Cours Très Particuliers
Cours très particuliers
Javais accepté un travail pour jeunes lycéens. Les mathématiques et physique en général navaient plus de secrets pour moi et tenter dy intéresser les jeunes en difficulté me semblait un challenge à ma portée.
Cest ainsi que je me rendis chez ma première élève, sa mère mavait appelé la veille car elle désespérait à lapproche des examens, Laurence risquait déchouer son année si elle nélevait pas rapidement son niveau en math et physique. Je sonnai à la porte, la mère mouvrit :
- Ah, voici le charmant jeune homme prêt à aider ma fille. Bonjour comment allez-vous ? Laurence c'est pour toi, tu peux venir sil te plaît ?
Je lui répondis calmement et un peu gêné par tant denthousiasme. Jobservais autour de moi, lendroit assez luxueux pour un appartement. Largent ne semblait pas être un problème pour eux, cela sannonçait donc bien pour moi. Laurence finit par descendre de sa chambre. Elle semblait gênée et je sentais quelle navait pas dû avoir son mot à dire quant à ma venue. Elle me montra le chemin vers sa chambre, je montai les escaliers suivi de près par sa mère.
- Voilà, vous pouvez vous installer là pour travailler. Jespère que vous pourrez aider ma fille mais attention avec elle, car cest une vraie tête de mule.
- Maman, arrête ça !
- Vous voyez ! Bon, et bien, je vous laisse
- Ah, je ne peux plus la supporter ! me dit Laurence.
Je lui dis que je compatissais car javais connu ça étant plus jeune. Je lui posai quelques questions afin de la mettre en confiance. Elle se calma assez vite et devint même souriante. Jappris quelle avait 18 ans, quelle ne supportait pas les maths ni la plupart des copain et prof de sa classe. Elle avait lair dune fille timide et réservée et je sentis quune certaine peur de saffirmer devait lui gâcher une partie de sa vie. Je la trouvais néanmoins mignonne avec ses long cheveux noirs, ses yeux pétillants, son nez fin sur lequel pointait quelques taches de rousseur, sa petite bouche, ses jeunes seins, sa taille serrée, son cul ferme qui ne lui donnait pas encore tout à fait l'air dune femme adulte.
Je lui demandai ce qui lui posait le plus de problème et nous partîmes dans une longue explication sur les nombres complexes. A mon grand étonnement, je réussis à lintéresser un peu en lui expliquant quil sagissait en quelque sorte dun calcul en deux dimensions et que lon pouvait faire un rapport direct avec la réalité.
- Je navais jamais vu les choses de cette manière-là ! Me confia-t-elle. Ce nest pas si dur que ça
Et en effet après cela elle me résolut deux exercices de manière quasi parfaite. Cette fille, me dis-je, était loin dêtre bête.
- Je ne comprends pas pourquoi tu as daussi mauvaises notes. Tu as pourtant une bonne logique !
- Je ne sais pas, me dit-elle, je ne sais jamais trop où les profs veulent en venir. Et je naime pas lambiance du lycée en général
- Quest ce qui ne va pas ?
Elle me dit quelle complexait beaucoup, en particulier sur son physique, elle se trouvait trop maigre.
- Tu es très belle lui dis-je, tu as beaucoup de charme.
Je lui expliquai quà son âge beaucoup de filles ne se rendaient pas encore vraiment compte de leur pouvoir de séduction, quelles faisaient une fixation sur leur image. Ce quil lui fallait cétait prendre confiance en elle.
- Comment pourrais-je ? Je nai jamais eu de petit ami, je nai encore jamais
Pendant quelle me parlait jétais comme hypnotisé par ses yeux noirs et je métais à peine aperçu que son visage sapprochait du mien. Mon sang ne fit quun seul tour et je me rendis compte que javais frôlé une grave faute professionnelle quand la mère de Laurence fit irruption dans la pièce.
- Lheure est terminée ! Alors, vous avez bien travaillé ?
- Ca sest plutôt bien passé ! Lui dis-je dun air sérieux.
- Cest vrai maman, cest un bon professeur.
Sa mère semblait plutôt étonnée.
- Bien, alors nous vous attendons dans deux jours, pour le café, vers 14 heures ça vous ira ?
- Sans problème !
Je leur fis mes adieux et rentrai chez moi.
Je ne fus rarement aussi ponctuel que ce deuxième jour où javais rendez-vous avec mon élève. A nouveau la mère mouvrit pleine denthousiasme. Après m'avoir servi un café, elle me dit quelle partait à linstant au travail et que je navais quà monter dans la chambre de Laurence. Je montai donc et trouvai la porte entrouverte, il ny avait personne. Je minstallai auprès du bureau. Seul un bruit provenait de la salle de bain, et daprès ce que javais compris mon élève vivait seule avec sa mère. Jentendis ses bruits de pas légers sur la moquette qui sapprochaient, elle passa la porte de la chambre.
- Ah, tu es déjà là ! Me dit-elle souriante.
