Elodie Se Révelle
Résumé : une travestie, Eric, recherche du travail. Elle se présente chez son nouveau patron habillée très féminine. Celui-ci, séduit par Eric et ses manières, lembauche mais il a vu les résilles dEric. Cela lobsède et il se décide de téléphoner à Eric pour lui demander si cétait des chaussettes, bas ou collant. Le téléphone sonne et Eric se présente sottement
Oui, ici Elodie.
Interloqué par cette réponse Jean est pris au dépourvu. Il ne sattendait pas à ça
- heu
.bonjour madame, je suis le nouveau patron dEric et javais besoin de lui parler...
Silence au bout du fil mais Jean entends une respiration qui sest accélérée.
- allo ! ALLO !
-oui réponds une voix, cest Eric.
- vous maviez dit que vous étiez seul, je ne comprends pas, quelle est cette histoire ?
-Jean, il faut que je vous explique, pardonnez moi de navoir pu tout vous dire cet après midi. Mais ce nest pas facile à dire lors dune embauche
- mais enfin quoi donc ? Quy a-t-il à dire ?
- Eric et Elodie ne sont quune et même personne, mes amis me connaissent sous le prénom dElodie. Comprenez que ce nest pas facile davouer cela à une embauche !
- ah je comprends mieux, le style féminin, les gestes précieux.
- heu
et bien oui Jean.
- mais dis moi Eric ou Elodie que portais tu cet après midi sous ton pantalon ?
- des bas tenus par un porte- jarretelles !
- ok cela a du te faire rire quand je tobservais...
- oh non, jean, pas du tout jétais gêné et javais peur de vous avouer la vérité. Javais peur de ne pas avoir la place, jai besoin de ce travail, je vous en prie Jean, je ferai tout ce que vous désirez.
- bon, bon, bon, répondit Jean et après quelques instant de réflexion :
- avoues tout de même Elodie que tu as abusé de ma crédulité.
- jen conviens, Jean et je vous présente mes excuses.
- ce nest pas suffisant, on réglera ça demain matin, je tattends à 9h et soit féminine.
- je vous promets dêtre là et de vous servir.
- bien on verra ça !
- à demain Elodie.
Jean est resté assis dans son fauteuil, il essaye de réaliser ce qui lui arrive. Si on lui avait dit quil embaucherait une travestie soumise comme comptable ce matin, cela laura fait rire !
Mais il en était ainsi et cette situation lexcitait, donc elle avait des bas, hum !
Demain matin je vais te la punir « oui, mais comment ?»
Réfléchissant, jean se souvint que son ex avait fait de léquitation et pas quavec le cheval la salope !
Sa tenue doit être restée dans un placard. Jean remonte lescalier quatre à quatre et fouille les meubles avec fébrilité. Il est comme un ado avant son premier rendez-vous. À force de tout retourner, il arrive à sa recherche : la cravache en cuir.
Il la prend en main, la caresse et fouette lair, elle siffle dans lair.
Et il se déchaîne fouettant à vide et à tours de bras. « Prends ça salope putain et encore ça » ... il sarrêta en sueur. « Cest fou ce qui marrive, mais cest bien agréable, je sens la vie revenir en moi » ; « mais ça doit faire mal ce truc » et il se donne un coup sur la main...
« Oh cest supportable » un deuxième coup plus fort « oui ça va » et une idée lui traverse le cerveau. Il se déshabille et va devant la glace dans la salle de bain et se donne un coup sur les fesses « bon cest supportable » puis se donne plusieurs coups en augmentant la force. A chaque coup la languette de cuir en bout claquait sur ses fesses « aie » « hum cest douloureux quand même » et regardant son derrière dans la glace il vit que celui-ci commençait à rougir !
Tandis quune chaleur sourde envahissait son arrière train. La température irradiait son bas ventre et il se mit à bander. Il se masturba lentement et pensa « elodie tu vas dérouiller demain et je te garde mon jus, salope » il alla se coucher en pensant au lendemain et il fit une nuit très érotique...
Quant à Elodie, elle restait très dubitative aussi.
« Il faut que je ratt ma bêtise » elle sorti une guêpière noire et des bas résilles noirs avec un string assorti. Puis elle choisit un pantalon blanc transparent et un chemisier blanc en dentelle. « Il faut que je joue le grand jeu si je veux sauver la face ». « Je dois avoir lair vraiment salope ». « Ça avait lair de lui plaire que je sois sexy ». « Il avait lair fâché quand même ». « Il va me punir, peut être me mettre une correction » pensa telle en étant parcourue dun grand frisson « il y a un bon moment que lon ne sest pas occupé de mon petit cul » « ça ne me ferait pas de mal de prendre une bonne fessée, je la mérite ». « Hum, sentir mes fesses toutes rouges et brûlantes, ça me manque »
Et bandante elle se coucha et se dit qu'en fait son erreur allait peut être précipiter les choses mais aussi les éclaircir et lui apporter plus de résultats. Enfin avoir un patron qui est son maître sexuel doit être excitant. Être soumise toute la journée, un rêve. Et le soir peut être quil soccupera de moi aussi, quil voudra mexhiber hum !! Un homme est possessif et aime montrer ce qui lui appartient mais tout le plaisir sera pour moi...
