Joachim

Il fait chaud ce matin là. Dans le jardin, je suis perchée haut sur une longue échelle plaquée contre un arbre. Joachim notre jardinier portugais, en dessous, sécurise l’échelle. Je porte une légère robe d’été, évasée à mi-cuisses. Depuis un moment, Joachim mate mes cuisses dénudées, je le devine, exhibées juste au dessus de lui. Je fais semblant de ne me rendre compte de rien. Je sais pourtant qu’il est malsain.
_ Joachim ! Joachim !
- Joachim, c’est quoi ça ? Enlevez tout de suite votre main de là.
- Vous pour par tomber Madame Chantal.
- Enlevez cette main, gros cochon, ou je vous mets une claque.
- Moi vous tenir, pas cochon.
- Enlevez-la tout de suite ou je le dis à mon mari et à votre femme. Oh ! non arrêtez tout de suite, salaud. Mais arrêtez immédiatement ! Mais qu’est-ce que vous faites, vous êtes devenu fou, arrêtez immédiatement ou j’appelle… Arrêtez, je vous dis … Oh mon dieu qu’est-ce que vous faites là…
- Madame aime, Joachim sent bien !
- Mais non espèce d’obsédé, laissez-moi tranquille et enlevez vos doigts de… vous profitez que je suis bloquée là. Mais arrêtez mon dieu, on peut nous voir.
- Oh non madame Chantal ya personne qui peut voir. Joachim a envie depuis longtemps.
- Mais je m’en fout moi que tu aies envie, laisse moi tranquille et sort tes doigts … Oh, non, non, c’est pas possible un mec pareil, tu es fêlé, arrête je te dis… oh … tu es fou !
- Madame Chantal elle est mouillée y sent Joachim.
- Oui mais arrête, je t’en supplie, c’est bon, d’accord, maintenant, tu as touché alors arrête.
- Madame a les poils tout collés par le mouille. Joachim veut encore.
- Non, non pas ça, arrête on va me voir.
- Joachim veut voir les fesses de madame Chantal et toucher encore.
- Remonte ma culotte arrête ! non pas là, pas là je ne supporte pas qu’on me touche là. Oh mon dieu … oui… non… arrête.
- Joachim sent bien que madame elle aime que Joachim touche ce petit trou là elle remue sur moi.

- Salaud, salaud, arrête … oui …
- Madame elle aime, Joachim dans les deux trous en même temps hein ?
- Non mais non arrête… oui, mais non mais non… remonte ma culotte !
- J’entends bien que Madame elle respire vite comme mes doigts.
- Il faut arrêter maintenant, allez, je t’en supplie… remet ma culotte, je vais tomber !
- Pas avant Madame jouit.
- Oh, mon dieu, qu’est-ce que je fais là !
- Laisse Madame Joachim, ne dira rien
- Oh … oui, oui oh non ! hummmmm
- Madame, dis à Joachim que tu aimes ses doigts.
- Salaud, jamais je dirais !
- Joachim va mettre la langue dedans.
- Oh non, non … Oui oui !
- Joachim enfonce bien sa langue, Madame elle aime, elle remue ses fesses. Je sens madame mouille beaucoup, elle coule, je bois oh oui madame je sens que tu vas jouir hein, petite cochonne !
- Non, non …mais tais-toi donc !
- Non madame elle est contente que Joachim y suce son derrière sur cette échelle, et mets son doigt dedans son minou. Elle est toute mouillée, Joachim y sent bien. Oh oui madame pousse bien je sens que ton derrière y s’ouvre pour moi entrer ma langue.
- Oh mon dieu, Joachim, continue, non arrête, je vais tout dire à mon mari et à ta femme.
- Madame, elle dira rien, Joachim, dira c’est pas vérité. Regarde Madame Chantal, regarde la grosse quéquette de Joachim.
- Oh mon dieu ! Cache ça tout de suite. Qu’est-ce que tu fais ? Descend immédiatement. On va tomber. Ne soulève pas ma robe, on va me voir. Mon dieu, il est fou. Non, non je ne veux pas, arrête maintenant.
- Joachim y veut bien descendre si Madame promet de montrer ses nichons.
- Pas question, descend immédiatement… bon d’accord mais descend de cette échelle.
- Madame a promis hein ?
- Oui, d’accord. Mais tu ne fais que regarder hein ? Et rhabille-toi, cache moi ça.
- Oui Madame Chantal, tu as vu comme elle est devenue grosse pour toi !
- Voilà, tu es content ? Tu les as vus mes nichons ? Allez retourne chez toi.
- Non, Joachim y veut que Madame lui donne sa culotte, pour sentir son minou. Y veut aussi que Madame ouvre complètement sa robe pour voir ses jambes et ses poils devant.
- Tu m’avais promis, salaud !
- Oui mais Joachim est trop excité maintenant.
- Je ne peux pas me foutre à poil ici, les voisins peuvent voir.
- Viens Madame derrière la petite cabane.
- Bon, mais ce sera tout hein ?
- Promis Madame.
- Alors, tu es content ? Tu en as assez vu maintenant. Non, n’approche pas, arrête ne me touche pas où cette fois je crie. Enlève tes mains de là, tu sais salaud que je suis sensible des pointes de mes seins. Arrête, oh mon dieu, je suis folle.
- Madame, touche ma queue, sens comme elle est dure. Laisse là entrer tu vas avoir beaucoup de plaisir.
- Mais t’es vraiment cinglé Joachim. Arrête… Non, non, arrête, je ne veux pas. Salaud !
- Madame dois branler alors, doit remuer le sexe de Joachim. Il veut jouir maintenant.
- Enlève ta main de ma poitrine, tu me fais mal. Mon dieu mais c’est bon quand même salaud !
- Joachim va jouir madame. Plus vite s’il te plait plus vite. Oui garde ta main, prends mon jus dans ta main, accélère encore, oui, oui, je jouis…
- Voilà tu as bien joui, ma main est pleine de sperme, j’en ai même sur le ventre et les cuisses. Essuie-moi! Tu es un gros dégueulasse et un pervers. Tu pourras te vanter d’avoir joui dans ma main ? T’es content ? Tu as baisé ta patronne ?
- Oh, oui, cela faisait longtemps Joachim avait envie. Tous les soirs y vient voir par la fenêtre, Madame se déshabiller dans sa chambre. Pour se faire jouir.
- Tu es un beau salaud Joachim, ne t’avise pas de recommencer ou d’en parler à mon mari sinon, je t’accuse de viol.
- Pas de problème Madame Chantal, Joachim y sait tenir sa langue. Je garde la culotte pour me caresser dedans le soir. Si Madame veut encore, elle demande.
- C’est ça, pervers. Je rentre, je vais me laver, finis de faire le jardin.
- Oui Madame.