Camille Episode 18
(Secrets hospitaliers)
Mon pauvre Piou-piou est dans le potage le plus complet et a du mal à se remémorer les événements. Doucement, je lui rafraichis la mémoire et il est très vite rattrapé par un sentiment de culpabilité.
« Merde ! Je suis désolé Camille. Jai bousillé notre voyage. »
« Laisse ! Des voyages on en fera dautre. Finalement, à part ton pied, ce nest que de la ferraille pliée. »
« Pliée ? »
« Ha oui ! Pliée de chez pliée ! Elle est partie à la casse. Mais ne tinquiète pas, nos affaires ont été récupérées. Je texpliquerais. Jai également prévenu la famille et je les ai rassurés. Ta mère va venir nous récupérer. Allez ! Repose-toi, maintenant. Je reste près de toi cette nuit.»
Il sendort très vite et je profite de son repos pour me permettre une douche, obligatoire et plus que nécessaire. Malheureusement, nayant pas nos sacs, je suis condamnée à remettre ma robe.
Lorsque je reviens de la douche, Eliane est au chevet de Fab et règle sa perfusion, prenant grand soin de ne pas le réveiller.
« Tout va bien ! Il sen remettra vite. Dis moi, veux tu que je te prête une blouse jusquà demain ? Après ma garde de nuit, tu feras un saut à la maison pour te changer. Ok ? »
« Oui, merci. Demain il fera jour. Je trouverai bien à morganiser. »
Elle revient deux minutes plus tard, avec une blouse blanche.
Je ne prends pas le soin de me cacher pour me changer et jôte ma robe devant elle.
«Pfffff ! Pourquoi me fais tu ca ? »
« Quoi donc ? »
« Te mettre nue devant moi ! Tu veux que je change encore de pantalon ? Coquine ! »
« Javoue quêtre ainsi devant toi, mexcite beaucoup. »
« Ho, les filles ! On peut mourir tranquille ? »
Fabien cest réveillé sans que lon sen aperçoive.
Jenfile la blouse et mapproche du lit sans prendre le temps de la fermer.
« Hummm ! Je suis au paradis ou quoi ? »
« Non, non ! Touche ! Tu es bien vivant ! Hihihi ! »
Il caresse mes seins un instant, puis sintéresse timidement à mon sexe.
« Désolé chérie, mais là, ce nest pas encore la grande forme. »
Eliane éclate de rire.
« Haha ! Ce que je vois là, me fait penser le contraire ! Haha ! »
Et elle prend à pleine main, la chose qui tend le drap vers le haut. Surprit par lattitude de linfirmière, il me regarde, interrogateur.
« Ho ! Je te présente Eliane. Nous avons fais connaissance et nous nous sommes prise de sympathie lune pour lautre. »
« Ha ! Je vois, je vois. Je comprends mieux, maintenant. »
Eliane se rapproche de moi.
« Dis moi Camille, jaimerai que tu ferme ta blouse et que tu fasse le guet à la porte. Je voudrais vérifier si ton petit ami na pas de problèmes psychomoteurs et je ne voudrais pas être dérangée. Tu veux bien ? »
« Et comment ! Avec plaisir ! Si je peux aider la médecine
Hihihi ! »
Je ferme ma blouse et fonce à la porte. Jy reste avec un il dans le couloir et lautre dans la chambre.
Eliane, souriante, retrousse le drap jusquaux chevilles de Fab. Je suis étonnée de voir mon Piou-piou presque gêné. En fait, il est méga surprit. Cest mignon tout plein.
« Bon ! Voyons voir si tout va bien ! Nous ne voudrions pas que la chose soit cassée, non ? »
« Heuu, ben non ! Ce serrait embêtant ! Je vous en prie, faite dont, auscultez, auscultez ! »
Ces deux là samusent bien. On dirait deux gosses qui jouent au docteur. Mais la suite est beaucoup plus mature.
Entre les doigts de linfirmière, la queue encore légèrement endormie, prend du volume, petit à petit.
« Bon, bon ! Coté moteur, tout semble fonctionner. Cest parfait ! »
« Oui, mais faut pas en rester là, madame linfirmière ! Cest coté psycho ! Jai un gros doute ! Ca me fait tout bizarre dans ma tête. »
« Humm ! Il ny a pas que le doute qui soit gros ! »
Assise au bord du lit, Eliane se penche sur son patient
impatient
et laisse sa bouche engloutir lobjet de lanalyse.