Apparemment, elle sortait de la douche. Elle portait une minijupe légère en coton, un t-shirt blanc et un linge sur la tête qui enveloppait ses cheveux.
- Je viens de rentrer de mon cours de natation. Attends, je me sèche les cheveux et jarrive.
Pendant quelle saffairait, je ne pouvais mempêcher de caresser du regard ses jambes, ses cuisses accueillantes.
« Quest-ce que tu fais ?» me dis-je. « Reprends-toi ou tu vas avoir des problèmes ! »
Mais alors quelle me contournait et se penchait par-dessus mon dos pour attr un de ses cahiers, elle perdit léquilibre et me fit tomber de ma chaise. Nous nous retrouvâmes par terre, face à face, elle était sur moi.
- Euh, je
Mais je neu pas le temps de finir ma phrase que déjà ses lèvres se mêlaient aux miennes.
Ceci fit cesser mes dernières pensées rationnelles. Tout en lembrassant vigoureusement je caressais ses jambes douces en remontant de plus en plus. Je sentais son pouls saccélérer, ses baisers était mêlés de respirations chaudes et rapides. En me rapprochant de sa culotte humide, je provoquai chez elle quelques gestes nerveux dexcitation.
- Jai peur, me confia-t-elle.
- Laisse-toi aller, lui dis-je, tout ira bien.
Jentrepris de lui lécher tout le corps. De sa bouche, je partis en direction de ses oreilles, descendis vers son cou, je lui enlevai son t-shirt, lui léchai ses petits seins raidis, lui mordillais les tétons, descendant sur son ventre, remontant sur son dos et sa nuque, redescendant dans le creux de ses reins, le long de ses cuisses, remontant par lintérieur de ses jambes, lui tirant sa petite culotte jusquà lenlever avec mes dents, remontant une nouvelle fois. Quand ma langue entra en contact avec son clitoris, je la sentis tressaillir à nouveau, comme traversée par une décharge électrique. Tout en maidant de mes doigts, je commençai à lui lécher tendrement le clitoris, rentrant un peu dans son vagin serré, lui mordillant lintérieur des cuisses et revenant de manière plus rigoureuses.
Je devais la tenir fermement par les fesses car elle sagitait maintenant de manière incontrôlée tout en poussant de petits gémissements. Au fur et à mesure, je parvenais à glisser mes doigts de plus en plus profond, jusquà lui tirer quelques cris bien affirmés. Elle semblait partir de plus en plus quand elle se raidit dans un orgasme en poussant un cri étouffé. Elle faillit m entre ses cuisses avant de retomber par terre à moitié comateuse.
- Aaaahhhh
je sais plus où je suis, javais jamais ressenti ça
Je la laissais reprendre ses esprits, mais jétais en même temps trop excité. Peu après, je la vis se relever et glisser sa main dans mon pantalon. Elle commença à me branler doucement. Elle ouvrit mon pantalon et en tira mon sexe raidi de désir. Sans trop hésiter, elle se mit à genou et le prit dans sa bouche. Elle laspirait, faisant tourner sa langue autour de mon gland, avant de me sucer frénétiquement de haut en bas et de bas en haut. Elle sy prenait plutôt bien, jamais je ne sentis ses dents.
Maintenant, je mourrais denvie de la prendre sauvagement mais je savais que je ne pouvais pas la brusquer.
- Oh oui, vas-y, sil te plaît.
Par chance, elle était très excitée, son vagin était parfaitement lubrifié et dilaté autant quil pouvait lêtre. Je commençai à la pénétrer doucement, tout en plongeant mes yeux dans les siens. Au fur et à mesure que javançais, elle poussait des petits cris de douleur, mais sentant que le plaisir prenait le dessus, je continuai jusquà atteindre le bout. Quelques doux allers-retours plus tard le passage devenait praticable, je passai ses jambes au-dessus de mes épaules et commençai à la secouer en règle. Peu à peu je perdais le contrôle que javais dû appliquer jusque là, je la défonçai et ses cris résonnaient dans tout lappartement. Son regard était devenu sauvage.
Après un moment, je pris ses jambes et la retournai de manière à ce quelle soit à plat ventre sur le bureau, les fesses sur le rebord. Je recommençai à la prendre, elle men demandait encore, et encore plus.
A force de rebondir sur ses fesses, je ne pus tenir plus. Elle semblait être prise dun nouvel orgasme, jen profitais pour me décharger en elle avec des derniers coups violents de ma part et cris de la sienne. Cette apothéose indescriptible dura un bon moment, après quoi nous tombâmes essoufflés sur ce bureau en bois, lieu privilégié déducation pour la jeune Laurence.
- Merci pour tout ! Me susurra-t-elle beaucoup plus tard en membrassant sur la joue.
Sa mère allait bientôt rentrer du travail, je devais men aller au plus vite. Nous nous revîmes souvent jusquà la fin de lannée, mêlant sexe et mathématiques. Laurence eut son bac. Elle devint également une partenaire sexuelle hors du commun. Quant à moi, je repartais à la recherche d'une nouvelle élève pour peut-être de nouvelles aventures
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