Premier Jour Au Bureau
Bonjour,
Je me présente , June 22 ans 1m70 95C, plutôt un corps de madone que de mannequin anorexique et un
appétit sexuel énorme .
Aujourdhui, cest mon premier jour dans une nouvelle boite en tant que secrétaire. Je vous avoue
que je suis un peu stressée mais jespère que tout ce passera bien. Comme tenue, jopte pour un
jolie tailleur au dessus du genou mettant mes jambes en valeur et un chemisier blanc sous lequel je
porte toujours un soutien-gorge noir (oui jaime plaire !).
Dés le début, les collègues mont mis à laise. Grands sourires, blagues gentillettes, mains sur
lépaule
. Mais LUI, je lai repéré dés mes premiers pas dans lentreprise. Un beau brun, grand,
habillé très classe mais avec un peu de négligence, du genre « je sais que je suis beau mais je ne
laffiche pas trop ». Dés que jai croisé son regard, jai eu envie de lui, de sentir ses mains sur
mon corps, sa bite dans mon ventre.
Je me suis lancée pour défi de me le faire avant la fin de la journée. A la machine à café jai
laissé ma main se poser sur son torse lorsquil me raconta une bonne blague. Je lui lançais des
illades ne pouvant laisser personne indifférent. Et, ultime tentative, je passais le voir dans son
bureau, mapprochais de lui dans son dos, posant mes mains sur ses épaules, je lui susurrais à
loreille : « jai un problème avec la photocopieuse, viens maider ».
Je me trouvais face à la photocopieuse et dos à la porte. Je lentendis arrivé et fermer la porte à
clef derrière lui. Il sapprocha de moi, son odeur me faisant chavirer intérieurement.
Il me souffla à loreille « je vais te faire ta fête ma belle ». Ses mains sattaquaient déjà à mon
chemisier, défaisant un à un les boutons, libérant ainsi mon soutien-gorge. Ce-dit soutien-gorge ne
resta pas longtemps en place car mon beau brun eu rapidement fait de me lenlever.
parcouraient ma poitrine en faisant attention de ne pas toucher à mes tétons.
Je passais mes bras dans mon dos pour toucher la bosse formée dans son jean et lui signifié que jen
voulais plus. Brusquement, il me pinça un téton. Le petit cri de surprise et les soupirs de plaisirs
qui suivirent lui donnèrent plus de hargne. Il sattaqua alors à ma jupe, découvrant mes bas. Une
main toujours sur mon sein, il descendit lautre vers mon bas-ventre et eu rapidement fait de
découvrir mon clitoris gonflé de désir pour lui.
Je voulais lembrasser, sentir son torse contre ma poitrine et tenta de me retourné. Il me maintien
dos à lui en me disant « non ma belle, je décide de ce que je veux te faire je te promets que cela
te plaira ». Il me fit pencher en avant, amenant mes seins au contact de la vitre froide de la
photocopieuse, ce qui me fit dresser encore plus les tétons.
Il descendit le long de mon dos avec des baisers et des léchouilles. Arrivant à mes fesses, il les
écarta délicatement pour atteindre lentrée de ma chatte dégoulinante de désir. Il me lécha durant
de longues minutes, marrachant des soupirs de plaisir et mamenant au bord de lorgasme. Ayant
envie de prendre mon pied avec lui je lui demandais de remonter et de me prendre en levrette.
Mon beau lécheur ne se fit pas prier, se releva et me pénétra dun seul coup. Ce premier coup de
butoir marracha un cri de surprise qui se transforma rapidement en des râle de plaisir. Je sentais
aller et venir sa queue tendue dans mon ventre. Pour accen nos sensations, je me penchais en
avant, ma tête touchant presque le sol. Je lui caressais les bourses et en profitait pour me câliner
au passage.
Ses coups devinrent plus forts, je menaçais de tomber en avant à chaque fois mais il sagrippait
tellement fort à mes hanches quil me laissait des marques dongles. Ayant envie de plus de
sensation, chaque fois quil sapprêtait à donner un nouveau coup de butoir je venais à sa
rencontre, avançant mes fesses à la rencontre de sa grosse bite.
soumission, jaimais me faire prendre comme une chienne.
Sa queue commença à gonfler dans ma chatte, je le sentais proche de lorgasme et accélérait de moi-
même les mouvements. Quand il sentit quil allait avoir un orgasme, il se retira et éjacula dans mon
dos.
Trop éprouvée par notre partie de baise, je restais quelque instant appuyée sur la photocopieuse et
lentendit se rhabillé. Il vient me souffler à loreille « tes bien une salope toi, on se voit
demain »
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