Début D'Été (3/10)
Début dété.
3ème partie (3/10)
« « Vous avez suivi Marine et Alicia à la piscine ? vous avez fait la connaissance de Janie et dHoucine ?
Non ? Après tout, tant pis pour vous, cétait vachement bien !
Voyons comment se termine cet après-midi dété
» »
Marine sest baignée avant de retourner vers ses affaires. Elle nen avait rien montré à Houcine, mais la petite séance ne lavait pas laissée indifférente, et le bain était autant pour atténuer les effets de la chaleur que pour la calmer.
Janie dormait, ou faisait semblant, le front reposant sur ses mains croisées. Marine sest agenouillée à ses côtés et a essoré ses cheveux sur le dos rosi de soleil, la faisant sursauter et déclenchant un petit cri de surprise.
- Je vous arrose parce que vous commencez à rougir dans le dos. Vous sentez pas que ça pique ?
Elle lui a épongé le dos avec sa serviette et a tendu le bras vers son flacon de protection solaire :
- Je vais vous mettre de la crème, bougez pas !
Janie a protesté que cétait inutile, mais Marine nen a tenu aucun compte, vaporisant du produit sur tout son dos. Janie a poussé un soupir et sest rallongée, résignée.
En levant les yeux, Marine a vu Alicia dire quelques mots aux garçons avec qui elle jouait aux cartes et tous se sont retournés avec un sourire entendu aux lèvres ; elle leur a fait un petit signe de la main et un clin dil, avant denjamber Janie et de sasseoir sur ses cuisses en même temps quelle commençait à deux mains à étaler la crème dont elle avait très généreusement aspergé son dos. Elle sest appliquée à un véritable massage, tournant souvent la tête vers Alicia et les garçons qui la regardaient toujours en riant et en échangeant des propos dont elle devinait quils nauraient pas plu à Janie.
Elle a pris son temps, massant les épaules et la ligne du dos, les reins, glissant parfois le bout des doigts sous lélastique de la taille, et remontant à partir des hanches jusquà effleurer des doigts les seins qui débordaient un peu sur les côtés du torse, sattardant là malgré le grognement de protestation de Janie, qui a replié ses coudes pour empêcher le contact indiscret, mais que Marine a repoussés aussitôt.
Janie, au bout dun moment de ce traitement sest secouée de droite à gauche :
- Arrête
sil te plaît, arrête !
- Ça va, y a plus de crème de toute façon. Vous aimez pas les massages ?
Janie a tourné le visage vers Marine qui sétait allongée à ses côtés ; elle avait les joues bien rouges et le regard un peu égaré :
-
si, cétait
bien. Arrête, Marine, allons
y a du monde !
un doigt glissé sous le maillot sur ses fesses, Marine le remettait en place
- Il avait bougé, tu montrais tes fesses ! et puis cest pas vrai, y a personne !
Janie a levé la tête pour regarder à droite et à gauche : plus de jeunes, les mères et leurs s nétaient plus là non plus
et Marine caressait le côté dun sein sous son bras, un sourire espiègle au coin des lèvres et un petit bout de langue dépassant entre ses lèvres.
- Tes une drôle de fille, toi
- On ma déjà dit ça y a pas longtemps !
Marine est allée sasseoir au bord de la piscine, les pieds dans leau. Du coin de lil elle guettait Houcine qui faisait toujours les cents pas au bord du bassin, satisfaite des fréquents regards quil portait sur elle, et regardait Alicia chahuter dans leau, entourée des trois garçons qui laissaient traîner leurs mains, sur le dos, un sein, les fesses, déclenchant de fausses protestations, des rires trop forts, des tapes sur une épaule ou un bras.
Janie est venue la rejoindre, sest assise à côté delle :
- Elle a du succès ta copine
- Ouais, mais on dirait quelle a pas encore choisi !
- Elle les veut peut-être tous les trois !
- Eh ! Qui sait ! Mais y en a quun qui aura sa pastille !
- Chhuuut
- Ben quoi, elle est vierge !
- Quest-ce que ten sais, dabord ?
Marine la regardée avec un sourire et lui a montré son majeur levé :
- Cest tout fermé, je te dis quelle est vierge !
Janie a refermé sa main sur ce doigt et abaissé la main de Marine :
- Allons ! voyons !
quel vilain geste !
- Par contre, quest-ce quelle mouille !
- Oooooh ! arrête
Janie a rougi mais elle avait du mal à retenir son fou-rire.
- Je vous croyais pas
copines à ce point-là !
- On lest pas tant que ça ! Je préfère les vraies femmes, comme toi !