« Hooo, Camille ! Jadore cet hôpital ! Ici, au moins, ils prennent soins du malade ! Hummm ! »
« Oui, cest vrais mon chéri ! Et ils prennent soins de la famille aussi.
Eliane pouffe de rire tout en suçant le dard dressé à la verticale.
« Ha ! Je vois ! Je crois comprendre ou vous a mené votre sympathie naissante. Haha ! »
« En fait, Eliane était sur le parking. Tu sais, la voiture rouge ! »
« La voiture rouge ? Haaa ouiii ! Hummm ! Le monde est petit. Hooo ouiiii, cest bon ! Hummm ! Une bonne suceuse, la ptite infirmière ! Hummm ! »
Mon Fabien semble très bien réveillé à présent. Sa main disparait sous la blouse blanche.
« Hummm ! Jadore tes seins ! Hummm ! Comme je les aime ! Hummm ! Suce-moi les couilles ! Par pitié, suce-moi les couilles ! Haaa ! Hummm ! »
La bouche gourmande glisse le long de la tige et gobe les boules gonflées, à tour de rôle.
« Haa ouiii ! Salope ! Tu vas me faire jouir ! Hummm ! Ouiii ! Suce-moi vite ! vite ! »
Eliane reprend sa palpation buccale. Fabien se cambre et se rend dans un ralle.
« Hargggggg ! Ouiiii ! Hummmmm ! »
Le sexe bien nettoyé, est enfin libéré et recouvert par le drap.
« Pas de problèmes Camille ! Lexamen est positif. Ton homme est en état de marche. Haha ! »
« Humm ! Merci ma chérie, me voilà rassurée. »
« Oui, mais moi, jai taché mon pantalon encore une fois ! Pffff ! Je crois que tant que vous serez là, je serais condamnée à porter une culotte doublée dun protège-slip. Bon ! Je me sauve ! Je reviendrais plus tard. Soyez sage ! »
Elle me donne un baiser furtif et disparait dans le couloir.
Le silence règne dans le service et Fabien, épuisé par cette journée plus que mouvementée, sendort dun profond sommeil.
Je minstalle confortablement dans le fauteuil et je trouve le repos à mon tour.
Jouvre un il vers trois heures du matin. Je bois un grand verre deau pour me rafraichir. Il fait tellement chaud dans ces hôpitaux.
La porte sentrouvre doucement. Le doux visage dEliane apparait et elle me fait signe de la rejoindre dans le couloir.
Je sors de la chambre et repousse la porte sans faire de bruit.
Eliane jette un il furtif pour sassurer que personne ne traine dans les couloirs et elle prend mes mains dans les siennes. Une lueur friponne illumine son regard. Doucement, elle chuchote.
« Comment te sens-tu ? Pas trop fatiguée ? »
« Non, ca vas, jai récupéré. Quest ce qui ce passe ? »
« Jaimerai te faire une surprise. Mais pour ca, je voudrais que tu monte au cinquième dici une demi-heure. Tu trouveras une porte indiquée « économat ». Entre, mais surtout nallume pas la lumière. Ok ? »
« Heuu, oui, mais
si on me demande ou je vais ? »
« Tinquiète pas et fais ce que je te dis ! »
Elle me vole un baiser et disparait encore une fois.
La demi-heure qui suit est une des plus longues qui ma été donnée de vivre.
Pas très rassurée, je monte les étages. Je ne suis pas sur que le choix des escaliers soit le meilleur, mais javais tellement peur que lascenseur soit trop bruyant.
Je monte les marches dans un silence pesant. Parfois, un bruit me fait sursauter, mais le silence revient rapidement.
Je pousse la porte et jentre dans un couloir peu éclairé, qui rajoute au mystère de cette curieuse invitation.
Mon cur bat la chamade si fort, que jai limpression de lentendre.
« Économat ». Jy suis. La porte est très légèrement entrouverte.
Soudain, un bras m'agrippe et me tire dans le local, plongé dans le noir.
Des mains avides déboutonnent ma blouse et me la retire. Tout va très vite et avant que je ne comprenne ce quil marrive, une langue chaude et agile s'enfonce dans ma chatte.