Au matin, Elodie se réveilla et se dépêcha de se préparer bien quelle ait largement le temps.
Elle se vêtit des effets préparés la veille. Les sous vêtements noirs traversaient les dessus blancs. Tout se devinait par transparence. « Hum ! Jai vraiment lair dune pute comme ça »
« Cest bien ça va lexciter ». Mais se posa un petit problème quElodie avait oublié. Pour se rendre à son travail elle avait 40 minutes de RER. Elle alla à sa fenêtre, le ciel était déjà bleu et la journée sannonçait superbe. « Pas moyen de mettre un imper, je vais avoir lair cloche ».
Cest donc ainsi vêtue quelle descendit dans la rue. Des petits escarpins plats terminaient sa tenue. Arrivée dans la rue elle se dit « il faut que je soigne ma démarche » et elle fit des pas plus petits en faisant rouler son petit cul. Les quelques hommes qui la croisèrent se retournèrent sur elle. Et son angoisse disparue pour laisser place à lexcitation quelle avait de se montrer. Cela satisfaisait son besoin dexhibe. Et cest le cur léger quelle marcha en roulant du cul jusquà la station de RER sans soccuper des gens qui lentouraient, plongée dans ses pensées (érotiques bien sur).
Installée dans le wagon elle choisit de rester debout, se tenant à la barre centrale. Un homme, assis à quelques mètres delle, la regardait de la tête aux pieds. Il semblait lavoir devinée. Il lui accrocha le regard et les yeux dans les yeux, il se passa la main sur lentre jambe pour lui montrer quelle le faisait bander. Elodie fixait maintenant cette bosse qui déformait le pantalon de linconnu, heureuse dexciter un male. Elle ne saperçut même pas que le train venait de sarrêter dans une gare dont les quais étaient surchargés de monde. Elle se retrouva plaquée contre la barre centrale. Elle rechercha linconnu mais il nétait plus à sa place.
« Dommage » pensa telle et le train reparti. Soudain une main passa sous son bras et vint saisir la barre. Bon tout le monde tente de se tenir comme il peut. Mais elle sentit un corps se plaquer contre le sien. Un coup de courant lui traversa le corps et un frisson la parcouru. Il nen fallait pas plus pour démarrer son imagination. De toute façon elle ne pouvait pas bouger et il lui était impossible de voir celui qui était derrière elle.
Elle décida de faire tourner ses fesses pour montrer à linconnu quelle appréciait. Après quelques moments de ce jeu, la main inconnue quitta la barre et elle sentit celle-ci toucher son cul. Cela la fit frémir. Puis la main revint et se posa sur son poignet. Elle donna un petit coup pour lui indiquer de lâcher la barre. Elodie obéit et la main guida son bras entre eux. La position était mal aisée mais Elodie comprit que lhomme voulait quelle le touche.
Elle chercha un peu et oh surprise lhomme avait ouvert son pantalon. Elodie plongeât sa main dans louverture et atteint une queue longue, fine et bien tendue. Elle la caressa et descendit tâter les boules qui étaient gonflées et pleines de jus. Elle remonta et branla la queue comme elle pouvait vu la position mais elle savait que cétait bon pour linconnu car elle entendait tout près delle une respiration saccélérer. Cela la transcenda et elle sactiva de plus en plus sur cette queue jusquà ressentir sa main inondée de sperme. Elle retira délicatement sa main et ne savait plus quen faire tant elle était gluante. Elle avait peur de se tacher. Quand une main par-dessous son épaule lui glissa plusieurs mouchoirs en papier et elle réussit en quelques mouvements à essuyer lessentiel. Pendant ce temps une voix lui murmura a loreille « merci jespère que lon se reverra, je prends cette ligne tous les jours ».
« Je dois tappeler il ou elle ?» « Elodie » répondit elle. « Tu es une belle salope Elodie » conclut linconnu.
Quelques stations plus loin, il descendit et cela permit à Elodie de voir que cétait son inconnu du début qui avait profité de la cohue pour venir se coller contre elle.
Heureuse de ce début de journée Elodie descendit de la rame et couru aux toilettes pour se laver et vérifier quelle nétait pas tachée.
Puis tout remis en ordre elle repris sa démarche ondulante et se dirigea vers son lieu de travail
Elle fut arrivée en quelques minutes. Là elle essaya de pousser la porte, celle-ci souvrit, elle continua directement vers le bureau du patron. Celui-ci travaillait assis derrière son bureau. Elodie, sapprochant devant le bureau, dit « bonjour Jean »
Celui-ci ne leva pas la tête ni ne répondit
Fin du 2° épisode
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!