On Ne Change Peut-Être Pas ? 6

J’écrivais un mot à mes colocataires :

« Coucou, désolée pour hier soir, ne vous inquiétez pas je suis partie faire un tour et tenter de trouver une solution pour le récupérer et me faire pardonner ! »

Je partis faire le tour des magasins, j’achetai une robe noir, légèrement décolletée, dos nus et qui arrivais un peu plus haut que mes genoux et des talons noirs qui allaient avec, je devais le charmer à nouveau, je savais où il serait ce soir.

J’allai m’asseoir sur un banc ou je restais des heures durant, à réfléchir… Et rentra à l’hôtel, une fois arrivée là, je repris une douche car la chaleur m’avais fais transpirée, j’enfilai une petite robe d’été et me coucha, je m’endormis…

Un peu plus tard la porte s’ouvrit, c’était mon voisin, il vint près de moi qui était toujours à moitié endormie et il me dit : « Elle va te donner un coup de main ! » tout souriant, mes voisins allaient-ils tout faire pour nous aider à nous remettre ensemble ?

Il me demanda ce que j’avais fais la matinée jusqu’à maintenant et je lui dis, on parla de tout et de rien, il me dit que Nico était un chique type et qu’ils m’appréciaient tous les deux et voulait qu’on se réconcilie, puis il me dit :

- Je n’aurais pas ma copine, j’aurais surement fais comme ces mecs dans la boite…
- D’après Nico, je ne sais pas rester sans écartée les jambes…
- C’est possible, je ne sais pas… Dit-il un peu désolé de ne pas savoir m’aider.
- Dis… Lui dis-je.
- Oui ?
- Quand tu dis que tu aurais fais comme eux, je dois comprendre que tu aimerais coucher avec moi ?
- Malheureusement, oui !
- Pourquoi malheureusement ?
- Parce que j’aime ma copine, je l’ai beaucoup trompée au début, c’est vrai… Mais bon.

Je le regardai, je pris un moment de réflexion et releva ma robe.

- Saute-moi, je ne mérite quand même aucun respect !

Il resta là à regarder ma chatte, il ne savait que dire… J’enlevai tout ce que j’avais sur moi complètement et me mit jambe et bras écartés et dit :

- Si je ne peux le récupérer alors que les mecs prennent au moins du plaisir en moi… C’est peut-être la seule chose de bien que je ferais.

- Non. Dit-il.

Comment pouvait-il me dire non ? Je m’offrais à lui, lui qui avait dans le désir de me sauter… En plus il était gros et me plaisais pas ! Je mis ma main dans son short et il n’eut pas le temps de me l’enlever que je tenais sa bite en main, je la mis en bouche et en relevant la tête dit : « saute-moi. »

Il me coucha et il passa les préliminaires, il rentra sa bite en moi et commença à me baiser… Ça sortit très vite et il se redressa et partit me laver me laissant ainsi…

Je remis mes vêtements et 10 minutes après ma voisine revint en me disant : « il sera dans la boite ce soir, tu peux aller lui parler qu’il à dit à ce moment là qu’il à dit. »

La journée fut longue, très longue, au soir, je me lavais encore et encore et alors que je m’apprêtais à m’habiller, j’eu une idée, j’appelai ma voisine et lui expliqua, elle me dit que c’était un peu fou mais que si tel était mon choix… Je penchai alors mes fesses et elle écrivit dessus : « Nico, pardonne-moi, je t’aime et je te promets d’être toute à toi. »

Ce n’était pas un long roman, mais en même temps je n’avais que des petites fesses !

J’enfilai mes sous vêtements noir, ma robe noir et mes talons noir, assortis à mes cheveux noirs et mes yeux bleu je pense que ça m’allais bien ! Lorsque je sortis de la salle de bain, mon voisin me fit un signe du pouce, ma voisine me dit : « il va retomber fou amoureux de toi ! ».

