrêter de dire des bêtises.
Je me lance. Je lui murmure à loreille :
-« Tu laimes ma grosse queue dans ta petite chatte hein ?! » « Taimes ça te faire bourrer comme une chienne ! »
Mon intuition était bonne. Les mots font leur effet autant que ma bite (jai accéléré le mouvement). Elle se lâche. Elle ferme les yeux. Son souffle saccélère. Elle grimace.
Je continue donc mes petites phrases dignes des plus mauvais films pornos.
« Prends ça salope » « Tes vraiment une pute qui aime se faire défoncer» « Tu vas me faire juter » et autres gracieusetés du même tonneau.
Je la ramone maintenant puissamment.
Jhésite à lui sortir quelques remarques plus personnelles, du genre :
-« Ça te change de la petite bite de ton copain » ou « Taimerais que Pierre te voit jouir comme ça». Mais je préfère mabstenir, ça risquerait de la ramener sur terre.
Dès que je la sens au bord de la jouissance, je marrête et jattends de voir le désespoir dans ses yeux qui sentrouvrent. Ah, ces yeux gris-bleus
Enfin jattaque une pénétration violente, que jaccompagne de quelques :
-« Prends ça salope ! »
Ça lui arrache des cris de plaisir. Elle se cabre. Elle dit « Non, non, non
» puis « Aaaah, AAAAH, AAAAH ! AAAAAAAHHHH !»
Ses terribles contractions vaginales agissent comme un aspirateur de bite. Je ne peux me retenir et jéjacule. Jai limpression den expulser des litres ! Cest génial. Mes cris se mêlent aux siens.
Elle se blottit dans mes bras.
Je lenlace comme pour la consoler. La jouissance chez la femme est comme une souffrance.
Quand elle est remise de ses émotions, je décide de passer à autre chose.
Je retire mon préservatif (je constate avec surprise que la quantité de sperme est habituelle) et jordonne à Carine de me remettre en forme avec sa bouche. Elle sexécute sans faire attention au foutre qui macule ma verge.
Je suis rapidement apte pour le service.
Après le romantisme du missionnaire, la bestialité de la sodomie !
Je lui dis de se mettre en levrette. Je la positionne au bord du lit, ses fesses face à la caméra.
Je tartine son cul de lubrifiant. Jhésite à le faire sans préservatif (ce qui est beaucoup plus jouissif), mais, à contre cur, jopte pour la protection.
Elle me demande dy aller doucement.
Je présente mon pieu sur lillet froissé et je pousse. Ça ne veut pas rentrer. Je pousse plus fort.
Enfin la défense cède, il y en a un bout à lintérieur.
Carine pousse des cris de douleur. Elle a mal.
Je lui demande si elle veut que jarrête.
-« Non, non surtout pas, continue ! Continue ! »
Cette fille aime être insultée, elle aime aussi souffrir. Cest un cas !
Je continue donc ma lente progression, sans hâte et sans violence. La forteresse est investie ! Presque tout est rentré !
Carine proteste encore un peu, mais je sens bien que cette pratique toute nouvelle pour elle et cette légère douleur lexcitent au plus haut point.
Je fais quelques petits va-et-vient, très lents et sans amplitude, que jaccompagne dune caresse sur sa vulve.
Elle ne proteste plus.
Je reprends mes commentaires vulgaires :
« Taimes ça te faire enculer. » « Jten ai mis 23 cm dans le cul ! »
Je fais des mouvements plus amples mais toujours très lents pour ne pas provoquer de douleur trop vive.
Jaccentue la pression sur son clito.
Elle gémit maintenant en cadence. Je ne sais pas si cest ma bite dans ses fesses ou ma main sur sa chatte quelle aime, mais elle aime ça !
Je lui susurre dautres phrases :
«Tu vas jouir avec une bite dans le cul ! » « Je vais texploser lanus, salope ! » «Toi tu es faite pour la double pénétration. La prochaine fois je ferais venir un pote et on te prendra en sandwich. »
Jaccélère mes mouvements. Elle gémit plus fort.
