Une Dernière Gaterie
Avec une fille je me défonce comme un fou, surtout, si elle est chaude. Je mexprime mal, cest elle que je défonce quand elle le veut. Par contre la dernière était plus garce que les autres. Quand je lai faite venir chez moi, elle a bien voulu faire lamour.
Il y avait un mais... Pour elle baiser sans sa copine nétait pas pensable. Jétais démuni, je ne connaissais pas du tout son bi sexualisme affirmé. Je lai laissée faire comme elle voulait. Un coup de fil et son amie est arrivée, pimpante, prête à faire des folies...
La première, celle que javais levée était grande rousse, seins bien dressés, cul prêt à déborder de sa jupe. Lautre était plus petite, brune plutôt maigre. A dire vrai je ne savais pas laquelle choisir une fois nues. Je restais attentif, elles sarrangeaient seules, moubliant un peu. Elles étaient bien serrées pour sembrasser, je les regardais seulement, même si je bandais.
Pour minsérer dans leur cercle restreint je me mettais nu à mon tour et enfin elles me regardaient, enfin elles détaillaient ma bite, le principal. Nous étions réunis dans un espace restreint, nos langues dehors pour un baiser particulièrement érotique. Cest à ce moment que jai profité lâchement de la situation : jai pu facilement mettre mes mains sur les chattes. Chacune posait sa tête sur une de mes épaules, elles se tenaient par la taille.
Mes mains retournées cherchaient les endroits les plus sensibles : les clitoris que je branlais simplement, juste pour les exciter assez pour quelles acceptent les suites. Lune delle ma mis deux doigts dans la bouches, je les suçais comme si elle mavait donné une petite bite.
Je suis arrivé à mon but : leur donner du plaisir comme je lentends avec au début le clitoris et pour finir les puits dans lesquels mes doigts faisaient sans arrêt des mouvements circulaires. Elles se sont attelées à me satisfaire : un coup dans la bouche de lune et un autre coup dans la bouche de lautre.
Je ne savais plus à quels saint me vouer, elles étaient si vicieuses, pourtant jétais loin de savoir la suite. Si elles ne mont pas fait jouir avec les bouches, cest quelle le voulaient bien. Elles ont passé les mains sous mes fesses, cherché mon anus, lont caressé sacrément bien, elles me donnaient envie de les sentir dans mon cul, moi qui ai toujours refusé cette chose. Jai eu droit dabord à un seul doigt de la rousse, pour recevoir celui de la brune un instant après, elles sentendaient pour menculer ensemble. Je sentais les doigts remuer dans mon ventre, cétait agréable. Elle se sont attaquées à mes seins. Jétais sucé comme si javais une poitrine de fille. Ma bite en payait le prix; je bandais comme un âne sans quune main secourable vienne à mon secours.
Les deux garces commençaient à se caresser : dabord les seins, ensuite leurs mains allaient bien plus bas sur les chattes. Je voyais fort bien les doigts fouiller les tréfonds de leur sexe. Jen bandais encore plus. Elles se branlaient mutuellement avec succès semble-t-il puisquelles jouissaient presque sans arrêt.
Je les arrêtais après un long moment : nous devions baiser à trois.
Nous étions assis sur le divan. Jai pris la première venue, la brune je lai mise sur mes cuisses, les jambes de chaque coté, je lai faite monter lentement vers ma queue qui a glissé facilement dans un vagin mouillé. Nous avons commencé à baiser, enfin. La rousse elle a du se contenter de la bouche. Elle est venue assise sur le dossier les jambes écartées, je pouvais voir toute sa fente en détail. Jai levé la tête pour que mes lèvres aillent dans sa fente mouillée.
Maintenant jétais bien avec ma bite à labri dun vagin,, ma bouche à labri des courant dair entre les cuisses de lautre. Là, javais affaire à deux furies : le sexe encore le sexe. Elles mont fait jouir, aussitôt chacune est venue chercher sa ration de sperme. Elles lavalaient me laissant la bite morte.
Alors elles ont continué seules.
Jadmirais ce ballet de deux filles chaudes voulant jouir à tout prix. Les patins échangés nétaient que de la gnognote. Par contre les masturbations nétaient pas feintes. Pourtant le préféré des deux nanas restait le chiffre 69. Pour elle ca devenait, je pensais en tout cas, le nirvana. Hé bien non, elles choisissaient pour finir une position plus excitantes, elles se mettaient les jambes écartées, les clitoris soudés, les bas ventre faisant les même mouvements que si elles avaient une bite. Leurs seins soudés leurs permettaient de sembrasser. Je comprenais mieux leurs préférences.
Jai quand même eu droit à une dernière gâterie, elles se sont couchées lune sur lautre, Les lèvres réunies dans un long baiser, les vagins très proches. Je pouvais les baiser à la fois, une fois dans un trou une fois dans lautre. Je sais quelles ont joui. Je ne mattendais pas à jouir moi-même et dun seul coup mon orgasme est arrivé quand jai senti le premier spasme dans leurs sexes, mon sperme est parti se perdre entre leurs deux vagins.
Je ne les ai plus revu....
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!