Neuf Jours Tranquilles À Antibes. 11e Chapitre.
11e chapitre. (Pour comprendre cette histoire, il faut lire les chapitres précédents). Pour Henri cest son dernier jour de vacances à Antibes. Cest le moment de faire le bilan et de dire adieu à toutes les filles quil a séduites.
MARDI 9e et dernier jour à Antibes
Je me réveille vers 9h. Jai très bien dormi. Jai pu reconsti mes forces et mes réserves de sperme.
Aujourdhui est un grand jour. Cest mon dernier à Antibes ! Je pars demain matin.
Ma journée va être chargée ! Il va falloir que je dise adieu à toutes mes conquêtes.
Sarah, la vaginale, doit venir me rendre visite.
Sylvie, la collante, doit passer pour se faire enculer.
Je vois ce soir Magali la jolie petite coiffeuse qui naura plus ses règles. Il y aura aussi Françoise, mais cette fois-ci je ne pourrais surement pas men occuper.
Le bilan de ce séjour est plus que positif, je dois même avoir battu mon record ! Gaëlle + Coralie + Sarah + Magali + Françoise + Carine + Sylvie, ça fait 7 filles en 8 jours ! En plus il ny en a pas une seule de frigide dans le tas. Ça va me faire des bons souvenirs. Et puis je ramène quelques trophées : ces quelques films tournés en « caméra cachée » (il va dailleurs falloir que je fasse un montage pour ne garder que les meilleurs moments).
Jallume mon portable.
Il y a déjà 2 SMS et 1 message.
Le premier est de Sarah. Elle veut que je lappelle.
Le second est de Magali pour me confirmer le rdv de ce soir et me dire quelle a hâte de me revoir.
Le message vocal est de Carine, la très jolie fille dapparence très sage, mais qui ne lest pas :
-« Henri,
Henri, je pense à toi tout le temps. Enfin, non,
ce nest pas ça. Cest trop dur
Sil te plait, ne viens pas au camping, même pour voir Sylvie. Je ne veux plus te revoir. Surtout ne me téléphone pas. »
Quel con jai été de la renvoyer dans les bras de son petit ami !
Je rappelle Sarah.
Elle est désolée mais elle ne se sent pas très bien aujourdhui. Elle a mal au ventre. Je peux venir pour bavarder si je veux, mais au mieux elle pourra me sucer, rien de plus. Je préfère rejeter son offre. Je prétexte des rendez-vous avec le notaire et la famille. Nous convenons de nous revoir à Paris. Je lui donne mon adresse. Elle me souhaite un bon voyage.
Merde ! Ça fait la deuxième fille que je ne vais pas pouvoir sauter aujourdhui. Le bouquet final, qui sannonçait grandiose, risque dêtre plutôt misérable.
En effet javais déjà du renoncer à Gaëlle (la fille anale), qui est interdite de sortie à cause de « ses connards » de parents.
Au moins je peux compter sur Sylvie. Je lui téléphone et je lui dis de passer à 14h00.
Ça me laisse le temps de ranger des affaires.
Sylvie est à lheure. Elle arrive directement de la plage ou elle était avec Carine, Clara et Pierre.
Après quelques bisous, elle me raconte un incident qui vient de se passer :
-« Jai raconté aux filles notre partie de baise dhier soir. Je sais pas ce qui a pris à Carine mais elle sest énervée. Il faut dire que jen ai rajouté un peu. Jai dit que tu mavais baisée pendant des heures et dans toutes les positions et que javais jouis plusieurs fois. Bref, Carine sest levée, offusquée, en me traitant de pute. Et elle est partie. »
Pas besoin dêtre un fin psychologue pour comprendre que Carine est jalouse. Cela me flatte et me laisse de lespoir
Jai peut-être encore mes chances avec elle. Je lui enverrai demain un SMS pour lui donner mes coordonnées à Paris.
Il faut maintenant passer aux choses sérieuses et Sylvie doit tenir sa promesse.
-« Cest quoi cette surprise que tu me réserves ? » Dis-je innocemment, en sachant très bien de quoi il sagit.
-« Si tu veux et si tu y va très doucement et sans me faire mal, je veux bien essayer la sodomie. »
-« Wahoo ! Cest génial ! » « Ce serait encore mieux si je pouvais le faire sans préservatif.
