Il Faut Assumer !
Cyril, mon mari vingt sept ans, bel homme brun, bosseur, prévenant, je ne lui connais aucun défauts
.. Si un : prude ! Moi, Constance, brune aussi, vingt quatre ans, espiègle, on me dit jolie même si mes seins sont un peu petits ! Mais çà ne me dérange pas, pas question de passer sur le billard et çà tombe bien, je ne supporte pas le soutien gorge. J'ai de belles jambes que je nhésite pas à montrer au grand dam de Cyril ! Un petit cul rebondi qui va bien avec ! Un couple uni finalement ! Bien que je sois bourrée de fantasmes...
Je dis en parlant de Cyril prude car cest un homme qui ne me baise pas : il me fait lamour, pourtant je le provoque souvent, par exemple le soir en nuisette lorsquil regarde la télé, je minterpose à quatre pattes, le cul tendu vers lui
- Tu nas pas dautres positions à me montrer ?
Je minaude...
- Pourquoi chéri ?
- Pourquoi ? On voit tout, on voit ton sexe qui dépasse de tes fesses, on dirait un animal !
- Et cest tout ce que çà tinspire ? Une chienne ? ?? Vient plutôt me baiser !!!
- Tu veux dire faire lamour ? Allons dans la chambre cest fait pour çà !
- oh ! Toi et ton éducation catholique
Allons dans la chambre faire lamour à la papa
Il ne refuse jamais de me satisfaire mais pas nimporte comment et nimporte où, et pourtant si nous sommes chez des amis ou sur la route ou dans un grand magasin et que je fais voir mes cuisses, souvent joublie de mettre une culote même pour aller bosser... Sentir lair passer sur ma moule cest super ! Çà mexcite de me savoir entièrement nue sous ma robe devant tous ces mecs, sils se doutaient ! Ah si, une femme a du remarquer car un jour elle ma dit :
-- Cest formidable de se sentir entièrement libre, moi aussi jaime çà
Mais pour linstant la femme ne fait pas partie de mes fantasmes
Bizarrement çà excite aussi Cyril qui est au courant mais qui me fait confiance.
- Tes bien comme ta mère toi, elle nest pas avare de montrer ses fesses, même à tonton J .P
Tonton J.P cest Jean Pau, un ami de toujours de mes parents, je me demande sil naide pas mon père à satisfaire maman car lorsque jétais encore à la maison ils descendaient souvent au sous sol quand jétais couchée pour soit disant jouer au billard. Dans cette pièce il y avait un canapé convertible, frigo, tout ce quil faut pour passer un bon moment ! Un jour jai même trouvé un string à ma mère sur le billard ! A savoir sil na pas participé à ma conception
Cyril et moi nous aimons profondément, pleins de projets dans la tête, sauf pour faire un , nous verrons cela dans quelques années.
Emménagés dans notre maison neuve depuis quelques mois à la campagne, car en ville cest inabordable, le revers de la médaille cest pour le boulot, obligés davoir deux voitures et la crise financière et le prix des carburants nont rien arrangés.
- Il nous faut faire des économies
et si nous trouvions un covoiturage ?
- Ca cest une bonne idée, on regarde sur internet ?
Et cest comme çà que Cyril a trouvé deux potes, pour moi cest un peu différent, je nai trouvé quun homme
Mais quel homme ! La quarantaine, tempes grisonnantes, une allure de héros de film daventure, une force tranquille émane de lui, je suis très troublée en sa présence mais je suis fidele et il pourrait être mon père.
Cela fait trois mois que nous nous relayons, tout va pour le mieux, aucune remarque sur mes tenues légères, très convenable
Jusquau jour de ce temps orageux
Un vendredi à douze heures trente, cest James, cest son prénom mais il veut quon prononce djemse qui me ramène, je ne travaille pas laprès midi, je dois le rejoindre sur le parking situé à deux cent mètres. A peine ai-je fait cinquante mètres que lorage éclate : pas dabris et des seaux deau tombent sur moi. Avec simplement ma petite robe dété sur moi et oui cétait un jour sans culotte !
Arrivée à la voiture James nest pas là, mes cheveux sont collés sur ma tête et mon visage, le tissus colle sur moi comme une seconde peau, mes chaussures sont pleines, enfin il arrive :
- Mille excuses Constance, un imprévu, mais tu es trempée, monte vite.
Ceci dit en même temps il me détaille de la tête aux pieds
Je parais carrément nue, même mes poils de chatte pourtant taillés courts forment une bosse sous la robe.
- Tant pis pour le siège monte !
Ouf enfin à labri
Jenlève mes chaussures, le tapis bois leau, très vite la réaction du froid me fait grelotter.
- Je mets le chauffage, quelquun tattend à la maison ?
- Non, non Cyril ne rentre que ce soir.
- Alors pas question que tu rentres dans cet état, jai un sèche linge, yen a pour deux minutes et tu prendras une bonne douche chaude sinon tu vas attr la mort !
