Éva Retrouve Jeff (Chapitre 3)
Chapitre 3
A 6 heures, c'est Jeff qui se lève le premier tandis qu'Alexandra et moi traînons au lit. Nous nous câlinons. Nous profitons de ce petit moment qui nous reste ensemble. Dans ma tête, je revis les événements de la veille et je me souris à moi-même, heureuse. Jeff lance le café avant d'aller dans la salle de bains. Je décide de me lever pour préparer les tasses. Je prépare le petit déjeuner sur la terrasse. J'envoie un sms à Paul pour lui dire que je vais bien et que j'ai passé une excellente soirée qu'il me tarde à lui raconter. Alexandra s'étire et ronronne comme une chatte avant de se lever. Elle vient contre moi, m'enlace et m'embrasse dans le cou. Je m'écarte doucement de mon amante, et je profite de la belle lumière du matin dans ses cheveux pour la photographier. Elle me sourit et prend des poses coquines. Je l'adore. Je lui envoie aussitôt les meilleures photos en souvenir et lui demande de me photographier en retour. Quand Jeff sort de la salle de bains et alors qu'il nous voit aussi mutines, il att son smartphone pour nous photographier toutes les deux. Nous allons vers lui pour regarder les photos qu'il a prises. Ma main au contact de la verge dure de mon amant rencontre celle d'Alexandra qui a eu la même idée. Nous rions. Malheureusement, nous n'avons pas le temps pour la bagatelle. Je sers le café que nous buvons rapidement Alexandra et moi avant de rejoindre, à notre tour, la salle de bains. Quand nous sortons, nous trouvons nos tasses déjà remplies. Je choisis la tenue que je vais mettre pour tester la voiture avec le beau Léo. Je mets ma robe chemise verte en soie, sans sous-vêtement, comme à l'accoutumée. Je néglige de fermer le bouton du bas. J'enfile des chaussures plates indispensables pour la conduite. Nous sommes prêts.
Jeff conduit et nous emmène chez Alexandra qui doit se changer avant de rejoindre le site événementiel.
Une fois arrivés, nous nous séparons. Alexandra part travailler.
- On essaie de manger ensemble à midi. Je te tiens au courant.
Je me dirige vers le pavillon où nous devons nous retrouver ce matin. Un café de bienvenue avec des viennoiseries nous attend. Je me sers quand j'entends qu'on m'interpelle. C'est Léo.
- Éva. Tu es déjà arrivée. C'est parfait. Je prends un café et on pourra y aller.
Nous bavardons en buvant notre café. Je souris en voyant le regard de Léo qui s'égare sur ma silhouette. Une bosse déforme son pantalon au niveau de sa braguette. Quel coquin !
- Bon, je vais chercher les clés de la voiture et mon dossier. Tu m'attends dehors ?
- Oui, c'est d'accord. Je passe aux toilettes.
Dans l'optique de m'amuser, je défais un second bouton au bas de ma robe. Une large fente dénude ainsi mes jambes quand je me déplace. Un petit vent frais durcit mes tétons qui tendent le fin tissu de ma robe. Mon petit jeu semble troubler Léo qui bafouille lorsqu'il me rejoint.
- Heu. Tout va bien ? Tu es prête ?
- Oui. Allons-y.
- Parle-moi de cet essai.
- Il s'agit d'un nouveau modèle de Mini. Sa motorisation est toute électrique. Nous avons besoin de savoir si ce type de voiture, ainsi que les réglages programmés peuvent satisfaire notre clientèle féminine. Tu as déjà une Mini, il sera intéressant de voir comment tu réagis à cette évolution.
Un bip résonne. Une Mini s'éclaire. La voilà. La forme est sympa. Elle reste conforme au concept Mini. La couleur est classique également.
Léo m'ouvre la portière et m'aide à m'assoir. Bien évidemment, ma robe remonte et s'ouvre. Ma posture est indécente, mais je fais comme si rien n'était. Léo est troublé et sa respiration s'accélère. Il s'accroupit près de moi pour me montrer les réglages du siège et du volant. Il bafouille à nouveau.
- Heu, voilà la barre.. la manette, pardon, de réglage du siège. Ici, tu avances ou tu recules, en fonction de ton confort de conduite.
Me voyant manuvrer avec difficulté, Léo se penche pour régler le siège à ma place. Alors que je bouge pour bien me caler, j'écarte les cuisses et les yeux de Léo ont une vue imprenable sur ma vulve. Le réglage de mon siège prend du temps. Troublé par ma nudité, ses gestes sont imprécis.