Sylvie hésite un moment, mais jarrive à la convaincre.
Elle me rappelle la condition sine qua non :
-« Surtout je veux pas avoir mal, tu arrêtes dès que je te le demande. »
Les filles sont prêtes à se faire charcuter pour avoir des gros seins, prêtes à faire des régimes minceur draconiens, prêtes à se faire arracher les poils avec de la cire chaude, tout ça pour plaire aux hommes. Par contre elles refusent de se faire enculer sous prétexte quelles risquent davoir un peu mal ! On croit rêver !
Sylvie va quelques minutes dans la salle de bain. Jen profite pour brancher la caméra. Elle ressort entièrement nue.
Je suis nu moi aussi, on peut commencer la séance.
Je la caresse, je lembrasse, je vais même jusquà lui lécher la chatte. Tout ça pour la mettre en condition. Quand elle est bien excitée, je la fais mettre à 4 pattes, la tête enfoncée dans les draps.
Je mets du lubrifiant sur ma queue et jen envoie une giclée dans son trou. On peut y aller.
Je pousse. Ça rentre un peu. Elle dit « Aie, aie, aie ! », puis « Arrête, arrête, arrête ».
Je fais comme si je navais rien entendu et je continue doucement ma pénétration. Je sais bien que ce sont les premiers centimètres qui peuvent être douloureux, après cest plus tranquille.
Quand tout est entré, je fait une petite pause. Sylvie se plaint toujours.
Je tente quelques caresses sur son clito. Quelques léchouilles dans le dos. Rien ny fait. Cest encore des plaintes. Mes efforts sont inutiles, décidément cette fille naime vraiment pas la sodo.
Bon puisquelle nest pas amatrice, tant pis pour elle. Inutile que jessaye désespérément de la convertir.
Seul mon plaisir compte désormais. Jy vais à mon rythme sans moccuper des récriminations. Il faut savoir être égoïste de temps en temps.
Quest-ce que cest bon de navoir quà soccuper de soi ! Jy vais de plus en plus vite.
Avec tout le lubrifiant que jai mis, ça fait « FLOC, FLOC ». Le cul fait ventouse, dès que je recule je suis aspiré vers lintérieur.
Ça vient
ça vient
Je viens !
Jéjacule ma semence au fond de ce trou stérile. Le premier jet est puissant. Le second est grandiose, je sens parfaitement la montée de la sève et son expulsion. Le troisième et quatrième sont plus ordinaire. La cinquième salve est quasiment « à blanc ». Je ne peux mempêcher de hurler comme une bête. Mes cris couvrent largement les « aie, aie, aie » de Sylvie et les claquements de mon corps sur ses fesses.
Quel pied ! Bon sang, quel pied de jouir sans ce bout de caoutchouc !
Je mextrais avec délicatesse. Des flots de sperme en profitent pour senfuir et sécrasent sur le drap.
Sylvie court vers la salle de bain en hurlant :
-« Salaud ! Ça coule, ça coule, jen ai partout ! »
Moi je suis ravi
Quand elle revient, elle est toujours fâchée :
-« Tu mas fait très mal ! Je tavais dit darrêter. Tes un salaud ! En plus ça coule encore. Vite passe-moi des mouchoirs ! »
Je lui dis que cétait super bon, que jai adoré, quelle a un cul étroit et délicieux. Ces divers compliments commencent à la calmer. En plus je lembrasse avec tendresse.
Redevenue aimable, elle me raconte une anecdote plutôt bandante :
« Toi qui est un peu voyeur et qui aime les anecdotes de cul, jai quelque chose pour toi. Ce matin alors que je prenais ma douche au camping, jai surpris une conversation entre deux garçons. Je vais essayer de retrouver leurs expressions et leur manière de parler. Lun a dit « je me suis fait Zoé, cest une vraie salope ! Elle suce super bien, mais elle a refusé que je lencule. Elle, elle refuse, mais elle ma dit que Nadj le fait. Toi tu sors avec Nadj, alors, dis-le moi. Cest vrai ?» Et lautre « Ben jsais pas si elle le fait avec tous le monde.