Je suis mal à laise, autant que par le tissu mouillé qui me colle que de savoir quil risque de sapercevoir que je suis sans sous vêtements dessous. La sensation mouillée est désagréable, je tire sur la robe pour la remonter sur mes cuisses à la limite de ma fourche, un peu plus ou un peu moins, cest un peu tard pour y remédier !
Nous arrivons chez lui, il habite un minuscule appartement où il vit seul.
- La douche est là, fait comme chez toi, tu me donnes ton lige mouillé, voilà une serviette pour tenrouler dedans, je te prépare un grog, va vite ma grande !
Une fois la porte refermée je mextrais péniblement de ce linge mouillé, jentrouvre rapidement la porte et pose ma robe au sol.
- Cest tout ce que tu as à sécher ?
Voilà un grand moment de solitude
- Euuuh oui
Gentlemen il ne réplique rien
Leau brulante me fait du bien mais une autre surpris mattend
la serviette quil ma donnée est grande comme un timbre poste ! Nouée sur mes seins elle a du mal à cacher ma foufoune, un étrange sentiment menvahit, un homme qui me plait est là derrière cette porte, je mouille
Tant pis je sors, bien obligée !!
- Vient tassoir ici, bois, cest brulant mais il faut çà
Il me demande de massoir sur un pouf qui est comme le reste tout petit
tout est petit chez lui ???? La suite mapprendra que non
Il nose pas sassoir en face de moi heureusement car il aurait pleine vue sur ma chatte !
A petites gorgées javale ce grog brulant qui a un bon gout de rhum brun, je ne bois jamais, tout comme Cyril ne bois pas dalcool ! Immédiatement le breuvage fait effet, mes sens séveillent.
La catastrophe arrive lorsque je repose ma tasse, la serviette se dénoue et tombe au sol, me voilà nue devant James
Je me lève, il se lève lui aussi, très troublé, cest fini, je sais que je vais tromper mon mari, mes yeux se ferment, mes mains souvrent, mes bras sécartent de mon corps en signe doffrande et de soumission, jattends
Le pouf est bousculé, deux bras puissants me soulèvent, il marche vers une porte, je suis déposée délicatement sur un lit.
Jouvre les yeux, une chambre minuscule, mon dieu ! Des carreaux de miroir sont collés au plafond, de même en face du lit
Je me vois nue offerte...
- James, tu me plais énormément
Jai envie dêtre baisée, pas de faire lamour gentiment
- Je ne sais pas faire lamour gentiment, sache que mes partenaires repartent les cuisses écartées, ton vagin sera déformé à jamais
Çà me fait bizarre de lentendre parler comme çà, lui tellement poli dhabitude.
- Tu veux que je mette çà ?
Il me montre sur la table de nuit une boite de capotes
Pas nimporte lesquelles : des King size
et un flacon de gel, à coté une affichette : on y voit James la bite plantée entre les cuisses dune blonde plantureuse
Je suis dans lantre dun baiseur pro, Wouah ! Ma chatte va dérouiller !
- Surtout pas de capote, je veux sentir ton sperme fouetter lintérieur de ma moule
Mais avant, je suis nue, je veux te découvrir, allonge toi à ma place
Docile James sallonge, je lenjambe, ma craquette est juste à la hauteur de sa queue tendue sous le pantalon léger, elle me semble énorme ! Mes doigts commencent à jouer avec les boutons de sa chemisette, je ne suis pas fière, je tremble, Je ny arrive pas :
- Laisse, regarde comment on fait
Voilà !! Au fait tu as vu la photo ? À mes moments perdus je fais des films X.
- Je naurais jamais imaginée, à te voir si sérieux ! Tu vas me faire comme à elles ?
- Non mais avec toi ce ne sera pas du cinéma !!
Sans hésiter il att les deux pans de la chemise et tire dun coup sec, les boutons sautent ! Son torse velu comme celui dun ours apparait, ses tétons sont excités, comme les miens dailleurs, ce mec est baraqué comme un sportif de haut niveau, des abdos saillants le prouvent, bon maintenant la ceinture du pantalon
cest le moment de vérité !
Il se laisse faire, ses mains ne restent pas inactives, elles caressent mes seins durcis par lexcitation.
Je descends le zip du froc encombrant
Il soulève ses fesses.
- tire sur les jambières
Le boxer apparait, tendu comme une arbalète
comme un diable la queue libérée bondit, pleine de poils, une fois à lair claque sur son ventre, elle doit faire le double de celle de mon mari, mes doigts nen font pas le tour ! Les couilles grosses comme des balles de tennis sont resserrées par lérection formidable.
Trop privée de fantaisie à la maison ! Je me penche pour les embrasser, un parfum suave envahis mes narines, je navais jamais sentie celles de mon mari, quelle odeur, celle de la fornication
Un doigt fureteur atteint son anus, James écarte plus grand les cuisses pour laisser plus daccès à cet endroit, je menfonce facilement jusqu'à la première phalange.
