Le Larcin
J'avais 18 ans, des cheveux longs, des yeux bleus, et j'étais vendeur dans un magasin de prêt-à-porter masculin.
Sans copine, je me posais des tas de questions sur ma sexualité. D'autant que je me suis rendu compte que je matais plus souvent les fesses et le paquet de couilles des mecs qui venaient essayer en cabine les fringues qu'ils comptaient acheter. Je m'intéressais plus aux barres que faisaient leur bite sous leur caleçon qu'à leur copine quand ils venaient accompagnés.
Le responsable de la boutique, beau mec, me semblait lui aussi, bien plus intéressé par le cul des clients que par autre chose. J'en eus la certitude le jour où je le vis entrer avec un client dans une cabine, la main malaxant les fesses et poussant vers l'avant. Le rideau refermé, je me précipitai dans la cabine d'à côté, grimpai sur la chaise et je risquai un il. Marc avait le pantalon aux chevilles et exhibait un sexe énorme devant la bouche du mec:
- Allez, montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche ! T'as essayé de me piquer un pantalon, mais t'es trop nul pour pas te faire piquer ! Alors, ou tu fais ce que je te demande ou j'appelle les flics! Ouvre la bouche, et avale-moi la pine ! Doucement avec les dents !
Le client obtempéra, et engouffrant la tige de Marc, il se mit à pomper le nud. Marc se mit à aller et venir dans le gosier en gémissant. Il lui niquait la bouche comme il l'aurait fait avec le con d'une fille. Les bruits de succion s'accéléraient, et Marc, d'un coup se dégorgea le poireau dans la bouche du mec qui avala le tout.
Marc, excité comme une puce, toujours raide, redressa le client, lui ôta son froc et son slip, le retourna et lui ouvrit les cuisses.
- Maintenant que tu as goûté au foutre d'un homme, tu vas en prendre plein le cul.
- Non, non, je ne l'ai jamais fait ! Je ne suis pas homo !
- Ben c'est l'occasion où jamais de te faire casser le fion et de te faire élargir la rondelle !
Il lui ouvrit les fesses, et sans aucune préparation, lui enfonça son dard maculé de foutre lubrifiant dans le trou du cul.
- Putain que c'est bon un cul de mec ! Va falloir que tu essaies toi aussi ! Tu verras, tu pourras plus t'en passer ! Et tu trouveras le trou du cul de ta copine bien fade ! Rhhhaaa! Prends moi ça dans le cul ! Aaaah, que c'est foutrement bon !
Je le vis se tendre au fond des reins qu'il fourgonnait, et lâcher sa bordée de foutre.
Excité par ce que je voyais et entendais, j'avais sorti ma pine bandée, et je m'étais branlé jusqu'à faire jaillir mon sperme sur la paroi. Je me suis dépêché de rejoindre mon poste. Marc, l'air béat et repu par sa séance de baise, m'y rejoint peu après.
Et puis, j'ai commis l'erreur. Fatale. Me croyant seul, j'avais dérobé une petite somme dans la caisse.
Marc, au moment du repas, magasin fermé, me demanda de le suivre dans son bureau.
- Mon beau Christophe, il faut que nous parlions un peu tous les deux. Tu as une copine ? Tu en as déjà niqué une ?
- Non ! J'ai l'impression que je ne les intéresse pas ! Ce qui fait que je suis encore puceau !
- Super ! Mon grand, j'ai l'impression que je pourrais m'occuper de ton petit cul et qu'on pourrait passer de bons moments ensemble !
Repensant à cette fois où je l'avais entendu s'enfiler le chibre dans le cul d'un mec, je me crus obligé de dire:
- Je n'ai pas non plus baisé avec un mec ! Et ça ne m'intéresse pas !
- Mon petit coco, intéressé ou non, il va falloir passer à la casserole ! Je t'ai déjà vu en slip, et j'ai remarqué que tu étais sacrément bien gaulé ! Et quand on parle de poutre apparente, c'est surement à ta bite qu'on devait penser !
- Je n'ai vraiment envie de me faire mettre par un homme ! Ca va pas non !
- Bon, alors venons-en au fait ! Le magasin est équipé d'une caméra vidéo, et je viens de visionner la cassette où je t'ai vu en train de piquer dans la caisse. C'est vraiment très grave ce que tu as fait !
Stupéfait, puis terrifié à l'idée de perdre mon emploi, je me sentis pâlir.
- D'un autre côté, comme il n'y a pas eu mort d'homme, on doit pouvoir s'entendre tous les deux ! Qu'en penses-tu ?
Marc s'était levé en parlant, et rapproché de moi. Il posa une main affectueuse sur mon épaule, et de l'autre, me malaxa une fesse.
