Un Après Midi De Repos

Un après midi de repos


Sylvie et moi-même avions été invités un samedi après-midi à boire l’apéritif chez des amis et je dois dire qu’il avait bien traîné en longueur. Sylvie ma copine de bureau, qui n’avait guère l’habitude de boire, était très guillerette et c’était rigolo de la voir faire le pitre et j’en ris encore lorsque je la revois partie dans de grandes explications sur le sexe avec son copain Patrick qu'elle surnomme son petit chienchien.

Nous avions prévu nous promener dans un parc près de chez elle pour passer l’après-midi car la température devenait de plus en plus oppressante, mais une violente pluie d’été vint contrarier notre emploi du temps ainsi que notre promenade. Une fois rentrés à l’appartement, Sylvie s’affala dans son fauteuil et au bout de quelques instants, son copain Patrick remonte de la cave où il avait été faire du bricolage. Patrick était en vêtement de sport mais avec un collier de cinq centimètre autour du cou sans faire attention à ma présence Patrick vint à quatre pattes placer sa tête sur les cuisse de Sylvie en la regardant d’un air triste.

Sylvie commença par lui caresser la tête puis, me regardant droit dans les yeux, elle me dit dans un petit rire :

- Avec un tel après-midi de temps de chien, ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter et je me sens d’humeur joyeuse tout à coup !

Quelques instants après, Sylvie souleva son derrière du fauteuil et s’appliqua à faire glisser devant moi sa petite culotte le long de ses longues jambes bien dessinées. Elle se réinstalla dans le fauteuil en prenant soin de placer au préalable une serviette sur l’assise, et après avoir bien remonté sa minijupe, elle s’installa en plaçant ses pieds bien sur l’assise et en écartant bien ses genoux au maximum, dévoilant ainsi toute son anatomie devant la tête de Patrick

Le brave Patrick comprit aussitôt les attentes de sa très chère Sylvie et commença à lécher allégrement sa chatte de haut en bas en n’oubliant pas le moindre repli et en faisant pénétrer sa langue au plus profond qu’il le pouvait.

Sylvie gémissait déjà et elle commençait déjà à être détrempée de sa liqueur de plaisir et de la Patrick la léchait devant moi dans un bruit de succions étonnant. Ces bruits couvraient les petits soupirs de bien-être de Sylvie, il lui léchait désormais frénétiquement la vulve et Sylvie écartait de ses deux mains ses grandes lèvres pour qu'il accède bien à son petit bouton. À chaque fois qu'il passait un coup de langue sur son clitoris, elle gémissait de plus en plus fort, et les yeux clos, elle ne cessait de lui répéter :

- C’est bien mon chienchien, continue, lèche-moi bien, encore plus fort, plus profond, là... Rentre bien ta langue là, dans ma chatte !


Je finis par m’installer dans le fauteuil en face d’elle. J’avais moi aussi mon anatomie tendue tel un arc prêt à se rompre et je commençais donc à me masturber en regardant cette belle et délicieuse Sylvie en train de se faire bouffer le minou par son copain.

Sylvie releva un peu son derrière et elle le fit descendre un peu plus du fauteuil, permettant ainsi à son chienchien de pouvoir accéder à son anus. Sylvie inonda sa main de salive et humecta son petit trou avec. Patrick descendit sa bouche vers l’endroit fatidique et recommença à lécher de plus belle et de plus en plus frénétiquement en poussant des petits grognements !

Ma copine gémissait de plus en plus fort et elle se mit à hurler de plaisir sous les coups de langue de plus en plus dévastateurs pour son petit trou. Elle me regardait en gémissant et elle tentait de me dire entre deux gémissements haletants :

- Comment ne pas adorer cela ? y a t-il un autre homme que mon chienchien serait capable de me lécher aussi fort, aussi profondément ? Quel homme accepterait d’introduire sa langue ainsi au plus profond de mon anus ? Tu comprends à présent pourquoi j'aime, l’Amour de cette façon.

Sylvie finit par fermer les yeux et je la vis secouée d’orgasmes multiples. Patrick lapa avidement la liqueur qui inondait désormais sa chatte, puis il commença à monter sur le fauteuil pour la rejoindre, il avait baisser son pantalon pour lui faire voir son sexe qui était à présent bien raide et gorgé de désir.


Je regardais ce spectacle hallucinant et je finis par dire à Sylvie :

- Quelle chienne tu fais ! Tu ne trouves pas cela un peu injuste comment tu le traites ? Ce pauvre Patrick te donne tout le plaisir du monde et toi, que lui donnes-tu en échange ?

Sylvie, qui reprenait tant bien que de mal ses esprits, me regarda avec de grands yeux étonnés et me dit dans un souffle :

- Mais, je lui permets de me prendre de temps en temps tout de même ! Ce n’est pas rien et il a plutôt l’air de bien m’apprécier, non ? Tu ne trouves pas cela suffisant toi ?

- Si, lui dis-je en gloussant, mais ce que je voulais dire, c’est que tu n’as jamais songé à lui faire une petite fellation pour le remercier ?

Elle fit installer Patrick sur le dos et commença à jouer avec. Elle commença à le branler tout doucement, puis lentement elle fit sortir son sexe. Il était redevenu bien dur, mais la forme était vraiment très différente du mien.

Sylvie resta quelques petits instants à l’examiner, puis elle prit une profonde respiration et posa ses lèvres sur la bite de Patrick. Elle fit couler un long filet de salive dessus puis elle commença à faire un va-et-vient tout le long de cette bite. Ses lèvres jointes coulissaient tout du long de ce sexe. Apparemment, cela n’avait pas l’air de la dégoûter plus que cela. Au bout de quelques minutes, je dirais même qu’elle en retirait elle aussi un certain plaisir à la façon dont elle gémissait en frottant ses lèvres sur ce sexe qui devenait de plus en plus rouge et de plus en plus rigide.