Janie sest laissé glisser dans leau, sans un regard, mais Marine a vu un sourire fugitif étirer ses lèvres avant quelle ne se tourne pour se laisser descendre dans leau.
Janie est restée accrochée au bord, les avant-bras dans la petite margelle de débordement. En se soulevant sur ses mains, Marine sest déplacée, sasseyant en face de Janie et en entourant ses épaules de ses jambes ouvertes, caressant ses épaules du bout des orteils.
Janie a vivement tourné la tête, surveillant dun regard inquiet autour delle, avant de lever un regard de reproche sur Marine, qui, très contente delle, a remarqué le long regard quelle posait sur ses cuisses et son entre-jambe avant de sécarter pour nager.
A lautre bout de la piscine, Alicia sortait de leau, tirait dun geste machinal le maillot sur ses fesses, ne se rendant pas compte quen étirant et en tendant le tissu sur elle, elle accentuait leffet de transparence. Elle ne voyait pas non plus les regards outrés par tant dimpudeur des deux mères de familles qui jouaient dans leau avec leurs s.
Amusée, elle a vu Alicia se diriger en roulant des hanches vers les vestiaires, suivie de près par lun des trois garçons, qui semblait nerveux, sest fâché avec un de ses copains qui voulait le suivre mais est retourné dans leau, boudeur, après la brève explication.
Marine sest levée, et a suivi des yeux Alicia jusquà ce quelle disparaisse à lentrée des vestiaires. En marchant le long du bassin, elle a suivi Janie qui progressait dune brasse maladroite, tout en surveillant le garçon qui à son tour a disparu à lentrée du vestiaire.
Devant léchelle, elle a tendu la main à Janie pour laider à sortir de leau, lattirant vers elle dun élan quand elle a atteint le dernier échelon :
- Tas quel âge ?
-
trente-deux
- Tes plutôt bien pour une vieille !
Janie sest penchée en avant et a pris Marine de cours en lui posant un petit baiser au coin des lèvres :
- Tes pas mal pour une gamine !
Marine, étonnée, la regardée séloigner, détaillant la silhouette aux hanches joliment arrondies sous la taille fine, le regard gourmand.
- (
daccord daccord
tu veux jouer
eh bien on va jouer
)
Elle a tourné le dos et sest dirigée vers lentrée du vestiaire où Alicia et le garçon avaient disparu depuis cinq minutes.
- Eh ! tes gouine ?
- Ta gueule, Houcine, occupe-toi de ton cul, fais pas chier !
Elle a traversé le pédiluve en évitant le jet de la douche automatique qui sest déclenchée à son passage et sest engagée dans le couloir sombre menant aux vestiaires.
Elle a dépassé la porte du vestiaire « Hommes » sans même un coup dil, et sest arrêtée à la porte grande ouverte du vestiaire « Dames », avançant à peine la tête.
A gauche, les trois portes des cabines individuelles, à droite un long banc de bois sous les portes manteaux fixés au mur, et plus à droite encore, dans un renfoncement, la petite salle avec les deux pommes de douche où on peut se rincer avant de se rhabiller.
Ils étaient là, au milieu de la petite pièce ; ils sembrassaient, yeux clos, bouches collées ; Alicia avait passé les bras autour du cou du garçon qui tenait les seins dAlicia à pleines mains.
Ils étaient beaucoup trop occupés pour se rendre compte de sa présence, et elle est restée un long moment à les observer.
Sans interrompre leur baiser, le garçon pétrissait les seins avec application, puis a descendu une main dans le dos dAlicia, hésitant sur la taille un instant avant de descendre sur les fesses, du plat de la main, effleurant à peine avant de remonter. Alicia pourtant sétait dressée sur la pointe des pieds, tout son corps plaqué à celui du garçon des cuisses aux seins quelle écrasait contre le torse maigre, emprisonnant la main entre eux ; elle lencourageait à continuer mais il se montrait timide.
Marine attendait, curieuse de savoir si Alicia allait ou non prendre linitiative ou si elle sen remettait au garçon, se satisfaisait des ces effleurements, se montrant aussi timide que lui.
Tous les deux avaient les joues bien rouges et le souffle haché de leur baiser ininterrompu.
Lassée dattendre, elle sest avancée vers eux. Tous les deux ont sursauté en sentant ses bras sur leurs épaules et ont interrompu leur baiser, plus rouges encore quils ne létaient déjà. Elle a dû resserrer sa prise sur les épaules du garçon pour éviter quil ne senfuie :
- Eh ! du calme ! Je suis pas là pour vous botter les fesses, au contraire ! vous êtes mignons tous les deux !
- Tinquiète pas, Pascal, elle est cool !