- Tu fais du sport ? Parce que je trouve tes fesses bien musclées ! Tiens, enlèves donc ton pantalon et ton slip, que je puisse en juger ! Et montre-moi aussi ton service trois pièces, ça doit valoir le détour !
Je restai sans bouger, sans voix, tétanisé par la peur.
- Allez, allez ! Montre-toi un peu coopératif, enfin ! Je ne vais pas te bouffer ! Et puis, penses un peu à ce qui pourrait t'arriver si tu faisais la mauvaise tête !
Je me décidai enfin. J'enlevai ma chemise, mon pantalon, puis mon slip. Marc, admiratif, siffla.
- Putain, tu es sacrément beau mec ! Regardez-moi ces pecs ! Et ces fesses bien pommées ! Penches-toi un peu en avant
Ouuaaahhh ! Ce cul ! Superbe ! Pas de poils, un trou magnifique qui ne demande qu'à être perforé ! Tournes-toi un peu ! Pfffiiioooouuu ! Quel matos ! Tu sais que tu as une belle pine à faire saliver un orang-outang ? Et cette paire de couilles ! Mon dieu, je vais me régaler, et te régaler ! Aucun poil en plus ! Approche !
J'obéis, et il me posa une main sur la queue. J'étais surpris: je commençais à bander, et mon gland sortais de son capuchon. Un filet liquide venait le napper. Marc faisait aller et venir sa main, bien serrée autour de ma bite. Il me masturbait doucement, et à ma grande surprise, j'aimais ça ! Mes couilles se durcissaient à me faire mal, ma queue était hyper tendue, et Marc ne la quittait plus des yeux. Il se pencha, et goba mon chibre, se l'enfonçant dans le gosier, serrant mon gland et ma hampe entre ses lèvres. Je ne pus me retenir, je lui éjaculai une série de jets de foutre bien copieux qu'il avala au fur et à mesure.
Il se redressa, et entreprit à son tour, de se mettre à poil.
- Mon petit Christophe, je viens de te faire jouir, et je crois que tu as aimé ça. Maintenant, ça va être à mon tour ! Penches-toi en avant en t'appuyant sur le fauteuil ! Oui, comme ça ! Cambres-toi bien ! Oh putain quel cul ! Tout tendre sous la main, et pourtant des fesses si fermes ! On va se prendre un grand pied tous les deux ! Montres moi ce que tu as entre les fesses ! Ouvre les bien que je vois ton trou du cul !
Il était derrière moi, une main passée devant pour m'empoigner et me branler le paquet, l'autre dans ma raie, me passant un ou deux doigts sur la rondelle, testant l'élasticité. Je me relâchais à présent, et je tendais mes reins vers lui. Je l'entendais marmonner en me caressant, pendant qu'il m'enfonçait un, puis deux doigts dans le trou de mon cul.
- Détends-toi Chris, tu es bien serré ! Finalement, c'est bon non ? Quand je vais fourrer mon dard dans ton cul, il faudra que tu pousses à fond, comme pour chier, et tu verras, mon chibre te rentreras dedans comme dans du beurre, et tu vas jouir comme t'as jamais joui ! Allez, j'y vais !
Je le sentis se coller à mes reins, sa bouche se posa dans le creux de mon cou pour des baisers bien langoureux. Il m'ouvrait les fesses à deux mains, et je sentis son gland humide se poser sur mon illet. Je me suis mis à pousser, et je sentis mon anneau s'ouvrir au passage de la grosse queue. J'étais surpris de la facilité avec laquelle il m'enfila toute sa queue dans le cul. Ses couilles se collèrent à mes fesses. Je soupirai:
- Aaaarrrhhh ! Putain que c'est bon !
-Oui ma puce ! Il suffit d'y goûter une fois pour avoir envie de recommencer ! Mais attends que je te ramone le fion et tu vas voir comme c'est encore meilleur ! Rhhhaaaa ! Quel pied de fourrer un cul pareil, si serré et si tendre à la fois ! Ooooohhh !
J'étais abasourdi: j'étais en train de me faire enculer par une grosse bite de mec, et j'aimais ça ! Ma pine avait repris de la vigueur, et Marc me l'avait empoignée pour me branler énergiquement tout en me défonçant les fesses dans un va et vient qui m'envoyait dans les nuages.
- Oui Marc, j'aime ta queue dans mon cul, tu me ramones bien, c'est bon ! Aaaarrrrggghh !
Je fus pris de spasmes incoercibles, je me raidis, poussai un cri rauque, et je me mis à jouir. J'envoyai plusieurs jets de foutre loin de moi. Marc lâcha ma pine, s'accrocha à mes hanches, et accéléra ses va et vient dans mon cul, faisant claquer son ventre et ses couilles sur mes fesses.
- Hann ! Hann ! Rhaaaa ! Putain que c'est bon ! Je vais me vider les couilles dans ton jeune cul, mon petit salaud ! Prends-moi çaaaaa !
