Neuf Jours Tranquilles À Antibes - 10e Chapitre.
(Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents) Henri est en vacances à Antibes pour quelques jours. Il en profite pour draguer. Il raconte ses aventures.
Chapitre 10.
MARDI, 8e jour à Antibes
Le petit Paul nous réveille de bonne heure. Il est très gentil. Il ne manifeste aucune hostilité envers moi, alors que je me suis moqué de lui cette nuit et que jai niqué sa mère comme un porc.
Sarah va lui donner son bain, jen profite pour méclipser.
Arrivé chez moi je me douche puis je meffondre sur le lit. Je repense à Sarah.
Une femme comme elle, ouverte à toutes sortes de pratiques et en plus vaginale ( !), il faut que jen profite au maximum ! Surtout que je pars après-demain. Quel dommage de navoir pas filmé ma séance dhier soir, cétait du grand spectacle !
Et puis son vagin si large et sa mouille si abondante me donnent une idée. Jai souvent vu dans des films des femmes se faire fister, mais jai jamais réussi à le faire sur à de mes copines. Cest peut-être loccasion
Jallume mon iPhone pour lappeler.
Il y a un message de Sylvie. Elle veut savoir comment je vais. Elle veut passer me voir. Elle devient collante celle-là ! Je lui réponds. Je lui dis que je suis encore fatigué. Que je préfère rester seul. Elle insiste.
Je pourrais lui dire quelle me fait chier, que jai trouvé beaucoup mieux quelle, des femmes plus belles, et qui baisent beaucoup mieux. Mais je ne veux pas lui faire de la peine. Et puis cest un peu grâce à elle que je me suis fait Carine
Jaccepte donc quelle passe cet aprem.
Jappelle ensuite Sarah. Je fais quelques commentaires élogieux sur notre partie de jambes en lair, et je lui propose une suite pour ce soir. Pas de chance cest impossible pour elle. Par contre elle peut sarranger pour le début daprès-midi. Je lui dis de venir chez moi. Cest daccord.
Je rappelle Sylvie pour reporter notre rendez-vous à ce soir.
Quel micmac !
Nouvel SMS sur mon portable. Cest Coralie (la fille aux boutons). Elle mannonce que ça y est, elle a des aventures sexuelles à me raconter.
Le message est alléchant, je la rappelle immédiatement. Après quelques banalités de mise en route :
-« Alors tu as des choses à me raconter ? »
-« Oui, jai rencontré un garçon. »
-« Cest très bien. Alors dis-moi tout, je veux tous les détails croustillants
»
Cest moi qui paye la communication, elle peut se permettre dêtre bavarde.
-« Bon, alors, je me suis faite draguer par un animateur du camping. Il est un peu vieux, dans les 30 ans, mais bien foutu. Il soccupe, entre autre, de donner des cours de gymnastique aquatique dans la piscine. Jétais vachement contente quil sintéresse à moi alors quil y avait plein dautres filles.
Il ma offert un verre après lactivité. Et puis il ma invitée à venir visiter son bungalow. Jai dabord refusé, car je savais bien quelle idée il avait derrière la tête. Mais jai repensé à ce que tu mavais dis, et jai donc fini par accepter.
Je lai accompagné et on a couché ensemble. Voilà. »
Cest une histoire trop courte pour moi :
-« Mais vous avez fait quoi ? »
-« Ben, il ma pénétré et puis après je lai sucé. Cest tout. »
Les filles ne savent pas raconter les histoires de baise, elle naccordent aucune importance à ce qui nous excite nous les hommes : les dialogues vicieux, la taille de la bite, les propositions indécentes, les cris, la quantité de sperme, avalé ou non,
Je la questionne :
-« Tu as joui ? »
-« Non. Mais cétait pas mal. »
-« Et tu vas le revoir ? »
-« Je ne crois pas. Cest un vrai salaud ! Tu te rends compte, il ma dit quil couchait rarement 2 fois avec la même fille. Au camping il a le choix, son expression cest : il na qua se baisser pour baiser. Par contre, ce salaud ma dit que si jétais intéressée, il pouvait me présenter à des copains à lui.
