Une Grosse Surprise

Une grosse surprise

Etant tous les deux libres professionnellement, nous nous accordons de temps en temps « notre soirée de liberté » ; match de foot ou soirée entre copains pour moi, soirée filles ou cinéma, entre autre, pour ma femme. Ce vendredi, Mico m’annonce qu’elle ne rentrera pas de bonne heure, pour moi pas de problème, de plus il y a un apéro chez des copains et je compte m’y rendre. Malheureusement suite à un problème chez le copain, la soirée est annulée et n’étant pas télé, je tourne en rond à la maison. Vers onze heures, je me décide à sortir et je passe devant un établissement libertin que nous ne fréquentons pas car trop près de notre domicile. Etant seul, je décide d’y rentrer. Accueil sélectif à l’entrée mais ma tête doit leur plaire car j’ai finalement le laisser passer désiré. Intérieur chic et propre, musique douce et accueil du personnel très sympa, tout va bien.
Le salon est un peu désert, seuls deux couples dansent sur la petite piste et si le spectacle est agréable, les deux jeunes femmes ont les seins à l’air et les hommes les plotent généreusement, l’un d’entre eux ayant manifestement la main sur la chatte de sa compagne, je décide de découvrir le reste de la maison. Petit couloir, petites alcôves, back-room, tout y est, mais un peu désert. Je débouche alors dans un couloir recouvert d’une grande glace sans teint permettant de voir, sans être vu, l’intérieur d’une salle, ayant en son milieu un grand lit et actuellement celui-ci est occupé : deux femmes et plusieurs mecs (j’en compte rapidement cinq). L’un deux prend une des femmes en levrette , alors que celle–ci à le visage entre les cuisses de l’autre, lui dévorant manifestement le minou. Autour les quatre autres mecs se branlent tout en caressant, soit les seins , soit le fessier de ces dames. Je ne tarde pas à bander devant le spectacle. Je vois mal la femme se faisant prendre, par contre l’autre est en train de jouir sous l’effet de la bouche qui la suce et la fait vibrer ; son plaisir s’entend d’où je suis.

