On Ne Change Peut-Être Pas ? 5

Les jours passèrent, nous allions sur la plage, on bronzait, on faisait l’amour presque tout les matins et surtout chaque soir ! Nous allions manger tous les jours avec nos voisins avec qui finalement on s’entendait plus que bien et depuis le second jour nous avions pris l’habitude d’aller dans la boite du coin qui ouvrait assez tôt et se terminait … Tôt le matin !

Nous sommes le 4ème jour, je passe les jours précédents car il ne s’est rien passé qui pourrait-vous intéressez !

On à passé la journée sur la plage, je me suis e à aller dans l’eau… On ne sait comment mais la main de Nico s’est retrouvée dans mon entre jambe ! Il y avait du monde mais personne n’a rien vu !

Nous sommes allé manger avec nos voisins de chambre, je suis devenue super copine avec ma voisine ! On rigole sans cesse ! Et ce soir on s’apprête à sortir comme chaque soir.

Je prends ma douche, fais mes cheveux, je sais que Nico aime lorsque je les attaches donc je les attaches, que vais-je mettre ce soir ? J’ai envie de lui donner envie ! J’enfile un soutien gorge noir et un string noir, un string si petit qu’il porte bien son nom de « ficelle », je mets une jupe noir qui arrive un rien plus haut que mes genoux, flottante, et dessus… Que vais-je mettre ? Oh oui ! Mon haut décolleté à dos nu ! J’enfile mes talons noirs et vais dans la chambre car je sais qu’il s’est couché un peu.

Il est où ? Je fais le tour de l’appartement et lorsque je passe devant les toilettes je le vois à genou et je l’entends vomir…

- Ca va bébé ?
- Non… Répondit-il.
- C’est ce qu’on à mangés à mon avis !
- Je n’aurais pas du prendre du poisson…
- Bon bien, je vais me changer ! Ce soir on ne bouge pas !
- Va-y toi, ne gâche pas ta soirée parce que je suis malade. Me dit-il.
- Non, je ne pars pas sans toi !
- Tu seras avec les voisins, je vais me reposer, va t’amuser ! On est en vacance quand même.

Tenta-t-il de dire d’un ton sur.
- Je vais les prévenir, j’arrive…
- Ok…

Je sortis de la chambre et allais frapper à la porte de la chambre à coté, ma voisine ouvrit et je lui expliquai que Nico était malade mais qu’il voulait que j’aie avec eux, elle avait l’air désolée et me fit rentrer deux minutes, son copain me proposa à boire.

- Très jolie Mel ! Me dit-il en souriant.
- Merci ! Répondis-je en lui rendant son sourire.
- Prête pour ce soir ? Nico va devenir tout fou pendant la soirée !
- Il est malade…
- Mince, vous ne venez pas ? Dit-il d’un air déçu.
- Moi si, il ne veut pas que je reste avec lui…
- Il n’a pas tort dans un sens… Dit-il toujours déçu que son nouveau camarade ne l’accompagne pas.
- Oui, mais bon…
- Comment je vais attr les filles moi tout seul ? Dit-il en rigolant.
- Dit ! Dis-je en lui mettant une petite tape sur l’épaule.

Ma voisine arriva avec une boite de médicaments et me dit.

- Donnes lui cela, ça devrais lui faire du bien.
- Merci !

Je sortis et retourna dans ma chambre, il était sur le coté du lit avec une tête de déterré… Je tendis la boite en disant : « ca va te faire du bien ». Il l’a prit et releva les yeux vers moi.

- Waouw…
- T’es sur que tu ne veux pas que je reste ?
- Non, va t’amuser c’est mieux.
- Je veux être avec toi moi…
- Tu le seras en rentrant ma puce.

Il prit le médicament et je me mis à genou, ma tête était couchée sur ses jambes, il passait sa main dans mes cheveux et me dit.

- Si je n’étais pas si mal, j’aurais bien envie de te prendre…
- Si tu va mieux quand je rentre, tu me feras ce que tu veux…
- Ne me dis pas ça ! ah ah mais je n’oublie pas, tu me réveille si je dors !
- Ok bébé !