Je sors ma bite, je me relève pour que la caméra puisse bien filmer le trou dilaté. Ainsi il ny aura pas de doute, cest bien son cul que je pénétrais, pas sa chatte (trop souvent, dans les films amateur il est impossible de savoir dans quel trou se trouve la bite)!
Je remets un peu de lubrifiant et jy retourne, je reprends mes caresses et mes petites phrases salaces.
Jessaye dy aller encore plus profond. Jy arrive. Cest comme si javais appuyé sur un interrupteur caché tout au fond de son rectum. Ça déclenche son orgasme !
Son cul va et vient frénétiquement sur ma queue.
Elle cherche à retenir ses cris. Jai peur quelle ne sétouffe dans ses hoquets.
Quel spectacle ! Pourtant jen ai vu dautres !
Je sors, son anus est complétement béant, un vrai cratère, ça ressemble à la bouche dune poupée gonflable. Je retire le préservatif et je me branle. Jéjacule tout le sperme quil me reste sur le dos encore tremblant de Carine.
Nous nous allongeons lun contre lautre.
Cest maintenant pour elle la déprime post-coïtale. La remise en question.
-« Je ne sais pas quoi faire maintenant avec Pierre. » (Son fiancé). « Dois-je lui dire la vérité ? » « Jétais satisfaite avant. Mais maintenant, je pourrais plus
» « Que vais-je devenir ? »
Jessaye de la rassurer.
-« Tu sais, dautres hommes pourront te combler. Sans doute même ton copain. »
-« Je ne sais pas
» Dit-elle, songeuse.
-« Surtout ne lui raconte jamais ce que nous avons fait. Tous les hommes sont un peu vaniteux. Il naimerait pas savoir quun autre garçon ta faite jouir. » « Ce garçon taime et tu laimes. Cest le plus important. Pas le cul ! »
Je ne pense pas ce que je viens de dire, mais jai pas envie quelle se mette à baiser avec tout le monde, Je ne veux pas que les dragueurs profitent, sans aucun effort, du travail que jai fait.
Jai été le révélateur de sa double personnalité. Son « Mister Hyde » est une salope qui adore le sexe, une masochiste qui rêve dêtre lesclave sexuelle dun voyou.
Elle aime être traitée en « chienasse », elle naura pas de mal à trouver des mecs pour assouvir ce fantasme. Moi, je lai pris comme un jeu, les autres risquent dêtre moins tendre. Elle pourrait finir à lhosto ou sur le trottoir.
-« Oui, tu as raison
» Elle dit ça sans y croire.
Elle part dans la salle de bain, puis elle se rhabille.
Je propose de la raccompagner, mais elle refuse.
Elle membrasse sur la joue et me dit simplement : « Merci ».
Et elle sen va
Jarrête le caméscope. Ce film doit être un chef duvre ! Ça ferait un excellent cadeau si Pierre et Carine se marient
Jimagine la tête du gentil mari qui visionnera les exploits de sa sage épouse
Je range un peu lappartement en repensant à ce qui vient de se passer. Jaurais peut-être dû essayer de convaincre Carine de garder Pierre comme amant de cur et de me prendre comme amant de cul ? Jaurais pu trouver un moyen de la revoir en douce malgré larrivée de son petit ami ? Jaurai pu linviter à venir me voir à Paris ? Pourquoi lavoir renvoyée dans les bras de Pierre ?
Voilà une fille sublimement belle, douce, intelligente, sensible, sensuelle et docile
Jai été trop con de la laisser partir !
Ma peur de mengager ma perdu. Cest maintenant trop tard.
En plus, si ça se trouve elle fait bien le ménage et la cuisine
(lol)
Je dois me ressaisir et reprendre mes mauvaises habitudes.
Je sors mon calepin pour compléter la fiche de Carine.
Ça me fait penser que je vois Sarah ce soir. Je lavais oubliée ! Et Sylvie qui doit passer vers 15h ! Trop, cest trop !
Je pourrais lui téléphoner pour annuler, mais je préfère laisser venir
Fin du chapitre 8
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