À présent, le sexe de Patrick était tendu et prêt à craquer ! Tout comme le mien... Cela faisait déjà deux fois que cette foutue femme me faisait jouir en un rien de temps ! Sylvie entreprit de le mettre en bouche, elle commença doucement à le pomper puis de temps à autre, elle lâchait un filet de salive pour bien humecter ce sexe rougeâtre et elle y faisait glisser ses lèvres jointes tout du long.
.. Ce spectacle qui s’offrait à moi était des plus jouissifs et sensuels !

Voir Sylvie en train de gémir, les yeux clos, ses lèvres tantôt coulissant sur ce sexe, tantôt l’enfournant goulûment ! Elle le suçait à présent délicatement, en fermant les yeux et en gémissant... Nul doute qu’elle appréciait le contact de ce sexe... Elle ouvrit les yeux et me dit en souriant :

- C’est tellement bon ! Son sexe est si doux, si chaud ! Il est bien plus chaud que le tien !

Puis, avant de le reprendre goulûment en bouche, elle me dit :

- Tu n’avais pas parlé tout à l’heure de me prendre par derrière comme une bête tandis que je serai en train de le sucer ?

Je ne me fis pas prier deux fois et je me mis derrière elle illico... Je me mis à la prendre par derrière en levrette et jamais au grand jamais je n’avais tenu une telle forme. Je n’avais été aussi excité ! La dernière fois que j’avais ressenti une telle excitation, c’était lorsque j’avais découvert Sylvie en train de se faire lécher la chatte tandis qu’elle était à quatre pattes en train de me faire une fellation...

Je ne pus retenir mon flot de foutre. Entendre les gémissements de Sylvie, la voir en train de sucer Patrick, les yeux clos de plaisir, voir ses mouvements de va-et-vient, ses joues qui se creusent lorsqu’elle prend ce sexe en bouche, la voir en train de prendre en bouche ce sexe long et si dur. Voir sa langue tourner et courir le long de ce sexe, la voir titiller le bout de cette bite si rouge. La voir en train d’aspirer en creusant de nouveau ses joues et cette pine qui pénètre à l’intérieur de celles-ci telle une épée dans un fourreau... Ce spectacle était bien au-dessus de mes forces et je met au défi quiconque qui me lira de tenir lui aussi dans une telle position, si un jour la chance lui est donnée de vivre une telle expérience !

Après avoir joui au plus profond de son sexe, j’eus la joie de constater que ma verge était toujours aussi dure.
Ce que je voyais sous mes yeux valait bien tout le viagra du monde. Je sortis donc ma verge de son sexe inondé de mon foutre et, me plaçant correctement, je lâchais un filet de bave en direction de son petit trou que je me mis à titiller avec mon index. J’humectais donc son anus de salive et y tendis ma verge toujours en érection...

Sylvie gémissait de plus en plus fort et me supplia bientôt d’y aller plus fort, plus vite et plus loin ! Elle finit par lâcher le sexe de Patrick pour jouir de plus belle dans un grand râle. Une fois ses esprits revenus, elle reprit le sexe en bouche et le pompa frénétiquement. Je vis que Patrick commençait à osciller du bassin, puis je vis Sylvie en train d’avaler le plus profondément possible sa bite. C’était sa technique pour pouvoir avaler le sperme.

Dans un profond soupir, elle se laissa retomber sur le coté puis elle me regarda tendrement en me disant :

- C’était Divin ! Tu tenais la grande forme, dis-moi ? Cela t’en donne des idées de me voir faire la chienne comme ça ! Tu as drôlement l’air d’aimer me voir avec Patrick !

Je l’écoutais, ébahi par son enthousiaste et de la voir ainsi aussi heureuse et épanouie faisait plaisir à voir.

Sylvie était tout simplement, rayonnante de bonheur et de joie. La voir ainsi m’enivrait presque autant qu’elle ! Venant se blottir tout contre moi, elle me dit avec un sourire :

- La prochaine fois, j’aimerais bien que tu m’aides... :

Je la regardais étonné et lui dis, surpris :

-T’aider pour faire quoi ?

En positionnant sa tête au creux de mon épaule, elle me dit dans un souffle de béatitude :

- J’ai bien envie d’essayer que Patrick me sodomise, mais pour l’instant, je ne suis jamais parvenue à lui faire choisir ce trou et je ne suis jamais parvenue à placer sa bite assez rapidement contre ma petite rondelle pour qu’il puisse me pénétrer... De plus, avec son nœud, j’ai un peu peur... S'il parvient à me l’introduire, je serai liée à lui durant plusieurs minutes... Dans l'impossibilité de faire quoi que ce soit d'autre que de prendre du plaisir et d'attendre que son nœud ne ressorte.

Je la regardais médusé par ses propos et étonné aussi. Elle venait tout juste de sortir d’une expérience qu’elle pensait déjà à la prochaine... Je lui souris et finis par lui dire gentiment :

- Bien sur que je vais t’aider ma petite chienne adorée... Je ferai tout ce que tu voudras tant que je puisse participer aux jeux moi aussi !

Nous nous esclaffâmes de rires en nous serrant très fort l’un contre l’autre en pensant à notre prochaine séance... De bien beaux et agréables moments d’extase allaient encore s’offrir à nous, je n’en doutais aucunement. Sylvie allait pouvoir gémir de nouveau et prendre un pied incontrôlable comme elle aimait si bien le dire... Nous avions bien cru que nous étions partis pour passer un après-midi merdique. Mais, bien au contraire, nous avons passé un après-midi formidable nous seuls nous comprenions lorsque nous reparlions de cet après-midi pluvieux d’été...

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