Mon Tribut À M... (2e Partie)

Après ce premier épisode coquin, j'attendais avec appréhension le moment de la revoir, craignant, si je hâtais nos retrouvailles, de me montrer trop insistant. Mais, comme nous pratiquions tous deux le Judo dans le même club, à raison de 2 cours par semaine, je savais que nous nous reverrions bien assez tôt. Le cours, ce jour là, fût une véritable mise à l'épreuve pour moi: elle me salua comme à l'accoutumée, se comporta exactement comme d'habitude, et moi, calquant mon attitude sur la sienne, je m'efforça de tenir au mieux ma partition de "normalité". Je passais une bonne partie de l'entrainement à me demander ce qu'il se passait: regrettait-elle de s'être offerte à moi ainsi?
Bref, j'étais dans l'expectative, et je n'entrevis la lumière qu'au moment des Randoris (combat d'entrainement). Elle me choisit pour partenaire, et, une fois le combat commencé, lança la conversation:
"-Tu as su tenir ta langue. Je suis fière de toi!" me lança-t-elle avec un sourire
"-Tu peux, surtout que je ne savais même pas qu'il fallait que je la tienne!"
"-Oh, t'es mignon comme tout lorsque tu as cet air un peu ronchon! Tu me raccompagnes après le cours?".


Nous discûtames beaucoup, ce soir là, sur le chemin du retour et chez elle après. En fait, cette soirée fût, au même titre que nos galipettes du dimanche, un élément fondateur de notre relation à venir. Nous ne pouvions être un couple, de par notre différence d'âge (nous craignions bcp le regard que nos familles et nos proches pouvaient avoir, sur elle en particulier), mais nous n'avions ni l'un ni l'autre envie de redevenir de simples bons amis (notre petit jeu du dimanche et ses conséquence nous avait beaucoup trop plut pour cela!). Nous nous verrions donc publiquement en tant qu'amis et discrètement, pour nous adonner au plaisir de la chair. Bref, nous voulions nous donner du bon temps sans contrainte, être des amis partageant le lit lorsque l'envie s'en fait sentir.

Et les mois qui vinrent me démontrèrent que nous avions eu milles fois raison de prendre les choses ainsi.

Au moment de partir de chez elle ce soir, elle me glissa sur le pas de la porte:
"-Au fait, tu n'as pas cours demain après midi? Tu me dois une revanche pour dimanche!
Mais pas de course-poursuite cette fois ci, je choisirais autre chose! Viens à 14h."

On a pas idée de la longueur qu'une matinée de cours peut sembler avoir... Quatre heures? Une éternité plutôt! Mais la cloche finit par résonner. Une fois sorti du bahut, je filai chez moi.Je pris juste le temps de manger un morceau et de me doucher, puis je quittais la maison en prévenant ma mère que je ne serais pas rentré de sitôt.

J'avais la tête dans les nuages en montant la côte pour aller chez elle, si bien que le petit kilomètre qui séparait mon domicile du sien fût dérrière moi sans que je m'en rende compte. Le coeur battant la chamade, je frappais à la porte de sa petite maison jumelle. Elle ne mis pas longtemps à m'ouvrir, et j'eus la bonne surprise de voir qu'elle s'était mise sur son 31 pour moi: chemisier blanc légèrement ouvert sur un soutien gorges de dentelle, jupe courte à motif écossais, bas (ou collants?) noirs. Je ne portais pour ma part qu' un simple jeans et un blouson léger à même mon t-shirt. Mon impatience s'était muée en timidité devant cette si jolie femme, et je n'osais pas un geste, de peur qu'il ne soit déplacé. Paradoxal, puisque je l'avais prise et même sodomisée 3 jours auparavant, mais ce jour ci il n'y avait pas l'effet de surprise, mais bien au contraire une attente qui, entrainant milles et une pensées et rêveries chez moi, m'avait mis une pression qui me paralysait. Ce fût elle (merci encore), qui décanta la situation, puisque, après m'avoir offert un café, elle me lança:
"-Tu me dois une revanche, bout d'homme! En tant que perdante de la dernière fois, il serait normal que je choisisses comment la prendre, non?"
J'acquiesçais.

"-Je te propose un poker. 100 jetons chacun, un vêtement en moins chaque fois que les 100 jetons sont perdus, et l'après midi du premier entièrement nu offert au vainqueur. Ca te va comme principe?"
Je ne trouvais absolument rien à redire à cela, bien au contraire!

