Francois 6
Aveux d'un enculé
Des heures s'étaient écoulées depuis que je me suis fait prendre par mon patron et le responsable des ressources humaines. Je m'étais endormi sur le bureau où l'on m'avait baisé. Quand je rouvris les yeux il faisait déjà noir au dehors. J'avais la tête qui tournait un peu et je tremblais des jambes. Je me rhabillai et sorti du bureau. Je passai devant le bureau de Patrick le secrétaire de mon patron et vit qu'il était toujours là.
" Je m'en vais maintenant, me dit-il. Tu veux que je te conduise quelque part?
- Oui, merci. J'aimerais me rendre chez Marvin."
D'ici dix minutes nous étions déjà dans la voiture de Patrick. Une petite voiture de dernier cri et d'un confort agréable. Il a surement un salaire qui vaut le double du mien! Je me renseignai sur l'heure. Il était 18H15mn.
La voiture roulait lentement. La tête posé sur la vitre je regardait défiler les immeubles de la ville. Patrick changea de route et s'enfonça dans une sombre ruelle. Il stationna et verrouilla toutes les portes. Étonné par son geste, je me tournai vers lui. Les yeux noirs de Patrick semblait luire dans le noir.
" Tu sais, commença-t-il, j'ai toujours su qu'un jour tu prendras ma place."
Je ne compris pas ce que Patrick me disais. Je me suis mis à dévisager le garçon qui se tenait devant moi. Patrick était plus jeune que moi. Maintenant que j'y pense, il vient juste de fêter ses 23 ans. Et c'est vraiment rare de trouver des employés qui ne dépassent pas 25 ans toucher un salaire comme le sien. Il doit être le plus jeune employé de la boite. Je n'avais jamais prêté attention à lui auparavant tant il me semblait insignifiant. Patrick était mince et de taille moyenne. Peau blanche, cheveux et yeux noirs, il avait de fines lèvres roses qui inspiraient les baisers.
J'ai compris à ce moment la phrase qu'il m'a lancé. J'ai compris qu'avant moi, Robert et Julien couchait avec lui. Il n'y a qu'avec une lettre du responsable des ressources humaines qu'un employé puisse espérer trouver une augmentation.
" Tout allait si bien avant que tu ne viennes travailler dans la boite. Maintenant que tu es là, ils vont oublier mon petit cul et tu seras le favoris. Il y a longtemps que je n'ai pas vu Robert et Julien sourire de la sorte après qu'ils aient baisé. Qu'est-ce que tu as de plus que moi?"
Atterré par ce que je venais d'apprendre je ne répondis aucun mot. Patrick mis sa main entre mes jambes. Je le laissai faire en restant immobile. Ma bite se gonfla sous sa main. Il dégrafa mon pantalon et sortit ma queue gonflé de sang. Je frémissais déjà à l'idée de ce qui allait se passer dans cette voiture. Patrick se pencha sur moi et prit ma verge dans sa bouche. Sa bouche était fraiche et humide. Sa langue me procurait beaucoup de plaisir. Cela se sentais qu'il était un expert en suçage de bites. La manière dont il me suçais me fit rapidement monter au septième ciel. Sans retenu je poussai des gémissement telle une femme tant ce qu'il me faisait était bon. Je posai mes mains sur sa tête pour lui imposer mon rythme. Il se laissait faire et entrait profondément ma bite dans sa gorge. Sa bouche était un véritable sanctuaire pour les bites. Quand il sentit que j'allais venir il me suça rapidement s'attardant surtout sur mon gland. Cela décupla encore plus le plaisir qui était déjà présent. Ne pouvant plus me retenir j'éjaculai des jets de sperme sans lui avertir. Patrick avala le tout et me rinça la bite jusqu'a la dernière goutte. Quand il releva la tête, je vis de la bave sur le rebord de ses lèvres. Il me donnait l'impression d'être une vraie salope, une vraie chienne.
Il dégrafa son pantalon et j'ai compris qu'il voulait que je lui rende la pareille. C'est ce que je fis. Je sortis du slip ou il était le pieu de Patrick. Je fus étonné de voir ce qui se présenta à moi. La bite de Patrick s'érigea devant moi entre ses cuisses poilues . Loin d'être longue ou de longueur normale, elle était petite.
Nos lèvres se joignirent et on se roula une pelle d'enfer. On enleva les pantalons qui nous gênaient. Sans s'y attendre, Patrick quitta son siège pour venir se placer sur moi, mais cette position n'était pas confortable dans la voiture où l'on se trouva. On en profita quand même pour s'échanger nos chauds baisers. Toutes les vitres de la voiture étaient montées. La chaleur grimpa en nous et nous excita à aller plus loi. Nous étions en sueurs et trempions les chemises que nous portions.
Patrick me conseilla de passer sur la banquette arrière où nous serions plus à l'aise. J'obéis. Je passai le premier puis il vint me rejoindre en se mettant en califourchon sur moi, les jambes très écartées, me donnant face. Patrick passa la main sous ses fesses et pris ma bite qu'il présenta à l'entré de son cul. Doucement, je forçai son sphincter poilu. J'entrai facilement en lui. Tandis que je le limais, je regardais son visage perlé de sueurs traduire sa jouissance. Les mains posés sur ses hanches, je guidai le mouvement de haut en bas qu'il faisait sur ma pine. La voiture close faisait ressortir le son des frottement de ma queue en lui et des ses fesses claquant sur mes cuises.
Nous arrêtâmes nos ébats quand nous sentîmes qu'il nous manquait de l'air.
On se rhabilla et reprîmes la route pour l'appartement de Marvin. Tout au long du chemin, mes doigts se baladaient dans la chevelure de Patrick. On pourrait être des amis, qui sait?
A suivre ...
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