L'Extra : Une Soirée Insensée
Laurent faisait souvent des extras chez des particuliers le weekend pour son argent de poche. Plutôt beau garçon, il était assez apprécié et de bouche à oreille il commençait à être connu avec une réputation des plus avantageuses pour lui.
Ce Lundi, un coup de téléphone lui apprit quun ami dun client à lui, désirait justement le rencontrer afin de lemployer pour une réception mondaine où il serait grassement payé, mais la discrétion était de mise et on le prévenu quil aurait un contrat de confidentialité à signé.
Le mercredi venu, il rencontrât lhomme en question pour affiné les détails du travail, le job était facile, il devait juste servir les invités toute la soirée, les alimenter en cocktail et amuse-gueules pendant quils joueraient au poker. Cétait royalement payé, trois fois son salaire normal jusquà minuit et les heures suivantes, le double, la seule condition était de ne rien dire de la soirée en question avant et après, ainsi que de rester jusquà ce que la fête soit finie. Il signa le contrat, puis le patron lui donna rendez-vous pour le samedi prochain.
Le jour J, il se rendit à la demeure de son client qui était en fait un château, il se présenta à la réception, ensuite on laccompagna aux vestiaires pour quil mette son costume. Ce dernier se résumait à une queue de pie noire au liseré blanc, des sandales tressées en cordes et
un boxer noir plutôt moulant. Ce dernier détail linterpella et se demanda à quel genre de gens il aurait à faire.
Le costume lui allait à ravir, il épousait bien les formes de son corps musclé fin en mettant bien ses fesses en valeur ainsi que son service trois pièces que les personnes invitées narrêtait pas bizarrement de frôler, ce qui le rendait encore plus proéminant. Le spectacle de la soirée était un Poker endiablé avec sept hommes autour dune table dont son Patron du week-end. Cest là où il servirait principalement.
Minuit se présenta et son patron navait plus beaucoup de liquidité pour finir une partie serrée, alors il mit en gage
Les services privés de Laurent pour le reste de la soirée, au gagnant.
La partie continua de suite pendant que le serveur soccupait de la bosse du Texan avec une de ses mains sur sa tête blonde. Il ouvrit la braguette de son jean en le déboutonnant, mais son sexe ne passait pas tellement il était gros, dailleurs il eut du mal à le mettre en entier dans sa gorge, ce qui lui plaisait le plus cétait davoir son gland à lécher en sentant la chaleur du liquide séminal qui séchappait un peu dans sa bouche. Il ne voulait rien précipiter alors il suivit ses va et vient quil ordonnait grâce à sa main parfois autoritaire. La partie arrivait à sa fin mais un homme lui tenait tête, du coup il mit en jeu la bouche de Laurent pour voir et son adversaire accepta, surement excité par cette idée, il enfonça son pieux dans le gosier et déchargea toute sa semence en lui, un liquide épais, sucré et surtout en abondance, il ne lâcha sa tête quune fois ses pulsions électriques finies, il le dégagea doucement en sarrêtant à son gland, lincitant à ne gâcher aucunes gouttes.
Quand une autre voix dit « Couleur » suivit dun rire joyeux, le serveur comprit quil devait se tourner pour voir lequel il devrait soccuper. En face, une main déboutonnait son pantalon, alors il sut
Un sexe circoncis, mou en sortit, ce qui nétait pas le cas de la plupart des autres, surtout ceux en train de se caresser la bite à travers le tissus.
Cest à ce moment là quil sentit une pointe de chaussure italienne venir à sa rencontre, alors il écarta encore plus les fesses pour quil puisse la rentrer en lui, tout en se chatouillant les couilles contre les fibres. Il sagrippa fermement aux cuisses ouvertes de son étalon avec sa grosse queue dans le bec et le suça avidement de plus en plus vite pour quil lhonore de son jus dominateur. Il lui éclaboussa la gorge et continua sur son visage tellement il en avait à lintérieur de ses boules poilues mais il continua à le sucer car il était en plein orgasme dû au pied de son voisin den face.
Alphonso narrêta pas de se servir de son esclave comme monnaie déchange et personne refusa, Laurent dût avaler les 5 autres personnes de la table avec toujours plus de pieds contre son entre-jambe au fur et à mesure quil les excitait de sa langue agile.
Après une pause où il put se dégourdir les commissures ainsi que ses jambes, Laurent reprit son service normal à la différence que sa veste était restée ouverte et son boxer sous la table, ôté par un pied gourmand avec une gaule denfer, il reçut plein de sourires demandeurs de la part des autres invités, il était devenu en quelque sorte une star, signant des autographes en caressant de la bite quelques cuisses et mains.
Ainsi abreuvés, les joueurs commencèrent une nouvelle manche, les gains sépuisaient vite mais Alphonso gagnait et sortit 3 joueurs. La prochaine partie fût acharnée ce qui à eu pour conséquence denlever 1 autre joueur et de léchanger en gain. Cest son opposant qui à proposer le prix à payer :
- Je veux le cul du petit
Alphonso répondit :
- Double tes gains pour ça
Avec cela je taide en prime.