Je crois qu'il ne me faut pas plus de quatre vingt dix secondes pour jouir comme une folle.
« Hoo Eliane ! Tu vas me rendre folle ! »
Ses mains posées sur mes cuisses, remontent le long de mon corps, jusquà mes seins.
Je pose les miennes sur sa tête, pour lobliger à prolonger sa tendre caresse buccale, mais
je ne reconnais pas les cheveux de ma belle infirmière.
« Mais ! Mais ! Qui êtes vous ? »
Une voix féminine, douce et tendre, me répond calmement.
« Les amies de mon amie sont mes amies. »
Inutile de me faire un dessin. Eliane ma offerte à cette inconnue. Mais finalement, en y réfléchissant bien
qui est offerte à lautre ?
Ca, pour une surprise, cest une surprise.
Toujours dans le noir, je suis penchée en avant sur me semble til un tas de cartons, et quelle nest pas ma stupeur dêtre embrochée d'un trait et sans ménagement, jusqu'au fond de la chatte, par ce que je pense être un gode de bonne taille.
Des seins sécrasent dans mon dos et une main agrippe mes cheveux, redressant légèrement ma tête en arrière.
Une bouche vient sucer le lobe de mon oreille. Jentends la respiration excitée de la femme qui souffle dans mon conduit auditif.
La surprise passée, le va et vient dans mon vagin, finit par marracher une plainte de plaisir.
« Hoo ouiii ! Cest boooon ! »
« Tu aime ca, salope ? Taime ca te faire remplir, hein ? »
« Ho Ouii ! Baise-moi ! Baise-moi bien ! Hummm ! »
Une deuxième vague de jouissance me submerge.
« Ho mon dieu que cest boooon ! Ouiii ! Je Jouiiiis ! Hummmm ! »
« Dieu na rien à voir avec ca. Viens là, salope ! »
Toujours dans le noir, je suis retournée et couchée sur le sol.
Le mince filet de lumière qui passe sous la porte ne me permet pas de voir ma mystérieuse assaillante.
Une chatte trempée, avec une légère toison bien taillée, se pose sur ma bouche.
« Lèche-moi, salope ! Lèche-moi longtemps, ma chérie. Hummmm ! »
Cette fille doit être dune grande gentillesse. Son « chérie » transpirait la passion et la tendresse.
Je me régale de son superflu de jus et je la lèche avec gourmandise. Je mattarde sur son clito à plusieurs reprises, lui arrachant de longues crispations de plaisir. Parfois, mon visage est écrasé entre ses cuisses, le temps dun orgasme.
Elle mouille abondamment et cest un véritable nectar qui sécoule dans ma gorge. Un vrai délice.
Mais je ne suis pas en reste. Aux grés de ses jouissances, elle m'enfonce plus ou moins rapidement son gode dans la chatte, me faisant jouir encore deux fois.
Puis, secouée par un violent orgasme, elle inonde mon visage en poussant une longue plainte, et seffondre près de moi, épuisée.
Si elle pense sen sortir aussi facilement, elle se trompe.
Je me couche sur elle. Jondule mon corps contre elle, frottant mes seins aux siens.
« Et bien, belle inconnue ! Tu crois pouvoir déposer les armes ? Il serrait bon de finir ce que tu as commencé, non ? »
« Pas de problème ma chérie ! Mets-toi à quatre pattes. Je vais moccuper de ton cas. »
Jessais de minstaller confortablement, en glissant ma blouse sous mes genoux et en posant mon visage sur un carton.
« Vas-y ! Prends-moi ! »
Elle nattend pas et plonge son gode de nouveau au fond de mon ventre. Son autre main me caresse, mais très vite elle vient sintéresser à ma pastille brune.
Son pouce tourne autour et applique quelques petites pressions. Je sens mon anus se détendre doucement et quand elle y plonge son index, je ne ressens aucune douleur.
Elle alterne les mouvements de son doigt et du gode. Lorsque lun rentre, lautre sort.
La caresse est délicieuse et je multiplie les petites jouissances.
Sans me prévenir, elle retire le membre de plastique de mon vagin détrempé, et lenfonce profondément et dun coup dans mes entrailles.
Surprise, je cherche à amortir la pénétration, mais les cartons qui se trouvent devant moi, men empêchent.