Mon autre main saisie la queue, le gland montre son nez, une grosse goute perle au méat, je tire doucement sur la peau qui sétire difficilement, le gland se décalotte, énorme, le bourrelet de peau se coince derrière cette prune violacée.
- Tu veux me sucer ?
- OUI !
Alors attend
Je vais te bouffer en même temps
tu aimes lacrobatie ?
- Euuuh, pourquoi ?
Sans répondre il me prend par les hanches, je me retrouve la tête en bas juste à hauteur de hampe qui pointe menaçante, mes jambes sont passées sur ses épaule, sa bouche pile poil sur ma fente, son nez appuis sur mon petit trou
Pour un soixante neuf je nen attendais pas tant !
Sa langue se partage entre mes deux trous, mon clitoris est aspiré, sucé, mordillé !!!! Ma sève coule entre nous deux, ma première jouissance éclate !
- Aaaaaaahhhhhhhh, ooouuiiiiiiiii...
- Si tu veux avaler ne ten prive pas
. Tieeeeennnnnnnnnnnns !
Sous la violence des jets je suffoque, je tousse, çà me ressort par le nez !
- Repose-moi vite ! Jétouffe !
- Ah ! Comme entrée en matière cest pas mal ! La suite tu la veux où ?
- Sil te plait sous les glaces, je veux me voir embrochée
.
Une fois allongée James mécarte les jambes pour se mettre à genoux entre, laissant le maximum despace afin que je vois ma chatte. Son pieux frotte mes grandes lèvres qui se séparent volontiers, cest comme si je matais un couple en train de baiser sauf que cest moi qui ressent les bienfaits ! Lentement sa verge monstrueuse pénètre mon ventre, mes chairs sécartent, je nai jamais ressentie cette impression avec Cyril
.. Il se retire doucement pour mieux men mettre un peu plus dun bon coup de rein, lair me manque, mon utérus est bousculé, mes terminaisons nerveuses sont littéralement es ! Mes glandes débitent une quantité de cyprine comme jamais, une deuxième onde de plaisir monte inexorablement
. Dans la glace nos pubis se rapprochent de plus en plus et çà me fait de plus en plus de biennnnnnnnnnn...
Ma deuxième jouissance passe quasiment inaperçue à ses yeux, son bélier me perfore la moule comme un marteau piqueur, je ne regarde plus le plafond, je me concentre sur cette queue qui me taraude, jai une petite pensée pour mon mari
je vais tout lui avouer
Comme si sa bite ne suffisait pas il cherche à menfoncer deux doigts dans mon cul qui cède peu à peu
.. OOHH non ! Pas ce soir ! Pas de sodomie ! une autre fois si il veut
nempêche que cette caresse inattendue me fait encore une fois monter au ciel.
Ma jouissance déclenche aussi la sienne qui vient pour moi comme un soulagement sinon je ne pourrais pas marcher pour repartir ! Un ras de marée déferle dans mon conduit vaginal, est ce de part son boulot mais quasiment aucun son ne sort de sa bouche, il a joui en silence. Il laisse son membre évacuer ma chatte de lui-même avant de se relever.
- Avec une suée comme çà tu ne risques pas de rhum ! On remet çà ?
- OOHH non ! Jai mon saoul de plaisir pour aujourdhui ! Mais peut être une prochaine fois, je ne dis pas non !
- Quand tu veux çà a été un vrai bonheur de te faire lamour !
- Non ! Pas faire lamour : me baiser !!
La Constance qui fait lamour à la papa est morte ! vive Constance la baiseuse ! Ma décision est prise
jattend mon mari en mini kimono je ne me suis pas lavée
- Bonsoir chéri
.
- Bonsoir mon amour
.. Mais
tu sens quoi ? Cest une drôle dodeur
.
- Cest lodeur de la baise, lodeur du foutre, sent, lèche, jen ai partout sur moi : ici et ici, et là, ma chatte en est encore pleine, met tes doigts, sent les
.
Il hésite, complètement perdu, les yeux exorbités, puis enfile deux doigts dans ma chatte, il les porte à son nez, et en me fixant les enfoncent dans sa bouche.
- Cest du sperme ? de qui ?
- De celui qui ma baisée, lui il ne ma pas fait lamour ! Ce nétait que pour apaiser ma chatte, lauteur cest mon covoiturage, si tu veux je peux le refaire, mais devant toi çà te servira dexemple mais je te préviens il est exceptionnel !
Longtemps il reste silencieux, puis
- Cà me fait mal de dire çà, mais cest toi qui a raison, je ne mets pas assez de fantaisie dans nos rapports
Je dois tavouer que depuis des mois jai un fantasme que jessai par tous les moyens de refouler, dans mes rêves je te vois te faire défoncer par un homme fortement membré
et pour le refaire
il serait daccord à ce que jassiste ????????
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