Collection Anne Ma Muse. Sur Les Monts Du Jura. Le Père Julien (2/2)
Anne, ma muse, mavait quitté il y a quelques mois certainement pour vivre des moments intenses loin de moi.
Même les meilleurs couples font des breaks.
Nous avons renoué dans un plaisir commun.
Anne travaillait pour une entreprise de transports dans le Doubs plus précisément à Besançon où elle habite.
Comme chacun de nous, le moment du repos après une vie de labeur a été le bienvenu pour mon amie.
Repos au grand air bien quà Besançon son petit pavillon est bien agréable, mais lair pur des hauteurs du mont Jura est encore plus vivifiant.
Chalet quelle partage avec Pierre son ami, amant, presque mari, mais sans avoir franchi le pas pour cause des s de précédentes unions.
Anne tient aussi à garder une certaine indépendance un peu échaudé par son mariage et sa séparation.
Le chalet, ravitaillé par les corbeaux bien que le fils et le père Dubois à quelques encablures arrivent à pourvoir à la plupart de leurs besoins.
Hier nous avions quitté Anne alors quelle était venue faire du poney retrouvant les plaisirs de sa jeunesse à galoper ces années-là dans un manège.
Ici, cest dans la nature quelle se fait plaisir dans les étendues sauvages immenses autour de la ferme.
Aujourdhui, la montée dun orage et le début de trombe deau ont gâché son plaisir.
Trempée jusquaux os, après avoir bouchonné sa monture, le bien-être du cheval passant avant celle de sa cavalière, le père Lucien lui propose de venir se sécher et se réchauffer devant une belle flambée.
Nous retrouvons Anne qui vient de finir de donner du plaisir à Jeanne le poney, nous savons pourquoi un nom de femme pour un animal mâle.
Inutile de retourner le couteau dans la plaie.
Lorage persistant étant dans limpossibilité de remonter me changer, avec le risque de se faire foudroyer le long du chemin, le père Julien minvite à me sécher devant le feu qui brûle dans la vieille cheminée de pierre.
Comment fait-il pour membobiner avec mon expérience de la vie, mais je suis nue comme au premier jour de ma vie sauf ma petite culotte qui reste ma seule protection
?
Sans le moindre sans gêne, il me parle le sein comme sil palpait le cul dune de ses vaches dont jentends les cloches tinter non loin de la maison.
Ce quil y a de bien avec les vaches, cest quelles ont une précision de montres suisses fabriquées au-delà des monts du Jura.
À lheure de la traite, derrière leur chef, elles se présentent devant la barrière ou on doit les traire sans que quiconque de Lucien ou de Jules soit obligé de courir derrière elles.
Mes seins et sa main qui me brûle la chatte autant que les flammes crépitant devant nous.
Dis-moi, tas des cuisses bien fermes, certainement ta pratique de la marche tous les jours.
Je te vois partir pour de longues promenades, chaque matin.
Tas raison, il faut rester jeune.
Sans en avoir lair, sa main de mon sein a rejoint ma cuisse, il la caresse le regard porté vers le feu, ça mexiste au plus au point.
Prenant son mégot toujours fiché au coin de ces lèvres de sa main libre, il le balance dans le feu.
Je le regarde, cest la première fois que je le vois sans quil soit avec depuis que je le connais.
Cest à ce moment que je vois son pantalon de point dâge tendu à la hauteur de sa braguette.
Sa main sur ma cuisse, les flammes qui me chauffent à la limite de me bruler, le père Julien bandant, le manque de sexe à cause de lâge de Pierre, cest moi qui prends linitiative.
Lorsque jévoque lâge de Pierre, je suis gonflée, deux ans les séparent.
Il est vrai quen deux ans, tout le monde a beau dire, quà cet âge, cest jeune !
Je peux comparer deux ans à un tremblement de terre sur léchelle de Richter.
De 6 à 7, ça double la puissance et ça double les effets à la surface.
70 à 71, ça divise par deux les bras tendus de mon amant.
70 nous baisions comme des lapins, 71, à la limite de morne plaine.
Alors que dire de 72, le début du massacre.
Cest moi qui porte ma main vers cette bosse prometteuse.
Cest bien un sexe qui bande sous ma caresse.
Vous êtes toutes identiques, veux-tu la voir ?
Sans attendre ma réponse, sa main me quitte et il déboutonne son pantalon.
Il essaye de la sortir, mon dieu quel morceau.
Il est obligé douvrir sa ceinture pour que je ladmire dans toute sa splendeur.
Jen ai vu des verges depuis la première qui mest apparue dans mon adolescence.
Même celle de mon filleul devenu notre amant à Pierre ou à moi.
Mais là encore, il suffit de retourner lire ces épisodes de la salope que jétais dans la collection Anne ma muse, pour se rappeler que ce que je dis est lexacte vérité.
Comment dire ce qui me saute aux yeux, certes, une verge, mais longue grosse et noueuse comme lest mon bâton de marche trouvé au mont Blanc ?
Le mont Blanc lors de mes vacances, cest à son pied que je lai ramassé et ramené chez moi, bien loin du sommet.
Cest Pierre qui la façonné, jusquau vernis quil a appliqué.
Dès lacquisition du chalet, il sest retrouvé dans le porte-parapluie à lentrée.
Est-ce le feu, mon esprit ségare, mais la verge est bien là, alors peut-on me dire pourquoi je resterais inactive.
Je me laisse glisser, le père Julien écartant ses cuisses pour que je puisse venir magenouiller et ladmirer de plus prêt.
Après le devant de mon corps et ma chatte, cest mon dos qui ressent leffet des flammes.