Marine sest glissée dans le dos dAlicia et a pris ses seins dans ses mains. Pascal restait la bouche ouverte de stupéfaction, les yeux écarquillés allant des mains de Marine aux yeux dAlicia, revenant sur les mains qui trituraient les tétons à travers létoffe.
Alicia ne protestait pas, se tenait immobile, le souffle court, ses bras toujours autour du cou de Pascal. Elle ne sest pas défendue quand Marine lui a dénoué les doigts croisés derrière la nuque du garçon et a fait glisser les bretelles du maillot sur ses bras, a soulevé les mains de Pascal sur les seins nus. Elle a avancé la bouche pour un nouveau baiser. Elle a vaguement senti un glissement, les bras de Marine bouger autour de ses hanches, Pascal trembler contre elle et ses mains se crisper sur ses seins ; elle sen remettait entièrement à Marine, nesquissait pas un geste. Elle sentait un mouvement contre son ventre.
Marine avait baissé le slip de bain de Pascal et le branlait doucement, se retenant de rire en entendant son petit gémissement étouffé par la bouche dAlicia. Elle a arrêté sa caresse et attiré une main dAlicia sur le sexe dressé entre eux :
- Tu sais comment ça marche ! vas-y !
Alicia a eu un long frisson en fermant la main sur la verge et a commencé un lent va-et vient, les images vues sur internet en début daprès-midi défilant devant ses paupières fermées. Le contact dans sa main, le souffle chaud et précipité de Pascal dans sa bouche lexcitait énormément ; Marine faisait glisser le maillot de ses hanches à ses cuisses, et tout naturellement elle a soulevé un pied après lautre pour la laisser le lui enlever. Elle souriait sur la bouche du garçon en sentant la main de Marine sinsinuer entre ses cuisses et lui ouvrir le sexe dun doigt.
- Waouh, Alicia ! On dirait que ça te plaît vachement !
Agenouillée dans son dos, elle enveloppait le sexe dAlicia de sa main, le majeur planté dans létroite ouverture du vagin. De lautre main elle a tiré le bras du garçon et la accompagné dune main ferme sur le ventre dAlicia. Elle le sentait trembler, a perçu sa résistance quand il a touché sa main à elle, puis sa brusquerie à fermer sa main, sans doute pour la première fois sur ce sexe de fille.
Marine sest redressée, abandonnant Alicia à Pascal. Ils sembrassaient toujours, pour ne pas avoir à se regarder peut-être, tous les deux penchés lun vers lautre, taille cassée pour donner de lespace à leurs caresses.
Marine a regardé un moment les mouvements saccadés et maladroits de la main dAlicia et la interrompue en posant sa main sur son poignet. De son autre bras, en pesant sur ses épaules, elle la arrachée au baiser du garçon. Alicia a froncé les sourcils dinquiétude en tournant le visage vers elle. Elle avait les joues enflammées, les lèvres gonflées et humides, de petites grimaces et des retraits du bassin quand la caresse du garçon était trop brusque et maladroite.
- Lui dabord ! ça va ?
Alicia na pas répondu, lèvres tremblantes. Marine a appuyé plus fort sur ses épaules :
- Allez, baisse-toi !
Marine aussi sest agenouillée, dans le dos dAlicia. Elle a placé les mains dAlicia sur les fesses du garçon et a pris la verge dans sa main, la pliant vers la bouche dAlicia quelle poussait de tout son corps vers le garçon.
Alicia résistait, gardait la bouche fermée devant le gland tendu que Marine frottait sur ses lèvres, tournait le visage.
- Allez Ali, fais-toi plaisir ! tu vas voir, cest bon ! Et puis il est pas bien gros ! timagine si cétait celui dinternet ?
Alicia a eu un hoquet de rire nerveux et sest enfin décidée, dabord du bout de la langue, et puis elle a pris le gland que Marine tendait vers elle entre ses lèvres. De la tête et de son corps, collée au dos dAlicia, Marine poussait la tête dAlicia, la forçant à avaler le sexe plus profond, ne lui laissant aucune chance de séchapper. Elle a lâché la verge du garçon et posé ses mains sur les mains dAlicia, sur les fesses de Pascal, donnant le rythme, sappuyant toujours plus fort sur Alicia pour lobliger à avaler le sexe.
Ensembles elles ont senti sous leurs doigts les muscles des fesses se durcir et trembler. Marine a entendu le hoquet de surprise dAlicia et son recul. Elle sy attendait. Elle la empêchée, se serrant contre elle. Le garçon était immobile, tendu, comme tétanisé. Delle-même Alicia a repris de petits mouvements de va-et-vient de sa bouche et Marine a relâché sa pression, sest écartée pour se relever en sappuyant sur lépaule dAlicia qui a continué à sucer la verge avec application en la branlant dune main.