Dinstinct, je me cambre et respire un grand coup. Lobjet se met lentement en mouvement en moi.
« Ho ouiiii ! Encule-moi bien ! Oui, encoreee ! Hummmm ! Ouiiiii ! »
« Et comme ca ! Ce nest pas mieux comme ca ? »
Elle passe sa main libre sous mon ventre et pince mon clito.
Cest comme une violente décharge électrique qui me traverse de bas en haut.
« Haa ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! »
Elle le branle maintenant avec savoir faire et jexplose dans un orgasme à la mesure des caresses que je reçois.
« Hoooo ouiiii ! Je viens ! Je viens ! Je viiiiii
! Ouiiiii ! Hooooo ! Ouiiiiiiiii ! »
Cette fois, cest moi qui mécroule à même le sol. Je suis essoufflée et en sueur. Mon cur est sur le pont de se décrocher.
Je nai pas le temps de reprendre mes esprits, que mon inconnue cest déjà rhabillée. Elle quitte léconomat, sans un mot de plus et sans me montrer son visage.
Tremblante, je remets ma blouse et je retourne à létage de Fabien, les jambes en coton.
Je reste dans le couloir, à la recherche dEliane. Je la retrouve facilement. Elle passe de chambre en chambre. Elle maperçoit et me fait un grand sourire hypocrite.
« Alors ? Comment trouve tu notre économat ? »
« Cétait qui ? Dis-moi ! Cétait qui ? »
« Peut importe ! En tout cas, elle a apprécié. Et toi ? »
« Humm ! Cétait fantastique. Mais cétait qui ? Allez ! Dis-moi ! »
« Ma maitresse. Une infirmière comme moi. Stéphanie. »
« Humm ! Tes une sacrée coquine aussi, toi ! Tu me la présente ? »
« Tu sais, elle ignore aussi qui tu es. Cétait mon deal avec elle. Je toffre une petite salope, mais tu ne cherche pas à savoir qui cest. Elle a dit « Oui » tout de suite. »
« Je la comprend. Jaurais dit oui, aussi ! Hihi ! »
« Viens, elle doit trainer par là. »
On la trouve dans un recoin, à la machine à café.
« Stéphanie ! Je te présente Camille. »
« Hummm ! Mais tu es beaucoup plus jolie que je ne limaginais, et beaucoup plus jeune aussi ! »
Environs un mètre soixante dix, cheveux noirs, une jolie poitrine, tout comme Eliane. Je pense bonnet B.
Elle a des yeux verts et marrons et un superbe sourire qui me fait fondre.
« Merci, cest gentil. »
Cest tout ce que je trouve à dire. Mon cur se met à rebattre très fort et je me sens rougir, comme une idiote.
Pas facile de se retrouver avec cette fille en face de moi, alors quil y a une demi-heure à peine, jétais allongée sur elle, nue. Cest une expérience très déroutante, mais finalement, je suis heureuse de ne pas la sentir très à laise non plus.
Eliane est triomphante.
« Alors les filles ? Gênées ? »
« Qui, nous ? Mais pas du tout, regarde. »
Je mapproche de Stéphanie et après avoir plongé ma main dans son pantalon, je lui offre mes lèvres. Elle membrasse avec beaucoup de douceur et ses mains se posent sur mes seins au dessus de ma blouse.
Japerçois Eliane, qui jette un il dans le couloir.
« Pffff ! Ok ! Vous êtes de bonnes salopes, mais il ne faudrait pas quon nous voit. »
« Hihi ! Tu a peur de niquer un autre pantalon ? »
« Pas de risque ! Je me suis suréquipée ! »
Nous éclatons de rire et après quelques échanges de baisers, je les laisse repartir à leur travail, à regret.
La fin de la nuit est calme et réparatrice.
Un léger soupir discret me réveille.
« Hummm ! Ouiii ! »
Jentrouvre les yeux et je vois Eliane prendre la tension de Fabien, sauf que celui-ci
a sa main dans le pantalon de sa petite salope dinfirmière.