On alla s’asseoir à la table et je sortis la bouteille de tequila, il me regarda d’un air interrogateur et je dis alors.

- Bébé, déjà que tu ne viens pas avec moi… Alors je commence la soirée avec toi !
- Quelle délicate attention…

Je versai dans le verre et bu d’une traite, je tirai une drôle de tête qui le fis rire, j’en bu un autre et encore un autre, en fait j’espérais ne pas savoir me relever pour rester avec lui, mais les voisins arrivèrent et je du bien me faire à l’idée que j’allais sortir sans lui.
Alors que nous étions en direction de la boite, je regardais mes voisins qui se tenaient par la main, j’avais l’impression d’être une chandelle… J’avais un petit point au cœur, j’aurais aimé que Nico soit là !

On rentra dans la boite, on reprit à boire, je continuai sur ma lancée avec mes tequila, mon voisin me dit à l’oreille.

- Tu devrais stopper la boisson…
- Mais non t’inquiète pas je tiens bien !
- C’est nous qui devons te ramener après !
- Ne t’inquiète pas je te dis !

Ils partirent danser et je restai à la table, un mec m’accosta, je l’envoyais voir ailleurs et je ne pense pas qu’il reviendrait vu la froideur que j’avais eu à son égard… J’appelle le serveur et il me servit une vodka rouge red bull, je ne m’amusais pas… Je me sentais seule, on aurait dit une déprimée qui noyait ses peines dans la boisson ! Je regardais mes voisins, danser et s’amuser… Je voyais bien que de temps en temps ils jetaient un œil vers moi… Et puis mince ! Je me levai et rentra sur la piste, je commençai à danser et très vite je me retrouvais avec plusieurs mecs autour de moi, à vrai dire la plupart des gens étaient des couples ici, du coup une fille seule était leur cible idéal.

Je dansais, me donnais à fond, mes fesses effleurait leur sexe, mes mains passaient parfois le long de mon corps, je dansais collé, serré avec certains lorsque c’était du reggae ton, certains tentaient de m’embrasser mais je les repoussais, je faisais ma chaude et ça m’amusais de les voir baver comme ça.

Je repartis m’asseoir, avec mes talons j’avais mal aux pieds… Je les enlevai et mis mes pieds sur la banquette, un homme vint s’asseoir à coté de moi.

- Je peux vous offrir un verre ? Dit-il d’une manière difficile à comprendre.
- Non. Répondis-je froidement.
- Je vois que vous êtes seule, que votre verre est vide, je pensais vous faire plaisir.
- Je viens de le finir mon verre.
- Ah non, je vous ai bien regardé vous dansiez…

Je vis ses yeux regarder ma main qui frottait mon pied, ce que je faisais pour masser et faire passer la petite douleur et qui ne servait à rien.

Il prit mon pied de ses deux mains, je voulu refuser mais abandonna l’idée, il commença à me le masser, ça me faisais du bien et ne dis rien, il fit pareil avec l’autre, je le remerciai.

- Vous acceptez que je vous offre un verre en toute amitié à présent ?
- Allais… Oui…

Il commanda deux verres, on bu et discuta un peu ensemble, il s’était fait jeté par sa copine 3 semaines plus tôt et était venu ici avec quatre autres amis, ils l’avaient obligés à partir pour se changer les idées, il venait de Tunisie et il me montra une photo de son ex copine, qui était une très belle femme.

On partit danser ensemble, je ne faisais plus ma chaude, je m’étais calmée, ses copains arrivèrent et je dansais aussi avec eux, je m’éclipsai pour aller aux toilettes, avant de retourner vers la piste je me repris un verre de vodka, je repartis danser avec mes nouveaux amis et fit signe à mes voisins pour montrer que tout allait bien, mon nouvel ami me dit qu’il allait avec son copain fumer une cigarette dehors, qu’il revenait. Je décidais de l’accompagner.

