Début D'Été (2/10)
Début dété.
2ème partie (2/10)
« « Vous avez vus Marine pousser Alicia à sexhiber sur internet dans la première partie de ce « Début dété ».
Comme la veille, elles iront à la piscine cet après-midi
Quoi ? zavez pas lu la 1ère partie ? NOOON ! jy crois pas ! et moi qui mapplique à donner une cohérence à cette histoire ! je bosse pour rien ? zêtes durs avec moi
un peu vexée
mais bon, je sais bien comment vous êtes, alors je me débrouille pour que chaque partie puisse être lue sans connaître la précedente
(ça se fait pas dengueuler ses lecteurs, je sais, mais vous pourriez quand même faire un effort !) » »
Alicia sest redressée devant lécran éteint en sentourant de ses bras pour cacher ses seins. Elle nosait pas bouger, nosait pas se retourner et croiser le regard de Marine, honteuse brusquement de son plaisir, de sa nudité, de sêtre prêtée à la caresse de sa copine.
- Cétait chouette, non ? Impressionnant ce mec ! jen ai mouillé mon string ! tas été bonne sur ce coup-là ! tu las bien allumé, le type ! je croyais pas que toserais, Alicia ! tes cool, on refera ça, on va leur vider les couilles à tous ces cons !
Marine a fait ce quil fallait, a joué sur lorgueil dAlicia pour la mettre à laise.
Alicia a fini par se redresser, cherchant des yeux ses habits, gênée de sa nudité. Mais Marine nen avait pas fini avec elle. Elle a passé un bras sur ses épaules et la entraînée vers la fenêtre grande ouverte :
- Quest-ce quil fait chaud, moi ça me tue ce temps-là.
Dun geste aussi naturel que possible, elle a remis en place les fils du string sur les fesses dAlicia, les étirant au-dessus des hanches. Il était trop petit dau moins deux tailles, disparaissait en partie sous un pli sur son ventre, ne couvrait pas totalement les lèvres charnues de sa vulve large, laissant apparente la toison sur le haut de ses cuisses :
- Il te va bien finalement, tes chouette, comme ça.
- Ouais, comme tu dis, une belle grosse queue !
Marine a resserré son bras autour de ses épaules, se faisant complice et a baissé la voix en sapprochant de son oreille :
- Par contre, Ali, tu mas raconté un petit mensonge, hier
pas grave, mais bon, tétais pas obligée.
- Quoi ?
- Ben, tu mas dit que tétais déjà allée avec un mec. Et cest pas vrai. Jai bien senti. Bon, je ten veux pas, mais tu recommences pas, dacc ?
Marine adossée à la fenêtre regardait Alicia en fronçant les sourcils dun air sévère, et ponctuait dun index tendu sur un sein dAlicia qui rougissait et baissait les yeux. Elle a lentement descendu la main en griffant du bout de longle et pris sa chatte à pleine main :
- Ça, ça peut pas mentir ! tes encore vierge, toute fermée !
Alicia nessayait même pas déchapper à la main et gardait les yeux baissés.
- Tu veux voir la différence ?
Alicia a levé la tête, sourcils froncés sur des yeux embués de larmes.
Marine a abaissé son string à deux mains et sest adossée à la fenêtre en écartant les jambes. Elle a pris une main dAlicia dans la sienne et la plaquée sur son sexe.
- Allez, touche, tu vas voir. Naie pas peur, je suis trempée, autant que toi toute à lheure devant lécran
allez, vas-y, touche Ali ...
Elle a dû laider, pousser sur ses doigts pour quelle se décide à les rentrer ; elle maintenait sa main appuyée sur elle. De lautre main elle a appuyé sur son épaule, la pinçant même quand elle a résisté :
- Baisse-toi Ali !
Elle a continué à appuyer sur son épaule jusquà ce quAlicia soit à genoux devant elle, les yeux à hauteur de son ventre, et quelle se décide à pousser plus loin un doigt en elle, et la repoussée :
- Tu sens la différence ? Tu me fais trop mouiller, toi ! je pourrais presque jouir comme ça !