« Et bien, et bien ! Je vois que mon blessé de petit cocu est en pleine forme ! »
« En tout cas, sil a mal au pied, ses mains vont très bien. Mais pourquoi le traites-tu de cocu ? Ce nest pas très gentil ! »
« Mais si, Eliane ! Je suis cocu et jaime ca. Camille texpliquera. »
« Houlà ! Vous êtes décidément, un couple plein de surprise. Jai fini mon service, Camille. Remets ta robe, je temmène chez moi pour te changer. »
« Ok, jarrive ! À tout à lheure mon Piou-piou, je reviens aussi vite que je peux. Repose-toi bien en attendant que Mylène arrive. »
« La nuit prochaine, tu pourras aller à lhôtel avec ma mère. Tu pourras rattr le sommeil perdu. En tout cas, merci dêtre resté là avec moi cette nuit. »
« Tinquiète ! Ca na vraiment pas été une corvée. Jen suis encore toute mouillée ! Hihihi ! »
« Hoo ! Fou le camp, petite pute ! Hahaha ! »
Ca me fait tout drôle de voir Eliane en civile. Elle porte un chemisier blanc et une jupe bleue. Sur ses épaules, elle a posé un gilet en laine pour se protéger de la fraicheur du petit matin.
Je lobserve pendant quelle conduit.
Cest vraiment une très belle femme.
Son soutien gorge se dessine sous le chemisier. Jy glisserais bien ma main. Mais je me contente de son genou.
« Eliane, tu ma bien dis que tu étais mariée ? »
« Ouiiii ! Avec un beau gendarme dun mètre quatre vingt dix. »
« Mais, je vais pas déranger ? »
« Non, ne tinquiète pas. Il sera déjà levé et prêt à partir. Il y a des semaines comme ca, ou on ne fait que se croiser. Cest ainsi ! »
Elle ouvre la porte de son appartement.
« Pascal ! Cest moi ! Je suis avec une amie ! Houhouuu ! »
« Je suis là ! Bonjour ma chérie ! »
Il enlace Eliane et lembrasse amoureusement.
« Je te présente Camille. Cest mon amie qui a eu cet accident. »
Pascal, hummm ! Tous ses muscles sont dessinés, grâce au pull bleu azur de la gendarmerie, quil porte à même la peau. Il a un sourire ravageur et ses yeux, verts, me font fondre comme un glaçon.
« Enchanté ! Jespère que votre ami vat bien ? »
Il se penche et me fait la bise. Ses lèvres encore humides de son baiser à son épouse, font rougir mes joues, lorsquelles se posent sur celles-ci.
Cet homme me trouble terriblement et je suis presquheureuse de le voir partir.
Lorsque la porte se ferme sur lui, je regarde Eliane pour voir si elle a remarquée mon émoi.
« Tinquiète, je sais ce que tu ressens. Hihihi ! Ca fait le même effet à mes copines. »
« Oups ! Je suis vraiment désolée, mais il est si
»
« Ouai ben, pas touche chérie ! Cest chasse gardée ! Allez, je te fais visiter et à la douche ! »
Cest un appartement très agréable et joliment décoré.
« Viens voir ! Comme nous sommes au dernier étage, nous avons une terrasse sur trois côtés qui peut nous servir de solarium ou de baisodrôme. Cest cool, non ? »
Puis, comme deux copines, nous sautons sous la douche et nous nous savonnons mutuellement.
Mais comment résister à la douce caresse du gel douche.
Nos mains dént, ségarent. Nos corps se collent sous la fine pluie artificielle. Des jeux de langues deviennent vite naturels et obligatoires.
Nos peaux ont le grain dun gâteau de semoule, provoqué par la chair de poule.
Nos seins, écrasés les uns contre les autres, nempêchent pas nos pointes de se dresser malgré tout.
Dos au mur, un pied sur le rebord de la baignoire, je me cambre et offre ma fente bouillante à la bouche dEliane. Elle me fouille, comme seule une femme sait le faire. Mon bouton rose nest pas en reste et elle lexcite dun pouce habile.
De son coté, ma belle infirmière se masturbe comme une démente et nous ne sommes pas longues à jouir, ensemble.
Cest un moment dextase totale.
Eliane reste accroupie et coupe leau. Elle lève son doux regard vers moi, avec une étincelle dans les yeux. Sa bouche fait une petite moue étrange et pour la première fois, je la vois rougir.