Mais son maître perdit, alors il le colla contre la table, de dos, en lui écartant les cuisses puis les fesses, il malaxa lanus de Laurent, puis cracha dedans, avec un doigt il étalait la salive tout autour puis à lintérieur avec un, deux, trois doigts, il se baissa et lécha le pourtour du postérieur. Martin arriva, puis tout en prenant la tête dAlphonso de sa main, vers sa queue dressée dit :
- Cest comme ça que je conçois laide
Suce bien mon salaud mais nenlève pas tes doigts de ce cul délicieux, il aura besoin dêtre suffisamment ouvert pour recevoir ma matraque correctement lubrifiée par ta salive de vicelard.
Alphonso lui rendit un sourire très coquin en le branlant plus fermement, le rendant dur au maximum pour sen servir comme dune sucette. Ceci fait, il dirigea son énorme braquemart vers le sphincter ouvert de Laurent, par ses doigts, quil retira tout doucement en insérant la tige de bar amine de son compère, quil saliva une dernière fois de toute sa longueur au fur à mesure de son entrée en moi , quil fit tout doucement millimètre par millimètre jusquà ce que ses couilles touchent mes fesses tendues comme une femelle en rut, il restât immobile pendant un moment, pendant ce temps Alphonso en profita pour gober ses testicules en remontant vers son trou quil ouvrit avec ses deux mains et la pointe de sa langue. Les râles fusaient dans tous les sens surtout au bar en face moi où le barman se faisait sucer derrière le comptoir mais au vu des mecs assis sur les tabourets qui se branlaient mutuellement en matant. Quand fut arrivé les va et vient je lâcha un petit cri aigüe de surprise puis il samusa à me limer de tout son long mais doucement, du moins au début mais quand il vit mon cul souvrit et se cambrer il intensifia le rythme jusquà me défoncer comme la reine des salopes, ce que je dis par ailleurs :
- Je suis ta pute baise moi comme une truie en chaleur, narrête pas, je veux jouir de ta queue
Ho Ouiiiiiiiiiiiiiii.
Alphonso se précipita sur mon sexe pour profiter de ma liqueur quil dégusta comme du miel en se passant la langue dans les commissures pour ne pas en gâcher, il me nettoya vite fait, sortit la bite de lautre de mon cul pour la mettre dans son gosier en la branlant énergiquement, il réussit très bien à avoir le don quil voulait et même plus dailleurs car jen ais eu aussi quand il remonta pour me rouler une grosse pelle.
Déjà 6h du matin, seul deux joueurs restaient, Alphonso et le Baron William, homme plus mince que les autres, plus fin même dans ses traits avec une virilité dans son attitude des plus désarmantes, il imposait le respect malgré une queue moyenne que javais déjà sucé auparavant. Les gains étaient tous sur la table mais comme cela ne suffisait pas William dit :
- Je veux aussi menculer le petit jeune, jai trop envie depuis quelques heures et quil me la lèche ensuite.
Alphonso répondit :
- Daccord, mais si cest toi qui perd, cest ma petit chose qui te fait un trou au cul pendant que tu me suceras jusquà jouissance, ça fait des heures que jai envie de te voir a luvre moi aussi.
William accepta le deal à son grand malheur, alors Alphonso monta sur la table puis fit signe à ce dernier, de se mettre en position devant lui, je me mis derrière pour me branler entre ses fesses, ma queue suintait tellement pour la lubrification quelle est rentrée toute seule comme une grande. Il avala la pine offerte et bandée puis je lenculai s sans vergogne, dun seul trait, la grosse bite dAlphonso lempêcha de crier mais un son caverneux séchappa quand même. Je le limais doucement pour lhabi à mes va et vient et louvrir suffisamment pour quil prenne son pied, je le sentis se détendre, cambrer les reins, écarter les jambes un peu plus en suçant plus frénétiquement que jamais à deux mains la bite dAlphonso.
Je ne fûts pas long à jouir dans son antre, mon liquide dégoulinait entre ses cuisses malgré ma bite encore à lintérieur, que je laissais pour finir mes contractions orgasmiques. Bandant toujours en lui, je le branlai sous la table pendant quil redoublait de vitesse pour faire monter la mayonnaise dune paire de couilles intarissables, ce qui se passa 2 minutes après, il reçu tout le nectar dans la bouche tout en méjaculant dans la main que je léchais ensuite au ralenti, comme pour que ce moment ne finisse jamais.
Nous nous assîmes pour nous reposer, la vision sur le bar en face était orgiaque, des trios sétait formés, certains suçaient en se faisant prendre, sur le bar, par terre, partout. William se rhabilla en me chuchotant quil voulait memployer pour être le trophée de léquipe gagnant dun tournoi de polo la semaine prochaine, il écrivit son numéro perso sur une carte de visite et me dit :
- Ça cest si tu as une petit envie quelle quelle soit
Nhésite pas même en journée, je te ferais une place dans mon agenda.
Je restais collé à Alphonso, la main sur sa bite et vice versa, quand mon employeur arriva pour nous dire quil fermait boutique , mon Italien me donna lui aussi sa carte de visite une fois reculotté en me disant que je pouvais finir la journée avec lui si je le souhaitais, avec une voix douce et polie, lenvie ne me manquait pas mais je refusais poliment, javais besoin de me reposer un peu sans avoir une bite dans la bouche mais je lui répondit que je lappellerai pour lui donner mes coordonnées pour quil pense à moi lors dune autre partie de Poker.
Mon employeur me paya très grassement en me félicitant de ma prestation, puis en me disant quil me rappellerait incessamment sous peu, surement dans la semaine pour bosser dur comme ce soir suivit dun clin dil et dune caresse sur mes fesses douloureuses. Je partis chez moi alors
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