Ah... Ces hommes. Ils sont tellement prévisibles.
Une fois les réglages terminés, Léo fait le tour du véhicule pour venir s'assoir à mon côté. Il m'indique les spécificités du véhicule électrique avant de me donner le signal du départ.
Nous voilà partis. Les sensations sont très différentes de celles que j'ai avec mon moteur thermique. Le bruit et les pulsations du moteur me manquent. J'adore quand je pousse le régime du moteur avant de changer de vitesse. Ainsi, les vibrations pénètrent mon ventre pour mon plus grand plaisir. Ici, rien de tout cela. En revanche, la voiture a davantage de punch. J'éprouve des difficultés à contrôler ma vitesse.
- Du calme ma belle. Surveille ta vitesse. C'est l'un des pièges de la voiture électrique lorsqu'on l'utilise les premières fois.
Léo accompagne son message d'avertissement en posant sa main sur ma cuisse nue. Son contact m'électrise. Je frissonne. Malgré mon ralentissement, Léo garde sa main sur ma cuisse.
- Voilà. Comme ça. C'est bien. Nous allons mixer les conduites. Après la ville, nous ferons un peu d'autoroute, puis nous ferons de la montagne. Après chaque tronçon, nous ferons une halte pour faire un point. J'aurai à chaque fois des questions à te poser.
Je commence à avoir la voiture en main. La conduite est finalement très souple et j'adore les accélérations. Au terme d'une demi-heure de pilotage, Léo me demande de m'arrêter.
- Je te propose de sortir pour faire le point sur ta première prise en main.
Léo sort et vient aussitôt pour m'ouvrir la portière. Il est très galant, mais aussi un peu voyeur. Le coquin !! Et je ne fais rien pour le décevoir.
Appuyés contre la carrosserie, Je réponds aux questions de Léo, puis nous reprenons la route. Sous l'effet du vent, ma robe est remontée encore plus haut et découvre mon pubis.
Nous nous engageons maintenant sur l'autoroute. Je file à 130 - 140 kilomètres à l'heure. La conduite est grisante. Certains camionneurs que je dépasse me klaxonnent. Allez savoir pourquoi. Le visage de Léo est tout rouge !!! A l'approche d'une station-service, Léo me demande de mettre le clignotant.
- Nous allons nous arrêter pour recharger la voiture. Nous n'en avons pas besoin, mais c'est pour que tu donnes ton avis sur la praticité de la manuvre.
Léo me guide jusqu'à l'emplacement. Une fois arrêtés, l'animateur m'explique comment je dois procéder. Les câbles sont à l'arrière. Pour les attr, je dois me pencher et là, inévitablement ma robe s'envole et découvre mes fesses nues. Perturbé, Léo croit m'aider en retenant le fin tissu mais, avec le vent, la manuvre est malaisée et sa main plaque mes fesses sans qu'il ait pu attr le tissu. Embarrassé, Léo ne bouge plus. Ne me voyant pas réagir, sa main, d'abord, immobile, bouge lentement, puis se transforme en caresse. Une caresse qui élargit son champ d'action pour venir s'aventurer sur mon ventre. Je sens son corps s'appuyer fermement contre moi. Il halète. Il m'embrasse dans le cou. Sa main descend vers ma vulve toute trempée de désir. Ses doigts me pénètrent sans effort. Léo retire sa main pour porter ses doigts à ma bouche, puis il me retourne et m'embrasse fougueusement. Un coup de klaxon stoppe notre baiser. Nous reprenons nos esprits. Avec difficulté, mais tout en restant très professionnel, Léo reprend le fil de l'essai. Il m'explique ce que je dois faire. Ce que je fais facilement. Léo m'explique que nous allons patienter quelques minutes et que je peux me rassoir.
- Rahhhhh
. Ouiiiiiiiiiii
Plusieurs jets épais giclent dans ma gorge. Je suffoque. Mon amant éjacule une quantité phénoménale de sperme. J'avale tout avec difficulté, mais je fais le job !!! Des éclats de voix nous obligent à arrêter là. Je prends des mouchoirs en papier dans mon sac que je donne à Léo. Rapidement, il se rhabille. Il est tout remué le pauvre. Il débranche la voiture, puis après s'être assis à mon côté, il me demande de démarrer. Il faut attendre la sortie de la station-service et l'atteinte de la vitesse de croisière dans le flot des voitures pour redescendre sur terre.