« Quest ce qui se passe ? Quest ce que tu as ? »
« Non, rien
enfin, si, mais
je sais que tu vas refuser. »
« Je comprends pas, Eliane ! Refuser quoi ? »
« Ho, rien ! Cest juste un fantasme. »
« Mais vas y, dis moi ! Les fantasmes sont faits pour être réalisés, non ? »
« Tu lauras voulu ! Pisse-moi dessus ! Je ten supplie ! Pisse-moi dessus ! »
« Ho ! En effet, ce nest pas banal ! »
« Je le savais ! Je savais quil ne fallait pas que je te le demande. Je suis désolée, oublie.»
Elle sapprête à se relever, mais je la retiens en appuyant sur ses épaules.
« Hop là ! Ou tu vas comme ca ! Jai pas dis que je ne le ferais pas. Ouvre la bouche, petite salope ! Et bois-moi ! »
Ses lèvres sentrouvrent à lorée de ma fontaine et après quelques secondes de concentration, jy vide ma vessie.
Mon jus doré pénètre sa bouche et en ressort en gros bouillons. Le liquide chaud sécoule sur sa peau et ses mains létalent sur toutes les parties de son corps.
Elle est comme en transe et se masturbe de nouveau.
Jignore si cest volontaire ou si elle sétrangle, mais elle boit une gorgée du précieux liquide qui commence à sépuiser.
Ce qui est certain, cest quelle jouit à nouveau.
Elle se finit en suçant mes grandes lèvres, comme pour récupérer la moindre petite goutte.
Elle se relève, un peu penaude de ce quelle ma demandé de faire, et menlace pour membrasser.
Le gout âpre de mon urine me dérange un instant, mais fini par me procurer un étrange, mais certain plaisir.
Nous nous rinçons, et après sêtre essuyées, nous nous effondrons sur le dos, dans le lit conjugal.
Nous restons ainsi, main dans la main, à contempler le plafond, nos têtes enfoncées dans de moelleux et confortables oreillers.
Très vite, Eliane est invitée à rejoindre Morphée. Car si moi, jai pu dormir quelques heures, ce nest pas son cas, et la nuit fut
mouvementée.
Je rêvasse dans la pénombre de la chambre. Le soleil essaye, sans y parvenir, de traverser les doubles rideaux à fleurs. Les oiseaux chantent. Tout est calme et tranquille. Cest le bonheur.
Un bruit léger, me sort pourtant de ma torpeur.
Quelle nest pas ma surprise de voir la porte de la chambre souvrir lentement.
Un grand frisson parcourt ma colonne vertébrale.
Le visage de Pascal passe dans lentrebâillement. Je le sens très gêné de me voir ainsi, entièrement nue. Il sexcuse en chuchotant pour ne pas réveiller Eliane.
« Oups ! Je suis désolé, jai oublié ma sacoche ! »
Je le regarde traverser la chambre sur la pointe des pieds, pour venir récupérer sa sacoche, posée sur une chaise, près de moi.
Ses grands yeux verts se posent sur moi à plusieurs reprises. Dieu quil est beau.
Et moi, petite pute que je suis, je ne peux mempêcher de faire ma salope.
Je remonte ma main libre sur ma jambe et la plonge entre mes cuisses largement écartées. Je caresse ma vulve, puis, de deux doigts, jécarte mes grandes lèvres, exposant ainsi mes chairs roses aux yeux du gendarme.
Je sens mes tétons se dresser et durcir, semblant lui dire, « Suce-nous ! Suce-nous ! ».
Je ne ressens aucune honte à plonger deux doigts dans mon coquillage, alors que lhomme rejoint la porte en marche arrière.
Intérieurement, jenrage quil ne mait pas touché lorsque jétais à sa porté.
Il a rejoint la porte, mais a bien du mal à détacher son regard du spectacle que je lui offre.
Jen rajoute en ondulant du bassin, plongeant mes doigts encore plus profond en moi.
Jespère que ma langue qui glisse sur mes lèvres le rendront fou, et quil reviendra vers moi, mais
« Désolé ! »
Il fait un petit signe de tête en direction de sa femme qui dort profondément, et referme la porte délicatement.
Beau et fidèle.
Pffff !
Un véritable cauchemar pour une fille comme moi.
A SUIVRE
Pour Eliane de Genève, avec toute ma tendresse. Bises.
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