Découverte Lesbienne

Catherine est sur le divan, devant la télévision qui diffuse son lot d'inepties. Je la regarde avec tendresse car elle diffuse autour d'elle comme une aura de douceur.

A la voir ainsi posée, je ne peux m'empêcher de la scruter. Il est tard et elle ne porte qu'une liquette sur un caleçon bien large.

Catherine est ma cousine avec trois ans de plus que moi. Elle a fêté ses 22 ans et je suis l'invité chez elle pour passer une semaine de vacances à Toulon.

Je suis impressionnée par la lenteur de ses mouvements. L'ensemble de ses gestes est comme une danse sensuelle indienne où chaque déplacement correspond à un sens.

A la voir faire, il n'y a rien de particulier puisqu'elle se coupe les ongles. Autant l'action est vulgaire qu'avec Catherine, cela devient une mise en avant de la féminité.

Je suis à la table de salon avec un livre que j'ai abandonné contre l'observation de cette admirable personne.

Catherine a posé un pied sur le bord du sofa et elle s'appuie sur sa jambe relevée pour travailler avec précision sur ses ongles.

Je ne suis pas lesbienne et l'idée ne m'a jamais effleurée. En fait, si on oublie le baiser sur la bouche échangé avec ma meilleure amie pour voir ce que cela faisait, je n'ai jamais eu de pensées érotiques pour une autre nana.

Vierge encore, l'idée du sexe n'est pas prédominante chez moi et j'ai plutôt une obsession pour mes études que je veux réussir pour rapidement devenir autonome.

A regarder Catherine, sa position et la vue qu'elle offre sans aucune gêne, je ne m'aperçois même pas que mon corps réagi.

Mon regard posé sur Catherine dans son ensemble glisse sur son anatomie et je détaille chaque parcelle de peau.

Son visage est en parti caché par sa chevelure auburn qui lui masque un côté complet. La silhouette de son nez, sa pommette et sa bouche aux lèvres légèrement gonflées l'a fait ressembler à une photo de magazine de mode.



Penchée comme elle est donne l'occasion de voir un sein libre dans une liquette ouverte et bien ample. Je ne peux que comparer avec ma propre poitrine qui est un peu lourde et je la trouve dotée d'une poitrine tout aussi avantageuse que moi. Pour une fois, je me trouve des attributs à la hauteur de ma tendre cousine.

Mon regard s'attarde sur la peau laiteuse de sa jambe relevée. Il n'y a pas trace de cellulite et les jambes sont fines et longues.

Entre le refus et la curiosité, je regarde la tâche sombre visible entre l'arrière de la cuisse et le tissu du caleçon lâche.

Mon ventre se chauffe tout seul à la vue de la toison de ma cousine. Honteuse mais impossible de m'arrêter de regarder l'emplacement du sexe de Catherine, mon esprit s'égard dans des pensées érotiques et de plus en plus torrides.

Sans même m'en apercevoir, je pousse un soupir lourd de sens.

A ce moment, Catherine relève la tête et me regarde avec un sourire.

J'ai à peine le temps de retirer mon regard de ses hanches et je me sens rougir à une vitesse effroyable.

Catherine ne dit rien et reste dans la même position à me regarder.

Je voudrais devenir une petite souris et me cacher au fond d'un trou. J'ai l'impression que Catherine m'a vu baver devant elle comme un voulant un bonbon avec gourmandise.

Avec beaucoup de maladresse, je lui demande pardon mais Catherine fait mine de ne pas comprendre ma gêne.

Finalement, elle me dit que je peux la regarder autant que je veux si ça me fait du bien.

Honteuse est un mot faible pour dire dans quel état je suis et je dois m'enfuir dans les toilettes pour pleurer silencieusement tellement je me sens fautive.

Rien n'y fait et j'ai comme des gravures du sein et de la toison sombre de Catherine dans la tête.

