Nos Premières Vacances Ensemble (2)
Il est plus de 10h, je prends mon petit déjeuner sur la terrasse de notre bungalow, vêtue uniquement de mon kimono bleu turquoise en satin. Je savoure cet instant seule, Chris, mon petit ami, est parti faire son footing.
Un couple de voisins un peu âgés passe, on se salue poliment, mais je sens dans leur regard qu'ils me méprisent, je peux même lire dans les pensées de cette bonne femme 'espèce de grosse salope''. Cela m'amuse, ils sont loin de se douter à quel point je le suis vraiment. Mais je peux les comprendre, il faut dire qu'on n'est pas très discret depuis notre arrivée il y a 2 jours. Mais je n'y peux rien, je suis bruyante quand je prends mon pied. J'ai essayé de faire attention lors de notre première soirée, mais hier après-midi en rentrant de la piscine, j'ai été incapable de me contrôler tellement il m'a fait jouir et certainement que tout le voisinage m'a entendu. Je vais avoir une réputation de salope dans le camping et bien ce n'est pas grave, ça ne me gêne pas, le principal c'est que je prenne du plaisir avec mon homme et comme il est plutôt doué, mon plaisir est quotidien.
Cela fait 8 mois que nous sommes ensemble et il n'y a pas un jour où je n'ai pas envie de lui, de ses doigts, de sa langue, de sa bonne queue toujours bien dure. Il a fait de moi une autre femme, il m'a totalement dévergondée, il ne le sait pas encore, mais je suis prête à tout pour lui, à me soumettre à tous ses désirs pour le satisfaire car je suis folle de lui et je vais le lui prouver.
Après mon café, je décide de me faire les ongles des mains et des pieds. Chris adore que je prenne soin de moi et il aime que j'ai de beaux ongles, alors je fais une french partout. La chaleur du soleil m'enivre et je repense à nos ébats d'hier, cela m'émoustille et ma minette devient humide. Mon vernis enfin sec, je rentre à l'intérieur, je me mets nue et je m'allonge sur le lit. Des idées coquines me traversent l'esprit, je joue avec les piercing de mes tétons, je suis de plus en plus chaude.
Je file ensuite à la douche, puis je m'habille dans une tenue légère et décontractée car cet après-midi, nous allons nous promener. J'enfile un ensemble string et soutif blanc en dentelle, débardeur moulant gris et mini-jupe en jean. Je me coiffe et je me maquille alors que Chris rentre de son footing. Il vient m'embrasser, son odeur de transpiration me rend toute chose et de nouvelles envies me reprennent, mais je résiste. Une idée me vient alors. Pendant qu'il se déshabille dans la chambre, je me décide à faire ma coquine et discrètement, je retire mon string. J'ai envie de lui faire la surprise pendant la balade. Je lui cède la place dans la petite salle de bain, et lorsqu'il passe derrière moi, il me taquine en me disant que j'aurais pu l'attendre pour faire des bêtises. Il a remarqué la tâche sur le drap qui n'avait pas encore séchée.
- Désolé, j'avais trop envie, mais ne t'inquiète pas, la journée ne fait que commencer, dis-je en caressant ses grosses bourses. Je l'allume volontairement pour lui donner envie aussi et cela semble fonctionner.
Après le déjeuner, nous quittons le camping à pied. Nous marchons main dans la main en direction de la grande forêt de pins qui se trouve pas très loin de notre centre de vacances car nous aimons tous les deux la nature. Nous nous promenons plus d'une heure, à l'ombre des arbres, l'endroit est calme et paisible, nous ne croisons presque personne mise à part quelques randonneurs.
- Qu'est ce que tu cherches, demande-t-il
- Rien de spécial, je regarde simplement s'il y a un endroit sympa pour faire une pause.
- Bonne idée, en plus il faut que je pisse.
Quelques centaines de mètres plus tard, nous trouvons un petit sentier perpendiculaire au chemin principal, que nous empruntons. Il nous amène directement à une petite clairière, prolongée par un ruisseau qui nous empêche d'aller plus loin. Le sol est plat, il y a de l'herbe, l'endroit est propice pour notre halte.
Chris pause son sac à dos, sort la serviette, une bouteille d'eau, un paquet de biscuits et il se met à pisser dans l'herbe devant moi. Je ne sais pas ce qu'il me prend, mais en voyant le liquide doré s'échapper de son membre, j'ai une terrible envie de le sucer. Je m'approche de lui, pose ma main sur la sienne qui tient son manche pour l'aider à finir et lui murmure à l'oreille:
- J'ai envie de toi.
- Hum, petite coquine, tu as envie que le grand méchant loup te dévore au fond des bois ?
- Non, c'est moi qui vais le dévorer.
A peine a-t-il finit d'uriner que je m'accroupie devant lui, je baisse son froc et je prends sa queue encore molle avec les gouttes de pisse dans ma bouche. Ni l'odeur, ni le goût me rebute, au contraire cela me galvanise à lui procurer du plaisir et je suis en train de me rendre compte que les odeurs fortes m'attirent de plus en plus. Son sexe gonfle rapidement entre mes lèvres, je le pompe énergiquement avec délectation. Je me sens sale, je me sens chienne et j'adore ce sentiment.
- T'aimes ma queue petite pute hein ? Vas-y suce-la bien, oui comme ça.
Je me laisse faire, je suis sa chose et cette façon de me parler me rend folle. Il continue d'exercer son pouvoir sur moi en me faisant une gorge profonde et en m'insultant.