- Quelle aventure !!! Merci Éva pour ta petite fantaisie. J'ai adoré. Tu m'as fait jouir comme rarement. J'ai eu peur que nous soyons dérangés.
- Merci à toi Léo. Tu m'as gâtée. J'ai pris énormément de plaisir à m'occuper de ta belle queue. Ta peau est si douce
. Et merci pour toute la crème que tu as déversée dans ma bouche. Bon, maintenant, où allons-nous ?
- Nous prenons la prochaine sortie.
Une fois sortie de la voie rapide, Léo me dit de prendre une route de montagne. Les virages sont serrés et je n'en mène pas large. Je trouve que le ravin est trop proche. J'ai un peu la "trouillette". Cependant, la Mini se comporte agréablement. La boite automatique est bien réglée. Rapidement, je prends mes repères et j'accélère.
Léo ne semble pas inquiet. Il garde le même sourire depuis sa jouissance.
- Éva, tu vas bientôt trouver un petit parking. Nous nous arrêterons là pour remplir ton questionnaire.
Effectivement, peu après je vois un dégagement sur ma droite et je m'y engage. Je m'arrête dans un coin isolé de la route. Je sors de la voiture pour me détendre les jambes. Je regarde ma robe. Les dégâts sont moins importants que ce que j'avais craint. Léo m'interroge à propos de la conduite sur autoroute, et sur les manuvres de chargement. Je réagis aussi sec.
- On ne parle pas de la technique mis en uvre pour décharger sur ton questionnaire ?
Je dis d'un air canaille en riant. Léo est un peu déstabilisé. Il ne doit pas rencontrer beaucoup de femmes comme moi. Une femme libre, désinvolte, ouverte, jouisseuse, cash !!!!
Nous continuons le questionnaire. A un moment, Léo doit ouvrir le coffre pour me faire sortir la roue de secours. Il m'indique ce que je dois faire et me laisse mettre en pratique. Je dois avouer que je n'ai jamais changé une roue. J'ai pris une assurance spéciale crevaison. Je dois jouer le jeu pour le questionnaire et je m'y colle. Une fois toutes les opérations réalisées, Léo me dit qu'il n'est pas nécessaire de sortir la roue et qu'il suffisait d'effec les opérations inverses. Je m'exécute. Alors que je termine l'exercice et que je suis penchée dans le coffre, je sens Léo qui vient se coller contre moi et qui m'embrasse dans le cou. Ses mains glissent sous ma robe et palpent mon corps. Je suis nue et à sa merci. Sa respiration s'accélère. Il halète. Ses doigts sont endiablés. Habilement, il joue avec mes orifices. Mon clitoris est dur d'excitation. Ma robe complètement relevée, Léo sort sa queue de son pantalon et me l'enfonce d'un coup. Heureusement que mon vagin était trempé car la pénétration de sa grosse queue aurait été douloureuse. Il m'enlace fermement. Ses doigts astiquent mon bouton, tandis qu'il commence à me labourer. Ses coups de boutoirs sont puissants. Son bassin claque sur mes fesses. Je me tiens comme je peux sur le sol du coffre. Ses doigts sont magiques. Mon clitoris est si bien sollicité que je sens une vague de plaisir arriver. Je me cambre. Je gémis.
- Ahhhh. Ouiiiii. Encore. Tes doigts.
Léo comprends que mon clitoris a la primeur de mon orgasme. Il ralentit ses va-et-vient pour se concentrer sur mon bouton prêt à exploser. Je me tends totalement. Je secoue ma tête dans tous les sens. L'orgasme arrive.
- Làààààà
Ouiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiis !!!!
Une onde me traverse le corps et m'emporte. Un orgasme long et puissant.
Sa queue toute entière en moi, Léo s'arrête. Il attend quelques secondes que je reprenne mes esprits avant de recommencer son pilonnage. Cette fois, il va aller jusqu'au bout. L'échéance est proche. Il halète. Il râle.
- Rahhhh. Ouiiiii. Je viens. Ahhhhhh
Je sens plusieurs jets de semence m'inonder l'utérus, ce qui me déclenche un nouvel orgasme.
- Ouiiiiiiiiii.
