Désiré Et Gourmet (Partie 1)
Je viens de fêter mes 30 ans et, charnellement, j'hésite encore entre deux chemins à emprunter : l'hétérosexualité et l'homosexualité. Chevaucher une femme me fait jouir, c'est certain, mais, lorsque le plaisir jaillit et que mon foutre se répand, mon esprit s'égare et mon imagination dérive vers d'étonnantes visions : Deux queues branlées par une même main, un fondement engloutissant un énorme membre, le baiser à pleines bouches de deux mâles aux tétons mutuellement sucés et caressés, etc... J'en viens à confondre l'éjaculation de l'instant dans une chatte féminine avec celle qui me serait peut-être possible en me faisant sucer par une bouche masculine. Dilemme...
Que faire, sinon tenter l'aventure homosexuelle pour assurer enfin ma stabilité d'esprit ?... La pression psychologique, provoquant simultanément, dans mon pantalon, celle de ma queue raidie par la moindre envie de rencontrer le sexe d'un autre homme, me décide. Et, appliquant l'adage « qui ne tente rien n'obtient rien », un lundi soir, je pars à travers ma ville à la recherche d'une aventure masculine.
Tout en marchant et échafaudant mille scénarii, une envie d'uriner me porte vers des toilettes publiques situées à l'angle de deux rues faiblement éclairées. Il fait déjà nuit et ces toilettes sont bien sombres. Qu'importe ! Je me positionne devant un urinoir, ouvre ma braguette et commence à uriner quand je remarque des graffitis sur le mur face à moi : « Belle queue de 30 cm x 6 cherche joli cul à défoncer. Donner rdv un mercredi vers 22 heures. Discrétion et hygiène demandées »
La lecture à peine terminée, je bande d'envie tout en pensant que, si ma propre queue atteint de correctes dimensions (18cm x 5) au-dessus d'un paquet de couilles pouvant confortablement tenir dans le creux d'une main de femme, là, quelqu'un propose un rendez-vous proprement extraordinaire. D'une poche, je sors un stylo à bille et écris dans le prolongement de l'annonce : « Tenté par proposition.
Attendre me paraît long. Le 18 septembre arrive enfin et, à 22 heures tapantes, j'entre dans les toilettes publiques aussi sombres qu'il y a deux jours. Je me positionne devant le même urinoir quand une main me caresse une fesse et une voix me murmure à l'oreille :
-C'est toi qui a répondu à l'annonce ?
-Oui, c'est moi...
-Tu as donc envie d'être monté par un bon étalon ?
-Je l'espère. Je ne sais pas encore... Si cela doit arriver, ce sera ma première aventure avec un autre homme...
-Retourne-toi et regarde mon entre-cuisses !
Je me retourne pour faire d'abord face à homme d'environ 50 ans, légèrement plus grand que moi (je mesure 1m78), au visage avenant et souriant, élégamment vêtu, puis dirige mon regard vers son entre-cuisses. Il ouvre lentement sa braguette d'où il extrait une bite comme je n'en avais encore jamais vue : Un cylindre d'une vingtaine de centimètres de long, bien large, au gland proéminent et luisant. D'une main, il redresse ce superbe sexe, fait apparaître un extraordinaire paquet de couilles puis me dit :
-Là, tu vois, cette queue ne bande pas. Tu peux l'imaginer bien raide ? Dix centimètres de plus...
-Peut-être...
-Tu es toujours tenté ?
-Je suis bouleversé. La tentation est extrême. J'ai envie de faire l'amour avec vous, j'ai envie de votre queue, de baiser avec vous. Envie, envie...
-Alors viens...
Il replace sa queue dans son caleçon, referme sa braguette. Nous quittons les toilettes publiques. Je le suis jusqu'à une berline stationnée non loin. Une fois dans la voiture, lui au volant et moi à son côté, il me dit :
-Appelle-moi Désiré puisque tu souhaites subir mon bel engin. Moi, je t'appellerai Gourmet.
Puis il se penche lentement vers moi, saisi ma nuque d'une main et pose doucement ses lèvres sur les miennes. La sensation est très forte. Instinctivement, j'ouvre ma bouche et, toujours lentement, je sens sa langue la pénétrer, chercher ma propre langue et commencer à jouer avec.
Instinctivement, je pose une main sur sa cuisse droite mais... Ce n'est pas sa cuisse que je caresse : un énorme gourdin posé tout au long, sa queue. Elle bande ! C'est stupéfiant... Je n'en fais pas le tour avec ma seule main... Et cette longueur... Il quitte alors ma bouche, nous reprenons notre souffle, et il me dit :
Gourmet, je crois que nous allons vraiment nous régaler tous les deux. Cette fois, le hasard d'une annonce a bien fait les choses.