La partie fût vite menée, et je retrouvais en caleçon alors qu'elle n'avait oté que son chemisier et son soutien gorge. Pour ma défense, je dois avouer qu'elle semblait avoir plus de pratique que moi aux cartes, et que ma concentration était devenue inexistante dés lors qu'elle fût seins nus. Elle lisait en moi comme dans un livre ouvert, et usais de ses charmes pour me déstabiliser, si bien que la dernière donne ne fût qu'une formalité pour elle. Au moment où j'allais oter mon ultime vêtement, elle m'arrêta:
"-Puisque tu es à moi pour cet après-midi, laisses moi faire. J'ai toujours préferé ouvrir mes cadeaux toute seule!"
Et, accompagnant dans sa lente descente le dernier vestige de ma pudeur, elle se trouva à genoux devant moi, mon sexe en érection pointant vers son visage. Alors, l'attrapant de sa main légère, et déposa sur mon gland un baiser, et sussuras:
"-Oui, tu es à moi maintenant..."
Ce contact et ces mots provoquèrent chez moi un frisson qui couru du bas de mon dos, jusqu'à ma nuque. Oui, j'étais à elle. Corps et âme... Puis elle se redressa, et l'air soudain sérieuse, m'apostropha:
"-C'est travaux pratiques cet a-m, mon jeune ami lycéen! Le sujet du jour, c'est comment satisfaire une femme. Soit obéissant et attentif, et tu auras un bon point, et peut-être même une récompense! A l'inverse, je n'hésiterais pas à te punir si tu manques de concentration. Ou si j'en ai envie en fait! Tu te sens prêt?
"-Oui." D'un geste vif elle claqua mes fesses. Ce n'était pas déplaisant,et même excitant , mais la surprise me fît sursauter
"c'est oui MADAME à partir de maintenant, compris?"
"-Oui madame!"
Elle me demanda de la suivre au salon, saisissant au passage sur le bureau qui était dans son entrée une réglette en plastique qu'elle tapota dans sa main comme elle l'eût fait d'une badine.
Puis elle s'assit sur le canapé, et me désigna de la main le grand tapis devant elle. Je m'y assis en tailleur, et elle commença le cours.
"-La première chose qu'un homme doit savoir, c'est qu'on ne peut pas toujours aller droit au but. Aussi dois tu apprendre les caresses, les baisers, et le self contrôle qui doit aller avec... Assez parlé, passons à la pratique..."
Elle quitta langoureusement sa jupe, ainsi que sa culotte, ne conservant que ses bas.
"-Je veux que tu m'embrasses toutes les parties de mon corps que je te désignerais. Commençons par les mains." Je posais, presqu'avec dévotion, mes lèvres sur ses doigts.
"-Le bras" Je remontais lentement vers son épaule.
"Mes épaules et mon cou... tu te débrouilles bien pour l'instant. Mon dos maintenant, le long de ma colonne. Mmmmmh. Bonne initiative, ta langue dans le creux de mes reins! Passe sur mes hanches, doucement, doucement. Va vers mes seins, en douceur... Lentement, prends ton temps... Embrasses les, vas y... Mes tétons sont durs, mordille les... Encore... mmmmh."
Je m'efforçais de suivre le cheminement de sa voix avec toute la douceur et la sensualité possible, et chaque soupirs qu'elle poussait était une récompense pour moi.
"-Descends maintenant, vers mes cuisses... Sur l'intérieur de mes cuisses maintenant... Remonte doucement. Ouf, ta langue me donne des frissons. Pas si vite!" Elle se redressa, et claqua sa régle sur mes fesses: je n'avais su résister, et m'étais "égaré" vers son sexe!
"-Mon autre cuisse maintenant, intérieure, exterieur... Comme ça, oui... Descends encore, tu as oublié le bas de mes jambes. Embrasses mes pieds, remonte lentement... Mon sexe maintenant. MMmmmmmh! Léches le, en douceur. Parcours le de ta langue."
Je suivais ses instructions avec délice, goutant à ses sucs intimes, faisant aller et venir ma langue sur ses lèvres, avant de me poser sur son clitoris, que je harcelais sans relache. Puis je reprenais mon périple, de son pubis jusqu'au commencement du délicat sillon de ses fesses, revenant immanquablement à son bouton d'amour, sur lequel je concentrais mes assauts.

