En Pleine Nature

Il y a des matins comme ça, où depuis mon réveil je sens bien, que ma journée ne pourra pas réellement commencer avant que je me fasse plaisir. Ce samedi là j’avais tout mon temps et en buvant mon café une envie s’est emparée de mon esprit et ne voulait plus le quitter. On était début septembre il faisait encore très bon dehors. Je n’ai pas hésité longtemps à me décider d’aller me perdre dans les forets de ma campagne. Je suis allé sur un site d’histoires érotiques et j’ai imprimé une dizaine d’histoires d’un thème qui m’excite bien. J’avais choisi des récits d’une femme avec trois hommes. J’ai pris une serviette de plage (le confort est important), une bouteille d’eau et mes histoires.

Me voilà donc parti, j’ai marché une petite demi-heure et je dois dire que j’ai failli faire demi tour. J’avais oublié que c’était la période de la chasse et des chasseurs. J’en avais déjà croisé 2 avec arme et tenue adéquate !!! Mais l’envie était plus forte.

J’ai quitté le chemin et je me suis enfoncé dans la forêt. Je me suis arrêté dans un endroit sympa, un peu dégagé mais assez loin du chemin. J’ai étalé ma serviette, j’ai regardé et écouté un peu autour de moi et comme j’entendais aucun bruit suspect je me suis déshabillé entièrement et je me suis allongé sur le dos, mon sac sous la tête. Je suis resté un moment comme ça à profiter du soleil et de l’air sur moi. J’étais déjà bien excité mais je n’étais pas tranquille et attentif aux bruits autour de moi. Mais je ne suis détendu petit à petit et je bandais de plus en plus.

Alors j’ai pris les histoires et j’ai commencé à lire. La première histoire racontait comment une femme s’était laissé faire avec 3 maçons qui travaillaient dans sa maison. Pas très original, mais l’effet procuré me plaisait. J’ai eu très rapidement la main gauche sur mon sexe tout en lisant. Je me caressais doucement sans trop toucher mon gland, en le laissant encore sous la peau. J’étais complètement absorbé par mon plaisir.

Je lisais et lentement petit à petit millimètre par millimètre je décalottais mon gland, sans trop appuyer dessus. C’est à la fin de la deuxième histoire, que j’ai posé les feuilles et le regard fixé sur mon pénis j’ai fait descendre ma main jusqu’à la base pour me décalotter à fond. J’ai lâché mon sexe et me suis plongé dans une nouvelle histoire d’une fille qui avait pris 3 auto-stoppeurs. Je m’efforçais de ne pas toucher mon sexe mais je ne sentais tendu et bouillant.

J’ai mis de la salive sur mes doigts et j’ai recommencé à me branler en frottant mon gland avec mes doigts plein de salive. J’avais oublié mes histoires, j’étais bien trop excité. Je me massais doucement, je remettais de la salive pour que ça glisse, j’accélérais et je ralentissais, tout pour mon seul plaisir. J’étais là en train de faire monter ma jouissance, le sexe plein de salive quand d’un coup j’ai entendu des pas et deux personnes qui parlaient. Je me suis tétanisé, les deux mains sur mon sexe. J’étais paniqué, je ne savais pas quoi faire. Je ne pouvais pas me lever et aucun endroit où me cacher. J’étais planté là, à scruter le son de la voix des deux hommes. Je craignais de les voir surgir d’un coup en face de moi …

Mais je sentais quand même les à-coups de ma queue contre mes mains. Je bandais toujours, c’était fou parce que je n’en menais pas large. J’avais la tête entièrement tournée vers le bruit des chasseurs mais mon corps avait envie de jouissance plus que tout ! Et enfin je les ai vu passé sur le coté, à travers les arbres, ils étaient à une dizaine de mètres pas plus. Dès qu’ils ont disparu, j’ai empoigné mon sexe, je les entendais toujours mais c’était trop bon, j’avais trop envie de jouir. J’ai remis de la salive dans la paume de ma main droite et je l’ai refermée sur ma queue. Les bruits de succion de mon sexe dans ma main ont fait qu’accroitre mon excitation. J’ai accéléré petit à petit, j’en pouvais plus, je me retenais le plus que je pouvais avec à la fois l’envie de jouir et celle de faire durer. Mais j’ai tout lâché, mon corps s’est tendu et dans un râle de soulagement j’ai éjaculé, une fois, deux fois. Je n’arrivais pas à arrêter ma main tellement c’était bon.

J’avais vite oublié que les deux hommes n’étaient pas très loin et putain que c’était bon !!! Je suis resté un bon moment à savourer le plaisir que j’avais pris.

Mais le souvenir des 2 chasseurs est revenu et je suis me vite habillé et je suis rentré.