Ce nest pas moi qui vais critiquer ces séducteurs des campings !
-« Pourquoi ne pas accepté son offre. Après tout, ses copains sont peut-être de très bons coups ! Tas pas grand chose à perdre. Tu es libre ! Profites-en. » Jai insinué le doute chez elle. Elle hésite :
-« Mais ces hommes traitent les femmes comme des objets ! »
Je lui rétorque :
-« Quelle importance, si toi tu traites à ton tour ces hommes comme des objets. Seul compte ton plaisir ! Si tu tamuses et si tu as des orgasmes, peu importe que ce soient des cons.»
Ça la fait rire.
Et voilà ! Une fille de plus transformée en salope !
Pour conclure « Jespère que la prochaine fois tu auras des choses plus hard à me raconter. Il faut que je te laisse maintenant. Je tembrasse. »
Je me prépare maintenant pour Sarah. Je me coupe bien les ongles. Je retourne au supermarché pour acheter un tube de lubrifiant et dautres trucs.
Dans un rayon, je tombe sur Françoise. Nous bavardons un peu. Elle me confirme notre rendez-vous de demain soir. Ce sera une soirée dadieu, juste avant mon départ.
Je la questionne sur notre projet de partouze. Elle en a parlé à Alain, mais il sy oppose.
-« Il a peur que tu prennes gout à ma grosse bite. »
Cette remarque vulgaire lamuse.
Je regarde autours de moi, il ny a personne. Je lui dis à loreille :
-« Jai envie de toi ! Maintenant !»
Elle me répond :
-« Tu es fou ! Pas ici. Il y a des caméras de surveillance partout. »
-« On pourrait aller dans les toilettes des femmes ? »
-« Non, on risque de se faire prendre. Et puis ya Alain qui est au magasin aujourdhui
»
En réalité, je nai pas vraiment envie de la baiser. Ce que je voulais savoir cest si elle, elle en avait envie. Et jusquoù elle était prête à aller. Jai ma réponse. Si javais insisté un peu, elle aurait accepté que je la tire dans un coin sombre du magasin avec des clients qui passent à coté !
Je la quitte et je rentre chez moi.
Je prépare des boissons, je place à portée de main les préservatifs et le lubrifiant. On sonne à la porte. Jallume la caméra.
Sarah se jette sur moi comme une e en manque.
Elle est habillée très « sexe » une robe blanche très courte et moulante avec un décolleté interminable qui permet de bien mettre en valeur ses gros nibards, et aux pieds des chaussures à talons aiguille. Telle une pute de luxe qui va au travail. Je déteste ce genre daccoutrement, mais elle a fait ça pour me faire plaisir aussi je joue le mec admiratif. Moi qui lui avais donné une note de 20/20 jusque-là, elle vient de perdre 2 points.
En plus elle me dit pour mexciter :
-« Tu sais, jai pas mis de culotte. »
Je vérifie immédiatement en soulevant sa robe. Elle dit vrai ! Elle regagne ses 2 points !
En fait japprends quelle vient de la retirer dans lascenseur, elle naurait pas osé marcher « les fesses à lair » dans la rue. Elle reperd 1 point.
La séance dhier ça la décoincé, elle se lâche ! Elle se donne des airs de professeur stricte, mais cest pour cacher sa vraie personnalité : une fille qui aime samuser, qui aime le sexe, qui aime exciter les hommes.
Nous sommes vite nus sur le lit, je nai pas grand chose à retirer et elle non plus. Nous nous câlinons (caresses, tripotage, léchouilles, succions) un moment.
Je lui pose une question qui me turlupine depuis hier. Pourquoi, elle qui aime tant le sexe et qui nest pas farouche, ma-t-elle fait lanterner si longtemps ?
Elle mavoue une histoire curieuse :
-« Il y a un an, je suis sortie avec un homme qui paraissait charmant. Nous avions discuté sur le net, et contrairement à dautres, il nétait pas obnubilé par le sexe. Jai accepté de le rencontrer. Dès notre première fois, jai compris que, comme beaucoup dhommes, il fantasmait sur la sodomie. Il en a profité avec moi puisque, comme tu le sais, dans ce domaine je suis pratiquante. Le problème cest que très vite cest devenu une obsession.