Jai été très choquée par cette conversation de machos dégoutants. Mais je ne voulais pas quils se rendent compte que je les avais espionné. Je nai pas fait de bruit et jai attendu quils partent pour sortir. Je les ai vu sen aller, cétait deux petits cons denviron 16-17 ans qui font parti dun groupe de jeunes, genre colonie de vacances. Tu te rends compte de ce quils font aux filles ! Cest dégueulasse ! »
Cest vrais que ces 2 zigotos sont pires que moi ! Mais je trouve ce récit plutôt excitant et je regrette quelle ne soit pas allée voir ce qui se passait dans cette fameuse cabane
Je comprends bien ces jeunes. Les vacances cest souvent dun ennui mortel. La seule véritable distraction, cest de faire des rencontres. Et, pour les garçons, le seul intérêt des rencontres, cest de pouvoir baiser.
Jai à ce sujet un souvenir édifiant. Jy repense :
Cétait il y a quelques années, javais 16 ans. Jétais en vacances avec mes parents à La Grande Motte. Nous étions avec mon cousin qui a deux ans de plus que moi. Il était déjà venu ici lannée précédente, il connaissait donc les lieux.
Il ma informé quil y avait un endroit ou il fallait aller absolument pour draguer. Il ma dit de venir avec lui. Jai accepté seulement pour voir, car jétais alors trop timide pour parler aux filles.
En effet, il y avait une sorte de ponton ou se trouvaient une douzaine de nanas adossées à la rambarde. Des filles de notre âge, environ 15 -17 ans. Des moches et des belles. Mon cousin ma dit quelles sennuyaient tellement ici en vacances avec leurs parents, quelles étaient là à attendre quun garçon les aborde. Un peu comme des putes qui attendent le client, sauf que là cétait gratuit. Si le garçon leur plait, elles vont avec lui pour passer un moment.
Jétais septique.
La présence de plusieurs garçons qui rodaient, comme nous, à laffut, pouvait laisser penser que mon cousin avait raison. Un mec dune vingtaine dannée sest décidé et sest approché dune des filles. Il lui a dit quelques mots. La fille a rigolé, et ils sont partis ensemble.
Mon cousin a voulu essayer à son tour. Il sest approché dune fille. Comme lautre, il lui a dit quelques mots. Il est ensuite venu me prévenir que je pouvais retourner à la plage et quil viendrait my rejoindre. Et le nouveau couple ainsi formé sest éloigné.
Une heure plus tard il ma rejoint sur la plage. Il ma raconté que la fille lavait amené dans une sorte de terrain vague entre deux immeubles. Ils se sont installés sous un arbre derrière des canisses. Lendroit était assez sordide et les nombreux mouchoirs usagés indiquaient que le lieu était très fréquenté. Ils se sont embrassés et la fille la sucé. Et cest tout.
Il ma proposé de retourner sur le fameux ponton. Je lai à nouveau accompagné. A nouveau jai refusé daccoster une fille. A nouveau il en a branché une. A nouveau il est parti avec.
Pour mon cousin, ce manège a duré pendant toutes les vacances. Comme il était joli garçon, il avait rarement de refus. Il sest tapé un grand nombre de filles. Il a donc consommé beaucoup de préservatifs et de mouchoirs en papier.
Il me racontait ses exploits ensuite. Certaines voulaient dabord aller prendre un verre et discuter. Pour dautres cette étape était inutile. La plupart ne faisaient que sucer, mais plusieurs avaient accepté des pénétrations vaginales. Une seule avait accepté une sodomie. Faire tout ça dans un terrain vague avec le risque de se faire surprendre ce nétait pas toujours facile, mais il ny avait pas le choix.
Il ma proposé de me présenter à lune de ces filles, mais jai refusé.
Mon cousin a passé de très bonnes vacances. Moi, je me suis beaucoup branlé.
Je ne raconte rien à Sylvie, car je nai pas le beau rôle dans cette histoire
Sylvie aurait bien voulu rester avec moi pour passer la soirée en amoureux et probablement quelle aurait bien voulu jouir elle aussi. Mais jai dautres projets pour ce soir
Je lui propose de la raccompagner jusquà la plage pour retrouver ses copines.
Cest ce que nous faisons.
