Elodie S'Habille
+Résumé : elodie a révélé à son patron quelle était travestie. Celui-ci lattends dans son bureau le lendemain matin. Après avoir revêtu une tenue très exhibe et féminine, Elodie prend le RER. Apres un voyage chaud, elle se présente devant son patron
Elodie, debout devant le bureau de son patron, vient de le saluer. Celui ci na pas répondu ni regardé.
Elle reste clouée devant le bureau, nosant bouger ni prononcer une parole. Jean continue son travail. Elodie le regarde, ses yeux balayent le bureau et sarrêtent sur un objet. Une chaleur lui monte dans le corps. En effet elle vient de voir la cravache que Jean avait préparé et posé devant lui. Elle narrive plus à décrocher le regard de cet objet : une belle cravache en cuir véritable. Elle pense « celle là, cest pour moi, Elodie prépare toi, tu vas prendre une dérouillé »
Une quinzaine de minutes plus tard, Jean referme son dossier et se recule pour regarder Elodie
- alors je tappelle Eric ou Elodie ?
- comme il vous plaira, Jean...
- donc je vais te nommer Elodie.
- pour vous servir Jean.
- ça pour me servir, tu vas me servir. Je ne vais pas me priver. Tu mouvres des horizons nouveaux...
- jen suis heureuse Jean.
- hier tu mas dit que tu étais prête à obéir à tous mes ordres.
- oui Jean, je vous obéirai sans limite.
- bien voyons ça, tu tes habillée comme une salope aujourdhui
- je voulais vous faire plaisir
- enlève ta veste
Elodie retire sa veste.
- tourne sur toi-même
Elodie fait doucement plusieurs tours...
« Stop » dit Jean
Elodie se retrouve face à Jean. Celui-ci a pris la cravache et tapote dans sa main
-enlève ton chemisier
Elodie se dévêt
-baisse ton pantalon
Elodie le retire
-ta culotte aussi
Elle sexécute
-oh la la sécrie Jean, tous ces poils cest une horreur
-je suis navrée Jean
- ne mappelle plus Jean mais MAITRE
-oui maître
-demain je ne veux plus un poil
-Oui maître ce sera fait
-mais dit donc comment es tu venue ?
-par le RER maître
-et tu nas pas eu de problème ?
- des hommes mont regardée Maître
-et cela ta plu ?
-Beaucoup maître
-tu es véritablement salope
-oui maître
-et cest tout ?
- Dans la foule, un homme est venu se coller contre moi et ma e à le masturber
-il ta e au milieu de la foule ?
-enfin il ma guidée
- jaime mieux cette version, et cela ta plu aussi naturellement ?
- oui maître et il ma joui dans la main
-tu es vraiment une salope, une putain dit jean en sapprochant et du bout de la cravache il frappa les tétons delodie.
Elodie était en sueur, elle avait les tétons en feu, mais elle commençait à bander
-« tout te plait, salope » dit Jean en relevant la queue delodie avec la cravache et il appliqua un coup sec sur la queue
-aie ! cria Elodie
- pas de ça Elodie, je ne veux entendre aucun cris
-pardon maître, je ferais attention
-revenons à hier, tu comprends que tu mérites une correction pour ton comportement ?
-oui je la mérite, maître
-approche du bureau
Colle toi sur le bureau
Écarte les jambes et tend bien tes fesses
Voila ne bouge plus et surtout je ne veux rien entendre
-jai compris maître
Jean se mit à coté dElodie et commença à lui frapper les fesses
Sous chaque coup, Elodie sursautait .les coups étaient espacés mais puissants. Elle les attendait, mais chaque fois elle était surprise. Jean variait la position de la cravache pour couvrir et faire rougir toute la surface de peau. elle avait le derrière en feu et très sensible alors que Jean appuyait de plus en plus les coups .Elodie, obligée de bloquer sa respiration à chaque coup pour ne pas crier, sessoufflait. Jean lui mis ainsi 20 coups de cravache.
Voila dit Jean
Elodie tourna la tête vers lui et dit « merci maître »
Ecarte tes fesses
Elodie amena les mains sur ses fesses, la fraîcheur des mains sur ses fesses brûlantes lapaisa un peu et délicatement elle souvrit.
« Plus que ça » ordonna Jean
Elodie écarta au maximum.
Tirer sur cette peau meurtrie provoquait une douleur continue à Elodie
Jean qui la regardait, vit apparaître une raie blanche au milieu de ce cul tout rouge
-il y a un endroit qui est reste vierge, ce nest pas possible de laisser ça
-comme il vous plaira, maître
-je vais te remettre cinq coups
-oui maître
-mais cette fois tu vas les compter à haute voix
-oui maître
Jean se plaça face à Elodie qui était plaquée sur le bureau et il appliqua le 1°coup de façon à ce que la tige de la cravache touche le fond de la raie et que la spatule en bout vienne sécraser sur les couilles
Elodie sursauta et cria « un »
Et elle compta jusque cinq
« Cest assez pour ce matin » dit Jean « tu peux lâcher tes fesses »
« Merci maître »répondit Elodie
« Baise la main qui ta punie » ajouta Jean en lui tendant la main quElodie sempressa dembrasser tendrement.