Marine a remonté son string et a tourné le dos à Alicia, la laissant là, à genoux devant la fenêtre :
- Tas pris quoi comme maillot ? le même quhier ?
-
oui
jai que celui-là.
- Tu veux pas que je ten prête un plutôt ? attends, je vais te montrer !
La veille, Alicia portait un maillot deux pièces noir, plutôt sage. Marine est allée fouiller dans un des tiroirs de la commode de sa mère et en a sorti le maillot une pièce acheté lannée précédente à La Grande Motte. Cétait son petit ami de lépoque qui lavait choisi ; elle ne lavait finalement porté quune seule fois, le trouvant indécent, beaucoup trop « révélateur » au sortir de leau ; elle sétait changée dès sa sortie du bain, enroulée dans un drap de plage, rouge de honte du regard égrillard des gens qui les entouraient sur la plage, et avait fait une scène à son copain.
Marine lavait essayé au début de lété, chez elle, dans la salle de bains, avant et après une douche, mais avait renoncé à le porter à la piscine. Le faire porter à Alicia lui paraissait beaucoup plus amusant.
- Tiens ! mets-le dans ton sac !
- Je lessaye pas ?
- Pas la peine, ça tira bien !
A la piscine, Marine est restée en retrait pendant quAlicia se présentait au guichet, puis est allée décrocher deux paniers dans lesquels elles mettraient leurs affaires. Alicia a payé les deux entrées, comme elle payait les consommations quand elles allaient prendre un verre, ou les babioles que Marine choisissait sur le marché ; quand elles étaient ensemble, Alicia payait toujours. Elle a vu Marine fouiller dans un panier, soulever les affaires qui y étaient rangées ; elle a pris son temps pour chercher sa monnaie et occuper lemployée du guichet.
- Quest-ce que tu foutais ? Tas piqué un truc ?
Marine a ouvert la main, montrant le bout de chiffon blanc quelle serrait dans son poing.
- Jai repéré le chemisier de la mère Chazel, je voulais voir ce quelle mettait. Tas vu ça ? Taurais cru quelle mettait des trucs pareils linfirmière du bahut ?
- La gouine ? Quest-ce que tu vas en faire ?
- Cadeau ! Comment tu sais que cest une lesb ?
- Cest Murielle qui ma dit !
- Et elle sait de quoi elle parle, Murielle ?
- Ben ouais ! même quelle la draguée quand elle était malade !
- Ah ouais, carrément ! bon à savoir, ça !
Elle a lancé à Alicia le slip blanc en mousseline transparente.
Elles se sont changées, nont laissé que leurs chaussures dans les paniers, gardant leurs affaires dans leurs sacs. Elles ont contourné le pédiluve et la douche daccès aux bassins pour aller sinstaller tout au fond, où les dalles restaient au soleil tout laprès-midi, derrière le plongeoir où se trouvait déjà un petit groupe de trois garçons, deux mères de famille avec leurs s et linfirmière du lycée, à côté de laquelle elles se sont installées, serviettes étalées sur les grandes dalles de pierre.
Alicia est partie se baigner immédiatement. Marine la regardée contourner le bassin pour aller vers léchelle. Le maillot beige une pièce moulait ses formes au-delà de toute décence et Marine imaginait déjà le résultat quand elle reviendrait mouillée de son bain : elle serait quasiment nue.
Marine avait remarquée les sourcils levés de Mme Chazel qui navait pu sempêcher de suivre Alicia du regard en se décalant sur un coude, oubliant tellement elle était surprise quelle avait détaché son haut de maillot pour bronzer sans marque disgracieuse. Elle a rattrapé très vite son soutien-gorge en rougissant et en jetant des coups dil rapides autour delle pour voir si personne navait surpris la nudité de ses seins, dabord vers le groupe de garçons, rassurée de voir quils étaient absorbés par le spectacle offert par Alicia, puis vers Marine, rougissant de plus belle en la voyant la regarder, un petit sourire au coin des lèvres :
- Pas mal
les miens sont plus petits.