On était dehors et on pouvait à présent mieux s’entendre, on discuta de tout et de rien, j’avais du mal à comprendre tout ce qu’il disait et ce que son ami disait aussi, il fallait déchiffrer mais je pouvais discerner de la tristesse dans sa voix.

Aller dehors me fit un drôle d’effet ! Je leur dit alors :

- On va se promener sur la plage ?
- Y a mes amis à l’intérieur.
- Allais, marcher dans le sable au bord de l’eau ça va me faire du bien ! J’ai peut-être un peu trop bu !
- Si tu veux…

On partit alors vers la plage qui était en face en vérité, avant de rentrer dans le sable j’enlevais mes talons, on marchait tranquillement dans le sable et je commençais a avoir la tête qui tournait, mon « ami » me rattrapa car je titubais, il me fit m’asseoir et ils se sont assis tout les deux, attendant que j’aie mieux.

Je soufflai un peu et puis tourna la tête vers eux et dit :

- J’ai l’air bête hein oui ?
- Non… Me répondirent-ils.
- Je crois que la boite c’est fini pour moi ! Dis-je.
- Je pense aussi. Dis le premier avec qui j’avais parlée.

Je m’approchai de lui et lui dis à l’oreille : « j’ai chaud », il fut surpris et me dit : « va dans l’eau », mais quel con, je me relevai tant bien que mal, ils me regardèrent tous les deux et je retira mon haut…

- Il fait chaud non ?

Le premier était surpris, le second se frottait les mains excité visiblement. Je détachai ma jupe et la laissa tomber, je me mis entre les deux et dit « je ne suis pas assez bien ? », le premier me dit « tu es saoule… » Le second lui passait sa main sur ma fesse…

- Fais comme ton copain… Dis-je en prenant sa main et la déposant sur mon ventre.

J’étais à présent en partie sur les genoux du premier et mes jambes sur celui du second qui lui passait ses mains sur mes fesses, mes jambes…

- Et ton copain ? Dis le premier.
- Tu le vois ? Moi pas !
- …
- Vous me baisez où vous vous dégonflez !?
- Moi je te baise ! Dis le second.
- Ok… Dis le premier.
- Les garçons… Prenez-moi violemment !

Je me mis à embrasser le premier, le second lui avait placé sa main sur le devant de mon string et s’amusait à frotter ma chatte à travers le string, je détacha son pantalon et je détacha ensuite celui du second, je leur fit signe de se lever et je pris leur queue en main, je les masturbais, je commença à sucer le premier, et passais parfois au second tout en tentant de continuer de masturber chaque fois celui que je ne suçais pas, le second cracha très vite, j’en ai partout, je m’appliqua alors sur le premier pendant que le second à genou à coté de moi continuer à jouer avec ma chatte à travers mon string.

Le premier se mit à cracher et j’avalai tout, il me releva et m’ôta mon soutien gorge qu’il jeta, le second s’était mis à coté de lui et ils me firent reculer de 2 pas pour bien observer ma poitrine, chacun vint prendre un de mes seins dans leur main et jouer avec et l’autre main plotait mon cul… J’étais toute mouillée, je le sentais !
Le second dit au premier : « elle veut qu’on soit violent… » Je tournai la tête lui souriant pour confirmer ce qu’il venait de dire et il m’attrapa par derrière et me jeta par terre, il bloqua mes mains au dessus de ma tête et avec son autre main arrache mon string, pas enlever non… Il était déchiré ! Il commença à me lécher la chatte et le premier lui se mit à genou à coté de moi et plotai fort mes seins, léchant mon coup…

Le second parlait dans leur langue et le premier répondu, je ne compris pas ! Le premier mis mes mains au dessus de ma tête écartées l’une de l’autre et les tenaient fort au sol, j’avais mal mais je continuais à m’excitée ! Le second ne me tenant pas, cracha sur ma chatte et enleva son pantalon, il poussa sa bite contre ma chatte forçant légèrement l’entrée humide et se coucha sur moi complètement, me faisant sentir tout son poids, il commença ses coups de reins qui durèrent un bon moment… Lorsqu’il eu fini, il mit sa bite à hauteur de ma bouche, je l’ouvrais et il fit quelque va et viens de dans pour nettoyer…

