C'Est Agréable Avec Elle
Sa silhouette se détache comme une étoile brillante dans le ciel sombre d'une nuit d'été. Les jambes bien fuselées la tiennent très cambrée sur le quai. Elle ne semble pas se rendre compte de l'effet qu'elle produit : son corps est attirant. Même moi qui suis blasée je ne me lasse pas de la regarder avec envie. Moi une femme de 40 ans, hétéro, attirée que par les hommes. Moi qui aime faire l'amour avec mon mari, je suis prête à le tromper avec cette gamine de 20 ans.
Je ne suis pas seule sur les rangs, la plus part des hommes la reluquent avec envie. Je les comprends, je serai comme eux. Quand le train de banlieue arrive j'ai la chance de monter dans le même wagon pour me retrouver assise juste à coté d'elle. Si elle va au terminus, nous avons une bonne demi heure à passer ensemble.
Elle semble très calme, se croise les jambes en faisant remonter sa jupe à mis cuisse. Je les regarde avec encore un cran d'envie en supplément. Elle voit bien mon manège :
Je vous plaît, non ?
Oui, beaucoup.
Vous ne me déplaisez pas du tout.
Je suppose que vous préférez les filles ?
Je ne le savais pas.
Tant mieux, si nous descendions à la prochaine, je connais un endroit discret.
Vous accepteriez comme ça, sur un coup de tête de
......
Passer une ou deux heures avec vous ?
C'est ça. Je serais heureuse avec vous. Pour vous c'est votre première fille, non ?
C'est vrai, il faut un début à tout !
Je ne sais dans quoi je me suis embarquée. Je dois faire des envieux, à voir les regards des hommes pour qui cette fille ne peux être qu'à eux.
Nous descendons, pour aller vers un hôtel style adultère : c'est d'ailleurs l'heure : il est 17 heures.
La concierge nous regarde d'un oeil complice : elle sais ce que nous allons faire. Je paie la chambre et nous montons. Je suis derrière elle, je vois sous sa jupe : il me semble qu'elle ne porte pas de sous vêtement, au contraire de moi qui suis normalement une femme rangée et fidèle.
Dans la chambre il faut que nous sacrifions au même rituel, nos bouches doivent se connaître. Elle m'embrasse fort bien, sa langue est dans ma bouche avant que j'ai pu le faire dans la sienne. Nous sommes enlacées comme de véritables amoureuses.
Je lui laisse l'initiative de tout. J'ignore le B A BA de l'amour au féminin, sinon que par des lectures fragmentaires. Elle agit avec moi comme mon mari la première fois, elle me déshabille lentement en embrassant tout ce qui apparaît : j'ai des frissons partout. J'essaie bien de rendre un peu ses baisers, j'arrive ou trop tard ou à contre temps.
C'est agréable de recevoir des baisers sur la poitrine, comme cest agréable d'avoir ses mains sur me fesses. Elle insiste sur elles, lève ma robe pour passer ses mains directement sur ma peau. Elle arrive même à faire descendre ma culotte pour avoir libre accès. Son doigt se niche dans ma raie, il descend.
Elle arrive longtemps après sur mon anus. Elle fait presque aussi bien que mon mari, ma référence en la matière. Elle ne fait pas grand chose finalement, elle caresse le tour du trou. Je suis obligée de fermer les yeux devant la puissance de cette petite caresse. J'ai beau me retenir tant que je peux : je pars dans un orgasme dont je ne me doutais pas de la puissance.
Elle profite du petit moment de récupération pour finir de me mettre toute nue. J'ai un peu honte, il me semble que mes 40 ans pèsent sur moi. Elle aussi est nue. Nue ou habillée elle ne change pas : elle est toujours aussi sexy. A ma différence, son pubis est rasé. Ça me fait tout drôle de voir la moitié de sa chatte comme ça, exposée.
J'ai envie de la caresser : ma main se pose sur la moulle : elle écarte bien les jambes. Je ne la veux pas comme ça ; j'ai besoin de la sucer. J'ai besoin de son goût dans ma bouche ;
Je ne sais si elle voudra que ma langue la lèche. Je la désire trop, tant pis, je me lance, je la pousse sur le lit où elle tombe les jambes ouvertes dans le vide.
Que sa chatte est belle ouverte et mouillée. C'est visible, elle aussi a envie de moi. Je suis à genoux devant elle, ma tête va vite entre ses jambes. Elle me laisse lécher ses cuisses en allant vers son sexe. J'ai mon nez dessus : l'odeur est délicate, elle sens la femme presque trop propre : un peu d'odeur d'urine serait la bien venue pour moi.
Je ne sais si ce que je prévois sera bien venu. Je vais faire comme mon mari me fait : je lui lèche le clitoris, je l'entortille autour de de ma langue, Je l'entend gémir : c''est bon, je continu. Je laisse ma langue là où elle est : j'entre deux doigts dans son vagin. Ils entrent facilement dans cet endroit tout mouillé. Je fais comme si c'était une bite, je la baise simplement. Je la baise tellement qu'elle joui autour de mon doigt. Je me retiens pour ne pas me branler. Je jouirai d'avantage tout à l'heure .
Un idée me traverse la tête : je met ma langue sur son anus : je le lèche un instant avant d'entrer presque toute ma langue dans son cul. Drôle d'effet d'avoir sa langue dans un cul. Elle gémit toujours, me tient la tête en me caressant les cheveux.
Je me relève, elle se couche normalement sur le lit : nous sommes cote à cote. Elle m'embrasse, elle ne dit rien sur le goût de ma langue pourtant je dois bien sentir son cul.
Maintenant c'est à mon tour de la subir : tout ce qu'elle fait n'est que pour moi : elle me branle, me suce les seins, descend sa bouche sur ma moule où elle suce le clitoris et le vagin. Elle est plus adroite que moi : sa langue me fait plein de choses, elle se sert de ses doigts pour m'enculer. Je ne sais plus comment me mettre. En tout cas je ne regrette pas du tout notre baise au contraire.
Elle se tourne complètement pour venir passer ses jambes autour de ma tête. Je sais ce qu'elle veut, comme je sais ce qu'elle prévoit de me faire en même temps. Sucer un sexe de fille est courant entre elles. Pour moi, pour ma première fois j'espère être à la hauteur. C'est déjà agréable de sentir son corps contre le mien, alors de voir, de sentit et goutter sa cyprine ne peux que m'exciter.
Pourtant c'est elle qui commence : mon clitoris est entre ses lèvre, elle y tire dessus. Elle le relâche un instant avant de recommencer. Des doigts dans mes trous complètent pour aboutir au premier orgasme de ce 69.
Je ne l'ai pas oublié loin de là. Je ne fais que remplacer mes lèvres par ma langue, par contre son vagin est empli de mes doigts de la main droite alors que ceux de la main gauche visite son anus.
Nous gémissons sans arrêt ; Nous jouissons souvent aussi.
Quand nous partons, la concierge nous félicite : vous devez vous être bien aimées, je vous entendais d'ici, même qu'il a fallut que je me soulage en pensant à vous. Revenez quand vous voulez : la chambre sera gratuite pour vous !
Je décide d'en parler à mon mari. Il ne me gronde pas ; j'avais envie d'un fille, et alors où est le problème ? La seule chose qui s'est produite, agréable d'ailleurs, est qu'il ma fourrée longtemps. Si je la retrouve je recommencerai sachant combien c'est agréable avec elle.
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