Éreintée, je ne tiens plus sur mes jambes. Léo se retire. Je vois qu'il n'a pas meilleure mine. Nous sourions. Je sens un liquide chaud qui coule le long de mes cuisses. Je m'accroupis pour prendre la queue de mon amant dans la bouche afin de recueillir les dernières gouttes de sperme. Je la bois. Je la lèche délicatement. Je vais chercher quelques mouchoirs en papier dans mon sac pour limiter les dégâts.
J'en profite pour attr mon téléphone et demande à Léo de me prendre en photo devant la voiture. Je défais tous les boutons de ma robe pour les dernières images.
- Merci Léo. C'est pour mon mari.
- Ton mari ? Comment ça ?
- Je t'expliquerai en route.
Et nous repartons.
Nous finissons notre circuit vers 11 heures 30. Le temps de terminer le questionnaire, il est midi. Mon téléphone se met à sonner. C'est Jeff qui m'appelle pour me dire qu'il ne pourra pas manger avec moi. Finalement, cela m'arrange. Je ne me voyais pas aller manger au restaurant avec ma robe dans cet état. J'embrasse Léo et je retourne à l'hôtel où je me ferai livrer un room service.
De retour à l'hôtel, j'entends quelqu'un qui m'interpelle. Une petite voix.
- Madame. Madame.
Je fais la sourde oreille.
- Éva !!!
Là, je me retourne avec un grand sourire.
- Oui, Jules. Que veux-tu ?
- Vous avez-lu ma lettre ?
- Oui. Elle est parfaite. Tu as bien travaillé. Là, je suis un peu fatiguée et je dois me reposer. Si tu veux, tu peux me rejoindre, à 16 heures, dans ma chambre.
- Oui. Oui. Je serai là sans faute.
Dans l'ascenseur, je repense à Jules et sa lettre posée sur le guéridon, près de l'entrée, et que je n'ai pas encore ouverte. Quelle surprise m'attend ?
Arrivée dans la chambre, je n'ai qu'une envie, me doucher. Je jette un il néanmoins sur le service room et je passe commande avant d'aller dans la salle de bains. Quand je sors de ma douche réparatrice, je trouve ma commande déjà installée sur la table. Il est un peu plus de 13 heures. J'ai faim. Je mange.
Une fois restaurée, je regarde mes messages.
Le premier est de Paul qui a hâte de me revoir. Je lui envoie un mot pour lui raconter brièvement ma matinée. Je joins les photos prises par Léo.
Le second est de Jeff qui me demande encore de l'excuser pour ce midi, mais il se rattra ce soir. Il a une surprise pour moi !!!!
Les autres proviennent de mes amants ou de mes amis. Je répondrais plus tard. Je vais me reposer. La nuit a été courte et la soirée risque d'être longue avec Jeff. Je dois être en forme.
Je refais surface quarante minutes après. Je me fais un café, puis enfile un maillot pour me détendre dans la piscine.
Quand je reviens à la chambre, il est près de 16 heures. A peine arrivée, j'entends frapper à la porte. C'est Jules. Mon dieu, je l'avais oublié. Je le prends dans mes bras et lui demande de patienter le temps d'une douche rapide. Il peut se servir dans le minibar ou se faire un café en m'attendant.
Quand je reviens, je trouve Jules assis, un verre de Coca à la main. J'ai enfilé mon kimono en soie.
- Tiens, tu as eu une bonne idée. Tu me sers un Coca à moi aussi s'il te plait.
- Oui. Oui Éva. Tout de suite.
En attendant, je vais sur la terrasse. Jules me rejoint avec mon verre dans une main et son enveloppe dans l'autre. Il semble décontenancé.
- Vous ne l'as pas ouverte ?
- Non Jules. Je suis désolé. Je la garde et, pour me faire pardonner, et si tu en as envie, je te propose de réaliser tous les souhaits que tu as écrit dans cette lettre. Cela te convient.
- Oh Oui !!!!!
- Par quoi aimerais-tu commencer ?
- J'ai envie de vous déshabiller, de vous allonger sur le lit et de vous embrasser, de vous lécher partout.
- C'est parfait pour moi. J'ai hâte que tu t'occupes de moi. Commence par me déshabiller.
- Là ? Sur la terrasse ?
- Oui. Là !!!! Maintenant.
Un peu pataud, Jules s'approche de moi. Sa timidité me le rend trop touchant. C'est un beau garçon. J'apprécie de pouvoir m'offrir à lui maintenant. Je pense qu'il s'en souviendra toute sa vie.