Le premier qui tenait mes mains vint se mettre à sa place, le second me tenait à présent les mains, le temps que le second les bloques bien, le premier était déjà en moi, me tenant par les fesses et mettant mes jambes sur ses épaules, ses coups de reins étaient beaucoup plus fort que ceux de son ami, son ami lui s’amusait à frapper mes seins, à tordre mes bouts, je criais de douleur et d’excitation… Il dura encore plus longtemps que le premier et lorsqu’il eu finit il se retira et se releva, il me tira par les cheveux et me fit le sucer…
Je restais à genoux par terre et il continuait de parler dans leur langue… Le premier dit : « tu veux continuer ? » et je répondis : « Vous pensiez avoir fini ? » Essoufflée... Le second pris la parole et dit :

- A 4 pattes petite pute !

Je me mis à 4 pattes et je sentis sa queue appuyer sur mon anus, j’avais mal et dit : « humidifie le avant… » J’eu pour réponse : « Tais-toi ! », il finit par rentrer petit à petit, les larmes coulaient de mes yeux et il commença ses va et viens me tirant par ma queue de cheval, me donnant par moment des fessées aux fesses.
- C’est une belle monture qu’on à là ! Dit-il en rigolant.

Il finit par craché tout dans mon cul, le premier arriva, ne dis rien et rentra presque d’un coup sec dedans, je criai de douleur, sa queue était plus grosse et il me prit par les hanches les serrant fort, le second lui s’assit devant moi, les jambes écartés et me fit le sucer : « Nettoie moi ça ! », le premier m’enculais à son aise, plus fortement mais plus lentement… La douleur et le plaisir était plus fort ! On s’entend bien que le premier lui tentait de m’apporter du plaisir et le second lui juste me baiser.

Lorsqu’il eu fini, il se retira et je m’écroulai, il me releva par les cheveux et me fit le sucer… Lorsque j’eu fini j’étais à bout de force, ma tête restait sur sa cuisse, ma bouche à coté de sa bite, il se releva et me laissa au sol, ils partirent un peu plus loin faire je ne sais quoi…

Lorsqu’ils revinrent, il était assis et parlait dans leur langue que je ne comprenais pas, ça à durer longtemps, 1h ? 1h30 ? Je sais que je n’ai pas bougée, du à la fatigue et l’alcool de toute ma journée…

Le second arriva à coté de moi et me tira par les cheveux jusqu’à la place qu’il était assis, il me fit me mettre sur ses genoux et commença à me fessée, il y prenait un réel plaisir, le premier lui n’en avais pas envie, il me fit me mettre à genou (le second) et commença à frapper mes seins, je recommençais à m’excitée… Etais-je de ce bord là ?

- T’as encore envie de te faire labourer comme une chienne ?
- Oui… Répondis-je.
- Demande-le nous gentiment comme une bonne petite pute.
- Baisez moi…
- Je n’ai pas envie demandé ainsi. Dit-il.
- Baisé moi comme une chienne ! Défoncé moi mes trous ! Dis-je d’une assurance que je n’ai jamais eue auparavant.

Le second se coucha et me fit monter sur lui, il rentra sa bite en moi et me coucha bien contre lui, le second, lui, arriva et me pénétrai par derrière, j’avais vraiment très très mal, je mis ma tête dans le cou du premier et le serrais fort en poussant des cris qui visiblement leur faisais effet, plus je criais, plus leur sexe durcissait dans ma chatte et mon cul.