« Ne bouge pas » dit Jean
-oui maître
Puis Jean approcha un doigt du petit trou et tenta de le faire pénétrer
Mais ce dernier résistait
« Il faut me mouiller maître je suis vierge, il faut me préparer pour que je puisse vous servir longtemps » sexclama Elodie
Jean
tu es vierge du cul ?
-oui maître
-eh bien ça alors
-je nai pas trouve de queue digne de me perforer. Mais je pense que ma virginité ne résistera pas à votre sexe
- hum !très bien ça
-vous mavez dompté maître
- bien on préparera la fête à ton cul mais en attendant on va retourner au boulot, nous avons beaucoup de choses à faire aujourdhui ? Les ouvriers doivent arriver pour installer ton bureau. « Remet tes vêtements » ordonna Jean
Effectivement un moment plus tard arrivèrent deux ouvriers se présentèrent pour
mettre en place les meubles de la comptabilité
Ils déplacèrent le bureau de Jean dans un angle et mirent celui delodie en vis-à-vis dans lautre angle.
Jean sassit et demanda à Elodie de se mettre à son bureau.
« Pourquoi ce bureau est il fermé » demanda til aux ouvriers en désignant celui dElodie
Un ouvrier haussant les épaules dit « il était comme ça, mais le fond doit se démonter »
« Regardez et supprimez le » reprit Jean
Elodie dû se reculer pour que louvrier puisse accéder au dessous du bureau et démonter cette tôle. En ressortant de sous le bureau, lhomme eu la vue directe sur le pantalon dElodie et marqua un temps darrêt, épaté par ce quil voyait. Il la détailla de la tête aux pieds et lui fit un grand sourire en la pénétrant du regard.
Jean interpelle Elodie
-il te plait ce mec, il ta excitée ?
-oui maître
Tu es vraiment une salope, tous les mecs te font mouiller
-oui maître, est ce que cela vous fait plaisir ?
- oui cest vrai, ça me satisfait, et cela me donne des idées
-quelles idées, maître ?
-tu verras ça quand je laurai décidé
- bien maître
-allez on travaille et après déjeuner on ira en ville faire quelques courses
Après le repas Jean et Elodie se retrouvent au bureau. Jean dit à Elodie de garder sa veste et lui explique quils vont partir dans paris en metro. Elle devra marcher quelques mètres devant lui pour quil puisse profiter du spectacle. Il adore regarder Elodie marcher en roulant du cul. Là il comprend quelle soit excitante et provocante. Le bas visible par transparence sous son pantalon renforce son coté salope. Et Jean aime voir les mecs se retourner sur elle dans la rue et même quelques mecs font demi tour pour la suivre et admirer son petit cul si tentant. Elodie essuie également quelques regards méchants de femmes quelle croise. Et quelques maris se font enguirlander car ils ont osés regarder. On ne pourra jamais comprendre la jalousie des femmes dés que quelquun fait ce quelles rêvent de faire mais nosant jamais. Donc elles critiquent voir agressent celles qui le font pour se donner bonne conscience. Et pour masquer aussi leur manque de courage à vivre ce quelles crèvent denvie de réaliser.
Dans le metro, Jean indique à Elodie de rester debout, alors que lui-même sassoit. Il lui plait quelle reste exhibée en plein milieu de la rame. Il se régale dobserver les regards qui détaillent Elodie.
Peu de temps après la rame sarrête et Jean fait signe à Elodie de descendre. Ils se retrouvent dans la rue et Jean la guide jusquà un magasin de fringues sexy près des galeries La Fayette :
Il fait entrer Elodie devant lui. Le magasin est vide, la vendeuse, femme dune cinquantaine dannées, sapproche deux et les salue.
-bonjour, dit Jean, nos recherchons une mini jupe plissée blanche
-nous en avons quelques unes, répondit la vendeuse, quelle taille désirez vous ?
-du 40
-je vais vous la chercher
Quelques instants plus tard la vendeuse revient avec 3 jupes
-voila, monsieur, je vous ai apporté celle-ci, elle nest pas plissée mais jolie, les deux autres sont plissées mais de longueurs différentes dit elle en étalant les jupes sur le comptoir.
Jean les touche et dit « Serait il possible de les essayer »
La vendeuse le regarde et lui répond « sans problème les cabines sont là »
Jean se tourne vers Elodie et lui dit « prends les trois jupes et va les essayer »
Cest la première fois quElodie se trouve confrontée à ce genre de situation et, rougissante et gênée devant cette femme, la tête basse, elle se saisit des jupes et se précipite dans la cabine.
Là elle respire ayant un peu de mal à reprendre son self contrôle, elle est heureuse dêtre cachée par le rideau. Comment essayer ces jupes se demanda telle. Autant elle aimait sexhiber devant les hommes, autant elle était embêtée de se montrer devant cette femme. À tel point quelle décida dessayer la jupe au dessus du pantalon.
