Mon Tribut À M...
Cette histoire, qui s'est déroulée il y a 12 ans, est celle de ma première relation... Celle que j'eus l'année de mes 16 ans avec une femme de 7 ans mon ainée. Je ne vous conterais pas la genèse de cette relation, ni ne vous expliquerais comment une très jolie jeune femme en vient à s'offrir à un lycéen, puceau de surcroit, car ce serait trop long et je crains que cela n'intéresse guère les lecteurs de ce forum. Sachez simplement que nous étions très proche, en permanence à cette frontière ténue qui existe entre l'amitié et le flirt, comme c'est si souvent le cas entre homme et femme.
C'était par un de ces dimanche après midi de printemps, où les senteurs des arbres en fleurs se mêlent à celle des foins à venir. Il faisait un soleil radieux, et je me promenais, comme c'était souvent le cas, au coté de Magalie. Elle tenait mon bras, tout en m'aguichant gentiment:
-"nous faisons un joli couple, n'est ce pas?"
Je baissais les yeux vers elle, et, tout en admirant cette jolie femme d'1m65, au cheveux blond cendrés, et aux petit seins si rond, je la pris par la taille, qu'elle avait fine, et rétorquais:
- "Puisqu'on forme un beau couple, il serait peut être temps de consommer, ma chérie... Mon pucelage me pèse..."
Plaisanterie habituelle entre nous, partie intégrante de ce flirt permanent que nous menions depuis quelque mois déjà. Pourtant, ce jour ci, au lieu de rire de ma remarque, et d'éluder temporairement la question, elle me fit face, et avec ce sourire insolent qui lui donnait tant de charme, relança l'échange:
"- qu'est ce qui te fait croire que tu mérites mes faveurs, petit bout d'homme?
-Je ne sais pas...Mon charme, mon physique athlétique... Ma vivacité d'esprit?
-C'est vrai, tu n'es pas mal fait, et plutôt malin... Mais ça ne suffit pas!"
Je pensais l'échange clos, comme à l'accoutumé, lorsque, à ma grande surprise, elle reprit:
-Si tu me veux, il faut me gagner! Je te laisse une demi heure pour m'attr ,bout d'homme.
Pendant que mon cerveau assimilait l'information étonnante qui venait de lui arriver, elle partit au pas de course vers un ensemble d'immeuble en construction, claquant d'une main comme pour me narguer ses superbes fesses rondes moulées dans son jean.
Inutile de dire que je partis bien vite à sa poursuite...
La presque demi heure qui suivit passa vite, très (trop?) vite même. Assez rapidement, elle rentra dans un des immeuble, qui bien qu'en chantier n'était fermé que par une plaque de contreplaqué posée contre la porte. Je faisais de même, en prenant soin de bien remettre en place ladite plaque. Nous étions seuls dans ce bâtiment, et l'excitation était si forte qu'elle brouillait mes pensées. Nous fîmes durer le plaisir: j'aurais pu la saisir assez tôt, mais je la laissais filer. Quant à elle, elle me narguait à intervalles réguliers, me révélant du même coup l'emplacement de sa cachette... Mais l'horloge tournait, et, au quatrième et dernier étage, je (elle) fini par (se) la(isser) rattr...
Je la plaquait alors contre le mur, l'enfermant des mes bras, et mon regard rivé dans ses yeux noisettes, je lui dit:
"-Je crois que j'ai gagné.
-Et que veux tu de moi?
-Tu le sais pertinemment.
-En effet... Alors, qu'attends tu pour te servir? Prends moi comme une brute, tu en meurs d'envie! Et moi aussi d'ailleurs..."
Il n'en fallait pas plus pour que mes appréhensions disparaissent, laissant place à une excitation au delà du contrôlable. Je lui ôtais, arrachais presque même, tous ses vêtements. Son blouson de jean tomba au sol, suivit de près par son T-shirt et son soutien-gorge. J'empoignais ses seins qui emplissait si bien mes paumes, les embrassait avec tendresse et voracité, puis je défis la boucle de sa ceinture. Son pantalon rejoint le reste de ses oripeaux. Je me reculais alors d'un pas, pour profiter de la vue de cette si jolie femme offerte à moi, dont la pudeur n'était plus protégé que par l'ultime rempart de coton de sa petite culotte.