Ils me prirent donc tous les deux en double pénétration, le premier qui était dans mon cul fini en premier, il se plaça devant moi et je le nettoyais, le second lui eu fini un peu plus tard et il me fit descendre à hauteur de son sexe, pour le nettoyer à mon tour… Ils se couchèrent et je ne su pourquoi je dis à ce moment là : « dommage que vos copains ne sont pas là ! », je n’eu pas de réponse de suite et le premier dit : « Ils étaient avec des filles, ils ne seraient pas venus », et on resta couchés…

Je ressentais que j’en avais pas eu assez et pourtant je sentais que mes trous en avait pris un coup ! Combien de temps plus tard, je ne sais pas mais deux de leur amis arrivèrent, ils parlèrent tous dans leur langue et s’assit sans prêter attention à moi, les deux qui m’avait baisé s’étaient rhabillés, j’étais la seule toujours nue et je n’avais ni la force, ni le courage de me rhabillée ! Le second dit alors en français : « regardez bien ! Hey petite chienne, tu te caresserais pas la chatte pour mes copains ? », je répondis : « oui », et toujours couchée je commença à me la caresser…

- Non viens ici…
- D’accord.

Je m’approchai d’eux et il me fit me mette à genou devant eux qui étaient assis, j’avais du mal à garder la position et je commençais à me caresser la chatte, me rentrer des doigts, un de ceux qui venaient d’arriver dit :

- Si je n’avais pas baisé juste avant, je me la serais bien faite celle là !
- C’est un bon coup. Dis le second.

Le dernier de leur groupe arriva, il tirait une drôle de tête, plus aucun me regardaient mais je continuais à me doigter, je ne sais pourquoi, l’alcool ? L’envie ?

- Qu’est ce qu’il y a Youss ? Dis un de ceux qui était venus par après.
- Je n’ai pas su m’en faire une seule !
- T’as vu ta gueule ? Répondis celui qui avait posé la question en rigolant.

Suite à sa phrase, je relevai la tête et le regardais, c’est vrai qu’il était affreux, le second le tira et le poussa vers moi en disant : « tiens fais toi plaisir ! », toujours entrain de me doigter je relevais les yeux timidement et le regardais… Il me poussa et je tombai en arrière sur le dos, il mit sa main sur ma chatte et commença à me doigter tout en m’embrassant, il détacha son pantalon et je sentis son sexe effleuré ma chatte, il se releva et me fit le sucer, il cracha tout dans ma bouche, j’avais jamais eu autant de giclé d’un coup !

Lorsqu’il eu finit il me fit m’asseoir sur ses genoux, face aux autres et commença à me doigter tout en disant : « vous avez vu les gars ! », les autres rigolaient et se régalaient du spectacle ! Je pense qu’il à du après un bon moment se sentir apte, il me fit me mettre à 4 pattes et me prit en levrette, j’étais dirigée vers ses copains, lorsque je les regardais je voyais bien qu’ils ne rataient pas une miette du spectacle, il cracha tout en moi et me fis le sucer… Il me laissa là par terre et le second dit : « encule là, elle aime ça ! », il me fit me remettre à 4 pattes et rentra sa bite molle dans mon cul, j’aurais pu dire que ça me chatouillais à la limite, mais je pense que mon cul ainsi que ce qu’il allait me faire à du l’excité car il se remit peu à peu à bander et à rentrer dedans…

Et il commença ses va et viens dedans, il avait tellement été défoncé que j’en criais des cris de douleur… lorsqu’il eu finit, il me fit me mettre à genou et sortir ma langue et il tapa avec sa bite dessus et puis il se rhabilla…
Je restais là, allongée, aucun réagissait jusqu’à temps que un me fasse signe d’aller près de lui, j’y allais et il commença à me toucher, puis je passa au second et au premier et je finis par me faire ploter par un qui ne m’avait pas encore toucher rien, il me fit me mettre sur ses genoux et il me fessa… Puis il écrit quelque chose sur mes fesses…

Ils partirent tous, sauf le premier qui resta assis à coté de moi, ne disant rien… Je mis ma tête sur ses genoux et je m’endormis un peu … Il me réveilla et me dit :

- Je vais te ramener…
- D’accord… Merci… Répondis-je.