Il défait la ceinture et écarte les pans de mon kimono.
- Ohhhh. Que vous êtes belle !!!
- Je te plais ?
- Oh Oui !!!
- Tu dois me le montrer. Déshabilletoi avant de m'entrainer vers le lit.
Jules s'exécute aussitôt, rapidement et maladroitement. Il bande déjà comme un âne. Il n'a pas une grosse queue, mais elle est raide et longue. Il me prend la main et m'emmène vers le lit. Il m'aide à m'allonger, puis vient près de moi à quatre pattes. Son visage est lumineux, comme un gamin qui découvre ses cadeaux à Noël.
- Viens Jules. Je suis toute à toi.
Jules pose sa tête sur mon ventre. Une main se dirige vers un sein, tandis que l'autre me caresse en descendant lentement vers ma vulve épilée. Il est tellement excité de me voir ainsi offerte que ses mains tremblent. Cela va au-delà de tout ce qu'il avait pu rêver. Soudain, sa bite touche ma main. Elle est dure. J'ai peur qu'il éjacule déjà. Pivotant sur le côté, je prends l'initiative.
- Jules, je pense que tu es trop excité. Allonge-toi près de moi et positionne ton bassin contre mon visage. Tu vas fermer les yeux, puis glisser ta queue dans ma bouche. Ensuite, tu onduleras lentement. Tu baiseras ma bouche. N'oublie pas. Prends ton temps. De toute façon, je pense que tu jouiras très vite.
Jules obéit. Il s'applique, toujours aussi pataud. Une fois sa queue dans ma bouche, je peux sentir son gland qui vibre. Je reste immobile pour profiter et offrir ce premier plaisir à Jules. Mon jeune amant me surprend. Il suit mes consignes et bouge doucement. Je suis très excitée par cet instant qui est certainement aussi fort pour moi que pour Jules. J'aimerais qu'il dure longtemps, mais je sais que c'est illusoire. Ce sera un moment éphémère que je garderai toujours en mémoire. Mes doigts taquinent mon bouton dressé. Ma vulve est trempée. Voilà, sa queue qui palpite. Immédiatement de puissants jets de foutre inondent ma bouche. Aussitôt, un orgasme m'envahit. Une jouissance courte, mais puissante. Je n'ai pas le temps d'en profiter, sans faillir, j'avale tout le nectar que mon jeune amant m'offre. Je garde sa queue et joue avec son gland pour extraire les dernières goutes de semence. La verge n'a pas perdu de sa vigueur. J'avais oublié la résistance des jeunes hommes. Me dégageant du sexe de mon amant, je me repositionne sur le dos.
- Voilà mon chéri. Tu vas pouvoir mieux profiter des instants présents. Merci pour la précieuse crème que tu m'as donnée. J'en ai adoré le goût.
Effectivement, Jules reprend ses caresses, plus lentement cette fois. Il semble décider à explorer chaque parcelle de mon corps. Ses doigts agiles se promènent sur moi comme s'ils survolaient un clavier de piano. Mes mamelles sont en feu. Ma chatte est brûlante et dégouline de cyprine. Ce petit coquin inexpérimenté me déstabilise. Ses gestes inhabituels me surprennent, comme une jeune fille. Je me laisse emporter.
- Oui. Continue. C'est trop bon.
Jules semble décontenancé par mon coquillage détrempé. Il découvre mon intimité. Ses doigts tournent autour de mon clitoris tout dur, puis investissent ma chatte. Il les glisse, un par un, progressivement. Mon sexe détrempé les accueille facilement. Jules est tout étonné. Curieux, il enfonce progressivement sa main qui rentre toute entière. Surpris, il hésite de la suite à donner. Il décide alors de me branler comme il pourrait le faire avec un olisbos de belle taille. Sa main entre et sort. Jules est captivé par ce qu'il est en train de me faire. Ses gestes sont appliqués et posés. Je gémis.
- Ouiiii. Hummm. Qu'est-ce que tu me fais mon coquin. C'est bon. Continue.
Encouragés par mes paroles, Jules prend confiance en ses gestes. Il accélère le mouvement et m'arrache des cris.
- Rahhhh. Tu me déchires. Ouiiiiiii. Encore.