- Tiens, bouffe ma queue pétasse.
J'étouffe, les larmes coulent, mais je ne suis pas triste, au contraire, je suis heureuse de subir cette humiliation et ma chatte dégouline encore plus.
Il me laisse reprendre mon souffle, sa queue pleine de salive est juste devant moi et j'en ai encore envie, mais il désire autre chose. Il m'ordonne de me mettre seins nus et lorsque c'est fait, il glisse sa grosse bite entre les deux.
- Allez, branle-moi un peu.
Je m'exécute, je compresse mes nibards contre sa tige et je l'astique rapidement. Il râle de plaisir et cela m'encourage à aller plus loin. Je crache dessus et je lèche son gland en le masturbant, j'ai envie de voir son jus se répandre sur moi, mais il est encore trop tôt pour lui.
Il me relève et m'embrasse passionnément, puis il glisse sa main sous ma jupe et remarque aussitôt que je ne porte rien dessous. Il me regarde étonné.
- Je ne rêve pas, tu n'as pas de string ?
- Et non, je voulais te faire une surprise, ça te plaît ?
- Carrément, montre-moi ça.
Il me retourne et soulève ma jupe. Il caresse mes fesses, puis il se baisse pour les embrasser. Je frissonne.
- Hum, je t'ai déjà dit que tu as un super cul ?
- Oui, une bonne centaine de fois.
- Penche-toi, il me fait trop envie.
Je ne peux refuser cette invitation. Je retire ma jupe, me retrouvant entièrement à poil au milieu de ce bois et je me penche bien en avant. Accroupi derrière moi, Chris récolte ma cyprine sur son doigt et l'étal sur mon petit trou pour le lubrifier.
Je fonds aussitôt en sentant sa phalange qui s'immisce dans mon anus. Il fait des aller-retour, enfonçant son doigt profondément. Puis c'est sa langue qui remplace son doigt. Il me bouffe le cul tel un gourmet, il sait que j'adore ça, tout autant que lui d'ailleurs, je crois même que c'est notre petit péché mignon à tous les deux. Il continue ses prouesses linguistiques, je miaule de bonheur en l'encourageant.
- Oh chouchou, c'est trop bon, continue.
Il me prépare bien pour la suite des événements, que j'attends avec impatience car c'est inévitable, je sais qu'il va me prendre le cul et ça tombe bien, je ne rêve que de ça. Depuis qu'il m'a initiée à la sodomie, j'en suis devenue accroc, je ne peux pas m'en passer, tout comme lui d'ailleurs.
Il s'allonge sur le dos et il me demande de venir sur lui. Ni une, ni deux, je l'enjambe, je m'accroupie en écartant mes fesses et je m'assoie sur sa grosse queue qui se plante facilement dans mon cul. Je démarre alors de lents va-et-vient qui arrachent mes premiers cris, puis petit à petit, j'augmente le tempo. Je me baise le cul avec rage et je hurle de plaisir sans me soucier de savoir si quelqu'un peut nous voir ou nous entendre. Je profite à fond de ce moment intense, je ne sais pas si c'est lui, l'endroit, ou le fait qu'on puisse nous surprendre, mais je suis surexcitée complètement. Je monte et descend sur cette colonne de chair de plus en plus vite, en appui sur mes bras tendus en arrière et soudain je sens cette boule de feu qui se propage dans tout mon corps, ma délivrance arrive. Je pars dans un orgasme indescriptible en giclant abondamment sur son ventre et son torse, il vient de faire de moi une vraie femme fontaine. J'ai des spasmes, je tremble de partout, je plane complètement, je n'ai quasiment plus de force et c'est lui qui prend les choses en main. Il continue de me pilonner sévèrement et je retrouve mes esprits en quelques secondes. Je suis encore en transe et après avoir eu ce merveilleux orgasme, je veux que lui aussi puisse recevoir ce plaisir. Je reprends les rênes de la course, j'ondule lentement, puis je m'agite à nouveau progressivement sur son manche bien dur qui me rend si euphorique. Il est sur le point d'exploser et je veux lui rendre le plaisir qu'il vient de me donner, lui faire comprendre que je lui appartiens, que je suis sa salope attitrée. Surexcitée comme jamais, je me retire et je me précipite sur sa queue pour réaliser cette chose dégradante que je n'ai jamais osé faire. Je la prends en bouche et pour la première fois de ma vie, je suce une queue après une sodo pour lui prouver que je suis prête à tout pour lui. Je n'en reviens pas de voir ce que je suis capable de faire pour lui, mais c'est un réel triomphe et une grande fierté pour moi de le voir s'extasier ainsi. Je le pompe énergiquement en malaxant ses grosses couilles, il exulte de plaisir et il se vide dans ma bouche. J'avale tout avec gourmandise en continuant de le sucer jusqu'à la dernière goutte, je me régale de son nectar onctueux qui s'écoule dans ma gorge.
Notre fabuleuse partie de jambes en l'air terminée, je m'allonge contre lui, nous nous embrassons, puis nous restons là, nus, pendant quelques minutes. Remis de nos efforts, on se congratule tous les deux en se promettant de refaire l'amour en pleine nature car c'était extra. Nous nous sommes rhabillés, nous avons poursuivi notre promenade et nous sommes rentrés tranquillement au camping.
Nous n'avons jamais oublié cette journée et ces ébats torrides au fond des bois, car après ce que nous avions fait, de nouveaux horizons s'offraient à nous.
À suivre.
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