On partit dans la boite et je ne bu qu’un verre, les garçons de la fois précédente n’était pas là et Nico arriva avec la fille… Je du prendre mon courage à deux mains pour aller le trouver, je savais quoi dire, je pris mon sac et fila vers lui.

- Coucou… Dis-je.
- Salut. Répondit-il d’un ton froid.
- On peut aller dehors parler ?
- Non, ici ou nulle part…
- On ne se comprendra pas ici. Dis-je avec insistance
- Tant pis répondit-il.
- Nico… J’aimerais te parler, je vais aller sur la plage, je t’attendrais là, si tu ne viens pas je sais que notre histoire n’auras plus de sens, je serais derrière le gros rocher, seul toi saura que je suis là… J’espère que tu viendras, juste pour m’écouter…

Et je partis, j’allai derrière le rocher, là ou personne ne pouvait me voir et je me mis un bandeau sur les yeux et m’attacha les mains dans le dos avec les menottes que j’avais pris soins de pas oublier, je suis restée ainsi pendant des heures, il ne venait pas… J’avais oublié un truc c’est que j’avais besoin de quelqu’un pour détacher les menottes même si la clé était dans mon sac il m’aurait fallu du temps pour y arriver toute seule !

- Que fais-tu attachée et les yeux bandés ? Entendis-je.
- Nico ?
- Oui…
- Je mérite ta haine, je mériterais d’aller en enfer pour ce que je t’ai fais, alors je préfère me punir toute ma vie…
- Tu es vraiment bête !
- Pardon Nico ! Frappe-moi, pisse-moi dessus, baise moi et laisse moi ainsi, offre moi à qui tu veux… Mais stp, accepte que je sois sincère dans mes excuses…
- Tu es malade Mel.
- Hein ?
- Tu ne sais pas te passer de coucher…
- C’est vrai…

Il fit glisser les brides de ma robe le long de mes bras et dégrafa mon soutien gorge en abaissant un peu plus mon petit décolleté, « ils vont me manquer » … Dit-il surement en regardant mes seins.

- Nico, ils sont à toi, je suis à toi.
- Tu ne l’es plus… Je t’aime et je souffre de ce que tu m’as fais…
- Nico…
- Oui ?
- Tu ne veux plus de moi ?
- Non…
- Tu sais que je suis sincère quand je m’excuse au moins ?
- Oui, ça oui.
- Je peux te demander une dernière chose et après notre voyage tu ne me verras plus et je ne t’ennuierais plus, promis.
- Dis toujours.
- Fais-moi une dernière fois l’amour.
- Non.

Il refusait même de me faire l’amour ? Je n’existais plus pour lui ! Il alla dans mon sac et détacha mes mains, il me retira ma robe, mon soutien gorge et mon string, il me rattacha les mains dans le dos et me fit me rassoir…

- Que fais-tu ? Dis-je.
- Je ne sais pas… Je perds la tête.
- Je dois te montrer quelque chose.

J’essayais de me redresser mais bascula en avant, mon cul était en l’air vers lui et il lisait à présent le mot.

- Qu’attends tu que je te dise ? Me dit-il.
- J’aurais aimée que tu me pardonnes.
- Jamais !

Il me redressa et me coucha sur le dos, je l’entendis mettre une capote et il me pénétra par devant, il n’y avait aucun amour dans son acte, lorsqu’il eu fini, il me retourna, il retira sa capote et remit une autre, il força l’entrée de mon cul, qui ont doit bien l’avouer avait vraiment ramassée beaucoup sur peu de temps…

Et il commença ses va et viens, lorsqu’il eu fini, il me mit sur le ventre, couchée dans le sable et releva bien mon cul, il prit la capote et versa le sperme dedans, il prit l’autre et versa le sperme dedans aussi, j’en sentis couler un peu le long de mes jambes… Et il me mit quelque chose dans le cul bloquant l’entrée ou la sortie, à vous de voir… Il détacha mes mains et me dit : « rhabille-toi »

Il me fit mettre mes sous vêtements en main et repartir sur la digue, là où nous croisions des gens, il y avait un café ouvert, il nous fit aller là avec ce truc dans le cul, il prit son temps, ne parlait pas beaucoup et on rentrait vers l’hôtel, une fois arrivé la bas, il ouvrit la porte de sa chambre et me fit rentrée à mon étonnement, je restais debout et il revint avec un petit miroir, il me fit relever ma robe et il me montra ce que j’avais dans le cul : un bouchon d’une bouteille de vin.
Il se remit face à moi et me fit m’asseoir avant de s’asseoir à son tour.