Il la très mal pris. Il refusait lidée que je ne veuille plus coucher avec lui. Il ma dabord harcelé au téléphone, puis il est venu mattendre en bas de chez moi. Jai tenu bon et son comportement de dément ma confirmé que javais eu raison de le quitter.
De harceleur il est devenu maitre chanteur. Il a menacé denvoyer à ma famille et à mes collègues des photos compromettantes. Bêtement, javais accepté une fois quil prenne des photos pendant nos ébats. Des photos très hard. Jai dû accepter de le revoir plusieurs fois et de céder à ses pulsions.
Pour en finir avec cette histoire jai fait intervenir un ancien amant qui travaille dans la sécurité. Un garçon très grand et musclé. Il a attendu lautre enfoiré devant chez lui. Il lui a cassé la gueule, il a récupéré les photos, il lui a pris son ordinateur et pour finir il lui a bousillé sa voiture. Et tout est rentré dans lordre.
Cest depuis cette histoire que je suis prudente avec mes relations
»
-« Et les photos, tu les a gardées ? » Demande-je avec gourmandise.
-« Non, tu es bête. Je les ai détruites. »
Quel dommage
Pourvu quelle ne se rende pas compte quelle est filmée en ce moment ! Jai pas envie de me faire cogner.
Son histoire me permet de comprendre son comportement. Jadmets que ce nest pas en discutant quelques heures avec quelquun quon peut le connaître et lui faire confiance.
Je ne vais pas me lancer dans la discussion philosophique « peut-on connaître vraiment quelquun en quelques jours, en quelques mois, ou jamais ? ».
Limportant est quelle a reconnu son erreur.
Avec moi, Sarah savait dès le départ à quoi sen tenir : je suis une aventure de vacances, son jouet pour quelques jours. Ses tergiversations lui ont fait perdre plusieurs jours damusement. Cest elle qui est perdante, car moi jai eu dautres distractions
Un autre sujet mintéresse davantage.
Je relève les jambes de Sarah et je la baise.
Très vite, comme hier, le conduit devient tunnel. Et je nage dans des flots de cyprine.
Jarrête ma pénétration et jinforme ma compagne que je vais la faire jouir avec mes doigts. Je ne lui dis pas que je vais essayer dy mettre toute ma main. Je suppose quelle connaît le fist-fucking pour lavoir vu pratiqué dans des films X. Mais comme la plupart des femmes elle aura trouvé ça répugnant. Inutile donc de leffrayer.
Elle est allongée sur le dos, les jambes légèrement écartées les genoux relevés un peu comme chez le gynécologue. Je lai placée pour que sa chatte soit face à lobjectif de la caméra.
Dans cette position, je vois 2 petites cicatrices sous sa poitrine. Mon intuition du premier jour était bonne, elle sest faite grossir les seins. Moi, je naime que les vrais, gros ou petits. Elle perd encore 2 points dans mon estime, ça lui fait 17/20.
Jentame ma caresse, 2 doigts rentrent évidemment sans problème. Le troisième pareillement. Pour le quatrième je préfère rajouter du lubrifiant.
Je masse avec application la zone du point « G ».
Sarah réagit très favorablement.
Il reste le pouce. Il rejoint ses congénères avec joie pour tout le monde. Les 5 sont maintenant à lintérieur, mais la main reste bloquée. La partie la plus large, qui doit faire dans les 8 ou 9 cm de diamètre, ne veut pas rentrer. Lorsque jessaye de passer en force, Sarah se plaint que je lui fais un peu mal.
Je ressors tout, je remets du lubrifiant et je replonge. Je fais des aller retours sans forcer. Petit à petit le passage sélargit. Et puis miracle, ma main est comme aspirée. Sarah a un soubresaut.
Je nose plus bouger de peur de sa réaction.
Visiblement, elle ne se doute pas de ce que je vient de lui mettre dans le vagin, et visiblement ça lui plait beaucoup.
Cest elle maintenant qui bouge ses fesses, qui ondule sur ma main.
Je ferme mon poing et je recommence mon pistonnage.
