Coup De Foudre
Je suis en stage à Paris, jy suis arrivé hier au soir par le train exprès de Montpellier. Je loge dans une chambre dhôtel payée par ma boite. Ce matin, comme tous les matins, jai décidé daller prendre mon petit déjeuner dans un café pas loin. Ce nest jamais quun bistrot comme les autres, sauf que la place manque. Le serveur me demande si je veux aller à une table occupée par une seule personne, une jeune fille que je vois de dos. Je nai pas le choix, jaccepte.
Quand je suis assis, je regarde cette fille et là boum dans mon cur, je tombe du ciel devant elle. Je pense que je nattendais quelle. Je ne peux quitter son regard. Je laime déjà, malgré ma copine restée sur place, cest elle qui me faut, aucune autre de la vaut. Nous prenons un air indifférent pour nous saluer. Le serveur arrive :
- Donnez moi un croissant et du lait au café pas très chaud, demande la fille.
Miracle, elle aima la même chose que moi et en plus avec laccent méridional.
A mon tour de demander la même chose quelle. Nous nous sourions, sans dire un mot il me semble que nous nous comprenons déjà.
Elle part la première. Je sors un instant plus tard, elle a disparu. Tant pis pour moi. Je pense souvent à elle toute la journée.
Le lendemain je la vois à la même table. Je vais la rejoindre. Nous nous sourions, jose lui dire bonjour. Elle répond en rougissant un peu. Nous déjeunons ensemble, le serveur sait reconnaitre ses clients, il nous porte la même chose que la veille.
Ainsi passe la semaine, sauf que le samedi jai des doutes : viendra-t-elle ? Si la voilà. Cest aujourdhui ou jamais. Nous commençons à bavarder, elle ne connait pas du tout Paris. Je connais assez bien la capitale pour y avoir fait mes études. Je me propose comme guide. Elle laccepte volontiers. Je ne suis pas un guide bien organisé. Nous sommes dans le 7° arrondissement, à coté de lEcole militaire. La seule curiosité est cette monstruosité de Tour Eiffel.
Cette fois ça devient sérieux. Nous nous regardons et nous embrassons. Nous ne savons pas nous tenir convenablement. Je commence à chercher ses seins. Elle aurait pu me rejeter. Elle accepte mes caresses. Je veux aller plus loin en posant ma main sur un genou.
Elle me demande darrêter, jen suis déçu, jai envie delle depuis que je lai vue.
Elle me fait un bisou sur la bouche, me prend la main et mentraine vers je ne sais où. Nous passons devant une pharmacie :
- Vas acheter ce quil faut.
Je ne demande même pas quoi. Jachète une grosse boite de préservatifs que je glisse dans une poche. Cette fois même si elle me conduit je prends son bras. Nous échangeons encore un bisou. Nous allons dans un bel appartement quelle occupe, elle mexplique quelle est en stage aussi, quelle occupe un logement de sa grand-mère qui ne vit plus à Paris, mais chez elle à coté de Toulouse, doù son accent.
Elle membrasse longuement à tel point quelle me fait bander. Elle sen aperçoit évidement. Pourtant elle ne fait rien pour me toucher. Jai de plus envie delle, après tout elle ne ma rien dit pour les préservatifs.
Je commence à la caresser dans le dos, elle se cambre comme pourrait le faire un chat. Je commence à la déshabiller. Elle se laisse faire en me regardant dans les yeux. Jembrasse tout ce que je découvre. Jai son approbation dans ce que je lui fait. Elle est nue maintenant devant moi : quelle est belle et sexy. Rien que sa poitrine à elle seule vaut le déplacement. Son ventre est un peu rentré. Cest cet ensemble qui la fait adorable. Je bande encore plus, je me déshabille à mon tour. Elle me regarde encore dans les yeux, puis regarde ma bite. Je me demande pourquoi elle ne me touche pas. Jai la réponse aussitôt :
- Fait attention, je te veux partout où normalement un homme entre avec son sexe, mais je suis vierge de partout.
- Avant, il faut que je te dise que je taime.
- Moi aussi, sinon je ne taurai jamais demandé de me baiser.
- Tu me veux où dabord.
- Je ne sais pas, par où tu commences avec une fille ?
- Je la suce pour la faire jouir.
- Alors suces moi, sil te plait.
En plus elle me dit des politesses. Je crois que je suis tombé sur le bon numéro. Sucer cette fille splendide, vierge qui se donne ainsi cest un cadeau du ciel. Que je réussisse à la faire jouir est mon vux le plus cher.
Je ne peux mempêcher de poser cette question qui me taraude :
- Connais tu le plaisir ?
- Oui, quand je me caresse.