"-Vas y continue. Mmmmmh. Je sens que je viens, tu vas me faire grimper aux rideaux mon cher élève!!!"
Encouragé par ses mots et par ses gémissements, je poursuivis mon oeuvre, de plus en plus vite, de plus en plus précis, jusqu'au moment où je sentis ses cuisses se serrer autour de ma tête, alors qu'elle poussait un râle de jouissance.
Après un instant, elle se reprit.
"-Je te donnes un bon point pour les caresses. Assieds toi."
Je m'exécutai, et elle vint se placer à genoux entre mes jambes. Caressant de haut en bas mon sexe, qui me semblait sur le point d'exploser tant j'étais excité , elle me regarda droit dans les yeux:
"-Comment est ton self-contrôle après ça? Ne dis rien, je vais voir par moi même."
Et elle me prît en bouche. Ses lèvres descendaient et montaient le long de ma hampe, sa langue taquinait mon gland, s'attardait quelques fois sur mon frein, m'arrachant des soupirs de plaisir. Ses mains parcouraient mon corps, et plus précisément les régions les plus sensibles de l'anatomie masculine, passant du périnée aux bourses, qu'elles empoignaient fermement mais sans brusquerie, comme pour me rappeler qui était aux commandes aujourd'hui. Elle alternait lenteur et rapidité, douceur et voracerie avec une telle maestria que mon système nerveux semblait comme saturé de plaisir. Je luttais de toute mes force pour ne pas jouir, pour profiter encore de ses sensations exquises, mais la bataille était perdue d'avance, et après quelques minutes de cette sublime , je rendis dans un cri les armes sur sa langue de velours. Elle avala dans un sourire le fruit de ma jouissance, et après m'avoir laisser un instant pour reprendre mes esprits, elle reprit son air sérieux:
"Je ne me souviens pas t'avoir autorisé à jouir, qui plus est dans ma bouche. Tu es un mauvais garçon, tu mérites d'être puni. Mets toi à genoux sur le canapé, face au dossier."
Je m'exécutais, et elle fît claquer sa main droite sur mes fesses. Je me cambrais sous la surprise, tandis qu'une vague de chaleur m'envahissait. Sa main s'abattit une seconde fois, puis une troisième, et en moi montait un étrange mélange de honte et de plaisir, honte d'être, moi le garçon si costaud, rompu aux arts martiaux, en train de me faire fessé, et plaisir inexplicable de subir cela. Elle s'était positionnée à ma gauche, et pendant que sa main droite me flagellait, la gauche branlait doucement mon membre qui recouvrait sa vigueur. Puis les coups cessèrent, et elle se fit caressante. Elle se rapprocha de moi, collant ses seins à mon bras, lécha son majeur d'un air voluptueux, et tout en posant sur mon cul sa main, le doigt luisant de salive s'insinuant légèrement dans le sillon de mes fesses, elle me murmura:
"-Tu as un très joli postérieur, tu sais? Quel dommage que je ne sois pas équipée, j'aurais adoré te prendre. Je suis sûre que tu aurais trouvé ça bon. Tant pis... Assez parlé de ton cul, il est temps de me satisfaire, et pour cela, tu va jouer les sextoys. Couche toi sur le dos."
Une fois cela fait, elle vint s'agenouiller sur mon visage, le dos tourné.
"-Embrasse donc ce cul que tu as pris avec tant de fougue dimanche, refoidis les ardeurs que tu as éveillé ce jour là."
J'entrais en action, et, tandis que je fouillais de ma langue le plus profond de son intimité, je sentis qu'elle commençait à se caresser. Très vite, nos manoeuvres conjointes produisirent leurs effets, et son bassin ondulait sur mon visage. Je redoubla d'ardeur, m'acharnant de la pointe sur sa précieuse rondelle, et fût payé en retour de sublimes gémissements. Sa main passa au régime supérieur, et j'en fît autant. Comme affamé d'elle, j'avais saisi ses hanches pour mieux gouter au fruit défendu. Sa main s'agitait maintenant à une vitesse impressionnante, et la belle ne se retenait plus. Puis, dans un ultime vagissement, elle se cambra, tout son corps contracté par l'effort du plaisir, et jouit avant de s'effondrer sur moi.
Puis, l'orage de l'orgasme étant passé, elle me chevaucha, en me sussurant:
"-Pour un débutant, t'as une langue en or." et déposa un baiser sur mon front.
Nous fîmes alors l'amour comme cela, à même le tapis du salon, elle sur moi, avec des gestes que la fatigue rendait plus doux. Nous échangions caresses pour caresses, goutant le plaisir du contact de nos deux peaux. Ce fût long, tendre et langoureux, et nous finîmes tous deux par atteindre l'extase dans un feu d'artifice sensuel.

Lorsque je parti, en fin d'après midi, encore ivre de sexe, j'avais dejà hâte de suivre mon prochain cours particulier, qui vint très vite. Notre complicité allait croissante, et nous eûmes maintes et maintes après midi et soirées d'"études", que je vous conterais peut-être, si j'en ai le temps et si cela vous intéresse, bien sûr.

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