Jean lui dit
-tu as enfilé une jupe ?
-oui
-alors sort et montre nous comment elle va
-oui
Timidement Elodie tira le rideau et sorti honteuse les yeux vers le sol
Jean et la vendeuse la regardèrent et éclatèrent de rire
-Elodie, tu te moques de moi, enlève ce pantalon immédiatement
Elle allait rentrer dans la cabine quand Jean lui dit
-non, enlève le ici, relève ta jupe et baisse ton pantalon
La vendeuse prit la parole « nayez pas peur Elodie si je peux vous appeler par votre prénom »
« Bien sur » répondit Jean
La vendeuse
-vous savez, Elodie ce nest pas la première fois que je vends des vêtements à un homme, notre vitrine attire beaucoup dhommes qui aiment se féminiser. Dailleurs vous êtes très fines et ces jupes devraient très bien vous aller »
Elle sapprocha dElodie, saccroupit devant elle, et passant les mains sous la jupe dit « je vais vous aider »
Elle dégrafa le pantalon et le lui retira puis elle releva la jupe et regarda « tout cela est très joli, cest bien plaisant » .elle relâcha la jupe
Jean fit la moue, cette jupe ne lui convenait pas
-Essaye la deuxième
« Oui » répondit Elodie
- comment ça
-oui maître
-je préfère, attention Elodie
La vendeuse « monsieur la tient bien »
Jean « cest une salope soumise, elle doit obéir »
La vendeuse « bravo, monsieur »
Jean « vous pouvez laider »
La vendeuse « bien sur »
Elle enleva la jupe dElodie et laida à enfiler la deuxième, sous prétexte darranger la jupe elle lui caressa les fesses et le sexe
Cela commençait à plaire à Elodie et sa queue se dressait
Mais cette jupe arrivait au dessus du genou
Jean « essayons la 3° »
La vendeuse sauta sur Elodie et lui retira cette jupe. Maintenant lui massant carrément le string, elle regarda Jean
-tout cela à lair de lui plaire le string est trop petit maintenant
En effet la queue dépassait en haut de la culotte
La vendeuse réajustant le string sans arriver à cacher cette queue
-cest bien joli tout ça
Jean « oui mais je veux la garder excitée »
-bien répondit la vendeuse avec un ton de regret et elle passa la 3° jupe à Elodie
Celle-ci était très courte, elle plu beaucoup a Jean qui ordonna à Elodie
-marche et tourne que lon voit ça
Elodie savança dans le magasin et tourna faisant voler la jupette autour delle
La vendeuse « ses bas sont un peu court avec ce genre de jupe, nous faisons des resilles blancs en grandes tailles »
« Mettez lui en » répliqua Jean
Et cest avec beaucoup de douceur et de nombreuses caresses que la vendeuse défit et remit les bas à Elodie. Elle lui comprimait le sexe chaque fois quelle pouvait. Enfin elle lui raccrocha ses jarretelles et les régla pour que le bas monte très haut
Jean « cest très bien comme ça, on prends la jupe et les bas «
A ce moment la porte du magasin souvrit et une jeune femme entra. Elle regarda Elodie qui était au centre et sécria « oh, cest super cette tenue, cest ce que je cherche »
Jean « marche Elodie et tourne pour montrer à cette dame comment bouge cette jupe »
Elodie sexécuta
La jeune fille « cest joli, mais cest court quand même »
Regardant Elodie, elle ajouta « vous sortez dans la rue comme ça »
« Bien sur » mentit Elodie « je dois faire plaisir à mon maître » toute fière de donner une leçon à cette femme.
Jean « bien, Elodie change toi, il faut que lon y aille, on na pas terminé »
Elodie retrouva son pantalon et rejoins Jean à la caisse. Celui-ci régla les achats et demanda à la vendeuse
- vous avez une carte du magasin
-bien sur monsieur
-la prochaine fois, je vous enverrai Elodie seule
- oui monsieur
-je vous téléphonerai avant pour définir ce que je veux
-daccord monsieur
- elle devra vous obéir
- oui, mais si elle nobéit pas ?
-vous la corrigerez comme vous lentendez
-Comme je veux ?
- oui comme cela vous fait plaisir, le tout est quelle soit punie, je souhaite même que ce soit sévère
-Bien il sera fait comme monsieur désire
-merci madame et bonne journée
Jean ordonna à Elodie de prendre sa veste sur le bras
Jean et Elodie quittèrent le magasin
Cette séance navait pas refroidi Jean qui était toujours excité. Revoyant Elodie bandante, il lui fit remonter les grands boulevards, imaginant cette salope dans ces rues en mini jupe. Cela fit encore grimper sa libido. Ses couilles étaient gonflées. Ce désir de sexe le décida à passer à une autre étape. Cela lui permettrai de voir comment se comporte sa salope et dévaluer ses capacités. Il arrivait dans les environs dun ciné porno « le Beverley » Jean informa Elodie de son projet et lui dit ce quil attendait delle
.
Fin du 3°épisode
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