- Mel, on va parler sérieusement.
- D’accord… Dis-je.
- Je t’aime et je meurs sans toi, mais je ne peux pas continuer ainsi…
- Je sais…
- Serais-tu capable de ne plus avoir d’écart ?
- Oui…
- Je n’ai plus confiance en toi, mais je ne peux plus me passer de toi, que propose-tu pour que je puisse te faire confiance et être sur que tu te fais pas sauter par d’autre ?
- Une ceinture de chasteté ?
- Ca existe ?
- Oui…
- Ce que je ne te dis pas, c’est que je veux que tu viennes vivre avec moi… Tu me laisserais te la mettre lorsque je pars et l’enlever quand je reviens ?
- Oui, si je dois faire ça pour avoir ta confiance…
- Ca ne me plaît pas ! Me dit-il.

Il réfléchit et dit :

- J’ai trouvé ! On va mettre des règles.
- Oui, je les accepterais toutes !
- Règle n°1 : tu ne porteras jamais d’habits à la maison !
- Promis !
- Règle n°2 : T’es orifices seront toujours à ma disposition !
- Ils sont à toi !
- Règle n°3 : Quand je rentre du boulot tu m’attends à 4 pattes pour que je te sodomise et extérioriser ma journée de travail !
- Oui !
- Règle n°4 : Tu me suceras le matin au réveil et parfois je me réveillerais avec ma queue déjà dans ta chatte.
- Avec plaisir !
- Il y en aura d’autre mais ils ne me viennent pas à l’esprit !
- Je les accepterais tous.

Il regarda sa montre et ajouta.

- D’ici la fin de nos vacances, nous ne sommes plus ensemble, tu as voulu t’amuser, continue jusqu’à la fin des vacances et je ferais pareil.
- Mais… !
- Il n’y a pas de mais, tu veux qu’on reparte à 0 ?
- Oui…
- Alors profite de ces derniers jours de célibataire. Dit-il en faisant un clin d’œil.
- …
- Tu peux revenir dormir ici, mais je te préviens, une fille va arriver tout à l’heure à toi de voir…
- La même que l’autre fois ?
- Non un autre…
- Je pense que tu devrais en profiter, car après tu n’es pas sérieuse tu pourras me dire adieu !
- D’accord, j’ai bien compris le message…
- Tu peux aller dormir dans le lit un petit peu si tu veux…
- Nico ?
- Oui ?
- J’ai envie de toi…
- Je me réserve pour la fille.

Et il partit se coucher dans le divan, je partis dans le lit et m’endormis, il me réveilla, je partis me laver et alla vers lui, il me fit comprendre que je devais partir.

Il me fit une bise sur la joue et me reconduis dehors… Je frappai à la porte à coté et le voisin m’ouvrit.

- Tu as l’air bien, mais triste… Tu peux m’expliquer ? Me dit-il.

Je lui expliquai tout ce qui s’était passé, il me servi un café et me dit :

- Donc tu es libre de coucher avec qui tu veux ?
- Oui…
- N’hésite pas alors !
- Tu cherches à me faire comprendre quelque chose ?
- Non, rassure toi, je ne vais pas te demander pour coucher encore avec moi.
- Ça ne m’aurait pourtant pas étonnée… Dis-je.
- Ne le prend pas mal… Mais je ne t’ai pas vraiment trouvée génial.

Ça y est, il m’avait vexée ! Je restai sans voix et me leva, je voulu dire quelque chose mais ne su le dire !