Je me rhabillais alors, lorsque j’attrapais mon string, il était déchiré… Je le laissai là, mon soutien gorge aussi avait été déchiré… Je pris mon haut, un des mecs, je soupçonnais le second s’était essuyer la bite dessus… Il n’y avait que ma jupe qui n’avait rien, je mis ma jupe et le premier enleva son tee short pour le mettre sur moi… Je pris mes talons et on marcha, on ne discuta pas beaucoup et il me dit :

- Tu as aimée ?
- Oui… Répondis-je.
- J’aurais aimé que les deux autres ne passent pas sur toi.
- Pourquoi ?
- Parce que tu es quelqu’un de bien, on t’a fais trompé ton copain, mais eux ne pensent qu’à baiser, tu n’es qu’une fille de plus pour eux.
- …

Il me ramena à ma porte et je lui rendis son tee short, il regarda mes seins et sourit, un sourire un peu triste, il me fit la bise et il partit, je rentrais en faisant doucement, j’enlevais ma jupe que je mis dans le sachet de linge sale…

J’allai vers la chambre et me laissa tomber sur le lit, je m’endormis instantanément…

J’entendis : « Mel » en me poussant un peu le bras, j’ouvris tout doucement les yeux, Nico était à coté de moi, j’étais sur le ventre et il me dit : « c’est quoi ça ? », je répondis : « de quoi ? »

Il m’écarta les jambes, pour m’écarter le cul et je dis :

- Tu cherche à m’excitée ? hi hi

Et il gifla fort !

- Espèce de conne, tu as plein de trace de sperme sécher sur tes fesses, t’as fais quoi ?
- …
- Et ce chiffre, 5 ? C’est quoi ça ?
- …

Je mis ma tête dans mes coussins et me mit à pleurer, il se leva et sortit du lit, il en revint vite, il appuya sur ma tête qui cette fois regardait dans la direction de la place ou il était, il s’était placé derrière moi et il appuya sa bite contre mon cul et il la fit rentrer en forçant l’entrée, j’avais mal et il commença à m’enculer.

- T’aime bien te faire sodomiser hein ? Dit-il en donnant des coups de reins.
- Stp, Nico… J’ai mal !
- Tu lui as dis ça hier au garçon ? Continuait-il en donnant des coups plus forts.
- Pardon Nico ! Dis-je en commençant à vraiment pleurer comme un bébé…

Il eu fini vite, il se retira mais resta un moment derrière moi… Je l’entendis retirer sa capote… Puis le liquide coulée le long de mon cul, il le versait dessus… Il sortit du lit et de la chambre, je restai là, ne sachant pas quoi faire, ni quoi dire… J’aurais voulu disparaitre !

Il revint et me dit :

- Met ça et casse-toi !
- Nico, non !
- Va où tu veux, je veux plus te voir ! Toi et moi c’est fini, tu m’as entendu ? FINI !

Je m’étais redressée, il avait pris ma robe transparente, je la mis et partit vers la salle de bain pour mettre des sous vêtements, il m’attrapa par le bras et me jeta dehors en me disant : « t’es affaire seront prêt ce soir ! », je restai sur le palier, bête, ne sachant pas quoi faire et j’allai frapper chez les voisins, c’est le voisin qui m’ouvrit, il vit que j’étais mal et me dit :

- Mais tu étais où hier ? Et qu’as-tu ?
- …

Il me fit rentrer et m’asseoir, il me passa une couverture pour mettre sur moi, d’après lui la robe ou rien du tout ça ne changeait rien, je pleurais comme une madeleine.

Lorsque sa copine rentra, j’expliquai tout… Ils acceptèrent que je reste jusqu’à la fin des vacances avec eux… Je m’excusais mille fois à eux, ma voisine alla trouver Nico, elle revenus aussi vite… Il l’avait éjectée.

Le soir, mon voisin qui était à présent mon colocataire alla chercher mes vêtements, je repartis pour la énième fois de la journée me laver et me coucha sur le lit du haut, juste au dessus du lit double où ils dormaient… Ce soir là, ils sortaient et ils avaient compris que moi je ne voulais en aucun cas sortir, je me couchai dans le lit et je n’arrivais pas à m’endormir… Enervée, triste… Tout me tournait en tête.