Jules répond à mes désirs et me pilonne. Il me défonce comme je ne l'ai jamais été. Je sens qu'il serre son poing pour m'élargir davantage. Je crie. Je pleure. Je me mords les lèvres. Une forte vague de plaisir approche. Je secoue ma tête dans tous les sens. Mon corps frissonne. Je me tends.
- Ouiiiiiiiii. Branle-moi !!! Ne t'arrête pas !!! Je viens. Je jouiiiiiiiiiiiiiis.
Un puissant tsunami m'emporte.
- Ahhhhhhhhhhh. Maman. Ouiiiiiiiiii.
Surpris par l'ampleur de ma jouissance, Jules ralentit ses mouvements, puis retire délicatement sa main de mon vagin. Il porte à sa bouche ses doigts recouverts de cyprine et les lèchent l'un après l'autre en me regardant, fier de son exploit. Tétanisée, je ne sens plus mes muscles. Je ne peux plus bouger. Je m'interroge. Comment ce gamin a-t-il pu me prendre ainsi et me donner un tel orgasme ? Jules, souriant, s'approche et pose un baiser délicat sur mes lèvres qui me redonne vie. Je l'embrasse à mon tour et me retourne à plat ventre. Jules reste un moment à me contempler.
- Que vous êtes belle ! J'aime vos fesses.
Il joint le geste à la parole et pose ses mains sur mon postérieur qu'il caresse délicatement.
- Oh oui. Caresse-moi. J'adore ça. Approche ton sexe de ma bouche que je me régale pendant que tu t'occupes de mon cul.
Jules approche sa queue de ma bouche que j'avale avec un grand plaisir. De son côté, il me prodigue des effleurements très apaisants. Je ronronne, malgré la bouche pleine. L'amplitude de ses mouvements s'agrandit et à chaque passage, ses doigts s'insinuent un peu plus dans mon sillon interfessier, jusqu'à atteindre mon anus. Sortant la queue de ma bouche, je provoque mon jeune amant.
- Tu veux me prendre par le cul ?
- Oh oui Éva s'il vous plait.
- Hummm. Tu m'excites. Alors, prépare mon anus avec ma cyprine.
Jules se redresse. J'écarte les cuisses. Il enfonce ses doigts dans ma vulve détrempée, puis, délicatement, il m'ouvre le cul.
- Tu peux venir. Maintenant. Je suis prête à t'accueillir.
Je lève mon bassin et me cambre, prête à être saillie.
Aussitôt, Jules se place derrière moi. Il pénètre ma chatte pour préparer sa verge tendue, puis positionne son gland devant mon anus qui s'ouvre sans difficulté.
- Là, maintenant, je vais m'empaler sur toi à mon rythme. Je te dirai quand je serai prête.
J'ondule mon bassin et progressivement, je pousse mon cul qui s'ouvre pour accueillir la queue de mon jeune amant. Quelques secondes suffisent pour que je sente son pubis toucher mes fesses.
- Tu es bien là ? Tu es bien au fond de mon cul ? C'est mon cul que tu veux baiser ? Dis-moi, tu veux enculer Éva ?
- Oh oui ! Je veux vous enculer.
Aussitôt, Jules reprend l'initiative. Il commence à bouger sa queue dans mon fourreau étroit. Même si elle est étroite, elle est très longue. Ses mouvements de piston me défoncent les entrailles. Mes doigts taquinent mon clitoris. Mon amant est bien parti. Il prend ses aises dans mon cul. Je ne le reconnais plus. Il se démène comme un forcené. L'idée de m'enculer doit décupler son excitation. Ses mains sont fermement accrochées à mes hanches. Je sens sa queue qui grossit. Son souffle est court. Il ahane. Je secoue ma tête dans tous les sens. Mes mamelles ballottent. A l'idée qu'il va bientôt éjaculer dans mes entrailles accroit mon excitation. Je me crispe et un puissant orgasme me submerge.
- Ouiiiiiiiiiiiiii. Viens !!! Lâche-moi ta purée maintenant.
Jules ne peut résister. Mes spasmes ont contracté mes sphincters. Mes gémissements l'ont achevé.
- Rahhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiii.
Je sens plusieurs jets chauds qui inondent mes entrailles. Jules s'enfonce au plus profond et ne bouge plus. Il semble trop bien dans mon cul et n'envisage pas de sortir le coquin.
Je bascule sur le côté. Jules me suit et reste collé contre mes fesses. Sa queue ne débande pas. Il m'embrasse dans le cou.
- Merci Éva. J'ai adoré.
