Sage ?

- "As-tu été sage cette semaine ?"
Silence de ta part...
- "As-tu été sage cette semaine? Et les dernières aussi ?'
Nouveau silence...
-" Je dois en déduire que tu ne l'as pas été ?"
- " Non je n'ai pas été sage. Juste pour voir ce que ça fait!" dis-tu d’un ton effronté.
-" Très bien. Parfait. Tu veux tester ? OK. Je passe demain après-midi pour m'occuper de toi."


Le lendemain, je sonne à 14h. Tu m'ouvres avec un grand sourire et te jette dans mes bras pour m'embrasser. Je t'arrête net.
- " Tu n'as pas été sage, tu te souviens ? En punition, tu vas être mon esclave pour les 2 heures à venir."
- " Pfff tu sais que j'aime ça de toute façon, ce n'est pas une punition. C'est même pas original. Je suis très déçue."
- "Suce-moi là tout de suite."
Nous sommes encore sur le pas de la porte. Tu ne sembles pas très coopérative. Je te tance un peu vertement et tu t'agenouilles en portant tes mains sur ma braguette. Tu ressens déjà une certaine rigidité à l'intérieur. Tu me lances un regard mi-apeurée, mi-excitée. Tu n'aurais jamais oser mais ça te plait.
Tu prends ma verge dans ta main droite et tu commences à me branler doucement. Tu me jettes un petit regard coquin avec un sourire malicieux. Ta langue joue sur tes lèvres et tu m'embouches délicatement, tout en en profitant pour faire quelques bruits des plus indécents mais excitants... Tu apprécies beaucoup mes réactions et au final, ça ne change pas trop de nos habitudes.
- " Va dans ta chambre de suite. Allonge toi sur le lit et utilise le bandeau pour tes yeux aussi."
Tu acquiesces et profite du court trajet pour adopter une démarche un peu chaloupée, et loin d'être désagréable à regarder...
Je patiente 5 min. J'entre dans la chambre qui est baignée d'une douce clarté de ce bel après-midi. Je te vois comme demandé. J'ouvre un sac que tu n'avais pas remarqué et je commence à installer le tout.

Mon apn sur trépied et surtout le petite attirail que j'ai apporté rien que pour toi.
Tu entends ces bruits et ça t'interroge sur la nature de la suite.
Je m'approche et commence à te caresser juste ce qu'il faut... remontant doucement mes mains le long de tes jambes, sous la robe, que je relève, tout en faisant bien attention à te laisser un peu frustrée par mes caresses imparfaites et surtout qui ne vont pas dans le sens souhaité sur la fin... Je te retire le bandeau et tu vois le numérique installé, ce qui te fait sourire.
Je me lève et prend une corde tressée blanche.
Tu comprends tout de suite, mais tu ne parais pas effrayée. Un sourire à la fois étonné et coquin et tu me félicites ensuite de faire enfin preuve d’initiative. Encouragé par ton envie de collaborer, je me jette presque sur toi et nous nous embrassons langoureusement. Ensuite, j’entreprends de te caresser les jambes au passage en en profitant pour te positionner sur les genoux, les bras derrière.
Je serre tes poignets et les enroulé avec ma corde, depuis une extrémité. Tu ne sembles pas effrayée et me regardes par-dessus ton épaule en souriant. J’ai alors pensé « On va voir si tu rigoles encore dans quelques minutes, ma petite salope. »
Après t’avoir fait te coucher sur le dos, appuyée sur tes bras ligotés, je continue à t’attacher en me concentrant sur tes jambes.
Détail amusant, tu entends à intervalle régulier le numérique prendre ses clichés comme un métronome.
Tu es à présent bien immobilisée. Je te ai répond que tu es désormais désormais en mon pouvoir. Je m'allonge sur toi, et j’ôte ma chemise. Tu veux m’embrasser, mais ce qui m’intéresse, moi, c’est de te voir gigoter, te débattre.
Je sentais que tu n'es plus aussi ravie qu’au début. Tu me jettes un regard menaçant. Mais c’est trop tard, je ne veux plus m’arrêter.
- « Détache-moi, ce n’est pas drôle ! »
Je te répond que lorsque tu n’en pourras plus, tu n’auras qu’à me dire quelque chose de spécial.
Un peu angoissé, j'attends que tu rajoutes quelque chose. Mais tu n'as rien dit Alors je dégrafe les boutons de ton chemisier tant bien que mal sous son emballage, et j’écarte un petit peu le vêtement. Je vois maintenant parfaitement ton soutien-gorge en dentelle noire. Je place des coussins derrière ton dos pour te mettre à l’aise et je me déshabille. Je fini par ôter mon caleçon et m'agenouille devant toi. Tu jettes un coup d’œil à mon sexe, fièrement dressé, face à toi. Je me dresse sur mes genoux et le présente à ta bouche experte. Tu donnes quelques coups de langues sur le gland, mais j’en veux plus. Après tout, tu es mon esclave à présent et tu n'as pas fini ton travail tout à l'heure. Je te prend fermement la nuque d’une main et je te fais avaler l’engin dans ta si jolie bouche, d’abord quelques centimètres, puis davantage, puis encore plus. Je fais mine de me retirer, puis je te l'enfonce à nouveau dans la bouche encore plus profondément. Lorsque, enfin j’ai pu aller au bout de mon envie, je la sort de ta bouche et je lâché ta nuque.
Tu me regardes en me demandant :
- « Et que vas tu faire de moi maintenant ? »
Tu as dit cela d’un air neutre que je ne pouvais interpréter. Je te fais te tourner. Tu étais maintenant à genoux.
Je te pousse par les épaules et tu colles alors ta joue contre le matelas. Ton magnifique cul est pour moi, offert, présenté. Tu gémis un peu car la posture n’est pas confortable, surtout ligotée.
Je parcours tes fesses de mes mains et je t'enfonce deux doigts dans ta chatte tout juteuse après avoir écarté ta petite culotte. L’humidité que je sent sur mon index et mon majeur me donne l’idée de te caresser avec ma belle queue. Je colle mon gland contre ton clitoris et me suis à tourner sur celui-ci. Les gémissements ont changé. Toi -même, sans t'en rendre compte, tel un pantin tu gigotais dans ta posture de soumission en semblant désirer que j’accélère. Mais je n’en fait rien. Je continue au même rythme et soudainement, je dévie jusqu’à ton vagin que je pénètre avec force, tout en m’accrochant à tes hanches, mes ongles enfoncés dans ta chair.
Tu hurles à présent mais en continuant de remuer ton derrière rebondi. Au moment d’éjaculer, je me retire te faisant lâcher un cri. Je me positionne sur ton côté et t'enfourne mon sexe baveux dans ta bouche pour jouir sur la langue, tes lèvres. Tu me prends dans ta bouche et je sens ma sève s'expulser violemment et te vois déglutir pour tout avaler.
Ensuite, je te libère et m'allonge tout contre toi.
En mon for intérieur, je pense déjà aux prochains scénarios plus élaborés que j’allais te faire subir à l'avenir.

Après visionnage quasi immédiat, il s'avère que la luminosité et le cadrage ont un rendu de cette petite séance... assez esthétique ma foi...