Désiré lance alors sa berline dans la circulation. Nous roulons quelque temps en silence, un silence lourd de désirs, puis parvenons à l'entrée d'une propriété.
Le véhicule roule sur environ 300 mètres d'une allée gravillonnée avant de s'arrêter devant le perron d'une demeure cossue. Nous sommes parvenus à la périphérie de la ville, dans un secteur bourgeois. Tout est silence. Tout paraît également calme et sombre. Désiré me sent hésitant :
-Nous voici chez moi. Cette propriété est un héritage de mes parents, j'y habite seul. Maintenant, cette nuit, tu es mon invité. Si, comme je le souhaite, nous pouvons nous apprécier, devenir partenaires, devenir amants gourmands l'un de l'autre, tu pourras être ici chez toi...
-Je n'en espérais pas moins, tant la puissance intellectuelle peut nourrir et exacerber notre imagination. Sans doute, faire de nous deux amants insatiables...
Désiré me retourne mon sourire, me regarde avec un air attendri, plonge une main vers ma braguette, malaxe mon entre-cuisses au point de me faire bander puis sort rapidement de la berline :
-Suis-moi !
Je m'empresse et, l'un suivant l'autre, nous gravissons les marches du perron. Un tour de clé, Désiré ouvre la porte d'entrée, allume les lustres d'un vaste corridor puis, sans hésitation, me plaque dos contre un mur.
Nos bouches se séparent et Désiré me conduit dans un vaste et confortable salon. Nous nous asseyons l'un à côté de l'autre sur une large banquette en cuir et il me prend une main qu'il pose sur la braguette de son pantalon. Je frémis. Enfin ! Avec un sourire gourmand, il me dit :
-Maintenant, Gourmet, tu vas découvrir l'objet de tes fantasmes. A toi d'agir...
Savourant l'instant qui va sceller notre relation, je défais sa ceinture, ouvre lentement sa braguette et abaisse le haut de son pantalon. Sous mes yeux gonfle un caleçon de façon démesurée. De tous côtés s'en échappent des touffes de poils noirs et soyeux. Une forêt de poils sur lesquels, moi qui ait tant apprécié le doux spectacle et les caresses des chattes poilues de mes ex-maîtresses, je n'hésite pas à frotter mon visage pour m'enivrer de leur fragance, pour en savourer la douce tiédeur. Je me saoule déjà d'un réel plaisir olfactif et soyeux.
Désiré ne dit rien, ne bouge pas. Seul son caleçon palpite et continue de gonfler. Délicatement, avec une lenteur mesurée, j'abaisse alors ce caleçon. Son sexe se libère alors d'un coup, jaillissant devant mes yeux éberlués. J'ai beau avoir de l'imagination, ce qui se trouve là est fantastique : le braquemart de l'annonce (30 cm x 6), l'offre de Désiré...
Je ne touche pas, je regarde. Je contemple une queue longue et noueuse, épaisse, aux veines saillantes et au gland magnifiquement dessiné, bien ourlé et luisant, joliment mise en valeur par son écrin de longs et nombreux poils.
Je tire davantage sur le caleçon et les couilles apparaissent : un sac lourd et pesant que je prends tout de suite dans mes mains pour en éprouver la douceur de peau autant que le volume des deux testicules qu'il contient. Il me faut bien deux mains pour tenir cet imposant paquet.
Désiré se libère de son pantalon et de son caleçon, enlève ses chaussures et ses chaussettes puis me caresse les cheveux, disant :
-Cette bite hors normes, ces couilles volumineuses et ce large écrin de poils, voilà mon cadeau pour celui qui a répondu à mon annonce. Il va te falloir maintenant en devenir digne...
Je n'ai pas encore touché l'imposante queue. Je retire alors une main de dessous le paquet de couilles pour la promener, très lentement, le long de sa hampe, de l'écrin de poils jusqu'au gland. C'est doux, chaud et vibrant. Je sens la tension qui habite cette queue. Je sens la hâte de ces couilles bien remplies. Je ressens l'attente impatiente de l'acte sexuel... Le moment est devenu exaltant. Vais-je pouvoir me maîtriser encore quelques instants devant une telle tentation ? Vais-je pouvoir adapter ma bouche, ma rosette, mon corps tout entier aux exigences d'un tel appareil ? Mon envie qui devient désir fou suffira-t-elle ?
(à suivre...)
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