Sans quitter sa voisine cramoisie des yeux, assise sur son drap de bain, elle a détaché lagrafe dans son dos et fait glisser les bretelles sur ses bras, a posé le soutien-gorge à côté delle avant de sallonger à plat ventre en appui sur ses coudes.
- Vous affolez pas, tout le monde regarde ailleurs
et vous allez voir quand elle reviendra
comme si elle était à poil !
Linfirmière na rien répondu, trop estomaquée sans doute. Elle connaissait bien Marine, pour lavoir souvent vue à lentrée du Lycée pendant les pauses, trop court vêtue, trop décolletée, trop souvent dans des positions équivoques et provocantes.
Quelques minutes plus tard, elle lisait, adossée au grillage, et a levé les yeux en voyant Alicia sortir du bassin. Elle na pu sempêcher de jeter un regard vers Marine et de sourire à son clin dil complice.
Toutes les deux ont regardé Alicia approcher. Une fois mouillé, le maillot disparaissait complètement. Il était détendu, collait à la peau, épousait tous les contours des seins et du ventre, ne cachait rien de la toison quaucune doublure ne masquait, moulait jusquà la fente du sexe sur le large triangle des lèvres charnues et le mont de Vénus rebondi.
Totalement inconsciente du spectacle quelle offrait, Alicia approchait lentement bras levés pour tordre entre ses doigts la masse de cheveux quelle avait détachés.
Un des garçons sest levé pour échanger quelques mots et linviter à les rejoindre, surtout pour la forcer à sarrêter près deux et permettre à ses copains de se délecter de sa vue. Elle, ne sapercevait de rien, riait bêtement.
- Cest ta copine, tu devrais lui dire !
- Certainement pas ! cest moi qui lui ai prêté le maillot, jai même décousu la doublure à lentre-jambe ! Chut ! Dites rien !
Elle était bonne, Alicia ?
- Ouais, super, moins froide quhier, ty vas pas ?
- Après. Ils voulaient quoi les mecs ?
- Ils cherchent un quatrième, pour jouer aux cartes !
- Vas-y, moi je vais faire une sieste.
- Vrai, ça tembête pas ?
- Vas-y, jte dis !
Marine sest tournée vers sa voisine :
- Vous lisez quoi ?
-
un roman
- Y a du cul, non ?
Elle avait bien vu ce que linfirmière lisait : un SAS. Elle en avait lu quelques-uns, quun ami de sa mère avait abandonnés à la maison. Elle avait remarqué quelle repliait la couverture, pour ne pas montrer ce quelle lisait et avait atteint son but en réussissant à la faire rougir.
- Jen ai lu aussi, il y a des passages un peu chauds ! jaime bien !
- Ça métonne, tiens !
- Que je sache lire ou que jaime le cul ?
- Marine, allons ! Surveille ton langage !
Marine, appuyée sur ses coudes, samusait des fréquents coups dil que sa voisine jetait sur ses seins.
- Et puis tu pourrais te cacher un peu mieux, quand même, avec les garçons à côté !
- Ils sont occupés avec ma copine ! de toute façon, vous me cachez ; y a que vous qui voyez, cest pas grave, si ? Vous venez vous baigner ? Cest quoi votre prénom ?
-
euh
Janie
Janie a rattaché son soutien-gorge en se tortillant à plat ventre sur son drap de bain, alors que Marine la agrafé assise, faisant même un grand sourire au surveillant de baignade qui faisait les cents pas au bord du grand bassin, un garçon quelle connaissait, ancien élève du Lycée.
Quand elles sont passées à côté de lui pour se rendre à léchelle daccès du côté le moins profond de la piscine, il sest adressé à elles :
- Vous savez, normalement, cest interdit. Essayez de rester discrètes
- Bien chef !
