Michelle Et Clotilde
La clinique vétérinaire nest pas un endroit parfait pour draguer. Je suis le dernier client avec mon chien, un pure race inconnue. La réceptionniste, gentiment me demande de patienter : le « chef » est pris pour un bout de temps. Je ne veux pas m'être déplacé pour rien, je vais attendre dans la voiture. Elle doit me prévenir quand lheure de mon chien arrivera. Je suis garé à lombre, à labri dun haut mur, personne ne peut me voir. Je suis pris dune envie subite : je sors ma queue pour me branler. Je ferme même les yeux juste avant de jouir. Cest le moment que choisi la collaboratrice vétérinaire pour venir me parler. Je cache comme je peux ma bite. Jouvre la vitre, elle se penche pour parler :
- Excusez moi, je ne savais pas ce que vous faisiez.
- Ce nest pas grave.
- Moi je naime pas être dérangée pendant mes masturbations.
Elle aurai mieux fait de se taire, je bande plus fort, ma queue en sort de ma main. Elle passe son bras dans la voiture, prend ma pine, la branle comme il faut. Elle me lâche avant que je jouisse.
- Je reviens de suite, et elle part.
Moins dun quart dheure plus tard elle me demande de la suivre avec le chien. Du coup je débande complètement. Elle maccompagne dans le cabinet, elle montre le chien. Je dois le laisser au moins la nuit.
Nous sortons ensemble, elle se dirige vers la voiture, monte à la place du mort. Sa jupe est à moitié cuisse. Quand je suis en place, elle ne demande quun simple baiser. Je lembrasse, nos langues font vite connaissance. Je ne mattendais pas à la suite : elle sort ma bite, se penche dessus pour me prendre en bouche, elle ne me suce quun instant. Je reste la queue en lair.
- Démarre, nous allons dans un endroit discret.
- En ville ?
- Non pas loin de chez moi, seulement il y aura ma cousine qui aime baiser en trio.
Je suis ses indications jusquà me garer dans un petit chemin. Dans quel piège elle ma entrainé, mon il, sa cousine.
- Ne fais pas ça, elle aime voir les membres et le tien est intéressant.
Quand les deux filles se retrouvent elle se font la bise, enfin disons quelles sembrassent sur la bouche. La cousine fait le tour de la voiture par devant, je peux voir un sacré morceau de fille. Je comprends que ma compagne du moment aime lembrasser. Quand elle est près de la voiture, elle regarde ma queue, membrasse sur la bouche :
- Cest vrai que tu es bien monté. Tu vas nous la mettre à nous deux. Tu nous feras jouir.
- Je ne sais si jarriverai à vous baiser ensemble.
- Qui te parle densemble, lune après lautre. Nous nous arrangeons toujours entre fille.
Je ne sais même pas comment elles sappellent. Il faut que je les suive vers une destination inconnue. Nous y allons à pied : une simple baraque remplie de paille. Je suis entre les deux, elles en profitent pour me « lutiner » la queue toujours dehors. Nous entrons vite pressées par le désir de jouir. Elles mabandonnent pour ne soccuper que delles, elles sembrassent avant de se déshabiller. Le spectacle est de toute beauté. Deux Vénus qui se mettent nues devant moi ne mest jamais arrivé. Je ny tiens plus, je suis nu en un quart de seconde. Je voudrais baiser une des deux, sinon je vais me branler devant elles. Elles viennent mentourer, me prennent par les deux mains pour me jeter sur la paille.
Elle ne soccupe que de moi pour le moment. Jai droit à une bouche sur la mienne, une autre me suce. Je ne sais comment me retenir de jouir. Celle qui me suce se retire pour me donner à celle qui membrassait. Le changement est net, la façon nest par la même. Quoiquil en soit je vais jouir quand même. Je me demande si je vais le dire, alors je jouis dans la bouche. Affolement, une a du sperme qui vient dans sa bouche alors que lautre na que de la salive.
Je reste étendu sur la paille. Elles sont toujours nues, enlacées.
Maintenant elles se présentent:
-Clotilde, la cousine et Michelle laide du véto. Je me demande laquelle est la plus baisable. Clotilde est brune aux yeux marrons clairs et cheveux longs, avec une belle jeune poitrine, Michelle est châtain clair, même yeux, poitrine moins forte que celle de sa cousine. Elles forment un véritable tableau érotique du début du XVIII° siècle. Dans limmédiat je ne les intéresse pas tellement. Elles savent fort bien samuser seules, pas à la poupée, à un jeu qui y ressemble sauf que les poupées sont vivantes et sensibles.
Elles se branlent à peine, juste le temps de se mettre en forme, la suite et plus érotique. Le chiffre 69 décrit très bien la position. Elles ont les têtes entre les jambes de lautre, les langues qui lèchent le sexe. Elles tournent souvent sur elles mêmes.
Je commence à bander à nouveau. Je ne vais pas les laisser samuser seules. Quand un cul de présente en lair, je ne fais pas le détail, jentre directement, malgré les cris de douleurs . Douleur relative, puisquen moins de 30 secondes, les cris se transforment en gémissements de plaisir. Je suis au fond dun cul très convenable, très habitable pour une bite. La langue qui suce le sexe de cette fille vient également sur ma queue pour semparer de mes couilles. Je peux aller tout au fond, je vais et viens dans cet anus. Je my sens à laise.
Je sens les crispations de son sphincter autour de ma bite. Cest bon.
Quand je sors de ce ventre qui est celui de Michelle je suis prêt pour la suite avec Clotilde. Jai envie de faire le flémard, je me met sur le dos, la queue toujours bien bandée. Jattire des bouches, les langues se liguent sur ma pine. Ce genre de filles métonne de plus en plus, elles aiment sucer après une sodomie, cest meilleur parait-il.
Je ne demande plus quune chose être à labri pour le froid virtuel qui arrive : je veux un habitat pour ma queue.
Elles ne peuvent se passer lune de lautre. Heureusement que jai déjà joui, je tiens le coup pour toutes leurs jouissances.
Michelle après un orgasme particulièrement relevé demande à changer de place. Clotilde qui vient de jouir lui cède ma queue. Je pensais quelle voudrai baiser, alors quelle ne demande que de lavoir dans le cul. Elle pose sa pastille sur la bite, lentement elle se laisse aller dessus.
Elle ferme les yeux, renverse sa tête en arrière et entame la danse de lamour pour le bonheur de ma queue. Sa cousine est derrière elle, elle lembrasse dans le cou, pendant que ses mains caressent ses seins.
Juste avant de jouir, je pousse un léger gémissement, mon foutre part dans une longue giclée dans son ventre.
Nous prenons rendez vous pour le dimanche après midi, elles promettent quelles ne baiserons presque pas ensemble, je fais celui qui le crois. Après tout dimanche cest après demain.
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