Au bout d'un moment, c'est Catherine qui tape à la porte des WC et je dois revenir dans la réalité.


Je sors mais j'ai peur d'affronter Catherine et ce qu'elle doit penser de moi.

Catherine m’empêche de fuir et me prend par les épaules pour me regarder en face. J’ai les yeux encore rouges d’avoir pleurer.

Elle me dit avec sa voix toujours aussi claire et douce :
- « Tu n’as pas à avoir peur de tes pensées et de tes envies. Entre nous, tout peut se passer et jamais rien ne sortira d’ici. Je peux même t’avouer que je suis heureuse que tu me regardes avec le désir dans les yeux. »
- « Mais… ! »
- « Si tu veux parler de sexualité, je suis là pour toi et ne t’inquiète pas, j’ai l’esprit large ! » ajoute elle avec un sourire coquin.
- « …C’est nouveau pour moi… » dis-je avec hésitation
- « Si tu veux, on va profiter de ta semaine de vacances pour te libérer sexuellement »
- « Merci… mais… » je bafouille sans vraiment savoir ce que je veux dire.

Avant que je dise quoi que ce soit de plus, Catherine m’embrasse sur la bouche.

Je suis coincée contre le mur, dans le couloir, et ce baiser m’électrise. Catherine reste devant moi et me regarde fixement. Son regard glisse vers ma poitrine qui a du mal à respirer.

J’ai encore la chaleur de ses lèvres sur les miennes et mon ventre se crispe. Le regard de ma cousine sur moi me réchauffe et une partie de mon être aime cette situation. J’ai l’impression de ressentir son désir me pénétrer et prendre possession de mes idées.

Catherine se penche vers moi et me dépose un second baiser sur la bouche. Cette fois-ci, ma bouche se desserre légèrement sans pour autant s’ouvrir. Quand ses lèvres chaudes s’éloignent et laisse les miennes seules avec la sensation d’humidité froide, je passe ma langue subrepticement pour éloigner la sensation de vide.

Catherine s’approche légèrement de moi et nos seins se touchent doucement. C’est magique et j’adore ce contact. Ma cousine s’avance encore une fois pour m’embrasser mais cette fois, ma bouche s’ouvre et notre baiser devient plus sensuel.


La langue de Catherine s’insinue en moi et nous nous retrouvons rapidement avec nos langues fouillant la bouche de l’autre.

C’est le point de départ pour Catherine pour m’attirer contre elle. Elle n’a pas d’effort à faire car c’est moi qui la prends dans mes bras. Le baiser est sans fin et je ferme les yeux.

Les mains de Catherine me caresse le dos et descendent vers mes reins avant de glisser dans mon pyjama pour me caresser le haut des fesses.

Ses caresses me donnent du courage. Mes mains suivent le même chemin pour se glisser dans le caleçon. Mes mains touchent la peau des fesses de ma cousine et je me promène sur la naissance de la raie de ses fesses. Mes doigts sont à quelques centimètres de son sexe et Catherine bascule son bassin pour se frotter contre mon ventre.

Catherine est plus grande que moi et mes mains peuvent aller plus loin que les siennes. Au deuxième balancement de son bassin sur mon ventre, je tends mes mains au plus loin et je touche du bout des doigts les poils de son sexe. Catherine se redresse sur la pointe des pieds et souffle un « Vient » plein de désir et d’impatience.

Les quelques centimètres gagnés par l’effort de Catherine me donne l’occasion d’avancer mes mains qui trouvent la chaleur humide de son sexe.

Catherine lève une jambe et appuie un genou sur le mur derrière moi. Dans le même mouvement, elle déboutonne rapidement un ou deux boutons de sa liquette et libère un sein avec un téton tendu et crispé.

L’humidité du sexe de Catherine me donne le vertige. Je laisse une main toucher son anus et l’arrière de son vagin pendant que mon autre main passe par la cuisse relevée pour filer le long de sa peau.