Jy vais de plus en plus violemment. Elle aussi. La tête en arrière, les yeux fermés, les mains posées sur ses seins, elle se laisse emporter par le plaisir. Sarah bouge comme une folle. Elle fait des grimaces qui nont rien de gracieuses mais qui sont annonciatrices de la jouissance.
Le spectacle est impressionnant. Moi qui soupçonnais que les femmes qui prétendent aimer le fist, étaient des affabulatrices qui veulent exciter les mecs. Jai la preuve sous les yeux du contraire.
Encore quelques mouvements de ma main et ça y est ! Sarah part dans un orgasme dévastateur.
Ses hurlements vont réveiller tous ceux qui font la sieste dans mon immeuble.
Si elle continue comme ça, ils vont surement appeler la police.
Heureusement, elle se calme assez vite. Je retire délicatement ma main de son fourreau. La chatte est grande ouverte, dilatée, rouge et juteuse.
Cette expérience ma tellement excité, je me redresse et je me branle au dessus de ma compagne. En quelques secondes jéjacule sur son visage comme dans les films pornos. Ça amuse Sarah qui recueille avec sa langue quelques gouttes de sperme et les avale avec délectation. Elle a amplement mérité de retrouver un 20/20.
Il faut ensuite essuyer tout ça et le travail est difficile car il y en a partout : dans les cheveux, dans les sourcils, sur le drap, sur loreiller.
Remis tous les deux de nos émotions, nous pouvons les commenter.
Cest Sarah qui sexprime la première :
-« jai jamais joui aussi fort ! Dhabitude, après un orgasme jai encore envie, mais là je suis comblée, je suis vidée. Quest-ce-que tu mas fait ? »
Je lui avoue ma pratique. Elle refuse de croire quune main entière ait pu rentrer sans quelle sen rende compte. Elle simagine que je plaisante ou que jexagère.
Bon, je pourrais lui montrer comme preuve le film qui est en train de tourner, mais bien évidemment je nen fais rien.
Je la laisse dans le doute.
Sarah me demande lheure. Il est déjà 16h30. Il faut quelle sen aille bientôt.
Nous discutons de choses et dautres, de son fils, de son travail au collège, de la plage.
Elle se rhabille, je reste nu. Elle me quitte, je reste sur le lit.
Ou là là ! Il faut que je me ressaisisse ! Il faut que jarrête la caméra. Il faut que je range. Il faut que jaère la pièce (ça sent le foutre et la transpiration). Il faut que je change les draps et les taies doreiller (qui sont tachés).
Je me mets au travail.
Mon devoir achevé, je jette un il sur le film « le fist fucking de Sarah ». Le résultat est décevant car la plupart du temps mon dos est dans le champs et masque lintroduction de la main. Il y a quand même quelques passages spectaculaires ! Ah ! Si les élèves de Sarah pouvaient voir ça ! Leur très stricte prof danglais qui jouit, le vagin écartelé !
Je vais me laver, puis jattends larrivée de Sylvie en regardant la télé. Je crois bien que j ne pourrais pas échapper à une séance de baise.
Elle arrive à 19h. Après mavoir embrassé elle me fait remarquer que jai un voisin bizarre. Je demande pourquoi elle dit ça.
-« Ben, en bas, avant de prendre lascenseur, ya un homme denviron 60 ans qui ma demandé si jétais la petite ami du jeune homme du 3e étage. Je lui ai dit que oui. Alors il ma dit un truc du genre « Mademoiselle, vous devriez vous retenir un peu, notre immeuble est respectable, ce nest pas un lupanar ici ! ». Jai rien compris ! »
Je la rassure :
-« Ne ten fais pas, il y a que des vieux ici. Ils sont tous un peu barge. » Merde ! Jai failli me faire gauler.
Pour passer le temps, je lui demande de me raconter ce quelle a fait aujourdhui.
Que des banalités, quelques courses, la plage,
Elle sest faite draguer par 3 garçons, un vendeur de glaces et 2 mecs ensembles qui sapprochaient de toutes les filles seules. A tous les 3 elle leur a dit quelle était déjà prise. Jaurais préféré quelle dise oui à ces dragueurs. Jaurais ainsi été débarrassé
Le véritable évènement de la journée cest que Pierre, le copain de Carine, est arrivé ce matin !