Marine sest pendue au bras de Janie pour pouffer de rire :
- Tu parles ! ça lui plaît plutôt, de mater nos seins ! Il est pas mal, non ?
- Bof !
- Quoi , vous aimez pas les beaux mecs ?
Janie a haussé les épaules sans répondre.
Elles ont nagé sur la largeur du bassin, lentement, dune petite brasse maladroite, pas très bonnes nageuses ni lune ni lautre. Marine surveillait le maître nageur, contente de voir quil tournait souvent la tête vers elles. Elles se sont éloignées de la partie peu profonde, dérangées par des s qui séclaboussaient en criant ; arrivée sous le plongeoir, à lautre bout de la piscine, Marine sest retournée en arrivant au bord, séquilibrant des deux bras, dos au mur. Janie avait pris du retard, nageant à gestes saccadés, cou redressé pour éviter de mouiller ses cheveux, les yeux trop grand ouverts et soufflant à petites expirations rapides, comme en difficulté après une seule longueur. Marine lui a tendu une main pour la tirer vers elle et a entouré les jambes de Janie des siennes :
- Vous avez peur de leau ?
- Je préfère quand jai pied.
Janie sappuyait dune main sur lépaule de Marine, nessayant pas de se décaler et déchapper aux jambes autour de ses hanches, mais elle évitait le regard de Marine, ny voyant pas léclair moqueur. Marine avait confirmation de ce quavait dit Alicia : Janie était sûrement lesbienne, et apparemment, elle ne lui déplaisait pas.
De retour à leurs places, elle lui a essuyé le dos, sattardant sur ses hanches, en faisant un clin dil à Alicia qui avait interrompu sa partie de cartes, regardait bouche bée Janie se laisser faire en jetant des coups dil autour delle avec un air emprunté, comme prise en faute.
Marine commençait à bien apprécier ce début dété. Entre Alicia, et Janie, elle allait pouvoir samuser un peu.
En milieu daprès-midi, elle est allée sacheter une glace au petit comptoir que tenait la préposée au guichet :
- Tu men payes une ?
Le surveillant de baignade était venu la rejoindre et se tenait adossé au comptoir de ses deux coudes, torse bombé sous le t-shirt aux armes de la commune quil avait coincé dun côté sous son maillot.
Marine la détaillé des pieds à la tête, lentement :
- Cest plutôt toi qui devrait me loffrir, tarrêtes pas de me mater depuis un moment.
- Tu montres, je regarde ! Normal, non ?
- Et ça te plaît, ce que tu vois ?
- De loin je me rends pas bien compte.
- En ce moment tes pas si loin. Ça te plaît pas ?
- Mouais.
- Madame ? Vous mettez ma glace sur son compte, il me loffre !
- Eh ! oh ! ts !
Marine sest éloignée en ondulant des hanches vers les vestiaires et les toilettes. Elle sest retournée pour faire un clin dil au garçon avant de disparaître au coin du mur. Il a hésité un instant, se demandant sil avait bien compris ou si elle se moquait de lui, et sest décidé à la suivre.
Marine le regardait arriver appuyée dune épaule sur la porte ouverte des toilettes des filles, un bras enroulé autour de la taille, pouce négligemment glissé sous lélastique du maillot, et en suçant la glace quelle tenait de lautre main.
- Tes un peu gonflée, toi, jai pas dit que je te loffrais.
- Ah bon ? Toi aussi tes gonflé
elle pointait son eskimo sur le maillot du garçon
-
cest pas naturel, ça !
Il sest approché, presque à la toucher. Elle le regardait droit dans les yeux en continuant à très lentement sucer sa glace, sans lombre dun sourire, na pas cillé quand il a pris un sein dans sa main.