Me suis-je posé la question dans les jours précédents sil me serait possible encore dadmirer un beau morceau de chair comme celui qui est déployé devant mes yeux.
Arrête de la regarder, jespère que tu sais comment quon sen sert.
Et comment que je sais, dans ma bouche et dans ma chatte, je la veux ?
Ma main pour commencer.
Je la branle retardant le moment que ma bouche sen empare.
Ai-je plus grands yeux que grande bouche, une telle verge aura du mal à entrer là ou je veux la faire entrer ?
Mais voulant croire que je peux y arriver, jécarte mes lèvres au maximum, hélas, le gland est si gros, que je dois renoncer.
Quimporte jai une langue très agile et qui sait monter et descendre tout au long.
Mes mains libres, je me sers de lune delles pour masturber le père Lucien pendant que lautre vient écarter ma culotte pour caresser mon clito.
Dans la situation où je suis, cest impossible, mais mes doigts sont si mouillés que je dois couler jusquà créer une mare sous nous.
Mare, jexagère certainement un peu, mais au moins une tache de cyprine pour mon plus grand plaisir.arrêter, je récupère ma main.
Ouahou, ces burnes sont de taille disproportionnée comparée à celle de Pierre.
Sans être une petite bite, les couilles que je palpe dépassent lentendement.
Pire que des balles de tennis alors que Pierre sapparente à du golf.
Inutile dessayer de les mettre dans ma bouche ce que je fais allègrement avec mon amant.
Met toi, à quatre pattes sur le banc que je te fourre à fond.
Jadore son langage châtié, je libère sa verge, maman ma dit, il y a bien des années que parler la bouche pleine, cétait incorrect.
Tu veux me prendre en levrette !
Vos mots savants pour vous faire baiser memmerdent, mets-toi comme mes vaches, leur pis pendant.
Limage est belle, bien que très réaliste.
Je mexécute pensant quil va traire mes seins sans grand succès depuis bien longtemps sil y cherche du lait.
Père Lucien attendez, on va se casser la figure, le carrelage est chaud grâce au feu dans la cheminée, jai passé lâge des châteaux branlants.
Je me glisse sur le carrelage, mes pieds dénudés avaient senti la chaleur et je suis à mon aise pour recevoir cette verge quun instant jai aperçue.
Là sil veut me traire, je suis à lui, mais cest sa langue se partage en mon clito et mon anus de longues minutes.
Et un moment je tourne la tête, il vient de faire descendre ses bretelles et enlever sa chemise.
Lhomme des bois se transforme en loup garous, lorsque je vois les poils sur son corps.
Je mattends à lattaque, mais cela dépasse mon attente.
Le père Lucien cherche son chemin quil trouve facilement, à mon âge ma chatte est largement plus large que la fois où je me suis fait dépuceler.
Il y a si longtemps !
Une vraie bête, mais une bête que je métrise, les hommes croient toujours quils nous dominent, mais cest nous qui avons le pouvoir de dire non.
Bien sûr, en dehors de certains malades prenant nos chattes pour des vides couilles.
Le père Lucien semble un peu bourru au premier abord, mais il paye pour être connu surtout quand-il se sert de sa verge.
Défoncée, je suis défoncée positivement, il me prend, me libère, me fait changer de position pour mieux me reprendre.
À quel moment mentraine-t-il sur la table mapportant un nouvel orgasme.
Orgasme un mot que jai souvent dit à mes amants le temps de ma splendeur et que je retrouve avec délice.
Je jouis à men faire péter mon utérus jusquà lexplosion finale, des jets de spermes incessants minondant.
Tu reviens quand tu voudras, tu es une bonne pouliche, jaurai toujours plaisir à te monter.
On voit que le père Lucien est un expert pour parler aux femmes, surtout quil remonte son pantalon remet sa chemise me cachant la forêt vierge.
Il remet ses bretelles.
Cest à ce moment que je me rends compte quil a gardé sa casquette sur sa tête tout au long de notre partie de sexe sauvage.
Jai encore ma joue et mes seins sur la table, dans notre folie sexuelle, le cendrier puant à mes côtés par chance, je lavais oublié.
Je vois sa main savancer et récupérer un mégot quil fiche dans le coin de sa bouche.
Sans aucun égare pour moi, il ouvre une porte et part vers dautres occupations.
Un dernier geste me montre lhomme quil est, dun mouvement de main, il remonte ses couilles.
Je finis par me rhabiller et cest bien difficilement que jarrive au chalet.
Je mattends à avoir des questions, comment sétait passé et où lorage.
Pierre est dans son fauteuil lui aussi devant un feu de bois, mais éteint un livre sur son ventre ronflant comme à son habitude.
Il doit rêver son pantalon semble jouer la toile de tente.
Jai ma dose pour ce soir surtout ma chatte dégoulinante encore du sperme du père Lucien.
Je monte diminuant le plus possible les craquements des marches et jentre dans la salle de bain, lieu qui ma fait décider à choisir ce chalet isolé plutôt quun autre.
Une baignoire centrale sy trouve.
Vu sa capacité et son poids, jaurais pu avoir des doutes de la retrouver à létage inférieur, mais cest là où Pierre a encore une grande utilité.
La baignoire repose sur une poutre maîtresse si imposante que les risques sont inexistants comparés au plaisir que jai à me détendre dans ces eaux bien chaudes.
Je vais faire comme Pierre, fermer les yeux et repenser à la verge qui vient de me défoncer.
Suis-je prête à retourner voir père Lucien, autrement que pour son lait crémeux ou ses carottes, radis ou autres salades ?
Ce quil y a de sûr, cest quil faut bien manger surtout après des parties de jambes en lair.
La suite nous le dira.
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