Le couple damoureux est resté sous la tente une bonne partie de la journée.
-« Tu vois, tu navais aucune chance avec elle. » Me dit-elle.
Jai retardé le plus possible le moment fatidique. Mais maintenant il faut que je prouve à Sylvie que je suis un mâle, un vrai.
A coté de Sarah, de Carine ou même de Gaëlle, il n'y a pas photo ! Elle nest pas à la hauteur. Si je la baise, cest un peu par pitié. Moi je nen ai pas du tout envie. Mais je suis obligé dassurer, cest ma réputation qui est en jeu !
Bien sûr est me suce. Bien sûr, elle veut que je la baise. Bien sûr elle refuse que je lencule.
Je fais bien mon travail. Je fais mine dapprécier. Pour arriver à jouir, je repense à Carine. Je mimagine que cest Carine qui est sous moi. Que cest Carine qui se trémousse. Que cest Carine qui gémit. Et jarrive ainsi à éjaculer.
Sylvie est heureuse de mavoir donné tant de plaisir.
Elle était à linstant au bord de lextase. En amant irréprochable, je la branle pour la finir. Je vais même jusquà lui lécher les tétons et les aisselles. Elle part à son tour.
Et puisque je nai quelle sous la main, je lamène au café pour finir la soirée.
Nous passons un bon moment. Elle me parle de ses études de lettre. De sa passion pour Louis Ferdinand Céline. De la connerie humaine. Décidément, elle est bien meilleure en copine quen amante.
Elle insiste pour venir me voir demain, pour me faire un adieu mémorable. Et jaurai droit à une surprise.
-« Tu va m amener Carine ? »
-« Non, nimporte quoi ! Je pensais à quelque chose qui te fait envie depuis longtemps
»
Je devine quelle va accepter, enfin ( !), de pratiquer la sodomie. Cest un argument très convainquant, et cest ainsi que jaccepte quelle revienne demain.
Dire que cest celle qui me plait le moins, et cest avec elle que je passe le plus de temps. Cest un comble
Il faut dire que cest la seule qui me court après tout le temps. Je nai aucun effort à faire.
Quant à lheure de cette visite, ça dépendra de mes autres rendez-vous
Il faudra quon se téléphone.
Je la raccompagne en scooter. Et je rentre pour me coucher. Avant de mendormir je consulte ma messagerie (javais encore oublié dallumer mon portable). Il y a 2 SMS de Gaëlle. Elle veut que je lappelle. Peu importe lheure.
Il est pas loin de minuit, mais puisque ça ne la dérange pas
Elle est contente de mentendre. Bizarrement ça la fait pleurer.
-« Quest-ce-qui tarrive ma jolie ? »
-« Cest mes parents. Ces cons minterdisent de sortir. Tout ça à cause dune connerie. »
-« Raconte-moi ça
»
-« Ben lautre jour on a visité un musée. Cétait barbant comme pas possible. Mes parents eux étaient passionnés. Je les ai donc laissé continuer seuls. Et là un jeune type très sympa ma abordée.
Après ¾ dheures mes parents avaient enfin terminé. Ils mont cherchée partout. Les gardiens leurs ont dit que je nétait pas sortie. Ils ont fini par aller voir dans les toilettes du musée. Une porte était fermée, ils ont demandé si cétait moi à lintérieur. Bêtement, jai répondu oui. Ces connards sont restés devant la porte à mattendre ! Au bout dun moment, il a bien fallu que je sorte. Et ils se sont rendus compte que je nétais pas seule. Tu imagines la tête de mes vieux. Et tu imagines lengueulade ! Voilà pourquoi je suis punie ! Vivement que jai 18 ans, je pourrais les envoyer chier ! »
Jessaye de la consoler un peu.
Nous sommes tous les deux désolés de ne pas pouvoir nous revoir avant mon départ. Je lui donne mes coordonnées à Paris, car cette fille-là jaurais beaucoup de plaisir à l'accueillir !
Et je mendors en pensant à son joli visage et son beau petit cul.
Fin du chapitre 10
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