L’homme baise l’autre avec force s’enfonçant à chaque poussée jusqu’au fessier offert. Son doigt caresse l’anneau et au moment ou il se cabre lâchant sans doute sa semence, il enfonce vigoureusement le doigt dans l’anneau à peine ouvert. La femme se redresse et laisse à son tour éclater bruyamment son plaisir. Surprise, la femme se faisant mettre n’est autre que Mico, ma douce et tendre épouse ! L’homme rapidement se retire et un petit mec, maigre, le visage dur, la plaque sur le coussin et sans délicatesse, la possède. Bizarrement sa queue est disproportionnée par rapport au reste de son corps : de bonne longueur, elle semble par contre très grosse et Mico, pourtant déjà ouverte, semble encaisser avec difficulté le chibre. Il faut dire qu’il ne la ménage par et ses coups de butoirs claquent sur les fesses ; un jeune essaie de lui mettre sa queue en bouche mais la violente pénétration ne lui permet pas de garder le sexe. Il se déchaine entre ses cuisses et petit à petit le visage de Mico change ; ce n’est plus la difficulté mais le plaisir qui apparait sur son visage. Ses lèvres remuent et semblent encourager le baiseur, mais d’où je suis ,je n’entends pas. Par contre l’homme lui défonce la chatte de plus en plus vite et les cris de jouissance se répandent ; si je suis surpris par la présence de ma femme, je n’en reste pas moins très excité et sortant mon zob à l’étroit dans le pantalon, je me branle. A coté de moi, un homme, très âgé, s’astique doucement un sexe encore mou, tout en appuyant sur un bouton... Soudain j’entends les voix dans la pièce .
« Vas-y , encore… défonce moi… j’ai envie de vos bites…… putain tu me fais jouir. » Il est rare que Mico emploie ce style, mais quand elle prend son pied plus rien ne la retient. J’ai envie d’y aller mais pourtant je reste sur place, sans doute pour voir jusqu’où elle va aller. Ses cris ont alerté d’autres hommes et même les deux femmes de la piste de danse. Le minus a vidé ses couilles et la queue molle, il se retire, laissant la place libre... Deux mecs attirent alors Mico, l’un se couchant sur le dos, la queue droite ; sans difficulté elle se plante sur le mat dressé et c’est elle qui donne le rythme. L’autre ne lui laisse que peu de temps car la plaquant sur le torse velu, il se présente derrière elle ; lui écartant les lobes, il découvre son sillon et la queue qui écartent ses lèvres pleines de cyprine ; son gland glisse sur la fente, titille l’anneau , pour finalement s’engager dans la chatte déjà occupée. Sous la surprise, elle se cabre mais rien n’y fait et c’est finalement deux bites qui la baisent ! Sous la double pénétration, elle ne tarde pas à partir de nouveau et ses yeux se voilent, tant le plaisir est évident. Ses cris emplissent la pièce ; il faut reconnaitre que la défonce est puissante, même si elle est courte et se retirant il lui déverse ses jets de sperme sur l’anneau ; la jute coule dans le sillon. Si j’étais à coté, je l’enculerais sans ménagement car son anneau est déjà entrouvert. J’ai du penser très fort car un jeune beur s’approche le mandrin dressé à la main. Sans attendre il se pose sur son trou et d’une poussée il l’encule ; Mico hurle sous la poussée ; le gland s’enfonce rapidement, puis poussant à nouveau ses couilles viennent frapper la vulve encore prise. Sans attendre , il se retire complètement pour à nouveau s’enfoncer d’un coup sec ; à nouveau cri de douleur, puis au fur et à mesure que son bourreau la fourrage, ses cris sont remplacés par des gémissements puis par des cris de jouissance. Elle se tortille sous l’emprise des deux sexes qui la besognent, allant manifestement à la rencontre de cette double pénétration. Devant elle une queue se présente et elle l’avale goulument ; ne pouvant se retenir , c’est lui qui s’enfonce entre les lèvres et il la baise intensément avant de lui juter toute se semence. Baisée de toutes parts, elle prends son pied et quand il se retire de sa bouche je l’entends râler puis réclamer
«Encore, baisez-moi ….. Continue défonce moi le cul, je suis votre pute, je vais vous vider les couilles«
J’ai la trique douloureuse et j’ai envie de jouir. A coté de moi un homme baise une jeune femme la jupe relevée, elle fixe le tableau devant elle. Son mec la baise tranquillement sans réellement s’occuper d’elle « putain quelle salope, elle en prend plein les trous…… Je voudrais aller la défoncer, pas vous ? » Je le regarde, la queue à la main « c’est ma femme, vous pouvez, elle va aimer » sidéré le mec me regarde, puis sa nana se penche sur ma queue et l’embouche, me masturbant d’une main et me tirant sur les couilles de l’autre. A ce petit jeu, je ne tarde pas à jouir et mon sperme lui déborde des lèvres, très vite je reviens sur la scène devant moi.
Mico a changé de partenaire et à nouveau elle se fait démonter par deux mecs, tantôt en double vaginale tantôt avec un dans la chatte et l’autre dans le cul. Je l’entends gémir, elle n’est plus qu’une vrai salope se faisant baiser, réclamant à grands cris une bite dès que l’un de ses assaillants la quitte. Ce n’est qu’une suite de pénétrations et de sa chatte et de son cul, s’écoule le trop plein des sécrétions. Elle est pleine de jute et je me retiens d’aller la baiser, comme les autres, la prendre comme une pute. Petit à petit le nombre de mecs diminue, mais je pense qu’elle a dut s’en prendre une bonne dizaine dans tous les trous, certains étant revenus plusieurs fois, la baisant, l’enculant ou se répandant sur son visage ou dans sa bouche offerte. Je me prépare à partir quand deux mecs l’investissent à nouveau, mais cette fois c’est une double anale qu’ils lui infligent. De bonne taille tous les deux, la première passe facilement, mais quand le deuxième présente son gland contre l’autre queue et d’une poussée déchire le passage elle pousse un hurlement. Dilatée par les deux verges, son anneau a du mal à encaisser. Sans aucun ménagement, celui qui mène le jeu lui laboure les entrailles en l’injuriant « tu voulais te faire défoncer, tu vas être servie, demain tu te souviendras je te le promets » les deux queues lui démontent l’anneau et je l’entends gémir. Je ne sais plus si c’est la douleur, mais elle ne se débats plus ; à grand coup de piston, il la pénètre à fond, son bassin tapant à chaque fois contre ses fesses. Les deux glissent l’une sur l’autre, mais ils doivent retenir leur jouissance car ils s’arrêtent de temps en temps, au grand dame de la femelle qui en réclame plus :
« encore, je veux vos bites……. Plus fort, ne t’arrête pas….. »
« T’es vraiment une salope, pas vrai. Allez dis le……. »
« Oui je suis une salope…. Je vous appartiens, je vais jouir…. »
Puis plus rien... Surpris, ils découvrent qu’elle vient de perdre connaissance et ils se retirent inquiet ; petit à petit elle revient à elle et sonnée elle les embrasse.
« vous m’avez fait partir de plaisir, je n’en peux plus «
Je comprends qu’elle va partir et je me dépêche de rentrer et de me coucher. Un peu plus tard j’entends ses pas dans la chambre ; elle a pris une douche et elle se love contre moi. Je ne bouge pas, demain il fera jour et je lui réserve à mon tour une petite surprise...