Perrine

Je précise que je suis hétéro. J’adore mon mari surtout depuis notre mariage il y a 5 ans. Avant lui j’en ai connu des bites, des minces, des longues, des grosses. Sauf que celle que je préfère est la sienne. Je lui demande de me la mettre partout où c’est possible. Il m’arrive aussi de lui demander de me faire jouir en public, par exemple moi accoudée à une balustrade, la jupe relevée, et lui derrière moi qui me baise ou me sodomise : je n’ai pas de préférence.
Ceci posé, je vais raconter une aventure extraordinaire pour moi.
En face de chez moi, au même étage habite une fille de mon âge : brune aux cheveux très longs. La première fois que je l’ai vue je me suis dit qu’elle était belle, j’en était jalouse. Puis je, l’ai trouvée sexy. Enfin j’ai eu envie de faire l’amour avec elle. Il faut que je dise que mon mari me demandait de baiser avec une autre, il m’avait ouvert une nouvelle voie.

Je ne savais comment lui faire comprendre que je voulais coucher avec elle.
Tout c’est joué au bureau de tabac. En achetant des timbres nous nous sommes bousculées. Pensant que c’était sa faute, elle s’excuse. Nous sommes sur le point de nous chamailler pour savoir laquelle était fautive. La discussion a pris fin devant un café au bar d’à coté.
Je ne sais pas comment j’ai eu le courage de lui dire qu’elle me plaisait et comment elle a pu répondre tranquillement que moi aussi je lui plaisais... Nous sommes cote à cote, j’ai pris une main pour la caresser, elle s’est laissée faire, son regard est souriant. Je porte sa main sur ma bouche pour l’embrasser. Quand mes lèvres quittent sa main à son tour elle embrasse la mienne.
Nous nous regardons amoureusement, finalement c’est elle la première qui ose m’embrasser sur la bouche : pas un baiser profond, simplement sur les lèvres, comme ça, vite, comme par accident.
Quand nous sommes sorties nous nous tenons par les mains, comme de sages écolières. Nous allons dans notre quartier.

Nous avions le choix entre chez moi ou chez elle. Elle préfère aller chez elle. Je l’ai suivie.
J’ai appris son prénom en marchant, prénom qui m’a fait sourire : Perrine, comme chez La Fontaine.
Nous avons juste le temps d’entrer chez elle et nous nous jetons dans les bras de l’autre, nos bouches collées. Pour moi, en tout cas c’était ma première conquête féminine, malgré ça, je participe : ma langue entre dans sa bouche à la recherche de la sienne. Je sens déjà mon slip trempé. Je mouille comme rarement, je brule du désir de l’avoir entre mes bras, nue, contre moi, une de mes mains dans sa chatte. Pourtant c’est Perrine qui m’attaque :
- J’ai envie de toi.
- Moi aussi.
- Tu veux qu’on baise ?
- Je suis là pourquoi ?
- Je vais te montrer...
Elle commence à me déshabiller, ses baisers suivent toutes les surfaces de mon corps dévoilé. Je me retrouve nue plus vite que je ne le croyais. A mon tour d’exercer mes talents, je fais comme elle, en tombant sa robe dévoile le haut de sa poitrine. J’embrasse les deux épaules, puis, ayant enlevé le soutien gorge ma bouche est sur le premier sein venu : je suce son mamelon qui enfle dans la bouche. Je défais la ceinture, la robe tombe près de ma jupe. Tant pis pour elle, elle porte une culote qui me plait, je passe à coté pour aller loger ma main sur la chatte.
Il n’est pas question de me laisser la branler seule. Sa main est sur moi qui suis nue, totalement nue. Elle a plus de facilités que moi pour caresser le principal. Je fais comme elle, j’écarte les jambes. Cette masturbation commence bien, très bien même. Nous ne tenons pas longtemps. J’en suis surprise quand je jouis.
En regardant rapidement par la fenêtre nous voyons un jeune qui agite ses épaules en regardant vers nous :
- Il y en a un qui prend son pied tout seul.
- J’aime être vue quand je baise.
- Tu es servie, il vient de jouir je crois.
- Comme nous.
- Viens au lit nous serons mieux.
Tu aimes baiser avec un gode ?
- Pourquoi pas.
Nous allons dans la chambre, nous ne nous couchons pas de suite, il faut avant fatiguer nos lèvres en baisers longs et profonds. C’est aussi nécessaire que de caresser les seins avant de revenir sur les chattes. Je fais sur Perrine comme pour moi : je caresse son clitoris juste pour l’exciter comme je veux, ensuite j’entre deux doigts dans son conduit vaginal. Je la sens résister pour ne pas jouir. J’arrive à mes fins.
Elle ne se gêne pas non plus pour me caresser l’endroit le plus approprié pour me faire jouir vite : le bouton. Elle aussi me doigte avant de mettre deux doigts sur l’anus. Elle en caresse le tour. Tout ce qu’elle m’a fait me donne un orgasme.
Sans rien dire, ensemble nous entrons un doigt dans le cul. Nous nous regardons dans les yeux comme complice de ce que nous faisons.
Nous aimons la sodomie, heureusement.
Nous nous couchons enfin normalement, presque normalement. Je suis couchée sur le dos, les jambes déjà ouvertes, Perrine est sur le coté, sa bouche sur la mienne, une main sur mon sein gauche, elle le pelote calmement en pinçant légèrement le téton. J’attends qu’elle viennent encore sur ma chatte. Sa bouche passe sur mon sein et descend encore sur mon nombril où elle entre sa langue à la recherche de je ne sais quoi, sinon de mon excitation.
Brusquement, sans rien dire, elle fait un tête-à-queue: je me trouve ainsi avec sa bouche fort près de mon pubis, le sien est près de moi. Je ne suis pas experte en la matière : je comprends ce qu’elle me demande, surtout quand la bouche prend mon bouton, elle l’aspire, le lèche, elle me rend heureuse, surtout qu’elle me doigte habilement. Elle entre deux doigts dans le vagin et un autre dans le cul. Cette Perrine à le diable dans ses mains.
Je ne fais rien de plus qu’elle, je prend aussi son clitoris, le lèche et la doigte. J’ai oublié volontairement son anus. Qu’elle patiente un peu... Je la fais jouir avec son clitoris et mes doigts.
Je pose ma langue sur le cul. Je la frotte sur l’anus et tranquillement en forçant à peine j’entre. Je la ressors pour la faire entrer à nouveau, bref je l’encule.
Nous formons le chœur antique des gémisseuses.
Cette première fois tant pour Perrine que pour moi se déroule fort bien, trop bien sans doute.
Nous changeons de position: je suis sur elle maintenant. Le seul grand changement est que je baisse la tête au lieu de la lever. Les résultats sont les mêmes : nous ne cessons de jouir.
Quand nous arrêtons, je me rappelle que j’ai un mari et qu’il faut que je rentre chez moi. Dommage.
Un dernier baiser : à demain.
A demain, c’est venu comme ça, naturellement. Pourquoi pas ? C’est agréable de s’amuser ainsi entre fille. Je reviendrai. Mais qu’est-ce je vais dire à mon mari ? Je le demanderai demain à Perrine. Elle veut peut-être se faire mettre. En plus nous avons oublié de nous servir du gode. Il faut que j’y retourne demain.
Ce soir mon mari me baise, il est étonné de me voir si mouillée et si réceptive à sa queue !!!

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!