Sans hésitation, ma main avance dans le caleçon et mes doigts trouvent l’antre du sexe ouvert et délicatement mouillé de la cyprine de ma chère cousine.

Catherine pousse un gémissement alors que deux doigts s’enfoncent en elle jusqu’à la garde.
Habituée à me masturber, je lui fais ce que j’aime le plus avec un mélange de pénétration et d’écrasement du clitoris.

De mon côté, ma culotte doit ressembler à un ruisseau tellement j’ai le ventre brûlant. En ouvrant les yeux, je vois le sein de ma cousine qui se balance à quelques centimètres de moi.

Je me baisse et je tends la langue pour lui attr le téton.

Catherine pousse un autre gémissement et s’att le sein pour me le donner.

Je commence à téter son néné quand Catherine me demande de venir avec elle dans la chambre. Elle m’att la main encore humide de son sexe et m’entraine à sa suite pour filer dans son lit.

Les draps volent et Catherine se met nue. Sans plus de gêne, je me mets nue aussi et nous nous glissons dans le lit froid.

Catherine m’embrasse sur la bouche et nous nous frottons l’une contre l’autre. Sa jambe se glisse entre les miennes et ma cousine se frotte le sexe contre une des mienne.

Rapidement, nous trouvons une position au plus haut sur nos cuisses pour pouvoir frotter nos sexes. Je découvre un plaisir jamais atteint lors de mes caresses secrètes.

Catherine me caresse les seins qui se balancent au gré de mes frottements sur elle. Une vague de plaisir me submerge et Catherine en profite pour glisser ses doigts dans mon vagin en se faufilant par l’arrière.

La soirée et une grande partie de la nuit sont remplies par des gémissements et des caresses.

L’odeur de nos sexes est dans la pièce et cela nous motive pour recommencer encore une fois. A chaque fois que la fatigue semble nous attr, un simple mouvement de drap nous remonte l’odeur de nos sexes et l’une de nous glisse sa main pour caresser l’entre-jambes de l’autre.

La fatigue nous a terrassé finalement et nous nous endormons enlacées.

Le matin m’accueille avec l’odeur du café chaud et le pain grillé. Le sourire de Catherine me réchauffe le cœur.

Catherine est juste enveloppée dans un déshabillé léger. Elle est radieuse.

Juste après le déjeuné, nous passons dans la baignoire pour un bain en commun pendant lequel des caresses furtives relancent les désirs.

A peine essuyées, nous rejoignons le lit pour le pas le quitter de la journée.

Catherine commence par m’embrasser les lèvres avant de descendre sur le cou et mes seins. Rapidement, ses baisers se glissent sur mon ventre pour rejoindre mes cuisses et ma toison.

Le contact de sa langue sur mon sexe ouvre la porte des plaisirs et je me livre à elle en ouvrant mes jambes. Elle me dévore en m’offrant des sensations merveilleuses.

Excitée au plus haut point, je me fais un plaisir de l’embrasser partout aussi. Catherine s’allonge sur le dos et j’ai le loisir de regarder son vagin ouvert et luisant de cyprine.

L’odeur est enivrante et je lui avale le sexe avec gourmandise. Pris dans le plaisir partagé, je me retrouve à me frotter le sexe sur la nuque de ma cousine pendant qu’elle explose dans un orgasme alors que je lui suce le sexe.

La journée voit deux filles s’échanger l’une à l’autre dans un rythme presque sans pause.

Les vacances sont passées trop vite et mon retour auprès de ma famille et mes études est une vraie déchirure.

Catherine m’a promis de garder le secret et nous sommes impatientes d’être aux prochaines vacances pour nous donner de nouveau l’une à l’autre.

Une semaine de vacances au bord de mer avec ma cousine et me voici sûre d’une sexualité que je n’imaginais pas. Jamais je ne pourrais la remercier pour cette découverte merveilleuse.

Nadia

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