Vers 4 heures du matin, j’entendais du bruit dans ma chambre, ou plutôt dans mon ancienne chambre, des cris, du plaisir ?! NON !

Je sortis de mon lit et de ma chambre aussitôt ! Et je commençai à frapper chez Nico, après un long moment, la porte s’ouvrit, Nico était là face à moi en torse nu et en boxer.

- Putain, tu fais quoi là !
- Je prends du plaisir, pourquoi ? Me répondis-t-il en souriant.
- Tu ne peux pas faire ça !
- Et toi tu pouvais coucher avec ces mecs hier ?
- Ces ?
- Oui, je suis au courant de tout et aussi du chiffre que tu avais sur tes fesses !
- …
- Tu veux peut-être savoir ?
- …
- Ton silence voudra dire oui pour moi, ils sont un groupe de 5, dedans il y en à un seul qui n’est pas comme les autres, torturés par les souvenirs de son ex, les 4 autres ne pensent qu’a baiser, il y en a que un qui est rejeté de toute les filles et qui est d’ailleurs toujours puceau tellement il est laid et ne sais pas parler, même une fille bourré le repousse ! les 3 autres baisent toutes les filles sans cesse, plusieurs par jour, le numéro 5 veut dire que tu as été la 5ème d’hier.
- …
- Heureusement que le barman sais et vois tout, je lui ai parlé et il m’a dit qu’il avait vu une fille de ta description partir avec le « gentil » et un de ses copains et vous avais plus revus…
- …
- Donc, tu ne peux pas me reprocher aujourd’hui de coucher avec une fille.
- Stp, excuse-moi. Dis-je.
- Trop tard, tu n’es qu’une pute, tu n’as pas changée d’avant !
- Espèce de… Et beaucoup d’insulte sortir, de méchancetés aussi.

Il ferma la porte et je me retrouva bête, je frappa dessus pour qu’il ouvre mais ne l’ouvrit plus… Lorsque je voulu rentrer dans « ma » chambre, je vis que j’étais bloquée, la porte s’était fermée derrière moi… Je refrappa chez Nico, et il finit après longtemps à m’ouvrir.

- QUOI ?
- Je suis bloquée dehors… Dis-je timidement, honteuse en baissant les yeux.

Il me fit rentrer et m’asseoir à la table, il s’assit mais ne me parlait pas, j’entendais la douche coulée, j’avais le cœur qui battait à 200 à l’heure, je ne voulais pas voir cette fille, mais la porte s’ouvrit… Une femme qui devait bien avoir 20 cm de plus que moi, de long cheveux noir, plus long que les miens, une poitrine qui n’était pas loin du E si ce n’était pas E, taille fine… Des yeux d’un bleu océan, elle me regarda étonnée et dit :

- Nicochou, qui est-ce ?
- Ma salope d’ex, elle est tellement conne qu’elle à laissée la porte de sa chambre se fermer derrière elle.

Je ne dis rien et baissa les yeux, elle s’adressa alors à moi.

- C’est donc toi qui accepte de te fiancer et qui ensuite va se faire sauter par plusieurs mecs… Tu fais pitié !
- …

J’en ramassai plein mes dents, la fille alla même jusqu’à dire que je ressemblais à rien… On frappa à la porte et c’était les voisins qui avait lu un mot que Nico avait mis à leur porte sans que je le vois, ils venaient me rechercher, je sortis sans rien dire… Une fois rentrés dans leur chambre, je fondu en larme dans les bras de mon amie, elle me fit m’asseoir sur le lit et s’assis à son tour, j’étais dans ses bras et elle me consolait, je finis par m’endormir dans ses bras…

Le lendemain matin j’étais dans le lit avec la fine couverture sur moi, son copain dormait sur le lit du dessus… Comment pourrais-je récupérer Nico un jour ?