- Ne t’énerves pas, je sais que tu n’étais pas bien.
- Pas génial ? Dis-je en m’approchant de lui énervée.
- Euh calme-toi… Dit-il en reculant.
- Je suis toute à toi, tu va voir que personne ne dit que je ne suis pas génial !
- NON ! Cria-t-il.

Je fus surprise et m’arrêta net…

- Ecoute, j’avais envie de coucher une fois au moins avec toi… C’est chose faite, ma femme sera pas contente de savoir pour une fois alors imagine deux !
- Et qui te dis que je ne vais rien dire ?
- Tu ne ferais pas ça.
- Tu serais étonné ! Dis-je d’un ton assuré.

Nico voulait qu’on ait nos propres expérience chacun de notre coté ? J’allais le lui faire regretter…

- Tu ne diras rien hein ?
- Dans ce cas, prend moi ! Dis-je en m’approchant de lui.
- …

Je pris sa main et la fis passer sous ma robe, il avait sa main sur mon sexe, je déposais mes mains sur la table et me soulevais pour m’asseoir dessus, je relevai ma robe, il pouvait voir mon sexe, nu… Je vis son short grossir, il mit sa main et commença à palper ma chatte, et ses doigts s’insérèrent très vite ! Pour ce qu’il avait été vite la première fois au lit, je trouvais qu’il avait un bon doigté ! Je me laissai aller un peu en arrière, ma tête pendait en arrière et son autre main était à présent sur mon sein qu’il pelotait à travers ma robe.

Je me redressai et abaissa un peu son short, je le masturbais pendant qu’il continuait à me doigter, il vint vite vers moi et rentra sa bite, il se retira et partit me laissant ainsi, il revint avec une capote sur son sexe, il s’inséra à nouveau et fit ses va et viens… Il finit encore une fois assez vite, il se retira et alla prendre une douche, lorsqu’il en sortit, il me dit qu’il allait faire un tour, il s’apprêta et partit.

Je décidais d’aller prendre une douche moi aussi, je rentrais dans la salle de bain et laissa glisser ma robe, elle était crade… Je laissai couler l’eau le long de ma peau, je me savonnais, je restais longtemps dans la douche… Je m’essuyais un peu les cheveux, je savais qu’ils allaient avoir un effet crollé si je les essuyais pas complètement et mis une serviette autour de moi, je sortis de la salle de bain pour aller prendre de nouveaux vêtements.

Là, je vis ma voisine, aussi surprise que moi de la voir !

- Que fais-tu là ? Me dit-elle.
- Ben, je dors ici…
- Oui, mais la nuit passée tu n’étais pas là ?

Je lui expliquai tout depuis le début, elle fut un peu étonnée et je dis.

- Il veut donc que j’aie me faire baiser à gauche à droite…
- Je ne dirais pas cela ainsi. Me répondit-elle.
- Dis ?
- Oui ?
- Tu n’aurais pas envie de jouer un peu avec moi ?
- Tu appelles quoi jouer avec toi ?

Je laissai tomber ma serviette et me mit à genou devant elle.

- J’obéirais à tous tes ordres, mon corps t’appartient.

Elle se mit à rire aux éclats, ce qui fut vexant ! C’était vraiment la journée... Elle mit sa main sur mon visage et me dit :

- Avec plaisir !

Surprise ! Vu sa réaction précédente je pensais qu’elle allait m’envoyer voir ailleurs… Elle me fit me coucher dans mon lit et m’attacha avec des draps les mains au barreau, elle me mit un drap autour des yeux et m’enduisis de chocolat tout le corps… Elle commença à passer avec sa langue sur mes pieds… Léchant bien partout et remontait le long de chacune de mes jambes, prenant bien son temps et frôlant à chaque fois ma chatte… Elle savait comment m’émoustiller !