Sylvie a du mal à sasseoir sur le scooter, car ses fesses sont encore douloureuses. Ça lui fera un souvenir de moi pendant quelques jours
Je labandonne à quelques distances du petit groupe pour ne pas me faire voir de Carine. Nous nous embrassons en nous promettant dessayer de se retrouver à Paris ou en Belgique. En réalité, maintenant que jai fait tout le tour de sa personne, je nai aucun désir de la revoir
Il est prêt de 18h , il me reste un peu de temps à perdre avant mon rendez-vous avec Magali et Françoise.
Je me lance un défi : essayer de draguer une nouvelle fille.
A cette heure, sur la plage, les filles seules sont soit des boudins soit des filles qui refusent dêtre importunées. Je ne suis donc pas étonné de me faire rembarrer par les deux premières jolies filles que jaborde.
A la troisième, je choisis une fille au physique très quelconque. Brune, cheveux courts et raides. Des hanches trop larges, un nez trop gros, des yeux trop petits. Bref, la proie idéale. Elle se laisse facilement amadouer. Je lui propose de prendre un verre au café. Elle accepte.
Nous faisons connaissance. Elle est étudiante en histoire à Renne, elle fait du théâtre dans une troupe amateur, elle a 19 ans, elle sappelle Léa, elle est à Antibes depuis 15 jours.
Une fois bien en confiance, jaborde les sujets qui mintéressent :
-« Comment ça se fait quune fille aussi jolie que toi na pas de copain ? Tu dois pourtant attirer tous les hommes
» Ces flatteries servent à la mettre à laise.
-« Cest vrai que je me fait draguer souvent. Mais la plupart des dragueurs sont trop nuls. »
-« Il doit bien y en avoir qui te plaise. Tu ne vas pas me faire croire que je suis le premier avec qui tu sors. »
-« Cest vrai, je suis déjà sortie avec plusieurs garçons ces derniers jours. »
-« Et tu as couché avec eux ? »
-« Avec 2 seulement. »
-« Ensemble ? »
-« Non ! Hi, Hi, Hi
Tu es bête. »
-« Allez, racontes-moi. Jadore quon me fasse des confidences, je suis très curieux et un peu voyeur
» (Avouer ses faiblesses désarme ladversaire).
-« Ben ya rien à raconter. Quest-ce que tu veux savoir ? »
-« Déjà pourquoi ça na pas duré avec eux ? »
-« Oh, tu sais, les garçons une fois quils ont eu ce quils veulent, on ne les intéresse plus
»
-« Et quest-ce que tu as fait avec eux. Je veux dire comme activité sexuelle. »
-« Tu es trop curieux toi. »
-« Si tu ne dit rien cest que tu as fait des trucs crads, toi ! »
-« Mais non ! »
-« Tu tes fait fouetter, ou tu as fait ça avec des animaux, ou un truc du même genre, cest ça ? » Je dis ça sur le ton de la plaisanterie.
-« Mais non, je nai rien fait dextraordinaire
Je tassure. »
-« Tu les as sucés quand même ? »
-« Oui, bien sûr. »
-« Ils tont baisé. »
-« Ben oui.»
-« Ils tont sodomisée ? »
-« Ça non ! »
-« Tu as pourtant un cul superbe et très attirant ! » (Ce nest pas vrai mais ça lui fait plaisir). « Ça me surprend quils naient pas voulu en profiter.»
-« Lun des 2 garçons a voulu plusieurs fois me sodomiser. Mais jai refusé. »
-Pourquoi as-tu refusé ? La sodomie ça peut être super bon. Tu ne va pas me faire croire que tu nas jamais essayé
»
-« Si, si, bien sûr que je lai déjà fait ! » Elle dit ça comme si cétait une insulte davoir insinué quelle pouvait être encore vierge de ce coté. (Il est logique quune comédienne de théâtre même amateur- utilise lentrée des Artistes.)
Cette conversation très hard a lieu à la terrasse dun café. Dautres clients sirotent leurs boissons à coté de nous. Et nous parlons de cul comme si nous parlions du beau temps.
Léa est tellement en confiance, comme si elle était avec une bonne copine, que je pourrais lamener à me faire les confidences les plus intimes.
Ça me donne une idée
-« Cest quoi tes fantasmes sexuels ? »
-« Cest quoi cette question !? Et puis jai pas de fantasmes. »
-« Tout le monde a des fantasmes. Ya pas de honte à avoir.
