Le Visiteur

Ce type avait un je ne sais quoi de bizarre. Il avait téléphoné demandant à voir Serge pour une histoire de bureau et était arrivé très rapidement après à la maison pour prendre je ne sais quel papier. Déjà que j’étais énervée depuis ce matin, c’était pourtant dimanche mais, malgré que je me sois faite câline pour lui plaire et essayé de le faire bander, Serge avait fait comme s’il ne voyait pas, même le nettoyage avec un string très convaincant n'y avait rien fait, impossible de le faire bander. Pourtant d'habitude, il ne résistait pas longtemps à la vue de ma croupe outrageusement offerte. Pire il m’avait cherché en m’accusant de négligence dans ma cuisine jusqu'à ce que je me mette en colère.
C'était un de ses trucs préférés, il attendait que je soit hors de moi puis il me coinçait contre le mur, la main baladeuse soulevant ma jupe à la recherche de l'élastique de la culotte puis, quand il avait atteint son but il me titillait la minette pour la faire pleurer de désir avant de me prendre comme un cosaque…
Mais aujourd'hui je n'avais pas eut droit à la fin du traitement. Enfin, ce n’était pas mon jour et en plus ce type qui s’éternisait dans le salon en train de lire je ne sais quel papier ! C’est en apportant le café que je m’empourprai en entendant mon mari. Il était en train de raconter à son compère comment il m’avait fait tripoter par deux gus dans un cinéma porno ! Et en plus, il n’avait rien trouvé de mieux que de sortir la mallette dans laquelle il rangeait nos magazines cochons et ils étaient scotchés tous les deux sur les images de chattes remplies de queues ! Et je l'entendis soudain sortir:
-Regarde tu vois elle aussi a de belles cuisses..
J’étais suffoquée et je me réfugiais dans ma cuisine rouge de honte en regrettant de m'être habillée aussi courte aujourd'hui tout en tendant l'oreille à leurs propos.
En fait, le seul bruit que j'entendis fut celui de leurs pantalons tombant par terre et l'instant d'après, ils se pointèrent tout les deux devant moi le cul à l'air, leur grosse queue se balançant lourdement commençant à se frotter contre mes cuisses, remontant les légers pans de ma minijupe…
J'essayais d’échapper en me tortillant à la main de mon homme qui avait pris possession de mon sein dans le corsage, le tendant vers le visiteur.

Mais son compère sans se démonter se serra contre moi et sa grosse main poilue passant sans façon sous le tissu, il pris possession de l’autre mamelon le malaxant doucement. Sa main était très douce et je me calmais un peu impatiente que j'étais depuis ce matin de tendresse. Je les laissant défaire les boutons assoiffés qu’ils étaient de m'exposer pour venir sucer mes tétons excités
C’était donc pour ça que je n’étais pas arrivée à le faire bander ce matin, il se réservait pour pouvoir m’offrir à son copain ! Les tripotages au cinéma ce n’était pas assez. Depuis le temps qu’il me disait qu’il aimerait bien me voir jouir avec une autre queue dans ma chatte, il avait osé !
Ils m’avaient coincée entre eux deux et ma petite culotte ne résista pas longtemps à leur assaut même si je serrerais les cuisses pour les empêcher de passer, on a sa dignité tout de même, mais comment résister à deux brutes pareilles en plein rut et oubliant ma belle résolution de l'instant précédent, je tendis une main de chaque côté afin de saisir les deux hampes qui se balançaient lourdement répandant une forte odeur de mâle dans la pièce et je me laissais entraîner sur le canapé ou je ne tardais pas à me retrouver écartelée, une jambe en l'air et l'autre au sol, exposant mon antre aux doigts velus de l’inconnu qui ne se fit pas prier triturant mon clito en sachant bien le salaud que j'allais rapidement devenir une chienne. Ayant pu saisir la bête, j'essayais de le faire cracher pendant que mon mari installé dans le fauteuil devant nous se branlait frénétiquement en extase devant la scène qu'il désirait voir depuis si longtemps.
Las, comment résister à de pareils assauts. Cette queue inconnue qui palpitait contre mon ventre,
à la recherche de ma vulve toute mouillée de désir. Je me senti resserrer les cuisse autours de son corps, m'ouvrant devant cette visiteuse que je désirait tant maintenant et quand enfin je la sentie s'introduire entre mes poils à la recherche de mes lèvres baveuses de cyprine, les écartant impétueusement pour enfin prendre possession de ma petite minette je me mis à gémir doucement.
Il me bourra comme une reine, me pénétrant de grands coups de butoir et quant je le sentis se raidir, je me mis à crier, emportée par le désir en sentant les giclées de foutre chaud qu’il envoyait dans mon antre affolée.
C’est en refaisant surface que je vis les yeux hallucinés de Serge installé entre mes cuisses, fixant ma foufoune toute poisseuse de sperme, c’était donc pour ça qu’il m'avait fait prendre par un autre, c'était pour me voir salie, la chatte exposée de sperme dégoulinant. Ses doigts glissaient doucement dans le liquide visqueux, écartant et refermant les deux lèvres poisseuses, titillait le clito
Finalement, il recherchait le sperme de l'autre sur mes grosses lèvres poilues, il ne s'enfonça pas tout de suite au fond, non, il se mit à promener doucement son gland entre mes poils dégoulinants du jus de son copain, le sortant et le rentrant doucement pour qu’il ne s’excite pas trop vite, il frotta son mat tout le long de ma fente pour pouvoir bien imprégner toute sa queue du sperme de l’autre mais il ne pu résister davantage au désir qui le tenaillait depuis si longtemps de goutter enfin la semence d’un autre comme le faisaient les femmes avec tant de plaisir.
Sortant sa queue de ma tanière, il se pencha entre mes cuisses en les écartant au maximum, scotché sur le rubicond odorant de foutre et tendant d’abord doucement sa langue pour en récolter quelques gouttes, il s'installa entre mes cuisses et se mit à sucer avec délectation tout le sperme que l’autre mâle avait craché, rentrant sa langue dans mon petit trou le plus loin qu’il pouvait afin de na pas en perdre une goutte. Et ce ne fut que quand il m’eu bien nettoyée de la semence de son partenaire qu’il se coucha enfin sur moi la bouche toute odorante de sperme et m’écartant les cuisses et forçant mes lèvres, il m' introduisit sa langue gluante de foutre en même temps que sa hampe me remplissait enfin de grands coups de son buttoir.

Ecrivain.