Ce fut ensuite autour de mes mains, chacun de mes doigts rentrés dans sa bouche qu’elle suçait avec application… Elle remontait le long de mes bras et allait dans mon cou… Elle m’embrassa, baisé que je lui rendis avec plaisir… Elle passa de l’autre coté du cou et redescendis le long du bras et fini par sucer les doigts de mon autre main…

Elle vint ensuite sur ma poitrine, attardant sa langue sur mes petits bouts… Descendant sur mon ventre pour enfin arriver à mon entre jambe qu’elle dévora complètement, jouant avec sa langue à l’intérieur le plus loin possible qu’elle pouvait !

Elle sortit ensuite du lit et revint… Elle passa sa main sur mon sexe, le caressant, y rentrant de temps en temps des doigts mais très vite elle y mit contre un glaçon ! Ce qui me fit sursauter et frissonner, elle le frottait bien contre ma chatte, et elle le rentra ensuite… Elle fit cela avec un second et un troisième… Elle me retourna et me mit une gifle sur ma fesse droite…
Elle continuait à jouer avec les glaçons, mais cette fois sur mon petit trou… Je ne sais comment, mais elle arrivait à les rentrer dedans aussi… Cinq au total !

Je n’en pouvais plus… Elle me détacha les mains et m’enleva le drap des yeux, elle me fit me mettre à genou devant elle, j’avais les glaçons de la chatte qui avait fondu et ceux de mon cul pas encore tous… Elle me présenta son pied et je commençais à le lécher, à m’appliquer… Elle me redressa et me dit :

- Il y a un truc que j’ai toujours voulu essayer !
- Essayons-le alors ! Répondis-je avec le sourire.
- Tu es certaine ?
- Oui !

Je disais oui, sans savoir de quoi elle parlait… Elle détacha son pantalon et l’abaissa, son string suivis et elle se mit à 4 pattes, j’avais compris… Je me mis derrière elle et commença a jouer avec ma langue sur son anus… Elle avait l’air d’y prendre du plaisir… Lorsque ce fut assez pour elle, elle se remit en position assise… Elle me fit m’asseoir sur ses genoux et m’écarta les jambes, elle me doigtais à présent, s’appliquant… Je me laissais allée !

- Tu as envie de baiser, toi ! Me dit-elle.
- Oui… Répondis-je.
- Ça te dis que ce soir je te trouve un mec ?
- Si tu ne le fais pas, je le ferais moi… Mais ce soir je retourne dormir à coté.
- Je sais, mais tu n’es pas obligée de coucher dans la chambre d’à coté, y a d’autres endroits.

Elle cessa de me doigter et me relâcha.

- Oui, c’est vrai ! Dis-je.

On partit prendre notre douche ensemble… On se lava mutuellement et puis on ouvrit mes valises pour voir ce que j’allais mettre. Elle sortit un ensemble de sous vêtement string et soutien gorge bleu électrique en me disant : « ils sont magnifique ! », et vis la robe transparente, mais je lui dis qu’elle était sale… Elle partit la lavée à la main, j’enfilai pendant ce temps là mes sous vêtements et j’attendais… Elle mit la robe sur le balcon, la chaleur la fit très vite sécher et je l’enfilai… Au final, que je sois en sous vêtements ou avec la robe çà ne changeais pas grand-chose… J’enfilai mes talons blancs et elle me dit :

- Tu es prête !
- Oui.
- Tu veux quoi comme mec ce soir ?
- C’est toi qui vois…
- Un ou plusieurs ?
- Je te laisse choisir…
- Ok ok…
- J’ai juste deux truc que j’aimerais que tu fasses ! Me dit-elle.
- Lesquels ? Demandais-je.
- Quand tu arrives, tu danse d’entrée et un mec doit te doigter pendant que vous danser, et on doit bien le voir…
- Euh… Je peux essayer… Et ensuite ?
- Tu l’emmène dans les toilettes et tu le suces jusqu’au bout.
- Ça je suis capable !
- On verra. Me dit-elle.

Et on partit vers la boite, son homme était rentré entre temps mais n’avait pas voulu nous suivre.