Elle sest laissée peloter adossée à la porte des toilettes. Lui, respirait vite, tenant maintenant ses deux seins dans ses mains par-dessus le tissu du maillot de bain ; elle, mangeait sa glace calmement, en surveillant le couloir. Lorsquelle la eu finie, elle est entrée dans les toilettes en le tirant dune main à sa suite et sest assise au bord dun lavabo en levant haut une cuisse en appui sur la céramique.
- On sera plus tranquille, mais prends pas trop ton temps quand même, cest jamais quune glace !
- Tes une drôle de nana, toi
- Ah ouais ? Je te fais rire ?
- Non, tu me fais bander
- Mmm, je vois ça.
Il a sorti un de ses seins du soutien-gorge dune main et a voulu lembrasser, mais elle a repoussé son visage :
- Jembrasse pas.
Elle na par contre pas protesté quand il a glissé sa main sur son ventre et entre ses jambes, pétrissant son sexe brutalement par-dessus son maillot de bain, se laissant faire complaisamment jusquau moment ou il a voulu glisser les doigts sous le maillot. Elle a retenu son poignet et remis sa main au-dessus de létoffe. En abandonnant son poignet, elle a plongé la main dun seul mouvement dans le maillot du garçon, descendant les doigts profond entre les jambes en déformant le tissu et en étirant la taille du maillot de son poignet jusquà ce que le sexe libéré de sa prison se redresse. Elle a retiré sa main le temps dabaisser le maillot sur les cuisses du garçon et a pris ses testicules dans sa main, les faisant rouler sous ses doigts trop fermes, serrant plus fort quand il a voulu reculer.
- Eh ! doucement ! cest fragile !
- Laisse faire.
Elle a continué à lui masser le scrotum dune main, resserrant à nouveau plus fort ses doigts au-dessus des testicules quand il a encore essayé de glisser les doigts sous son maillot. Sous leffet de la douleur, il a très vite renoncé, se vengeant en fermant durement la main sur son sein. Elle le défiait du regard :
- Moi je men fous, jaime ça ! et toi ?
Elle avait ponctué sa question dune nouvelle contraction des doigts provoquant un gémissement du garçon :
- Ça va, ça va
arrête !
- Cest toi qui vois
- Cest bon, arrête
Elle a pris sa verge dans lautre main et la branlé, vite et fort, en baissant les yeux sur le sexe :
- Première fois que je vois une bite circoncise
Elle a gardé le même rythme rapide, serrant fort les doigts sur la queue, jusquà la première giclée de liquide blanc et épais, a donné encore deux ou trois coups de poignet secs et la lâché, naccompagnant plus les spasmes de la verge que de pressions rythmées autour des couilles du garçon, regardant la verge tressauter à chaque sortie de sperme, de plus en plus espacées.
En le repoussant elle sest remise debout, a passé ses mains sous leau dans le lavabo, et a quitté les toilettes sans un regard en arrière en remettant son soutien-gorge en place. Le garçon navait même pas encore remonté son maillot quand elle a passé la porte des toilettes.
Elle sest arrêtée un instant au soleil en sortant du couloir, et a fait demi-tour. Le garçon était en train deffacer au sol les traces de sperme avec une poignée de papier toilette quand elle a repassé la porte :
- Cest pas pour ça que jétais venue !
Elle a poussé la porte dun des deux WC à la turque et sest accroupie en baissant son maillot sous ses genoux. Le garçon sest retourné et la regardée faire pipi bouche bée et yeux exorbités :
- Comme ça tas pas tout perdu, tas vu ma chatte. Mignonne, non ?
Il na rien répondu, toujours figé, accroupi devant le lavabo, la boule de papier à la main.
- Quand tauras retrouvé ta langue tu me diras comment tu tappelles, dacc ?
-
Houcine
« « Pas froid aux yeux, cette Marine ! Vous croyez quelle peut jouer comme ça avec tout le monde ?
Moi, je voulais savoir, jai continué à la suivre
et vous, vous voulez voir la suite ?
à bientôt
» »
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