Je l'embrassa ( à noter que ce fût là mon premier baiser!) et ce fût comme l'oeil du cyclone, un court moment de calme au coeur d'un tempête de sensations nouvelle pour moi. Puis ma frénésie me reprit, et obsédé par le désir de m'enfoncer le plus possible en elle, je la déposa au sol, à quatre pattes sur ses vêtements étalés et la prît comme un sauvage... Elle gémissait sous mes assauts, et jamais un son ne m'avait paru plus agréable à l'oreille.Sa jouissance vint très vite, dans un crescendo sublime et rapide, s'achevant par un cri d'une exquise sensualité. Mon plaisir explosa, et j'eu tout juste le réflexe, ne sachant pas si elle prenait de moyen de contraception, de me retirer pour me déverser sur ses magnifiques fesses...
Ce fût à la fois divin et frustrant, car trop vite fini... Heureusement, la nature offre aux jeunes hommes de 16 ans une vigueur à toute épreuve, et, tandis que, encore ivre de ce plaisir nouveau, j'admirais les deux globes fermes de son postérieur, entre lesquels le ruisseau de ma jouissance commençait à couler, je sentis mon bas-ventre frémir. Ma main se posa sur son sexe, que je caressais avec maladresse, et je restais comme hypnotisé par la vue de mon sperme coulant lentement vers le froncement de son anus. D'un doigt, je hâtais le mouvement, enduisant de ma propre semence ce repli secret de son intimité. Elle eut un mouvement de crispation lorsqu'elle sentit ce contact, puis elle se détendit un peu sous mes caresses, ma main gauche sur son sexe, l'index oscillant sur son clitoris, ma main droite tout occupée à tournoyer sur son l'objet de mon nouveau désir. Magalie semblait excitée par la situation, ce qui m'encouragea à poursuivre: tout en continuant mes manoeuvres sur son entrejambe, je collais mon sexe de nouveau en érection à son adorable petit cul devenu luisant et glissant, et qu'elle tendait vers moi comme un appel à la prendre par derrière.
de nouveau:
"-Tu es bien entreprenant! Je n'ai jamais laissé un homme toucher à mon cul, qu'est ce qui te fait croire que tu en as le droit?"
J'eu une brève hésitation, vite balayée par mon état d'excitation qui atteignait des sommets:
"-J'ai gagné le droit de te faire ce que je veux, non?!"
En prononçant ces mots, je pénétrai son anus vierge d'un coup de hanche, me nichant d'un coup tout au fond du plus intime de ses recoin. Elle tressauta, poussa un cri qui semblait fait de douleur et de plaisir mélés. Mes caresses avaient semble-t'il bien préparé le terrain, puisque passée cette première réaction elle se laissa aller, ne cherchant pas à me déloger. Je restais immobile dans son cul, et activais ma main gauche sur son sexe trempé. Mes doigts, devenus plus habiles, harcelaient son clitoris, et assez vite, elle se remis à gémir. De l'autre coté, je commençais de lents mouvements, faisant de mon mieux pour ne pas lui faire mal, et luttant de toutes mes forces contre cette envie bestiale qui me hurlait d'y aller plus à fond. Son cul étroit et doux m'enserrait, m'aspirait, et j'eu plus de mal encore à me contenir lorsqu'elle commença, par un doux mouvement de ses hanches, à aller et venir sur mon sexe. Je la laissais diriger le mouvement, profitant de la vue qui s'offrait à moi. Ce spectacle me laissait bouche bée, et je ne cessais de me demander si tout cela était vrai, si il y avait vraiment, devant moi, une si jolie femme qui s'empalait d'elle même sur ma verge, alors qu'elle venait tout juste de me prendre mon pucelage. Elle poussait des râles de plaisir maintenant, et nous bougions tous deux de concert. nos mouvements restaient doux, mais leur amplitude augmentait. A ses râles de plaisir s'associaient les miens. Essouflée, elle me demanda:
"-Vas y fort maintenant, encules moi comme une brute!"
A ces mots, je me déchainais. Dans un maëlstrom de stimulis, de soupirs et de cris, je la pénétrais sans relâche.
Nous restâmes un moment immobile, moi encore en elle, puis elle se tourna vers moi, et le sourire aux lèvres, me lança cette question que l'on attribue d'ordinaire aux hommes:
"-alors, heureux?"
La réponse coulait de source, et en la raccompagnant chez elle, je savais une chose: mon obsession pour elle n'était pas du tout guérie, au contraire, et, du moins je l'espérais,
nous aurions l'occasion de recommencer. Et sur ce point, je l'avoue, je ne fût pas déçu!
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