Pascal sest retiré de sa bouche et a très vite remonté son maillot de bain.
Assise sur ses talons, Alicia a tendu la main vers Marine pour quelle laide à se relever. Elle avait un éclair de fierté dans les yeux.
Debout, dans une attitude que Marine a trouvé risible et ridicule, Alicia cachait ses seins sous ses mains, pendant que Pascal semblait embarrassé de lui-même, dansait dun pied sur lautre, et paraissait prêt à senfuir, le regard en coin rivé sur le ventre nu dAlicia.
- Venez !
Marine, les tenant tous les deux par les épaules, les a conduit dans le vestiaire où elle a poussé Alicia sur le banc. Assise jambes serrées, Alicia, gagnée par une pudeur tardive, protégeait ses seins dune main et du bras, cachait son sexe de lautre main.
Marine a obligé Pascal à sagenouiller avec elle devant Alicia qui avait lair un peu inquiète, et à deux mains a obligé Alicia à écarter grand les genoux.
- Regarde bien, toi ! et apprends !
Elle a écarté la main dont Alicia protégeait son sexe et de la main gauche posée sur le ventre au-dessus du sexe elle a ouvert les lèvres, exposant et étirant les chairs roses et brillantes de cyprine :
- Pour les filles, cest là que ça se passe !
Du plat du lindex de la main droite, elle repoussait le capuchon du clitoris, le titillait doucement, avant de masser tout autour en montant et descendant, de lindex et du majeur tendus, de chaque côté du bouton rose vif le long des petites lèvres, branlant entre ses deux doigts la tige durcie au-dessus du petit bouton.
Alicia adossée au mur respirait fort, bouche ouverte, les yeux cachés sous son bras levé.
- A toi mon grand, donne-lui du plaisir, et toi Ali, explique-lui si ça te va pas, tas compris ?
Sans baisser le bras sous lequel elle se cachait, Alicia a hoché la tête.
Marine a cédé sa place à Pascal entre les jambes dAlicia, et a quitté le vestiaire en passant la main dans les cheveux du garçon :
- Eh ! avec ta langue, cest vachement bon aussi !
- Tétais où ?
- Je rendais service !
- A ta copine ? Tu lui as dit pour le maillot ?
- Elle la enlevé !
- Cest bien, cest plus sympa
- Ouais tas raison, jai été sympa sur ce coup-là !
- Quest-ce qui te fait rire ?
- Rien, rien ! thabites au Lycée pendant les vacances ? Tu restes là ?
- Oui, et cest pas trop drôle. Comme je paie pas de loyer, je sers de gardienne en juillet, jarrose les plates-bandes de fleurs, je surveille un peu. Je partirai en vacances en août. Et toi, tu passes lété ici ?
- Comme toi, et on part en août aussi, deux semaines. Tu dois temmerder toute seule dans ce grand bahut ! tas pas peur ?
- Non, jai lhabitude
Janie était assise, le dos appuyé au grillage, son livre plié sur son ventre. Marine sétait allongée à plat ventre en la rejoignant, avait dégrafé son soutien-gorge et la regardait en appui sur les coudes. Elle avait guetté et remarqué avec satisfaction les fréquents coups dil de Janie sur ses seins. Du dos dun doigt, elle caressait comme machinalement la cuisse de linfirmière.
- Si je viens te tenir compagnie, je vais déclencher les alarmes ?
- Cest sûr ! Il faudrait me prévenir avant.
- Cest moins drôle si je te préviens ! cest plus une surprise !
- Et pourquoi tu voudrais me surprendre ?
- Taimerais pas ? Tas les seins bronzés, tas peur que je te surprenne à poil ?
- Non, jai pas peur
En surveillant autour delle derrière ses lunettes de soleil, Janie avait lâché son livre dune main quelle avait posé sur les avant-bras de Marine.
- Tu les mets tout le temps, les alarmes ?
- Oui, tout le temps.
Dun doigt levé, elle a fugitivement effleuré le haut dun sein de Marine :
- Si tu veux passer, mieux vaut me prévenir
- Des fois je me balade le soir, après le dîner.
Après une pression des doigts sur un bras de Marine, Janie a repris son livre à deux mains et la rangé dans son sac :
- Jattendrais un peu avant de rebrancher les alarmes, alors
- Bonne idée ! Je me baigne encore une fois et je rentre. Tu viens ?
- Daccord.
« « Sacrée Marine ! étonnante, non ? Vous avez eu des copines comme elle, vous ? Moi pas !
Et Janie
je vais les surveiller toutes les deux
vous me suivez ? » »
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