Je le sentis gicler dans mes intestins des jets de sperme qui me tartinaient le boyau. Cette idée me refit bander illico, à la grande surprise de Marc qui venait de sortir sa bite de mon trou du cul avec un "plop" retentissant. Du foutre s'écoula de ma rondelle et s'écoula par terre. Mon amant me regarda un moment, puis il se mit à quatre pattes, cuisses écartées, cambra les reins pour m'ouvrir ses fesses.
- Viens Chris, à ton tour ! Fourres-moi ton chibre dans le cul, et barattes-moi le fion ! Encules-moi, et goûte à ton tour le pied que c'est que d'enculer un mec !
Je ne me posais plus de question, tout à ma jouissance. J'étais ailleurs. Je m'installai derrière lui, entre ses cuisses. J'écartai sa raie et je vis pour la première fois de ma vie, un trou de balle de mec. Et j'allais y foutre ma queue.
J'approchai mon gland gluant de ma semence, et je forçai le sphincter. Aucune résistance, son anus s'ouvrit facilement sous ma poussée, et mes couilles se retrouvèrent collées à ses fesses dans la même foulée.
Marc poussa un feulement de plaisir. Et je me mis à mon tour à gueuler tellement j'étais pris dans un tourbillon de plaisir. Je l'enculai pendant vingt bonnes minutes, il éjacula encore une fois, juste avant que, pris par un violent orgasme, je ne répande ma semence dans son cul. Je m'écroulai sur lui, la bite toujours enfoncée dans son anus. Nous sommes restés ainsi un petit moment, le temps de reprendre notre souffle et nos esprits.
Un peu plus tard, rhabillés et prêts à recevoir des clients, Marc me proposa:
- Ça a été fabuleux ! Je me suis niqué beaucoup de mecs, mais je n'ai jamais eu au bout de la pine un cul aussi tendre, aussi voluptueux. Passons le week-end ensemble ! Tu veux bien ?
Encore sous le coup du plaisir que j'avais éprouvé, j'acceptai. L'idée de me faire démonter le cul ne me déplaisait pas, mais j'avais surtout envie de me fourrer dans ce fion qui venait de me procurer des plaisirs inconnus.
Nous passâmes un week-end de folie. Nous n'avons pas beaucoup dormi. Il me fit boire un produit qui nous maintint la queue bandée deux jours durant. Nous nous sommes gavés du foutre de l'autre, en 69, avalant tout à chaque fois.
A un moment, il m'a réveillé en me suçant la pine, puis il me fit mettre à plat ventre, un traversin sous le bassin. Il m'écarta les cuisses, et, placé entre elles, il m'écarta fortement les fesses en prenant appui sur elles.
- Mon p'tit loup, ton cul présenté comme ça, la rondelle qui baille et laisse passer le foutre, tu m'excites comme une bête. Rhhhaaaa ! Putain que c'est bon ! Je me régale les yeux à voir ton trou du cul qui avale mon chibre !
Sa bite au fond du rectum, le bassin collé au matelas par ses mains sur mes fesses et ses coups de queue, je fus limé, baratté, défoncé. Nous avons gueulé ensemble, lui, éjaculant au fond de mon anus, moi, lâchant mon sperme sous moi, sur les draps.
Plus tard, ce fut son tour, je lui injectait ma semence. On s'enculait en missionnaire, les cuisses largement écartées et remontées vers les épaules. Dans cette position, nos queues hyper raides allaient très loin chercher les prostates.
A la fin du week-end, mon trou du cul n'était plus qu'un garage à bite. J'en voulais toujours plus. Il me fallait son braquemart dans le fion en permanence. Pour me faire baratter, je frottais mon cul à sa bite, il me la mettait et me niquait jusqu'à ce qu'il me remplisse de son foutre.
La semaine qui suivit, Marc m'apprit à repérer les clients qui venaient pour piquer des fringues. Il était facile alors, de les emmener à l'isoloir pour se les troncher tranquillement. Quelques un en redemandaient.
Nous avions nos habitués, et nos attitrés. Nous arrivions à tirer sept à huit coups par jour. Ma pine gagna en volume, mon trou du cul, très sollicité aurait pu sans problème recevoir un concombre.
Marc et moi sommes ensemble depuis maintenant 3 ans, toujours assoiffé du corps de l'autre. D'un naturel pas jaloux, nous pouvions nous faire autant de mecs qu'il s'en présentait.
Un soir, nous décidâmes d'aller en boîte. Deux nanas nous ont levés. On les a ramenées chez nous et on se les ait niqué un bon moment. Elles sont devenues hystériques en nous voyant nous enfiler l'un l'autre. Elles se sont jetées sur nos bites, se les mettant partout, assoiffées de sexe. On les revoit de temps en temps.
Homos ? Bi ? Quel pied !
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