- Moi également mon beau. Tu m'as donné beaucoup de plaisir. Je n'ai pas compté tous les orgasmes que j'ai eus.
- Je suis bien là.
- Oui, je vois. Tu ne sembles pas vouloir sortir de mon cul !!!
- Vous avez bien raison. D'ailleurs, je vais encore m'en occuper. Oui, là tout de suite.
Jules se redresse et commence à remuer sa bite dans mon fourreau trempé par sa semence. Elle coulisse aisément. Il m'encule en cuillère. Ses doigts prennent possession de mon clitoris encore très sensible, et qui répond aussitôt à ses sollicitations.
- Ouiiiiii. Plus vite. Bourre-moi.
Mon jeune amant répond aussitôt à ma demande. Il se déchaîne. Il est endiablé. Sa queue me défonce le cul une nouvelle fois. Ses doigts agiles me font rapidement atteindre un nouvel orgasme.
- Ouiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiis.
Satisfait de ma jouissance, Jules sort de mon cul, me positionne sur le dos et lève mes jambes avant d'enfoncer son dard dans ma chatte. Tout en me baisant, il me soulève le bassin. Mon cul encore dilaté évacue la semence de mon amant que je sens s'écouler le long de ma raie. Jules n'y fait pas attention. Il s'applique à me baiser profondément et il s'en sort très bien le bougre. La position accentue la pénétration de son membre que je sens buter au fond de mon utérus. A ce rythme effréné, je pense que mon jeune amant va bientôt jouir. Il halète. Il transpire. Mon vagin est détrempé. J'empaume mes mamelles et je pince mes tétons tout durs à m'en faire mal. Je me contracte. Je sens la queue qui grossit. Aussitôt une onde de plaisir m'envahit.
- Ouiiiiiiiii. Rahhhhh.
- Allez. Vas-y. Lâche-moi ta purée. Inonde-moi la chatte !!!
Il n'en faut pas plus à Jules pour se libérer.
- Rahhhhhhhhh.
Je sens plusieurs jets de sperme chaud qui me remplissent. Jules épuisé sort rapidement. Il se laisse retomber lourdement sur le lit. Je me colle contre lui et l'embrasse. Nous restons ainsi plusieurs minutes à savourer cet instant. Ensuite, je me lève pour aller à la salle de bains.
- Dis Jules, tu nous sers du Coca s'il te plait. Je reviens de suite.
Après un passage aux toilettes et une douche rapide, je retrouve mon jeune amant qui est sur la terrasse. Je prends les Coca et lui apporte. Nous trinquons à l'amour.
- Alors mon coquin, tu as abusé de moi comme tu voulais ?
- Oh merci Éva. C'était magique. Je me rappellerai de cette journée toute ma vie.
- Tu es trop mignon. Là, il va falloir que tu me laisses. Jeff va bientôt venir me chercher et je dois me préparer.
Jules termine son verre, puis m'enlace fort et m'embrasse tendrement. Il retourne dans la chambre pour s'habiller et vient à nouveau m'embrasser avant de partir. Je le regarde s'en aller avec nostalgie.
C'est bien beau, mais je n'ai aucune notion de l'heure. Je regarde mon téléphone. Il est 18 heures déjà. Plusieurs messages m'attendent.
Paul mon chéri qui me dit qu'il est débordé par le travail et qu'il profite de mon absence pour absorber son retard afin d'être disponible dès mon retour.
Jeff m'écrit que l'après-midi a été aussi ennuyeuse que le matin et qu'il a hâte de me rejoindre mon m'emmener à sa surprise. Il passera vers 19 heures.
Je termine mon Coca et me pose un peu pour récupérer. Je prends mon iPad pour lire les nouvelles et mes mails. J'en profite pour envoyer à Paul un récit assez détaillé de ma journée.
Soudain, la porte de la chambre s'ouvre. C'est Jeff. Je n'ai pas vu passer l'heure. Toujours nue, je me lève pour aller vers lui et l'embrasser.
- Hummmm. Tu m'as manqué.
- Alors ? Ta journée était pénible ?
- Oui. Cela ne mérite même pas d'en parler. En revanche, j'imagine que a tienne a été riche en émotions.
- Oh oui !!!! Je te raconterai.
- J'y compte bien. Je prends une douche et on y va.
- Comment dois-je m'habiller ?
- Une petite robe noire et des bas. Tu seras parfaite.
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