Je Suis Bisexuelle ?
Jhésite entre un homme ou une femme. Je sais comment obtenir du plaisir depuis 5 ans passé. Je sais
que tous les gens se mettent au moins à deux pour faire lamour. Moi, je me contente seule, mes
doigts me suffisent, mes doigts et un gode. Ca paraît sans doute bizarre que jai un gode: quand
jai eu 16 ans, je décidais de me rendre femme toute seule. Il est certains légumes, même si on ne
les aiment pas pour manger qui servent souvent. Je me suis servi dun concombre: javais les jambes
bien écartées: jétais toute mouillée à lidée de ce que jallais faire. Quand jai posé le bout du
légume sur lentrée de du vagin, jai hésité longtemps pour finalement me le mettre en entier. Jai
eu mal quand il entrait pour ensuite ressentir un plaisir différent, sans arriver à jouir.
Jétait libérée dun poids: jétais devenue une femme. Plus tard, jai eu des contacts nombreux avec
une copine, au prénom un peu ridicule, dAlbertine. Au début nous ne faisions que parler, parler de
nos jouissances solitaires nous excitaient tant quil a fallut quun jours nous échangions nos
caresses.
Je me souviens encore de notre première fois, dans sa chambre, un après midi dété. Nous étions peu
vêtues. Elle sétais assise en tailleur sur le lit, la jupe relevée, sans culotte. Elle me montrait
tout son sexe,
- Regardes bien comment je fais.
- Tu veux que je te montre comment je fais aussi ?
- Non, tout à lheure.
Elle posait sa main sur son clitoris, avec deux doigts, le majeur et lindex, elle frottait son
petit bouton. Je la voyais se pencher en arrière et ses doigts sagitaient de plus en plus vite
jusquau moment de sa délivrance. Elle me semblait sonnée, jusquau moment où moi aussi je portais
mes doigts dans mon intimité. Cétait différent de ce quelle se faisait: je me servais et me sert
toujours de lindex, du majeur et de lannuaire réunis pour que le bouton soit caressé plus
longtemps.
brume de lorgasme jacquiesçais. De ce jour nous avons commencer une relation que certains
qualifient damoureuse, alors que lamour sinon physique nous est totalement étranger.
Cest moi qui lai dépucelée. Nous avons fait tout ce qui est possible entre filles, surtout ce qui
donne du plaisir. Un jour, en plein délire sexuel elle ma faite jouir avec notre gode légume. Je
lui demandais de me le mettre aussi dans le cul. Albertine y arrivait et je trouvais aucun plaisir à
avoir de sacré concombre dans le cul.
Le temps passant, je suis allée en vacance chez une tante à la campagne. Jai passé les premiers
jours à me
..er copieusement, jusquà larrivé de mon cousin. Il avait 5 ans de plus que moi, il
était bien bâti, en plus beau comme une statue.
Entre nous est passé un brin dattirance. Comme ça dun coup jai eu envie de lui. Comme une
imbécile je le lui disais. Je soir il est entré dans ma chambre pendant que je me déshabillais.
Il na pas attendu, il est venu membrasser. Jappréciais sa langue dans ma bouche, comme ses mains
sur mes seins. Je pensait quil allais me mettre son sexe dans le mien. Jen étais déçue, sauf que
cest sa bouche qui est venue me soulager et de quelle façon. Il me léchait bien mieux quAlbertine.
Disons que sa façon de faire était tellement différente quil me faisait jouir facilement. Il
poussait le vice jusquà mettre sa langue sur mon anus. Jusque là, cétait agréable. Je craignait un
suite négative. Quelle surprise quand sa langue est entré dans le cul. Il lenfonçait de la moitié
au moins, la faisait aller et venir. Je sentais ce nouveau plaisir monter en moi de mon ventre à ma
tête: je jouissais.
Il est venu sur moi ensuite, je savais où il voulait aller, jécartais les cuisses. Avant dentrer
il a caressé lintérieur des cuisses, moins bien quAlbertine, et sa bite est venu remplacer le
concombre.
Quelle différence, javais un organe chaud dans le ventre, un organe qui me semblait vivre sa vie
seul. En plus quelle plaisir il me donnait. Je le sentait en moi quand il allait et venait. Je lai
senti encore mieux quand son sperme a giclé dans mon ventre. Jai jouis quand jai senti ses spasme
dans sa queue.
Pensant que cétait fin, jétais sur point de me détacher de lui. Il na pas voulu. Il ma mise sur
le dos dabord, puis en levrette. Jai eu encore peur tant je craignais quil moblige à me faire
sodomiser. Cest pourtant ce quil a fait: avec tant de gentillesse et de persuasion je lui ai
laissé mes fesses. Il ma demandé de mouiller lanus avec la cyprine en me caressant avec. Jai fait
comme il, demandait, sauf que jétais en train de me masturber le cul avec deux doigts dedans, ce
qui nétais pas désagréable du tout et que je fais régulièrement.
Ensuite il est venu sur moi. Il a tout dabord pris les seins dans ses mains, puis le clitoris où il
rencontrait ma main. Ainsi mon clitoris était branlé à deux mains, dun homme et dune femme.
Jai pris sa bite pour la placer sur le cul. Quelle bonne impressions que de tenir une bite qui va
vous transpercer un nouvel endroit.
Je sais que jai mal quand son gland est passé et quen suite jai éprouvé du plaisir, mieux quavec
sa langue. Tellement mieux que jai joui 3 ou 4 fois.
Chaque soir nous passions au moins deux heures dans ma chambre: il me racontait des histoires où la
dame aimait le preux chevalier, autrement dit nous baisions.
Il est parti avant moi. Jétais seule et je me posais des questions sur mes tendances sexuelles:
Est-ce que je préfère les filles ou le hommes. Aujourdhui encore, je nai pas la réponse: je suis
bisexuelle, simplement.
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