Moi par exemple mon principal fantasme cest de coucher avec 2 filles en même temps. Je les baise chacune leur tour et ensuite elles se gouinent et je les regarde faire. Jai pas forcement envie que ça se passe en réalité. Quoique, ce serait peut-être pas mal ...
Alors cest quoi le tien ? »
-« Ben, jen ai pas vraiment
»
-«Jai lu dans un magazine que toutes les femmes avaient des fantasmes. Ils avaient même fait un classement des plus fréquents. Si je me souviens bien il y avait, faire lamour avec une célébrité (chanteur, acteurs, homme politique), faire lamour avec 2 hommes en même temps, faire lamour avec une femme, se faire violer par des voyous, participer à un gang bang ou une partouze,
Tu vois il y en a pour tous les gouts. Alors toi, cest lequel ? Cest un de ceux-là ? »
-« Peut-être, oui. »
-« Dis-le moi, ce nest quun fantasme, ça na pas dimportance. »
-« Ben moi ce qui mexcite cest lidée de faire lamour avec 2 hommes. »
-« Tu veux dire que tu rêves dêtre prise par deux hommes en même temps ? »
-« Oui. Mais jamais je le ferais, hein !»
-« Et pourquoi tu ne le ferais pas ? Cest quelque chose de réalisable facilement. Beaucoup de femmes ont tenté cette expérience et beaucoup adorent la double pénétration. »
-« Oui, peut-être un jour
» Dit-elle songeuse.
Je lui propose de venir chez moi.
Elle accepte.
-« Tu sais, je nai quune seule bite, jespère que tu nes pas déçue
»
Ça la fait rire.
En route pour rejoindre mon scooter, nous passons devant un autre café. Parmi les gens attablés il y a un jeune homme denviron 25 ans, assez beau. Je marrête et je demande à Léa :
-« Comment tu trouve ce garçon, il te plait ? »
-« Oui, il est plutôt beau. Pourquoi tu me demandes ça, tu le connais ? »
-« Non, pas du tout. Mais puisquil te plait, je vais lui demander de venir avec nous, ainsi on pourra réaliser ton fantasme. »
Léa est horrifiée :
-« Tu es fou. Il est hors de question que je couche avec ce type ! »
Je ne tiens pas compte de ses protestations et je me dirige vers le garçon. Léa essaye en vain de men empêcher.
Arrivé à la table du jeune homme, je lui dis :
-« Bonjour, jai fait un pari stupide avec ma copine. Est-ce que vous pouvez la regarder et lui faire oui de la tête. Cest tout. »
Le garçon est sympa et il accepte ce petit jeu.
Léa est outrée, elle tourne des talons et elle sen va.
Je remercie le jeune homme et je cours pour la rattr.
Je lui explique que cétait pour rigoler. Que jamais je naurais voulu la partager. En tout cas pas pour une première fois.
Elle se met à rire. Je crois même que cette situation la beaucoup excitée. Elle membrasse à pleine bouche.
Arrivé à ma moto, je regarde lheure. Jaurais jamais le temps de baiser cette fille avant mon rendez-vous avec Magali. Tout lintérêt du jeu était de la séduire, pas forcement de concrétiser. Cest la traque qui est palpitante, plus que la mise à mort.
-« Bon sang, jai pas vu passer lheure ! Il faut que je file. Je suis vraiment désolé. »
Léa le prend très mal :
-« Quoi ! Tu minvites à venir chez toi et puis tu changes davis. Cest quoi ce délire ! »
Jessaye de me justifier et je me sert une nouvelle fois de ce mon héritage imaginaire :
-« Je tassure, javais oublié cet autre rendez-vous. Cest très important, je ne peux malheureusement pas lannuler. Jaurais tellement voulu mieux te connaître » (comprendre visiter tous tes trous) «Malheureusement, je pars demain, mais on pourrait se revoir à Rennes ou à Paris ? Ce serez super
»
Léa est un peu calmée (mais frustrée). Nous échangeons nos coordonnées.
Je lembrasse. Je monte sur ma machine. Et je pars.
Arrivé à mon studio, je recopie les coordonnées de Léa dans mon calepin en précisant quelle rêve dune double pénétration avec deux hommes.
Cette fille nest pas terrible, mais on ne sait jamais, si je dois aller à Rennes elle pourra peut-être servir.
Fin du chapitre 11
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