Cest déjà ça, elle sait ce que jouir veut dire. Maintenant je peux la coucher, elle le fait delle même, attend ma venue pour membrasser encore plus fort : cest un baiser dun femme amoureuse, pas attirée uniquement par le sexe. Je commence à lui caresser la poitrine, je trouve des seins parfaits. Je les sens durcir. Quand ma bouche se pose sur un téton, nous nous régalons tous les deux, moi à cause de la douceur de son sein, elle à cause ma bouche qui la tête.
- Suces moi.
Je vais poser ma bouche sur son pubis. Je mets deux doigts dans la chatte. Je recherche son clitoris. Dès que je le trouve se retire mes doigtset ma bouche les remplace. Je commence à lécher ce bouton. Elle pourrai me caresser la bite, elle sen garde bien. Je me tourne pour être à laise, je suis à peu près bien mis entre ses jambes. Dabord jai une vue globale sur sa chatte et ensuite la porte ouvert pour la sucer comme il faut. Je reviens sur le clitoris. Pour sans doute être mien sucée elle met ses jambes par-dessus mes épaules. Je suis bloqué par la tête, mais jaime et son odeur et son gout. Jai sucé plusieurs filles au paravent, jamais avec cet amour au fond de moi. De toutes façons leur sexe navaient pas ces avantages.
Jarrive enfin à la faire jouir. Son premier orgasme avec moi. Jentre un seul doigt dans son vagin, je cherche le point G que je trouve facilement.
Elle me laisse faire ce que je veux de son corps. Quand je reviens à ses cotés elle me demande ce quelle peut me faire à la bite : elle la en main.
- Tu peux me branler.
- Comment je fais.
Je suis tombé sur une « innocenta » ( prononcer innoucento) qui ne connait rien ou elle le fait exprès. Je suis son premier homme.
Je lui montre comment faire. Elle se débrouille plutôt bien. Il faut que je larrête. Je lui montrerai plus tard comment me sucer et déguster mon sperme.
Je suis étonné quelle mait fait acheter des préservatifs ( à cette époque le sida nexistait pas encore). Seul procédé anti contraceptif qui existait de façon légale en France. Jenfile ce bout de caoutchouc. Jaurai aimé men passer.
Elle me regarde faire avec intérêt : elle sait où je vais mettre ma queue. Elle écarte déjà les cuisses en mattendant, elle se touche un peu la chatte comme pour vérifier quelle est toujours vierge. Elle mattire sur elle. Nous nous disons des « je taime » sans arrêt. Elle me dirige sur son vestibule et quand jy suis :
- Baises moi.
Rien ne soppose à notre union. Jentre sans aller trop vite, je traverse son hymen, je le sens et elle pousse un petit cri. Ensuite elle reste inerte. Je suis au fond de son ventre. Je commence les vas et viens. Elle reste immobile jusquau moment où elle commence à pousser des oh, ha, oui, de plus en plus forts. Je jouis dans son sexe, elle jouit également juste une demi seconde après moi. Je mécroule sur elle, mes lèvres sur les siennes. Jenlève le préservatif...
Ensuite nous parlons :
- Tu as bien aimé, je tai senti jouir.
- Oui, mais jai eu un peu mal au début. Je ne pensais pas jouir ainsi.
- Tu me sembles bien douée.
- Maintenant il faut que tu me la mettes au cul.
- Attends un peu que je récupère.
- Dépêche toi de récupérer, jai trop envie.
Cette conversation me fait bander. Elle sen aperçoit bien vite, la coquine. Je lui mouille lanus en profitant de loccasion pour le lui caresser. Je lui met mon pouce. Il rentre facilement.
Au tour de ma pine : je la met en levrette, elle me tend delle-même son cul. Cette fois jai réellement peur de lui faire mal. Elle écarte ses fesses à deux mains. Je la sens totalement décontractée. Avant dentrer je prend ses seins dans mes mains pour la peloter un brin. Je pose ma bite sur lanus, jentre dans son cul tout neuf. Je la sens se tendre un instant quand jentre le gland, puis une fois passé elle se détend totalement. Elle murmure des « je taime » et encore. Je la lui mets à fond. Quand je suis loin dans son ventre, elle pose une main sur son clitoris et le branle. Elle a compris aussitôt la meilleur façon de se faire sodomiser.
Elle dit bien aimer mon intrusion dans ses boyaux et je la sens jouir plusieurs fois. Je jouis enfin en elle, elle prend mon sperme au fond delle-même.
Nous ne faisons que baiser, comme de jeunes mariés. Le lendemain, dimanche nous oublions le bistrot.
Jai pu, au fil des semaines lui faire visiter Paris et sa Tour.
Elle est nommée à Toulouse, je fais ma demande de mutation. Depuis nous vivons ensemble avec nos déjà grands. Croyez moi, nous nous aimons toujours et baisons de mieux ne mieux.
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